Lantabat
Lantabat est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Lantabat - Landibarre | |||||
![]() Lantabat vu depuis le col d'Ipharlatze. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Patrick Etchegaray 2020-2026 |
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Code postal | 64640 | ||||
Code commune | 64313 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Landibartar | ||||
Population municipale |
279 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 9,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 15′ 03″ nord, 1° 07′ 24″ ouest | ||||
Altitude | Min. 91 m Max. 624 m |
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Superficie | 28,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune de Lantabat se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 101 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 54 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 14 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Larceveau-Arros-Cibits (3,0 km), Ostabat-Asme (4,4 km), Ainhice-Mongelos (5,6 km), Gamarthe (5,6 km), Iholdy (5,8 km), Ibarrolle (6,0 km), Suhescun (6,2 km), Bunus (6,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Lantabat fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
Hydrographie

La commune est drainée par la Joyeuse, le ruisseau Saint-Martin, Azkongaratéko erreka, un bras de la Joyeuse, Cernaiséko erreka, Etchépaldéko erreka, Gambérazaharéko erreka, Jelosséko erreka, Munhoko erreka, Othéguiko erreka, Saucanéko erreka, Teilérako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[12],[Carte 1].
La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[13].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 41 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 7] sont recensées sur la commune[29],[Carte 3] :
- les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[30] ;
- le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[31].
Urbanisme
Typologie
Lantabat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,9 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), prairies (16,3 %), forêts (13,8 %)[37].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Achurdé ;
- Azkonbegi ou Ascombéguy ;
- Béhaune ;
- Gasteluzahare ;
- Haltacolepua ;
- Ilharre Mounko ;
- Luisenialdea ;
- Saint-Étienne ;
- Saint-Martin.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale D 518.
Toponymie
Son nom basque est Landibarre (« vallée de la lande »[38]).
Le toponyme Lantabat est mentionné dès le XIIe siècle[39] (collection Duchesne volume CXIV, feuillet 161[40]).
D'après Philippe Veyrin[41], bat provient du gascon et signifie 'val'. On retrouve alors la même signification que dans le toponyme basque Landibarre : 'vallée de la lande'.
Achurdé désigne un col de montagne entre Lantabat et Ainhice-Mongelos (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[39]).
Histoire
Paul Raymond[39] note que la baronnie de Lantabat était vassale du royaume de Navarre.
En 1023, le duc de Gascogne, pour remercier le roi de Navarre Sanche le Grand de l'avoir soutenu contre le comte de Toulouse, donne à la Navarre ses fiefs de Basse Navarre, dont Lantabat. Il délaisse alors Saint-Jean-le-Vieux pour fonder Saint-Jean-Pied-de-Port. Sanche VII le Fort (1194-1234) qui s'allie aux chrétiens contre les Maures fait venir nombre de Français, mais les « fueros » prévoient que seuls les Basques peuvent assurer la garde de l'Ultra Puertos, territoire hautement stratégique contrôlant un des plus importants passages entre la France et l'Espagne. Il était donc essentiel d'implanter des maisons basques de confiance pour encadrer une population récemment attachée. C'est ainsi qu'il fit venir les maisons de Luxes, Ostabat, Gramont, Sorhaperu, Laxague, Belzunce et Aramburu[42]. À noter qu'à Lantabat se trouvait une famille San Esteben dont l'un des membres, Ramiro Sanchez, avait été le compagnon d'armes du chevalier Aramburu à la bataille de Baeza (1227). Suivant la tradition basque, la famille donna son nom à la seigneurie où elle fit à nouveau souche.
Politique et administration
Intercommunalité
Lantabat appartient à cinq structures intercommunales[43] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2018, la commune comptait 279 habitants[Note 9], en diminution de 6,38 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Un camp protohistorique[48] (également sur la commune de Suhescun) est visible aux lieux-dits Haltacolepua et Ilharre Mounko ;
- Une enceinte protohistorique fortifiée[49] (également sur les communes d'Ostabat-Asme et de Larceveau-Arros-Cibits) se trouve au lieu-dit Gasteluzahare ;
- La maison de maître dite Elizeiria[50] date du XIVe siècle ;
- La maison forte Donozteia[51] date également du XIVe siècle ;
- Les fermes Elizeiriko Borda[52] et Iturburua[53] datent du XVIIe siècle ;
- Des maisons des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[54] sont inventoriées par le ministère de la Culture.
Patrimoine religieux
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- La chapelle Saint-Cyprien-de-Carthage au lieu-dit Ascombéguy[55] a des origines remontant au XIIe siècle, tout comme la chapelle Saint-Pierre de Béhaune[56]. La chapelle d'Ascombéguy recèle une croix de procession[57] répertoriée par le ministère de la Culture ;
- La chapelle Saint-Étienne[58] date des XIIe, XVe, XVIe et XVIIIe siècles ;
- L'église Saint-Martin-de-Tours[59] date des XVIIIe et XIXe siècles.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Lantabat » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lantabat », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Lantabat », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune de Lantabat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lantabat », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Lantabat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Joyeuse ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Lantabat et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lantabat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice portant sur l'inventaire général du patrimoine culturel de Lantabat
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, LCCN 76466747), page 216
- Fredirico de Zabala, Historia del pueblo Vasco, 1971, t. II, p. 117.
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA00084423, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00084424, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000754, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000753, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000755, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000759, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000824, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000756, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000757, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM64000214, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000752, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA64000814, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
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