Beyrie-sur-Joyeuse

Beyrie-sur-Joyeuse est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Beyrie et Joyeuse.

Beyrie-sur-Joyeuse

Les ruines du château.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Gilbert Dublanc
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64120
Démographie
Gentilé Bithirindar
Population
municipale
521 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 49″ nord, 1° 04′ 47″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 328 m
Superficie 22,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beyrie-sur-Joyeuse
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Beyrie-sur-Joyeuse
Géolocalisation sur la carte : France
Beyrie-sur-Joyeuse
Géolocalisation sur la carte : France
Beyrie-sur-Joyeuse

    Le gentilé est Bithirindar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Beyrie-sur-Joyeuse se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 92 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 48 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Orsanco (2,5 km), Luxe-Sumberraute (3,7 km), Garris (3,7 km), Luxe-Sumberraute (4,2 km), Béguios (5,2 km), Aïcirits-Camou-Suhast (5,3 km), Amendeuix-Oneix (5,5 km), Méharin (5,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Beyrie-sur-Joyeuse fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Beyrie-sur-Joyeuse.

    La commune est drainée par la Joyeuse, aiherdiko erreka, algeiruko erreka, un bras de la Joyeuse, iroiko erreka, laherminagako erreka, lakugneko erreka, Lapitchuta Erréka, otsaraneko erreka, Pagardoyko erreka, Teilérako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[12],[Carte 1].

    La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 389 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 40 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Trois ZNIEFF de type 2[Note 7] sont recensées sur la commune[29],[Carte 3] :

    • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[30] ;
    • les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[31] ;
    • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Beyrie-sur-Joyeuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,1 %), prairies (31,4 %), forêts (28,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    Beyrie-sur-Joyeuse est desservie par les routes départementales 8 et 808.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Beyrie apparaît sous les formes Beyria (1072[39]), Sanctus-Julianus de Beyre in Amixa (XIIe siècle[40], cartulaire de Sorde[41]), Berina, Beirie et Beiries (1119[39]), Beyrina (1125[39]), Sanctus Julianus de Beirie (1160[39]), Beyrina (1292[39]), Beyrie (1350[39]), Sent Juliaa de Beyrie (1472[40], notaires de Labastide-Villefranche[42]), Beyria et Veyria (1621[40] pour ces deux formes, Martin Biscay[43]).
    Le 26 août 1961, Beyrie devient Beyrie-sur-Joyeuse.

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[39] indique que Beyrie signifie « vitrerie », du gascon veiria.

    Autres toponymes

    Le toponyme Aintzi apparaît sous les formes Aynciburu et Aynziburu (1621[40] pour ces deux formes, Martin Biscay[43]), Aincie (1708[40], registre de la commune d'Irissarry) et Aincy (1863[40], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[40]).

    Près de Beyrie, le cartulaire de Dax[44] mentionnait une église isolée, sanctus michael de erem, qui partage le toponyme avec la maison Eremia. Selon Jean-Baptiste Orpustan[39], le toponyme est hérité du latin eremus, originellement « désert », qui est devenu eremu dans le lexique basque, soit « étendue, surface ».

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Bithiriña[1].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé aux 1 et 4 de gueules à une aigle d'or ; aux 2 et 3 d'argent au lion d'azur[45].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 1989 Richard Gaby    
    1989 1995 Jean Arrayet    
    1995 2008 Jean-Claude Maintenu DVD[46]  
    2008 2014 Jeanine Hourquebie    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient à six structures intercommunales[47] :

    • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
    • le SIVU de ramassage scolaire de Beyrie-sur-Joyeuse et Orsanco ;
    • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

    Beyrie-sur-Joyeuse accueille le siège du SIVU de ramassage scolaire de Beyrie-sur-Joyeuse et Orsanco.

    Population et société

    Démographie

    Le recensement[48] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[49] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[50], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Beyrie la présence de 10 feux, le second de 75 (72 + 3 feux secondaires).
    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[51] dénombre 113 feux à Beyrie. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].

    En 2018, la commune comptait 521 habitants[Note 10], en augmentation de 1,76 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    760791726956967950961966911
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    826793770736776767721688709
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    725669654592615598575522465
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    446425450451460464505513519
    2018 - - - - - - - -
    521--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique[56].

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Beyrie-sur-Joyeuse est le bas-navarrais oriental.

    Mythologie

    Xaindia, la sainte en basque, est le nom donné à l'héroïne d'une légende traditionnelle du pays de Beyrie et de la forêt d'Iraty.

    Patrimoine civil

    • Château de Beyrie-sur-Joyeuse est une demeure seigneuriale (en basque jauregi), à l'état d'abandon.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Julien-de-Lescar[57] date de 1889. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

    Équipements

    éducation

    La commune dispose d'une école primaire.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Beyrie-sur-Joyeuse » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    12. « Fiche communale de Beyrie-sur-Joyeuse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « la Joyeuse ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    31. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    39. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne).
    40. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    41. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    42. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
    44. Cartulaire de Dax, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    45. Guy Ascarat
    46. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
    47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    48. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
    49. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
    50. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    51. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    56. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Beyrie-sur-Joyeuse%20%2864%29}}.
    57. « L'église Saint-Julien-de-Lescar », notice no IA64000689, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Pour approfondir

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