Ganges
Ganges [gɑ̃.ʒə] (en occitan Gange ['gan.d͡ʒe]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie. Elle est au confluent de l’Hérault avec le Rieutord. Ses habitants sont appelés les Gangeois.
Pour l’article homonyme, voir Gange.
Ganges | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Lodève | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Cévennes gangeoises et suménoises (siège) |
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Maire Mandat |
Michel Fratissier 2020-2026 |
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Code postal | 34190 | ||||
Code commune | 34111 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gangeois, Gangeoises | ||||
Population municipale |
4 027 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 562 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 56′ 06″ nord, 3° 42′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 138 m Max. 540 m |
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Superficie | 7,16 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Ganges (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lodève | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ganges.fr/ | ||||
Géographie et climat
La commune, située au confluent de l'Hérault et du Rieutord, a une superficie de 746 hectares. Elle est située à 37 km au nord de Montpellier, à 60 km au nord-ouest de Nîmes, à 50 km au sud-ouest d'Alès, à 105 km à l'ouest d'Avignon, et à 20 km de la sous-préfecture du Gard, Le Vigan. La ville se trouve dans un bassin entouré par les premiers contreforts des Cévennes (Séranne…) - Ganges est appelée "la porte sud des Cévennes" -. Elle bénéficie ainsi d'étés légèrement plus chauds que sur le littoral méditerranéen, mais d'hivers plus frais. L'été, il n'est pas rare de dépasser les 34 degrés. L'hiver, de légères gelées, bien que peu fréquentes, ne sont pas à exclure. Les printemps sont très doux, voire chauds en mai et juin. Les mois d'automne sont souvent assez pluvieux, jusqu'au début de la période hivernale : c'est durant cette saison qu'ont lieu les épisodes méditerranéens ou cévenols, qui provoquent des pluies diluviennes (jusqu’à trois mois de précipitations peuvent tomber en quelques heures).
Localisation
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moules-et-Baucels », sur la commune de Moulès-et-Baucels, mise en service en 1985[6]et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 113,8 mm pour la période 1985-2020
[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 43 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse »[14], d'une superficie de 12 308 ha, comportent des milieux escarpés, des falaises, et sont un biotope de prédilection pour l'avifaune rupestre parmi laquelle on relève des espèces à très forte valeur patrimoniale : l'Aigle de Bonelli, le Grand Duc d'Europe, le Circaète Jean-le-Blanc[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[16] : le « Ranc de Banes » (600 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Gard et deux dans l'Hérault[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[16] :
Urbanisme
Typologie
Ganges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ganges, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[23] et 8 042 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[26],[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,2 %), forêts (29,4 %), zones urbanisées (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), prairies (0,2 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
La ville de Ganges est fort ancienne puisqu'elle est mentionnée à l'époque gallo-romaine sous le nom d'Aganticum.
Un four à chaux dans les faubourgs de Ganges est cité dans un contrat d'association pour son exploitation en 1575[29].
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée société populaire républicaine en l’an II[30].
La Révolution industrielle s'accompagne de l'essor de l'industrie du fil de soie puis de la bonneterie qui vont marquer durablement la ville au XIXe et au XXe siècle. Un grand nombre d'archives et de bas de haute couture fabriqués par des bonneteries gangeoises sont conservés au Musée cévenol du Vigan.
Le difficile positionnement administratif de Ganges
Un livre de l'historien Pierre Gorlier paru en 1955[31] est probablement à l'origine[32] de la thèse selon laquelle, lors de la création des départements français en 1790, le canton de Ganges aurait été, à la demande des Gardois, échangé contre celui d'Aigues-Mortes, d'abord héraultais, afin que le département du Gard possède un débouché sur la Méditerranée.
Plusieurs études montrent que cet échange de cantons est une légende[32]. En effet, sous l’Ancien Régime, la paroisse de Ganges appartient déjà au diocèse et à la sénéchaussée de Montpellier, alors que celle d’Aigues-Mortes est incluse dans ceux de Nîmes[33], qui administrent cette zone située entre le Vidourle, le Petit-Rhône et le Rhône Mort.
D’autre part, lorsqu’on apprend que des départements vont être créés, les élus de la communauté exigent, dès le 4 décembre 1789, que la ville de Ganges soit comprise dans le département dont Montpellier sera le chef-lieu. Leur argument est qu’il y a des liens commerciaux entre leur cité et Montpellier, alors que Nîmes est une ville rivale. Enfin, ils souhaitent que Ganges soit un chef-lieu de district intégrant une zone allant du futur canton de Sumène (situé dans le diocèse d’Alès) à celui de Saint-Martin-de-Londres, dont elle est au centre[34]. Déçus que cela n’ait pas été accepté, les élus de la commune demandent cette fois, le 9 novembre 1790, que le canton de Ganges soit rattaché au Gard, et qu’il en devienne un chef-lieu de district[35]. Cela leur est à nouveau refusé, d’autant plus que les élus de Laroque et de Brissac font connaître leur mécontentement.
En 1792, considérant qu’elle est trop petite et prenant prétexte de troubles, la commune de Ganges tente alors d’annexer, toujours en vain, celle de Laroque. Une dernière tentative de devenir chef-lieu de district (à la place du Vigan), en étant rattaché au département du Gard, a lieu le 4 décembre 1830. S’appuyant sur une pétition d'habitants, le conseil municipal de Ganges réclame cela au nom de son enclavement qui l’isole alors que ce changement la placerait dans une position centrale[36]. Ce sera également refusé.
Le positionnement géographique de Ganges fait qu'en effet, ses connexions avec le département limitrophe ont toujours été très fortes, notamment au niveau des échanges commerciaux (activité séricicole oblige) et obligatoirement routiers (l'ancienne ligne Nîmes-Le Vigan passe par Ganges[37]).
Héraldique
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Les armes de Ganges se blasonnent ainsi : écartelé d'argent et de sable, à quatre lions de l'un en l'autre. |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].
En 2018, la commune comptait 4 027 habitants[Note 8], en augmentation de 1,51 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les Traverses sont caractéristiques des vieilles villes cévenoles ; le vieux centre historique de Ganges est un dédale de passages voûtés, de ruelles, avec jardins et cours en étage qui composent un véritable labyrinthe[47].
- Le temple protestant (1851) de forme rare et originale heptagonale possédant un haut et curieux clocher (30 mètres) presque en forme de minaret qui domine toute la ville et qui contient une unique cloche.
- Le beffroi communal (fin XVIIe siècle) supportant un très gracieux campanile qui abrite une très ancienne cloche du XVIe siècle qui sonne les heures (le tout récemment restauré). Cette horloge domine les anciennes casernes.
- La vieille ville est entourée d'une agréable petite ceinture de boulevards ombragés de tilleuls.
- Les halles métalliques de la fin du XIXe siècle sont malheureusement peu mises en valeur.
- L'église catholique Saint-Pierre fut construite de 1860 à 1866 dans le style néo-roman par l'architecte Henri Antoine Revoil. Elle possède deux clochers qui supportaient, à l'origine, deux flèches et où l'on trouve trois cloches, servant aux offices et à la sonnerie de l'angélus, baptisées Marie, Jeanne d'Arc et Thérèse (le bourdon). À l'intérieur de l'édifice se trouvent des mosaïques ainsi qu'un bel orgue installé en 1869 par la Manufacture Théodore Puget Père et Fils de Toulouse et offert par l'impératrice Eugénie sous le Second Empire.
- Le monument aux morts 1914-1918 dessiné par Maxime Real del Sarte.
- Le couvent et la maison de retraite des dominicaines, éloignés du centre-ville mais dominant les environs du fait de sa position élevée, sur une colline.
- Le cours.
- Récemment, une partie de l'ancien centre historique, situé au sud est des halles, où se trouve notamment l'hôtel Bertrand, a fait l'objet d'une requalification complète. Plusieurs pâtés de maisons ont ainsi été rasés, d'autres démolitions sont prévues dans la foulée ... Une entreprise contestée au sein de la commune mais ouvrant un bel espace en centre-ville.
Personnalités liées à la commune
- La famille de Vissec de La Tude.
- Charles de Vissec de Latude (1639-1737). Baron des États de Languedoc, gouverneur de Ganges, lieutenant du roi de la Finance du Languedoc, commandant du Fort Saint-André à Villeneuve-lès-Avignon. Le roi érige ses terres de Ganges en marquisat en 1666. Il avait épousé l'une des beautés de son temps, Diane de Joannis de Chateaublanc.
- Diane de Joannis de Chateaublanc dite la marquise de Ganges (1635-1667). L'affaire de son assassinat en 1667 par ses deux beaux-frères, l'abbé et le chevalier de Vissec de la Tude, eut un très grand retentissement.
- Jean Antoine Soulier (1766-1835), général français de la Révolution et de l’Empire, né et mort à Ganges.
- Antoine Fabre d'Olivet (Ganges, 8 décembre 1767-Paris, 27 mars 1825). Écrivain, philologue et occultiste français.
- Jules Émile Planchon (21 mars 1823-1er avril 1888). Botaniste né à Ganges. La rue qui descend du temple jusqu'au pont sur le Rieutord porte son nom.
- Armand Sabatier (1834-1910). Savant né à Ganges et mort à Montpellier, professeur à la Faculté de Médecine de Montpellier.
- Elie Gounelle (1865-1950). Né à Sauve, il est le fils du pasteur méthodiste Gédéon Gounelle. Il devient lui-même pasteur à Alès puis à Roubaix. Elie Gounelle est l'une des principales figures du christianisme social en France et un pionnier du mouvement œcuménique dans l'entre-deux-guerres. Il meurt dans sa maison à Ganges. L'ancienne rue des Écoles porte désormais son nom.
- Victor Brugairolles, né à Ganges en 1869-1936 et décédé à Paris. Artiste peintre
- René Méjean, né à Ganges en 1904-1988, poète occitan, félibre
- François Bluche (1925), historien français spécialiste de l'Ancien Régime.
- Christophe Gibelin (1967). Scénariste et coloriste français de bandes dessinées.
- Nicolas Cozza (1999), footballeur professionnel au Montpellier Hérault Sport Club
Galerie
- L'église catholique.
- Le temple protestant.
- Beffroi et monument aux morts.
- Plaquette de la maison natale d'Antoine Fabre d'Olivet.
- Marché 2011.
- L'Hérault à Ganges. Carte postale envoyée le 20 août 1929. Phototypie Combier, Mâcon.
- Rue Jeu de Ballon.Carte postale envoyée le 28 septembre 1929. Phototypie Combier, Mâcon.
Anecdotes
Le Rieutord, la rivière traversant Ganges, est la plupart du temps à sec puisqu'une partie de ses eaux s'écoule de façon souterraine après qu'elles ont passé Sumène. Son eau réapparaît à Ganges lors de fortes pluies en amont, ce qui ne se produit qu'une ou deux fois par an[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
Une fête votive est également organisée autour du 14 juillet.
Enfin, le rallye des Cévennes a également lieu début novembre.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Moules-et-Baucels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ganges et Moulès-et-Baucels », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Moules-et-Baucels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ganges et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Ganges », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112012 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Ganges », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Ranc de Banes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Exploitation d'un four à chaux (1575), Livre des sources médiévales. Archives Départementales de l'Hérault, série II E 35/33, minutes de Maître François Martial, folio 146 verso. Acte daté du 3 mai 1575.
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 413.
- Pierre Gorlier, LE VIGAN A TRAVERS LES SIÈCLES. Histoire d'une Cité Languedocienne, Montpellier, Editions de La Licorne, .
- « La légende d'un échnage: le poids du religieux était marquant », Midi libre, (lire en ligne).
- http://www.nemausensis.com/Gard/CreationGard1790.html Création du département du Gard en 1790
- Comité Départemental pour la commémoration du Bicentenaire dans l’Hérault, La naissance de l’Hérault, Vendargues, Axone, (ISBN 2-90-59-00-18-0), p. 29.
- Comité Départemental pour la commémoration du Bicentenaire dans l’Hérault, La naissance de l’Hérault, Vendargues, Axone, (ISBN 2-90-59-00-18-0), p. 31.
- « Registres des délibérations communales de Ganges », sur Archives départementales de l’Hérault.
- « Ganges a-t-elle un jour été gardoise ? », Midi libre, (lire en ligne).
- « Registres des délibérations communales », sur Archives départementales Pierres Vives (consulté le ).
- Notice WOJCIK Jean-Pierre par Olivier Dedieu, version mise en ligne le 31 juillet 2016, dernière modification le 10 novembre 2016
- Exclu du Parti socialiste en mars 2010.
- Réintégré en décembre 2011.
- GANGES - Un nouveau Maire PRG !
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Les Traverses de Ganges (decouverte34.com)
Voir aussi
Bibliographie
- Mission Archives 34, Archives contemporaines de Ganges : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 124 p.
- Raymond Dugrand, Ganges : étude d'une petite ville sub-cévenole, Montpellier, P. Déhan, , 142 p.
- Raymond Dugrand et Pascal Coularou, Il était une fois Ganges : 1850-1950, Liouc (Gard, Le Plein des sens, , 115 p.
- Jean Philip, Ganges, vous connaissez ? : recueil de textes anciens, [Ganges], [J. Philip], , 123 p.
- Julien Rouquette, Histoire de la ville de Ganges, Montpellier, Impr. de la manufacture de la Charité, , 300 p.
- Madeleine Vitry-Martin, Racontez-moi Ganges, [S.l], [S.n], , 212 p.
- Pierre Clément et Michel Fratissier, « Ganges, ville du congrès 2002 », Causses et Cévennes : revue du Club cévenol 2002, t. XIX, no 2, , p. 478-508 (lire en ligne)
Fonds d'archives
- Série : Délibérations consulaires et municipales (1644-1955) [17 registes]. Fonds : Archives communales de Ganges; Cote : 124 PUB. Ganges : Mairie de Ganges (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la géographie :
- Site de la mairie
- Ganges sur le site de l'office de tourisme Cévennes Méditerranée
- Ganges site de Ganges 1900
- Ganges sur le site de l'Institut géographique national
- Ganges sur Géoportail
- Portail des communes de France
- Portail de l’Hérault