Saint-Jean-de-Fos

Saint-Jean-de-Fos (en occitan Sant Joan de Fòrcs) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.

Saint-Jean-de-Fos

Tour de l'église

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Pascal Delieuze
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34267
Démographie
Gentilé Jeannifossiens
Population
municipale
1 721 hab. (2018 )
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 06″ nord, 3° 33′ 06″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 528 m
Superficie 14,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Jean-de-Fos
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Jean-de-Fos
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Fos
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Fos

    Ses habitants sont appelés les « Jeannifossiens ».

    Géographie

    Carte

    Saint-Jean-de-Fos est un village situé à la sortie des gorges de l'Hérault, là où le massif de la Séranne (massif calcaire) appelé aussi causses du Larzac, rejoint la plaine de la vallée de l'Hérault. Il se trouve sur les bords de l'Hérault là où le pont du Diable enjambe le fleuve. Le climat est méditerranéen, chaud et ensoleillé.

    Le village est en circulade et est à ce titre membre de l'association le réseau des Circulades[réf. nécessaire].

    Panorama de Saint Jean de Fos

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Jean-de-Fos
    Saint-Guilhem-le-Désert
    Montpeyroux Aniane
    Lagamas Gignac

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 15 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 907 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 35 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15]

    et un au titre de la directive oiseaux[14] :

    • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] :

    • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[19] ;
    • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jean-de-Fos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,2 %), forêts (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), zones urbanisées (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Économie

    La principale économie du village est la viticulture, l'oléiculture, la production de poterie (11 ateliers et galeries de potiers) et le tourisme avec les visiteurs du pont du Diable et Argileum. De nombreux hébergements touristiques sont proposés.

    L'artisanat y est aussi bien implanté. Chaque année le Marché des Potiers réunit 50 exposants pour le plus grand rassemblement autour de la céramique du département.[27]

    Histoire

    Monument aux morts
    Arpentement général du terroir (1767-1768)

    On trouve les premières mentions du lieu en 804 sous le nom Litenis.

    Le village s'est ensuite développé autour de l'église de St-Jean entre 1031 et 1060 à la suite de la construction du Pont du Diable qui constitue un relais important entre Saint-Guilhem-le-Désert et Aniane.

    La place a été successivement fortifiée au Moyen Âge.

    Saint-Jean-de-Fos a connu la renommée grâce à ses potiers du XIVe au XVIe siècle. Cette tradition de poterie, notamment la poterie vernissée verte, s'est perpétuée et est toujours visible dans les rues du village au travers d'éléments de faîtages, de descentes de chenaux et de gouttières par exemple.

    Les potiers fabriquaient aussi des petites trompes en terre cuite (troïna ou trumpet) qui furent utilisées de la seconde moitié du XVe siècle jusqu'au début du XXe siècle. Les cloches étant « parties à Rome », entre le Jeudi Saint et Pâques, les enfants de chœur, armés de ces petites cornes, trompetaient pour appeler les fidèles à la messe. Le dimanche de Pâques une cérémonie avait lieu sous la croix de la Vierge du Roc Pointu. Il fallait s’emparer de la corne de son voisin et la briser contre le rocher. Le bas du rocher est encore recouvert des tessons accumulés pendant des années[28].

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, créée en . Elle est baptisée « société populaire régénérée » en floréal an II. Elle compte 88 membres à cette date[29]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Fort-l’Hérault[29].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1989 Pierre Espinas    
    1989 2008 Pierre Capelli    
    mars 2008 2014 Jean-François Ruiz    
    mars 2014 juin 2018 Guy-Charles Aguilar SE Salarié du secteur médical
    juillet 2018 En cours Pascal Delieuze SE  

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 1721 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2321 3341 4101 4231 5071 5441 5181 5181 506
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4891 4731 4501 3661 4071 3671 2181 2271 175
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2001 1771 1811 0501 0461 1281 064983913
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9469398619051 0111 1601 4221 4601 567
    2017 2018 - - - - - - -
    1 6961 721-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Dans la grotte de Clamouse
    • La grotte de Clamouse, une des plus belles grottes de France
    • Argileum, le musée de la Poterie
    • Le Pont du diable sur l'Hérault
    • L'église de Saint-Jean-de-Fos, d’architecture romane et dont la construction a commencé au XIe siècle, complétée d'une tour au XIIe siècle et agrandie au XVIe siècle
    • L'église Saint-Géniès de Litenis, église romane des XI-XIIe siècles et située à quelques kilomètres au sud du village

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Godefroy, alias « Rivière », né le à Barbaste (Lot-et-Garonne), décédé le à Saint-Jean-de-Fos, résistant français de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération.
    • Peter Lörincz est un peintre allemand né à Berlin en 1938. Il enseigne aux Beaux-Arts de Mayence en Allemagne. Il s’installe dans le centre de Saint-Jean-de-Fos en 1984, et fait de sa maison, la galerie du Moustique, un atelier. Se définissant comme peintre Pararéaliste, il peint de nombreux édifice de la région. Il meurt le à l'âge de 75 ans. Il est inhumé au cimetière communal de Saint-Jean-de-Fos.[32]
    • Michel Capmal est un poète français né en 1948 à Saint-Jean-de-Fos.

    Jumelages

    [réf. nécessaire]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Fos et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Fos et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Jean-de-Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Jean-de-Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. « Marché des potiers de Saint-Jean-de-Fos », sur www.saintguilhem-valleeherault.fr (consulté le ).
    28. Troinas et trumpets de Saint-Jean-de-Fos
    29. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Vallée de l'Hérault : l'artiste peintre graveur Peter Lörincz s'est éteint à l'âge de 75 ans », sur midilibre.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre David, « L'épidémie de peste à Saint-Jean-de-Fos (17 octobre 1631 - 8 mai 1632) », Cahiers d'arts et traditions rurales, no 10, , p. 205-214
    • Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Cadastre de compois général de toute la paroisse de Saint Jean de Fos au diocèse de Lodève (anno 1678) : édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756 p.
    • Groupe Mémoire de Saint-Jean-de-Fos, Le livre de compoix de Saint-Jean-de-Fos (1610-1612) : édition et transcription, S.l., Arts et traditions rurales, , 756 p.
    • Jean-Claude Richard Ralite, « Les moulins et la seigneurie de Clamouse : Saint-Jean-de-Fos », Les Moulins de l'Hérault, no 17, , p. 141-178
    • Vayssettes Jean-Louis, Poteries de Saint-Jean-de-Fos, Gignac, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Région Languedoc Roussillon, (ISBN 2-910096-07-6)

    Fonds d'archives

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail de l’Hérault
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.