Cazilhac (Hérault)

Cazilhac est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Cazilhac.

Cazilhac

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes gangeoises et suménoises
Maire
Mandat
Pierre Compan
2020-2026
Code postal 34190
Code commune 34067
Démographie
Gentilé Cazilhacois
Population
municipale
1 527 hab. (2018 )
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 28″ nord, 3° 42′ 09″ est
Altitude 166 m
Min. 132 m
Max. 523 m
Superficie 11,69 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Ganges
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cazilhac
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Cazilhac
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Cazilhac
Géolocalisation sur la carte : France
Cazilhac

    Géographie

    Carte

    Cazilhac se situe dans la haute vallée de l'Hérault, à 45 km au Nord de Montpellier, 60 km au Nord-Ouest de Nîmes. La commune s'étend entre le massif de la Séranne et le cours d'eau de l'Hérault, elle jouxte la commune de Ganges, chef-lieu du canton.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 210 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moules-et-Baucels », sur la commune de Moulès-et-Baucels, mise en service en 1985[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 113,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 42 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15] ;
    • les « gorges de la Vis et de la Virenque », d'une superficie de 5 501 ha, un grand site régional qui entaille et sépare l'ensemble des grands causses méridionaux. Il présente deux intérêts majeurs : des habitats aquatiques et des ripisylves, avec six espèces de l'annexe II et des habitats de rochers avec des chauves-souris, les pentes avec de grands éboulis et des pentes boisées de hêtraie calcicole[16] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : les « gorges de la Vis » (3 661 ha), couvrant 8 communes dont cinq dans le Gard et trois dans l'Hérault[18] et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] :

    • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[19] ;
    • les « gorges de la Vis et de la Virenque » (9 620 ha), couvrant 16 communes dont dix dans le Gard et six dans l'Hérault[20] ;
    • le « plateau du Taurac » (2 196 ha), couvrant 8 communes dont une dans le Gard et sept dans l'Hérault[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Cazilhac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ganges, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[25] et 8 042 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,6 %), forêts (21,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (3,2 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le village de Cazilhac est fort ancien puisqu'il est mentionné dès 1107 par le cartulaire de Gellone sous le nom de Casialacum. Au XIIe siècle, Casialacum devient Cassillac, puis enfin Cazilhac au XVIIe siècle[31].

    Le 14 septembre 1885, la commune de Cazilhac-le-Bas prend le nom de Cazilhac[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Cambon    
    1793 1795 ? Antoine Bathélémy Garric    
    1800 1803 Jean Ribard    
    1803 1813 Pierre Foulquier    
    1813 1813 François Guibal   Démissionnaire
    1813 1815 Louis Castelviel    
    1815 1820 Pierre Garric    
    1820 1821 André Pouget   Adjoint maire par intérim
    1821 1830 André Pouget   Démissionnaire
    1830 1834 François Barthélémy Guibal    
    1834 1834 Pierre Foulquier   Démissionnaire
    1834 1837 Pierre Guibal    
    1837 1847 François Gounelle   Démissionnaire
    1847 1848 Victor Delarbre    
    1848 1850 François Gounelle   Démissionnaire
    1850 1866 Pierre Garric   Décédé
    1866 1871 Charles Barral    
    1871 1871 Paul Gounelle   Président de la commission spéciale provisoire
    1871 1878 Barthélémy Garric    
    1878 1884 Paul Gounelle    
    1884 1896 Achille Gros    
    1896 1898 Clément Ribard    
    1898 1902 Barthélémy Fesquet    
    1902 1904 Henri Ricard    
    1904 1944 Henri de Rodez Benavent    
    1944 1944 Emile Anguiviel   Président de la délégation spéciale, démissionnaire
    1944 1944 Raymond Poncet   Vice-président, président par intérim de la délégation spéciale
    1944 1945 Raymond Poncet   Président de la délégation spéciale
    1945 1947 Clément Cambon    
    1947 1977 Roger Fesquet    
    1977 1995 Maurice Gros RPR  
    1995 2014 Pierre Servier DVD  
    mars 2014 En cours Pierre Compan UDI Agent général d'assurances
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 1 527 habitants[Note 7], en augmentation de 6,71 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    362399450427503582551659645
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    674676666720690685711719675
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    656710723649721684664633675
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    7468578409151 0041 1611 2391 2691 481
    2018 - - - - - - - -
    1 527--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cazilhac-le-Haut, Temple réformé.
    • Temple réformé, Cazilhac-le-Haut.
    • Les Meuses de Cazilhac, datant de la fin du XVIIIe siècle servent à l’irrigation de la plaine. Ce sont six grandes roues élévatrices en bois, couvertes de mousse, disposées tout au long d’un canal alimenté par l’eau de la Vis[37].
    • Belle cloche de la fin du XVIIIe, réalisée par le fondeur Guillaume Poutingon, fils de Jean Poutingon et réinstallée à la fin du XIXe sur le bâtiment de la mairie-école pour l'horloge de ce bâtiment.
    Projet d'horloge et de cloche : plan (1899).

    Église catholique, Cazilhac-le-Bas.

    Héraldique

    Les armes de Cazilhac se blasonnent ainsi :

    D'or à deux lions léopardé de gueules, à la bordure de sinople chargée de huit besants d'argent.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Cazilhac et Moulès-et-Baucels », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Cazilhac et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cazilhac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101384 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cazilhac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « gorges de la Vis » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « gorges de la Vis et de la Virenque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « plateau du Taurac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Ganges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Cazilhac Sur le site ot-cevennes.com
    32. Bulletin des lois, 1885, XXXI-1307
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Lionel Peugeot : « Cazilhac, un sentier pour découvrir les roues à aubes », Site Midi libre, 16 juin 2011

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre David, « Les Moulins de l'Hérault : utilisations des eaux de la rivière de Vis par les habitants des communautés de Ganges et Cazilhac au dix-huitième, dix-neuvième et vingtième siècles », Cahiers d'Arts et traditions rurales, no 4,
    • Céline Fages, Les Meuses de Cazilhac : mise en place d'un sentier de découverte, S.l., s.n., , 138 p.
    • Noël Ghisalberti, Et si Cazilhac nous contait... ses vingt siècles d'histoire, Ganges, Sud Burotic, , 185 p.
    • Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Inventaire général du patrimoine culturel : patrimoine industriel de l'Hérault, Lyon, Lieux dits, , 112 p.
    • Christine Marichy, Réalité toponymique et représentation administrative : contribution méthodologique à une étude de microtoponymie portant sur 17 communes du département de l'Hérault (34), Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 1847 p.
    • Clément Ribard, Notes d'histoire cévenole d'après des documents, la plupart inédits, Nîmes, Ollé-Lacour,, , 344 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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