Amorots-Succos
Amorots-Succos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Amorots-Succos | |||||
La mairie à Amorots. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Arnaud Laurent Abbadie 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64019 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Amoroztar | ||||
Population municipale |
229 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 21′ 58″ nord, 1° 06′ 39″ ouest | ||||
Altitude | Min. 65 m Max. 266 m |
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Superficie | 15,20 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Palais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune d'Amorots-Succos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 100 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 47 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 11 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Béguios (2,2 km), Masparraute (3,1 km), Luxe-Sumberraute (3,6 km), Orègue (3,7 km), Arraute-Charritte (3,8 km), Méharin (4,5 km), Garris (4,8 km), Labets-Biscay (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Amorots-Succos fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par le Lihoury, l'Aphatarena, Isaakenbordako erreka, un bras du Laharan, Jeloseko erreka, Othegiko erreka, Xirritako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20,54 km de longueur totale[13],[Carte 1].
Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune sur une petite section, au sud-ouest du territoire communal, et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[14].
L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle longe la commune sur son flanc nord-est et se jette dans Le Lihoury à Bidache, après avoir traversé 6 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[21]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 35 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[25], à 14,3 °C pour 1981-2010[26], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[27].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[29],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[30],[Carte 3] : les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[31].
Urbanisme
Typologie
Amorots-Succos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,1 %), forêts (29,1 %), terres arables (3,2 %)[37].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Voies de communication et transports
Amorots-Succos est desservie par la route départementale D14.
Lieux-dits et hameaux
- Aguerréa[12]
- Ameztoya[12] (ruines)
- Amiasorhoa[12]
- Amorots[12]
- Ansobieta[12]
- Apatia[12]
- Apetchéko Borda[12]
- Arangoïza[12]
- Arangoïzgaraya[12]
- Arrabichta[12]
- Berdeko Borda[12]
- Berhuéta[12]
- Bertrahandy[12]
- Bibens[12]
- Bidamberrita[12]
- Bidegain-de-Gain[12]
- Bidegain-de-Pé[12]
- Biscayluzia[12]
- Bordaberria[12]
- Cachantéguy[12]
- Carricaburua[12]
- Chastriaborda[12] (ruines)
- Culuteguia[12]
- Damassia[12]
- Ehulondoa[12]
- Errékaldéa[12]
- Errékartéa[12]
- Etchebérria[12]
- Etcheverria[12]
- Etorania[12]
- Garatéa[12]
- Garateko Borda[12]
- Haranéa[12]
- Ichobox[38]
- Ichorotzia[12]
- Idiartia[12]
- Iratzéburia[12]
- Isaac-Borda[12]
- Jauberria[12]
- Jelosséa[12]
- Joanteguia[12]
- Kakila[12]
- Kurku[12]
- Larraldéa[12] (2 lieux-dits)
- Larréa[12]
- Lascouéta[12]
- Laurenzenia[12]
- Legarria[12]
- Miscoria[12]
- Olha[12]
- Olhakoborda[12]
- Olharanne[12]
- Ospilatéa[12],[38]
- Oxarania[12]
- Pacharreta[12]
- Padagoya[12]
- Sarhia[12]
- Sékailénia[12]
- Sorhuéta[12]
- Succos[12]
- Tipulatéya[12]
- Uhaldia[12]
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Amorots apparaît sous les formes :
- Sanctus Vicentius de Maroz, Maroth et Morotz (1160[39]),
- Amoros (1268[39]),
- Amarotz (1305 et 1306[39]),
- Amaroz (1350[39]),
- Amoroz (1402[38], titres de Soule) et
- Amorotz (1413[39], ou 1513[38], titres de Pampelune[40]).
Brigitte Jobbé-Duval[1] propose pour Amorots, une origine végétale, « le lieu de chênes ».
Le toponyme Succos apparaît sous les formes :
- Sanctus Martinus de Trussecalau (1160[39]),
- Sucox (1268[39]),
- Succos (1304[39]),
- Ssucos (1350[39]),
- Çucoz (1413[39]) et
- Suquos (1513[38], titres de Pampelune[40]).
Pour Brigitte Jobbé-Duval[1], Succos pourrait provenir du basque zoko, signifiant « lieu écarté »
Autres toponymes
La croix d’Ichobox désignait un pèlerinage[38], tout comme la croix Goïty.
Ospitaléa est une ferme mentionnée sous les graphies :
- Zabala y l’Ospital (1513[38], titres de Pampelune[40]),
- L’Hôpital d’Amorots (1708[38], règlement de la commanderie d'Irissarry[41]) et
- Ospital (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[38]).
- Paul Raymond[38] indique la présence d'une chapelle près de cette ferme, dépendant de la commanderie d’Irissarry.
Troussecaillau est un fief, vassal du royaume de Navarre, cité en 1863[38] par Paul Raymond.
Histoire
La commune actuelle a été créée le [43] par la réunion des communes d' Amorots et de Succos.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Succos, Arraute-Charrite, Béguios, Masparraute et Orègue[44].
Démographie
En 1350, 5 feux sont signalés à Amorots et 10 à Succos[45].
Le recensement[46] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[47] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[48], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Amorots la présence de 4 feux, le second de 13 (12 + 1 feu secondaire). De même à Succos, le recensement de 1412-1413 relève 5 feux et celui de 1551 19 (16 + 3 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[49] dénombre 40 feux à Amorots et 32 à Succos. Le rôle de la taille de 1758 recense, quant à lui, 74 feux[50] à Amorots.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].
En 2018, la commune comptait 229 habitants[Note 10], en diminution de 4,58 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Amorots, encore séparé de Succos, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[55].
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture et patrimoine
- L'église Sainte-Luce à Amorots, et le fronton.
- Une ferme d'Amorots.
- L'église de Succos, avec à gauche, au fond, la benoiterie et son fronton.
- Langues
- D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Amorots-Succos est le bas-navarrais oriental.
Patrimoine religieux
- L'église de Succos[56], et plus particulièrement sa benoiterie avec son mur servant de fronton est inscrite aux monuments historiques depuis le .
- L'église Sainte-Luce[57], à Amorots, date, quant à elle, de 1880, et est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2003.
- Stèle discoïdale à Amorots.
- Stèle discoïdale à Succos.
- Stèle basque à Succos.
Équipements
- Éducation
- Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[58]).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Amorots-Succos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Amorots-Succos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Amorots-Succos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Amorots-Succos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Géoportail - Institut géographique national (France), « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Amorots-Succos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Lihoury ».
- Sandre, « l'Apatharena ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Amorots-Succos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Amorots-Succos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne).
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Titres de la commanderie d'Irissarry - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, dialectes labourdin, bas-navarrais et souletin, Beauschène, Paris, .
- Ordonnance du 16 août 1841 (Bulletin des lois de la République française).
- Comersis, « Liste des groupements d'Amorots-Succos ».
- Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
- Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
- Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
- Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
- Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 282.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Succos », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- « L’église de Succos », notice no PA00084550, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L’église Sainte-Luce », notice no IA64000682, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site du R.P.I. AMOBA
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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