Aumelas

Aumelas [o.me.las] est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Aumelas

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Ronny Poncé
2020-2026
Code postal 34230
Code commune 34016
Démographie
Gentilé Aumelassiens[1]
Population
municipale
529 hab. (2018 )
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 14″ nord, 3° 35′ 57″ est
Altitude 295 m
Min. 64 m
Max. 341 m
Superficie 58,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Aumelas
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Aumelas
Géolocalisation sur la carte : France
Aumelas
Géolocalisation sur la carte : France
Aumelas
Liens
Site web aumelas.com

    Géographie

    Carte du territoire communal.

    La commune se situe à l'est de la limite entre l'arrondissement de Lodève et celui de Montpellier. Cette limite correspond à des reliefs séparant la plaine de l'Hérault et les plaines entourant Montpellier. Le territoire communal s'étend sur un plateau culminant à l'est à 349 mètres au Grand Puech et au sud à 304 mètres dans la montagne de la Mourre. Le plateau s'incline vers l'ouest en direction de la vallée de l'Hérault.

    Ce territoire est composé dans sa majeure partie de bois et de garrigues maigres et la densité de population est très faible. Les habitants se concentrent dans deux hameaux : le Mas d'Arnaud, au nord, où se trouve la mairie et Cabrials, au sud-ouest. Quelques domaines agricoles sont dispersés dans le reste de la commune : Mas de Lunès, Mas Valoussière, Mas Barral, Mas Artémon…

    Le plateau est entaillé de vallées qui permettent l'accès à la commune par deux routes départementales : la D 139 au nord, la D 114E au sud. La D 114 passe à l'est et permet de relier la commune à la route nationale 109 au nord et Cournonterral au sud où l'on peut rejoindre les villes de Montpellier et Sète.

    Communes limitrophes

    Géographie humaine

    Ce territoire peu peuplé fait l'objet d'utilisations spécifiques :

    • ouverture d'une chasse privée autour des propriétés isolées et boisées au sommet ;
    • construction d'une centrale électrique éolienne au sud, près de la limite avec la commune de Villeveyrac, pour profiter du plateau dénudé ouvert aux vents ;
    • pratique de la spéléologie, le plateau qui occupe la majeure partie du territoire de la commune étant très karstifié.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 837 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 23 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :

    • la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », d'une superficie de 10 694 ha, présentant sur 20 % de son territoire un couvert de pelouses méditerranéennes à brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grâce à une pratique pastorale encore très fréquente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45 %, et des forêts sempervirentes non-résineuses (chênaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25 %. Sept espèces de chauve-souris, dont 3 d'intérêt communautaire, présentes sur le site[16]

    et un au titre de la directive oiseaux[15] :

    • les « garrigues de la Moure et d'Aumelas », d'une superficie de 9 015 ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18] : le « causse d'Aumelas occidental » (1 786 ha), couvrant 2 communes du département[19] et le « causse d'Aumelas oriental » (1 596 ha), couvrant 3 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[18] : le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Aumelas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (73,9 %), forêts (14,1 %), cultures permanentes (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), zones urbanisées (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Omelares Castellum en 1036[Note 8], Emellaz en 1068, Omelaz en 1114, Omellaz en 1133[28].

    En occitan, elle est citée sous différentes graphies : Omelaç en 1276[29], Omelas en 1287[30] et Aumelaç en 2009[31].

    Homelas sur la Carte de Cassini.

    Sens du toponyme : « lieu planté d'ormes »[28]. L'étymologie proposée par Frank R. Hamlin est plus vraisemblable (dans la garrigue ne poussent pas des ormes) : domaine gallo-romain, surnom latin Homullus plus suffixe prélatin -atis.

    En occitan, on trouve les graphies : Omelaç [o.me.'las], forme ancienne et Aumelaç [aw.me.'las], forme plus récente.

    Histoire

    Les ruines d'un château au Mas d'Arnaud et d'une chapelle à Cardonnet, dans l'est de la commune, sont les vestiges de la présence durable au Moyen Âge.

    Entre 1790 et 1794, Aumelas absorbe les communes de Cardonnet et Cabrials[32].

    Politique et administration

    Logo de la commune d'Aumelas.
    Liste des maires depuis 1944
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 François Saintpierre   Président du Comité local de Libération
    1947 1989 Henri Cheule    
    1989 mars 2008 Jean-Claude Poncé DVG  
    mars 2008 mai 2020 Michel Saintpierre SE Agriculteur
    mai 2020 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Ronny Poncé[33],[34]   Cadre commercial[35]

    Démographie

    Plan par masse de culture (1805).

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 529 habitants[Note 9], en augmentation de 4,34 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    240145290315274284281263281
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    313303293259245223228256261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    252225259257279261219199218
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    210225191245332378429479510
    2018 - - - - - - - -
    529--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armoiries de Aumelas se blasonnent ainsi :

    « D’or au pairle losangé d'or et de sinople ».

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les archives du château de Foix.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. D'après le site habitants.fr
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Aumelas et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Aumelas et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aumelas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101393 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9112037 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aumelas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas occidental » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas oriental » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. - Toponymie générale de la France, page 341, (ISBN 2600028838).
    29. (es) Ambrosio Huici Miranda (es) et María Desamparados Cabanes Pecourt, Catedrático de Universidad (es) (Indice de lugares), Documentos de Jaime I de Aragón VII 1275-1276 (Textos Medievales), Saragosse, Anubar Ediciones, coll. « Antonio Ubieto Arteta (es) » (no 100), , 224 p., 21 × 29,7 cm (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 102 (consulté le ).
    30. A.M. Montpellier AA9, fol. 80 verso, publié sur le site du petit thalamus de Montpellier (consulté le ).
    31. « Toponimia occitana » (version du 29 août 2009 sur l'Internet Archive) (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 d'Aumelas, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    34. Fiche de la mairie d'Aumelas, publié le sur le site du mon-maire.fr (consulté le ).
    35. Ronny Ponce, tête de liste Nos territoires en harmonie, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Chapelle Saint-Martin-du-Cardonnet », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    40. André Soutou, Le Prieuré et l’église Saint-Étienne de Prunet sur le Caussed’Aumelas, http://www.etudesheraultaises.fr/, (lire en ligne [PDF]), p. 5.
    41. « Le nom de lieu Aumelas », études héraultaises, (lire en ligne [PDF]).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Bellugou, La Révolution dans le canton de Saint-Pargoire, Hérault : 1789-1800, Montpellier, Impr. de la Charité, , 404 p.
    • Paul Degrully, La reconstitution d'Aumelas, Canard héraldique, , 6 p.
    • Alphonse Delouvrier, Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget, Gignac, Bibliothèque 42, , 350 p. (lire en ligne)
    • Éva Martinez, Association pour la sauvegarde du château d'Aumelas et de la chapelle du Cardonnet (Gignac), Aumelas : dans la pierre, l'empreinte de l'histoire du XIe au XXe siècle, Gignac, Association de sauvegarde du château d'Aumelas et de la chapelle du Cardonnet, coll. « Racines », , 62 p.
    • André Soutou, « Le nom de lieu Aumelas », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 3, , p. 15-18 (lire en ligne [PDF])

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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