Saint-André-de-Sangonis

Saint-André-de-Sangonis [sɛ̃.tɑ̃.dʁe də sɑ̃ɡɔnis] (Sant Andrieu de Sangònis ['sant an'driew de san'ɡɔnis] en occitan), est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-André.

Saint-André-de-Sangonis

La mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Jean-Pierre Gabaudan
2020-2026
Code postal 34725
Code commune 34239
Démographie
Gentilé Saint-Andréens
Population
municipale
6 063 hab. (2018 )
Densité 309 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 02″ nord, 3° 30′ 15″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 122 m
Superficie 19,6 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-André-de-Sangonis
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-André-de-Sangonis
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-André-de-Sangonis
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Saint-André-de-Sangonis
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Saint-André-de-Sangonis
Liens
Site web mairie.saintandredesangonis.com

    Ses habitants sont appelés les Saint-Andréens (en occitan Santandrivencs surnommés Pòrcs-negres - porcs noirs).

    Géographie

    Carte

    Situé à 34 km de Montpellier, Saint-André-de-Sangonis se trouve dans la vallée de l'Hérault à mi-chemin entre la Méditerranée et l'Aveyron. De magnifiques paysages se trouvent à proximité de cette ville : le Lac du Salagou, le pic Saint-Loup.

    Le village, situé sur la route très passante entre Montpellier et Millau, était jusqu'en 2005 la seule agglomération traversée par l'autoroute A750. Une déviation a permis depuis de désengorger le village de ces flots incessants de voitures et de camions devenus très dangereux et nuisibles pour les habitants.

    Communes limitrophes et proches

    Communes limitrophes de Saint-André-de-Sangonis
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[1]
    St-Saturnin-de-Lucian (5.50 / 6,56 km)
    Jonquières (3.61 / 4,40 km)
    Saint-Guiraud (4.84 / 5,85 km)
    Saint-Félix-de-Lodez (3.82 / 3,94 km)
    Montpeyroux
    (5.09 / 6,68 km)
    St-Guilhem-le-Désert (10.06 / 11,87 km)
    Lagamas (3.15 / 3,89 km)
    Puéchabon (11.72 / 14,14 km)
    Aniane (8.39 / 9,82 km)
    Ceyras
    (3.72 / 3,88 km)
    Gignac
    (3.96 / 4,27 km)
    Clermont-l'Hérault (6.36 / 7,43 km)
    Brignac (3.85 / 4,49 km)
    Canet (5.52 / 13,22 km)
    Puilacher
    (9.22 / 15,19 km)
    Aumelas (9.33 / 14,11 km)
    St-Bauzille-de-la-Sylve (5.09 / 9,34 km)
    Popian (4.29 / 8,48 km)
    Pouzols (3.72 / 8,48 km)

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 784 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « gorges de l'Hérault »[15], d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[18] et la « vallée de la Lergue » (225 ha), couvrant 8 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-André-de-Sangonis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-André-de-Sangonis, une unité urbaine monocommunale[24] de 5 927 habitants en 2017, constituant une ville isolée[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75,3 %), zones urbanisées (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), forêts (2,8 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    On trouve la citation de la ville en 934 dans le cartulaire de Gellone no 74 sous le nom parochia sancti Andreas Sanguivomensis, et, en 996, dans le cartulaire d'Aniane sous le nom villa de Sangonias. Les restes d'une villa montrent que l'occupation du lieu remonte au moins à l'époque romaine. Il subsiste les vestiges d'un pont romain à 300 m du pont de Gignac qui permettait à la voie Nîmes à Toulouse de franchir l'Hérault. Le village semble appartenir en 1031 à l'abbaye de Gellone, puis à l'évêque de Lodève.

    L'évêque de Lodève installe un castrum sur le site autour duquel va s'installer des habitations. Le village va être entouré d'une enceinte et de fossés. Au XIIIe siècle, la communauté du village est administrée par trois consuls. Les consuls administrent aussi la communauté voisine de La Garrigue. La communauté dépend de deux paroisses, la paroisse de Saint-André dont le curé est présenté par l'évêque, et la paroisse de Notre-Dame-de-Camboux, dont le curé est nommé par l'abbaye Saint-Guilhem-le-Désert[30].

    Pendant la guerre de Cent Ans, le pays est touché par des épidémies de peste. Il est traversé par de nombreuses troupes et subit leurs exactions.

    Les guerres de religion le pays subi des troubles. Les troupes protestantes commandées par Claude de Caylus, baron de Faugères et Lunas, pillent et ravagent le diocèse, en 1573 . Le ils ont pris Lodève. Une communauté protestant est attestée au village en 1577 qui possède un temple administré par un consistoire. Les protestants ont obtenu de parvenir aux charges de consul en 1582. La communauté protestante est reconnue par l'Édit de Nantes, en 1598. Elle recrute un maître d'école protestant en 1600. À partir de la seconde moitié du XVIIe siècle, les conversions entraînent une diminution de la communauté protestante, avant la révocation de l'édit de Nantes, en 1685. Le temple protestant est ensuite détruit.

    À partir du XVIe siècle, le village fait partie de la sénéchaussée de Béziers et de l'intendance du Languedoc. Il dépend du ressort du parlement de Toulouse. L'évêque de Lodève est toujours le seigneur du lieu. Le village connaît une période de développement au XVIIIe siècle facilitée par l'amélioration des communications grâce à la construction du pont de Gignac.

    En 1720, la peste atteint la région du Gévaudan (département de la Lozère actuelle), des mesures sont prises dans tout le territoire du Languedoc pour éviter la propagation « du mal contagieux ». À Saint-André-de-Sangonis, des barrières sont construites et les habitants sont confinés strictement[31].

    Entre 1790 et 1794, Saint-André-de-Sangonis absorbe les communes de Cambous et de Sainte-Brigitte[32].

    Au cours de la Révolution française, entre et , la commune porte provisoirement le nom de Beaulieu[32]. Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution », créée en et comptant 207 membres en nivôse an II[33].

    L'emblème du village est le porc nègre (le cochon noir).

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la croix de Saint André d'or ; au chef cousu d'azur chargé d'une palme en barre brochant sur une flèche en bande la pointe en bas, accostées des lettres S et C capitales, le tout d'argent.
    Détails
    D'après un document aimablement transmis par J-P Fernon.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 2008 Gérard Delfau PS (jusqu'en 1998) puis PRG Sénateur (1980-2008)
    mars 2008 mars 2014 Bernard Douysset UMP  
    mars 2014 février 2017 Patrick Lambolez DVD Chirurgien-dentiste
    février 2017 En cours Jean-Pierre Gabaudan[34] DVD Viticulteur

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 6063 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5931 8171 9451 9842 1312 1502 1252 2692 264
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3872 3922 7062 6392 5652 5392 5482 6022 805
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6392 5542 6112 4672 4132 6652 6302 3342 136
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 2952 5942 5742 6753 4723 7824 5675 3195 678
    2018 - - - - - - - -
    6 063--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Sports

    Le village possède un complexe sportif Raymond-Boisset (gymnase, salle de danse, dojo, terrain de football stabilisé, plateau sportif) avec le stade Sangonis (terrain de football synthétique, deux terrains de tennis, demi-terrain de tennis avec mur d'entraînement).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    La tour de l'horloge : carte postale (1re moitié du XXe siècle).
    • Grande église paroissiale entièrement remaniée dans les années 1870/80 possédant un puissant clocher à la flèche particulièrement altière d'environ 50 mètres, repérable de fort loin dans la plaine de l'Hérault. Ce clocher ressemble d'ailleurs quelque peu, dans son allure générale, à celui de l'église Sainte-Anne de Montpellier ; vaste et haute nef qui conserve une bonne partie de son décor du XIXe siècle ;
    • Beffroi communal surmonté de son campanile en fer forgé ;
    • Grande fontaine monumentale possédant vasques, statues et colonnes en fonte de fer datant de la fin du XIXe siècle ;
    • Ancienne chapelle ;
    • Important patrimoine lié à la viticulture.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances vers : Montpeyroux, Saint-Guilhem-le-Désert, Lagamas, Puéchabon, Aniane, Gignac, Aumelas, Saint-Bauzille-de-la-Sylve, Popian, Pouzols, Puilacher, Canet, Brignac, Clermont-l'Hérault, Ceyras, Saint-Félix-de-Lodez, Saint-Guiraud, Jonquières et Saint-Saturnin-de-Lucian, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-André-de-Sangonis et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-André-de-Sangonis et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-André-de-Sangonis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-André-de-Sangonis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « vallée de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Unité urbaine 2020 de Saint-André-de-Sangonis », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    25. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. CDG 34 : Archives de la commune de Saint-André-de-Sangonis. Répertoire numérique détaillé des archives communales de Saint-André-de-Sangonis (1608-2017)
    31. Michel-Édouard Bellet, « Saint-André-de-Sangonis et le mal contagieux de 1720 », Études Héraultaises, Montpellier, no 55, , p. 81-88 (ISSN 1621-4609, lire en ligne [PDF], consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
    34. Résultats des élections municipales et communautaires dans l'Hérault, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alix Audurier Cros, « La chapelle de Sainte-Brigitte : un patrimoine rural sur le chemin de Compostelle, à Saint-André-de-Sangonis », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 195-197, , p. 30-42
    • Michel-Edouard Bellet, "Saint André de Sangonis et le mal contagieux", dans Etudes héraultaises, N°55, 2020,pages 81-88.
    • Marie-Christine Daude-Choizit, « Le groupe scolaire laïc de Saint-André-de-Sangonis a 102 ans », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 70-72, , p. 49-59
    • Jacques Durand, « Enquête sur un porc noir », Connaissance du pays d'Oc, no 23, , p. 40-43
    • [Luthard 1913] Maurice Luthard, « Le protestantisme dans quelques communautés du Bas-Languedoc : Saint-André de Sangonis (Hérault) 1562-1873 », Société de l'Histoire du Protestantisme Français : Bulletin, 5e série, t. 11, , p. 17-53 (lire en ligne)
    • [Luthard 1913] Maurice Luthard, « Appendice à l'histoire de l'Église protestante de Saint-André de Sangonis (1585-1685) », Société de l'Histoire du Protestantisme Français : Bulletin, 5e série, t. 11, , p. 54-56 (lire en ligne)
    • Mission Archives 34, Archives communales de Saint-André-de-Sangonis : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 135 p.
    • Christian Palaysi, « Saint-André-de-Sangonis aux années 1900 : d'après les photographies originales d'Isidore Serin », Cahiers d’arts et traditions rurales,
    • Jean-Claude Roux, « Un habitat gallo-romain sur la commune de Saint-André-de-Sangonis », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, no 5, , p. 16-18
    • André Soutou, « Sauvetage in extremis de la Meuse de Granoupiac (Commune de Saint-André de Sangonis) », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 53-55, 1989-1990, p. 53-55
    • Pierre Temple, « Un cimetière barbare à Cambous (Commune de Saint-André de Sangonis) », Cahiers d'histoire et d'archéologie, t. 3, , p. 28-33

    Fonds d'archives

    • Série : Délibérations consulaires et communales (1608-1921) [22 registes]. Fonds : Archives communales de Saint-André-de-Sangonis; Cote : 34 PUB. Saint-André-de-Sangonis : Mairie de Saint-André-de-Sangonis (lire en ligne).

    Article connexe

    Liens externes

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