Saint-Guilhem-le-Désert

Saint-Guilhem-le-Désert [sɛ̃.ɡi.ʎɛn.lə.de.zɛʁ], ou Sant Guilhèm dau Desèrt ['sant gi.'ʎɛn daw de'zɛrt] en languedocien, est une commune située dans le département de l'Hérault en Languedoc-Roussillon, région Occitanie, classée parmi Les Plus Beaux Villages de France[1],[2].

Pour les articles homonymes, voir Guilhem.

Saint-Guilhem-le-Désert

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Robert Siegel
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34261
Démographie
Gentilé Sauta Ròcs
Population
municipale
249 hab. (2018 )
Densité 6,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 05″ nord, 3° 33′ 02″ est
Altitude 175 m
Min. 54 m
Max. 819 m
Superficie 38,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Guilhem-le-Désert
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Guilhem-le-Désert
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Guilhem-le-Désert

    Ses habitants sont appelés les Sauta Ròcs (les Saute Rochers).

    Géographie

    Accès

    Le territoire de la commune de Saint-Guilhem représente près de 40 km2. Ce territoire est traversé par deux routes départementales la D122 et D4[3].

    Les villes les plus proches sont : Ganges, ville proche de la source de l'Hérault à environ 35 km au nord-est ; Montpellier (via Montarnaud et Aniane) à 35 km au sud-est ; Gignac à 15 km au sud ; Saint-André-de-Sangonis à 12 km au sud-sud-ouest ; et Lodève (via A 75, Gignac et Aniane) à 35 km à l'ouest.

    Situation, description

    La commune est située aux confins du Massif central, dans la moyenne vallée de l'Hérault, au nord du département du même nom. C'est une zone montagnarde formée par le prolongement de la montagne de la Séranne et de la montagne de la Sellette à quelques kilomètres des Garrigues de la plaine du Languedoc[3].

    Le village a conservé un aspect médiéval.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hydrographie

    L'Hérault et le canal d'irrigation de Gignac bordent la commune au sud-est. Les autres principaux cours d'eau arrosant la commune sont le Verdus, le ruisseau de Font-Basse dont une partie sert de limite de commune au nord, le ruisseau de la Combe des Arboussets (au nord-est) et le ruisseau de la Combe de Brunan au sud. De nombreux autres ruisseaux plus petits irriguent le territoire (ravin de Coste Vieille, ruisseau des Poujols, etc.)[3].

    Communes limitrophes


    Carte de la commune de Saint-Guilhem-le-Désert et des proches communes.
    Hameaux

    Les Lavagnes, l'Estagnol et les écarts du mas de Faissas, de Tourreau, de Lapourdoux, d'Agre, de l'Arbousier[3]. Seule la maison forestière des Plos est habitée.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 969 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montarnaud », sur la commune de Montarnaud, mise en service en 1980[9]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 869,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 38 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[15].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « Saint-Guillhem-le-Désert », une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 250,5 ha[18].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[21]

    et un au titre de la directive oiseaux[20] :

    • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • le « massif du Roc de la Vigne et plaine de Lacan » (1 314 ha), couvrant 3 communes du département[24] ;
    • le « mont Saint-Baudille » (550 ha), couvrant 4 communes du département[25],
    • la « vallée du Verdus et cirque de l'Infernet » (316 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] :

    • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[27] ;
    • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Guilhem-le-Désert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme « dau Desèrt » date de l'époque où le terroir était dévégétalisé par les pratiques d'élevage des trop nombreux habitants du bourg. Toute forme de végétation avait un emploi pour l'alimentation du bétail ou le chauffage. Ces pratiques paysannes de subsistance ont duré jusqu'au début du XXe siècle, puis la déprise agricole intervint du fait de l'exode rural, laissant la végétation pousser à nouveau alentour.[réf. nécessaire]

    Histoire

    En 804, le comte de Toulouse et duc d'Aquitaine saint Guillaume (Guilhèm en langue d'oc) fonde une abbaye dans un lieu de la vallée de l'Hérault alors à l'écart de toute présence humaine, un « désert », le vallon de Gellone. L'abbaye est appelée abbaye de Gellone, ou, après sa mort en 812, abbaye de Guillaume, et devient l'abbaye de Saint-Guilhem après sa canonisation en 1066.

    La relique d'un morceau de la vraie croix attire la dévotion de nombreux pèlerins et l'abbaye devient une étape très importante de pèlerinage. Une agglomération se développe autour de l'abbaye.

    Au Moyen Âge, l'abbaye se trouve sur le territoire du diocèse de Lodève alors que l'abbaye d'Aniane, toute proche, fondée vers 782 par un proche de Guillaume, relève du diocèse de Maguelone.[réf. nécessaire]

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Verdus-le-Désert[35].

    Ce village a été classé le deuxième Village préféré des Français en 2012 parmi les 21 autres villages présents dans la compétition.[réf. nécessaire]

    Blasonnement

    Les armoiries de Saint-Guilhem-le-Désert se blasonnent ainsi :

    d'azur à une crosse accompagnée de deux lettres capitales, S à dextre et G à senestre, et senestrée en chef d'une étoile, le tout d'or

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Jacques Andrieux - -
    2008 En cours Philippe Machetel MoDem puis Professeur de faculté
    Les données manquantes sont à compléter.

    Selon la classification de l'INSEE, Saint-Guilhem est une commune rurale qui ne fait partie d'aucune aire ou espace urbain, bien qu'elle soit adjacente à l'aire urbaine et à l'espace urbain de Montpellier[36].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 249 habitants[Note 8], en diminution de 4,23 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    754800962920849876868925914
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    891895849832821765716678582
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    536569541404427363348270250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    261229274236190245241263259
    2018 - - - - - - - -
    249--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les listes nominatives de recensement de population ont été numérisées et sont consultables en ligne sur le site des Archives départementales de l’Hérault[40].

    Économie

    Randonnées et activités de pleine nature

    De nombreux chemins, pistes DFCI et sentiers sillonnent cet ensemble physique qui part des gorges de l'Hérault (classées « Grand site de France ») pour atteindre la montagne de la Séranne[3]. Cette zone karstique abrite de nombreuses grottes et avens.[source insuffisante] Le chemin de Saint-Jacques traverse les monts de Saint-Guilhem par le GR653[3]. Le Chemin dit de Saint-Guilhem est un ancien chemin de transhumance au départ de la cité médiévale et remontant au nord vers les hauts plateaux de l'Aubrac. Il emprunte plusieurs (GR ) jusqu'à Aumont-Aubrac et se parcourt avec autant d'attrait indifféremment dans les deux sensL'ensemble du massif est classé Natura 2000.[réf. nécessaire]

    Le Pont du Diable ou Pont dit « Pont de Saint Guilhem » fait partie de la légende entourant Guilhem ; il se trouve sur la route qui mène à Saint-Guilhem-le-Désert.

    On pratique toute l'année la randonnée pédestre, la spéléologie, et surtout le canoé-kayak en amont du village route de Ganges, km avant d'arriver au village de Saint-Guilhem, de mai à septembre.

    Le VTT n'est autorisé que sur les pistes DFCI (interdiction sur les sentiers mono-trace).

    Commerce et artisanat

    Des commerces liés à la fréquentation touristique sont présents.

    Culture et festivités

    Concerts et festival

    L'été, l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert et la chapelle des Pénitents sont les lieux d'accueil de concerts, en particulier ceux des Rencontres Musicales de Saint-Guilhem-le-Désert, ceux des Amis de Saint-Guilhem et de la Camerata Mediterranea.[réf. nécessaire]

    Fête médiévale

    Chaque année, le premier dimanche de juin, le bourg retrouve ses couleurs d'antan avec une fête médiévale.

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale, de style roman, est l'ancienne église abbatiale de l'abbaye Saint-Sauveur de Gellone, rebâtie aux XIe et XIIe siècles, où se trouve un orgue construit de 1782 à 1789 par Jean-Pierre Cavaillé.
    • Le cloître de l'abbaye : une grande partie de ce cloître a fait les frais du commerce des vieilles pierres entraîné par la vente et le démantèlement des biens nationaux ; exporté aux États-Unis, c'est l'un des chefs-d'œuvre du Musée des cloîtres de New York ; il est inscrit à l'Unesco avec les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
    • Le Musée lapidaire a été installé dans l'ancien réfectoire des moines, à l'ouest du cloître. La collection de sculptures du cloître, les sarcophages de saint Guilhem et de ses sœurs, Albane et Bertrane[41], ainsi qu'un film retraçant l'histoire de l'abbaye et de la reconstruction d'éléments du cloître à partir des travaux du laboratoire MAP du CNRS y sont exposés.
    • La tour des prisons et le château du Géant, éléments de fortification et de défense du bourg.
    • La grotte de Clamouse, « une des plus belles grottes de France »[42].

    Vie de la commune

    Jumelages

     Campins (Espagne) Catalogne. Ce jumelage est lié au fait que les deux populations honorent le même patron saint Guilhem.

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Alzieu 1991] Gérard Alzieu, « La suppression du titre abbatial de Saint-Guilhem-du Désert et de la juridiction quasi épiscopale dont jouissait son abbé sur le val de Gellone », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 7-8, 1991-1992, p. 133-140 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le ).
    • [Alzieu 1993] Gérard Alzieu et Bernard Homps, « L'autel roman de Saint-Guilhem-le-Désert », Mémoires de la Société archéologique de Montpellier, vol. 21, , p. 27-38.
    • Association Les amis de Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Guilhem-le-Désert au Moyen Âge : nouvelles contributions à la connaissance de l'abbaye de Gellone (table ronde, mai 1995), Montpellier, Les Amis de Saint-Guilhem-le-Désert, , 288 p..
    • Association Les amis de Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Guilhem-le-Désert et sa région, Aniane, Les Amis de Saint-Guilhem-le-Désert, , 200 p..
    • [Barral & Lauranson 2004] Xavier Barral i Altet et Christian Lauranson-Rosaz, La Fondation de l'abbaye de Gellone, l'Autel Médiéval (actes de la table ronde d'août 2002), Association Les amis de Saint-Guilhem-le-Désert, .
    • [Borg 1995] H. Borg, Causses et garrigues guide Franck, éd. Didier Richard, .
    • [Bouché & Joly 2007] Félicie Bouché et Aude Joly, « Jean-Marie Amelin (1785-1858) à Saint-Guilhem-le-Désert (Hérault) », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 37-38, 2007-2008 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le ).
    • [Brichet 2003] Robert Brichet, « Mise en valeur de Saint-Guilhem-le-Désert : chronique des monuments historiques », Cahiers d'Arts et traditions rurales, Montpellier, Arts et traditions rurales, no 16, 2003-2005.
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    • [Caumont 1993] D. Caumont, Monts et Grottes de Saint-Guilhem-le-Désert, La Ravoire, éd. Gap, .
    • [Caumont 1993] D. Caumont, La Grotte du Sergent : Monts de Saint-Guilhem (monographie), éd. CLPA, coll. « Explokarst » (no 2), , 72 p..
    • [Colby-Hall 1999] Alice Colby-Hall, « Nouvelles remarques sur le sceau conventuel de Saint-Guilhem-le-Désert au XIIIe siècle », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 30-31-32, 1999-2000-2001, p. 27-29 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le ).
    • [Colby-Hall 2007] Alice Colby-Hall, « Chant grégorien et liturgie latine et occitane dans un manuscrit méconnu de l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 37-38, 2007-2008, p. 23-32 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le ).
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    • [Pawlowski 1993] Krzysztof Pawlowski, « Réflexions sur l'espace ecclésiastique et l'espace urbain à l'époque romane (Maguelone et Saint-Guilhem-le-Désert) », Mémoires de la Société archéologique de Montpellier, vol. 21, , p. 39-50.
    • [Ribaldone 2012] Thierry Ribaldone, « Les fortifications de Saint-Guilhem-le-Désert - II. La Tour des Prisons - III. Le « Cabinet du Géant » », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 42, , p. 35-41 (résumé).
    • [Richard 1974] Jean-Claude Richard Ralite, « Saint-Guilhem-le-désert », Connaissance du pays d'Oc, Montpellier, no 10, , p. 62-67 (notice BnF no FRBNF34376116).
    • [Richard 1985] Jean-Claude Richard Ralite, « La Communauté protestante de Saint-Guilhem-le-désert (Hérault) au XVIe siècle », dans Actes du 110e congrès cational des Sociétés Savantes (Montpellier, 1985), section d’histoire moderne et contemporaine, Histoire du Languedoc, t. 2 (actes de conférence), Paris, Comité des travaux historiques et scientifiques, , 31-36 p..
    • [Richard 1996] Jean-Claude Richard Ralite, « Horloges et horlogers d'autrefois : sur une horloge ancienne de Saint-Guilhem-le-désert », Cahiers d'Arts et traditions rurales, Montpellier, Arts et traditions rurales, , p. 139-162.
    • [Richard & Ucla 2007] Jean-Claude Richard Ralite et Pierre Ucla, « La compagnie des Frères Pénitents Blancs de Saint-Guilhem-le-Désert : extraits du registre original depuis 1681 », Cahiers d'Arts et traditions rurales, Montpellier, Arts et traditions rurales, no 18, , p. 248-264.
    • [Richard & Bals 2010] Jean-Claude Richard Ralite et Gérard Bals, « Saint-Guilhem-le-Désert : processions dans le village et statues de l'église », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 161-162-163, , p. 49-57.
    • [Richard & Popoff 2010] Jean-Claude Richard Ralite et Michel Popoff, « Le trésor du vivier de l'abbaye de Gellone », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 40, , p. 311-319 (résumé).
    • [Richard & Richard 2012] Jean-Claude Richard et Nancy Richard, La Confrérie des pénitents rouges puis blancs de Saint-Guilhem-le-Désert, XIVe – XIXe siècles, Le Caylar, Arts et traditions rurales, , XII-164-L p. (notice BnF no FRBNF42783486).
    • [Rouvière 1897] François Rouvière, « Hommage à Saint-Guilhem-le-Désert. 1712 », Revue du Midi (Nîmes), t. 22, , p. 456-462.
    • [Saint-Jean 1976] Robert Saint-Jean, « Le cloître supérieur de Saint-Guilhem-le-Désert », Les Cahiers de Saint-Michel de Cuxa, no 7, , p. 45-60.
    • [Saint-Jean 1990] R. Saint-Jean (préf. M. Durliat, ill. Ph. Lorimy, photogr. D. Kuentz), La sculpture du Cloître de l'Abbaye de Gellone (actes de la table ronde de mai 1995), Association Les amis de Saint-Guilhem-le-Désert, .
    • [Soutou 1975] André Soutou, « Accord conclu en 1161 entre l'abbé de Saint-Guilhem et le commandeur des Templiers de Sainte-Eulalie », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 4, , p. 25-28 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le ).
    • Mission archives 34, Archives communales de Saint-Guilhem-le-Désert : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission archives 34, , 83 p..

    Fonds d'archives

    Filmographie

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Saint-Guilhem-le-Désert », sur les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
    2. « Saint-Guilhem-le-Désert », Belles régions de France, no 11, août-sept.-oct. 2012, p. 74.
    3. « Saint-Guilhem-le-Désert, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    11. « Station Météo-France Montarnaud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Guilhem-le-Désert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    25. « ZNIEFF le « Mont Saint-Baudille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « vallée du Verdus et cirque de l'Infernet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Cf. carte INSEE : « Cartes thématiques - Statistiques locales » (version du 11 janvier 2012 sur l'Internet Archive), choisir "Départements", sélectionner Saint-Guilhem et demander "Aire urbaine", "Espace urbain", etc..
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Listes nominatives de recensement de population consultables en ligne
    41. Michèle Aué, Découvrir le Languedoc, Vic-en-Bigorre, MSM, , 194 p. (ISBN 2-909998-42-8).
    42. Grotte de la Clamouse


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