Gignac (Hérault)

Gignac [ʒi.ɲak] (en occitan Ginhac [d͡ʒi.'ɲak]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Gignac.

Gignac

Site du Castellas à Gignac.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
(siège)
Maire
Mandat
Jean-François Soto
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34114
Démographie
Gentilé Gignacois, Gignacoise
Population
municipale
6 340 hab. (2018 )
Densité 212 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 11″ nord, 3° 33′ 07″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 286 m
Superficie 29,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Gignac
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Gignac
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Gignac
Géolocalisation sur la carte : France
Gignac
Géolocalisation sur la carte : France
Gignac
Liens
Site web ville-gignac.fr

    Ses habitants sont appelés les Gignacois.

    Géographie

    Carte

    La commune de Gignac appartient à la topographie régionale du « territoire centre Hérault » composé de reliefs, de domaines de la Garrigue, de la vallée de la Lergue et de l'Hérault[1]. Au nord du territoire se situe les hautes garrigues en direction du plateau du Larzac. À l'Est, le massif de la Taillade constitue le point de séparation entre la vallée de l'Hérault et les garrigues de Montpellier et à l'Ouest est situé le massif du Liausson[1].

    Le canal de Gignac, construit vers 1897, a participé au développement rural de la commune en permettant l'irrigation de 1 800 hectares de parcelles consacrées essentiellement à la vigne[2].

    Communes limitrophes et proches

    Communes limitrophes de Gignac
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[3]
    Montpeyroux (5.76 / 8,14 km)
    Lagamas (3.47 / 5,73 km)
    St-Saturnin-de-Lucian (7.91 / 12,51 km)
    Jonquières (6.63 / 10,35 km)
    St-Félix-de-Lodez (7.59 / 8,49 km)
    Saint-Jean-de-Fos
    (5.40 / 9,64 km)
    Causse-de-la-Selle (18.68 / 26,07 km)
    Aniane (5.18 / 5,76 km)
    Viols-le-Fort (15.88 / 18,86 km)
    Argelliers (11.16 / 15,29 km)
    Les Matelles (22.55 / 30,58 km)
    La Boissière (7.58 / 11,39 km)
    Saint-André-de-Sangonis
    (3.96 / 4,32 km)
    Montarnaud
    (11.85 / 16,59 km)
    Brignac (7.14 / 8,50 km)
    Lieuran-Cabrières (13.19 / 21,57 km)
    Pouzols (4.96 / 5,34 km)
    Tressan (10.06 / 11,18 km)
    Popian (3.79 / 5,33 km)
    Saint-Bauzille-de-la-Sylve
    (3.93 / 6,19 km)
    St-Paul-et-Valmalle (10.41 / 15,36 km)
    Murviel-lès-Montpellier
    (15.88 / 20,02 km)
    Pignan (18.69 / 29,34 km)
    Cournonterral (17.10 / 28,44 km)
    Aumelas (6.62 / 10,49 km)
    Vendémian (7.96 / 10,83 km)

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[9]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[15].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « gorges de l'Hérault »[17], d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] : la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[20] et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[19] :

    • le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[21] ;
    • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[22] ;
    • les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Gignac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gignac, une unité urbaine monocommunale[27] de 6 200 habitants en 2017, constituant une ville isolée[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,4 %), forêts (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), zones urbanisées (8 %), mines, décharges et chantiers (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attesté sous les formes : ecclesie S. Petri de Giniaco (1026), ad Giniacum (1094), villa de Giniaco (1094), justa Giniacum (1114), castello de Giniaco (1138), castrum de Ginaco (1247), de Ginhac (1471), Gignac (1571).

    Le nom de la commune dérive d'un nom de domaine gallo-romain : nom d'homme gaulois Gennius + suffixe -acum[33].

    Histoire

    Une loge maçonnique existait à Gignac à la fin du XVIIIe siècle[34].

    Des moulins sont donnés par l’évêque de Lodève Raymond Guillaume à l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert en 1189 ; une mauvaise lecture d'une archive a fait croire qu'il s'agissait des premiers moulins à papier de France, alors qu’il s’agissait de moulins bladiers[35].

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en décembre 1791. Après la chute de la monarchie, elle change de nom pour « société des sans-culottes », puis « société républicaine et régénérée ». Elle est très fréquentée, puisqu’elle passe de 150 membres en 1791, à 264 un an plus tard, soit plus de 10 % de la population[36].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité

    1965

    mars 1989

    Gilbert Sénès[37]

    SFIO puis PS
    Secrétaire d'association agricole
    Député (1967-1968 et 1973-1986)
    Conseiller général (1964-1982)
    mars 1989 2003 Guy Lassalvy[38] PS Conseiller régional (1998-2004)
    2003[39] mars 2014 Jean-Marcel Jover[40] PS  
    mars 2014 En cours[41] Jean-François Soto DVG Cadre supérieur
    Conseiller départemental de l'Hérault

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 6340 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5002 5342 5702 5892 7792 8352 6692 8162 951
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9202 7782 7762 7672 8472 5822 6232 5312 786
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5382 5512 5632 5352 5202 5872 5562 3002 399
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 5402 7462 8483 2283 6523 9554 8275 2715 905
    2018 - - - - - - - -
    6 340--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)

    Économie

    Sports

    Le Tambourin club Gignac défend les couleurs de Gignac en championnat de France de balle au tambourin.

    Du au , la 1re coupe du Monde de tambourin s'est déroulée à Gignac.

    Chaque année entre 2011 et 2013 a eu lieu le “RIDE ON LR TOUR”. Cette compétition de sports extrêmes (BMX et rollers), réunit les meilleurs riders de France et européens sur les installations du FISE[réf. nécessaire].

    Jumelage

    Gignac est jumelée avec :

    Transports et accessibilité

    Réseau routier et covoiturage

    La commune est accessible par l'autoroute A750 sorties 59 et 60. Elle est également traversée par la route nationale 109 ainsi que les routes départementales 9 et 32.

    Une aire de covoiturage est présente au niveau de la sortie 59 de l'autoroute A750, d'une capacité de 40 places dont 2 places pour les personnes à mobilité réduite[44].

    Transports Publics

    Gignac possède une gare routière qui est un point d'arrêt du réseau Hérault Transport. Les lignes s'arrêtant à Gignac sont les suivantes : 661, 662, 663, 665, 668, 685. Ces lignes permettent une laison sans correspondance avec les villes suivantes : Aniane, Arboras, Bédarieux, Ceyras, Clermont-l'Hérault, Colombières-sur-Orb, Hérépian, Jonquières, La Cavalerie, Lamalou-les-Bains, Le Bosc, Le Caylar, Le Pouget, Le Poujol-sur-Orb, L'Hospitalet-du-Larzac, Lodève, Millau, Mons, Montpellier et le réseau de Transports de l'agglomération de Montpellier, Montpeyroux, Olargues, Popian, Pouzols, Prémian, Riols, Saint-André-de-Sangonis, Saint-Bauzille-de-la-Sylve, Saint-Etienne-d'Albagnan, Saint-Félix-de-Lodez, Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Jean-de-Fos, Saint-Julien, Saint-Martin-de-l'Arçon, Saint-Paul-et-Valmalle, Saint-Pons-de-Thomières, Saint-Saturnin-de-Lucian, Saint-Vincent-d'Olargues, Salasc, Villeneuvette

    Culture locale et patrimoine

    Héraldique

    Les armes de Gignac se blasonnent ainsi :
    « de gueules à une tour d'argent maçonnée de sable, accompagnée en chef de trois fleurs de lys d'or »[45].

    L'âne de Gignac

    La légende veut qu’au jour de l’Ascension de l’an 719, un âne prénommé Martin ait réveillé les Gignacois par ses braiments alors que les Sarrasins étaient prêts à envahir le village. Alertés, les villageois auraient alors repoussé l'invasion en jetant des racines de trantanel (nom occitan de la bourdaine) sur les Sarrasins. Dès lors, il devient l’animal totémique de Gignac. Chaque année, cet évènement est célébré le jour de l’Ascension. L’âne représenté avec une grande armature recouverte d’une robe bleue, surmontée d’une tête dont les mâchoires s’entrechoquent bruyamment, est promené dans les rues de Gignac au son du fifre et du tambour entouré de danseurs costumés. Ce spectacle original et convivial prisé par les Gignacois est une tradition qui se perpétue de génération en génération. La tradition a fêté ses 1300 ans d’histoire en 2019.
    [réf. nécessaire]

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-Grâce est installée sur un lieu qui dispose d’une grande variété de traditions et d’histoires. Ainsi, les églises qui se sont succédé à cet endroit auraient été construites à l'emplacement d’un ancien temple romain, dédié à la déesse Vesta, et construit par la VIIe légion romaine. Temple qui serait devenu un édifice chrétien avant d’être détruit au XIIIe siècle. Une chapelle puis l’église telle que nous la connaissons aurait été ensuite construites sur ce vieil emplacement sacré. L’édifice actuel date du XVIIe siècle, sa façade de style florentin est assez unique dans la région. Tout près de l’église, le chemin de croix date de la même époque, même s'il a été récemment remis en état ;
    • L'église Saint-Pierre-aux-Liens est située au centre du village. Cette église paroissiale a été reconstruite entre 1635 et 1677, après les guerres de religion. Sa grande façade est de style jésuite, et le reste de son architecture est classique. Sa grande nef à cinq travées se termine par un chevet à sept pans voutés d’ogives. Le , un dimanche, le clocher de l'église s'est écroulé entraînant la voûte sur les fidèles. Cet accident a provoqué la mort de plus de 100 personnes[46]. Le grand clocher a été reconstruit par Étienne Giral[46], maître des ouvrages royaux de la ville et sénéchaussée de Montpellier, peu après l’effondrement du clocher originel[47][source insuffisante] ;
    • L'église Saint-Martin de Carcarès ;
    • La « Tour sarrasine » ou le donjon ;
    • L'hôtel de Laurès appartenait à la famille de éponyme. Il a accueilli au XXe siècle l'office du tourisme. Il est devenue une propriété privée[réf. nécessaire] ;
    • Beffroi communal surmonté d'un campanile de fer abritant une cloche du milieu du XVIIIe siècle réalisée par le maître fondeur montpelliérain Jean Poutingon (classée MH)[réf. nécessaire] ;
    • Pont de Gignac sur l'Hérault (XVIIIe siècle), conçu par Bertrand Garipuy, directeur des travaux publics de la province du Languedoc, entrepris par lui en 1776, puis par son neveu Ducros. Le pont a été achevé en 1810 par Billoin et Fontenay[réf. nécessaire] ;
    • Pont du Languedoc, construit à côté du pont de Gignac. Il permet à l'autoroute A750 de franchir l'Hérault. L'ouvrage a été conçu par Michel Virlogeux et l'architecte Charles Lavigne avec le bureau d'études SECOA pour le ministère de l'Équipement. Le pont a été construit par l'entreprise GFC. Il a été mis en service le [réf. nécessaire].

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. [PDF] Commune de Gignac : Plan Local d'Urbanisme, page 22/437, publié le sur le site ville-gignac.fr (consulté le ).
    2. P. Carrière, « Le canal de Gignac », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, Montpellier, GéoProdig, vol. 14, nos 2-3, , p. 325-341 (présentation en ligne)
    3. Distances vers : Saint-Jean-de-Fos, Causse-de-la-Selle, Aniane, Viols-le-Fort, Argelliers, Les Matelles, La Boissière, Montarnaud, Saint-Paul-et-Valmalle, Murviel-lès-Montpellier, Pignan, Cournonterral, Aumelas, Vendémian, Saint-Bauzille-de-la-Sylve, Popian, Tressan, Pouzols, Lieuran-Cabrières, Brignac, Saint-André-de-Sangonis, Saint-Félix-de-Lodez, Jonquières, Saint-Saturnin-de-Lucian, Lagamas et Montpeyroux, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Gignac et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Gignac et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Gilbert Gilland, Histoire de Gignac : de son origine à nos jours, Lattes, Paysans du midi, , 124 p.
    • Claude-Daniel (de) Laurès, Mémoires pour servir l'histoire de la ville de Gignac et de ses environs : par Claude-Daniel de Laurès (1701-1776), conseiller à la Cour des Comptes, Aides et Finances de Montpellier], Montpellier, Arts et traditions rurales, , 396 p.
    • Jacques Mestre, Histoire de la ville de Gignac et des communes de son canton des origines à 1900, Millau, Arts et traditions rurales, , 299 p.
    • Hélène Palouzié-Gouedar, Gignac : un canton de la moyenne vallée de l'Hérault, Montpellier, Association pour la connaissance du patrimoine en Languedoc Roussillon, coll. « Images du patrimoine » (no 104), , 96 p.
    • Marie-Thérèse Pralus, Gignac au XVIIIe siècle : recherches démographiques, économiques et sociales, [s.l.], [s.n.], , 162 p.
    • Marie-Thérèse Pralus, Étude de quelques textes du cartulaire de Maguelone relatifs à Gigean au XIIe siècle : institution de la viguerie de Gignac au XIVe siècle, [s.l.], [s.n.], [1960-1970], 24 p.
    • Jean-Claude Richard, « De Bédarieux à Gignac : deux villes fortes protestantes réduites en 1622 par l'armée de Louis XIII », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 11, , p. 119-123

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