Saint-Pons-de-Thomières

Saint-Pons-de-Thomières [sɛ̃ pɔ̃s də tɔmjɛʁə] (en occitan Sant Ponç de Tomièiras ['sant 'puns de tu'miɛjrɔs]), est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pons.

Saint-Pons-de-Thomières

Vue générale sur la ville et la cathédrale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
(siège)
Maire
Mandat
André Arrouche
2020-2026
Code postal 34220
Code commune 34284
Démographie
Gentilé Saint-Ponais
Population
municipale
1 839 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 22″ nord, 2° 45′ 39″ est
Altitude Min. 273 m
Max. 1 026 m
Superficie 40,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Pons-de-Thomières
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Pons-de-Thomières
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Saint-Pons-de-Thomières

    Ses habitants sont appelés les Saint-Ponais.

    Géographie

    Carte
    Communes limitrophes de Saint-Pons-de-Thomières
    Le Soulié
    Courniou Riols
    Verreries-de-Moussans Rieussec Pardailhan, Saint-Jean-de-Minervois

    Climat

    Diagramme ombrothermique de la ville de Saint-Pons-de-Thomières.

    Saint-Pons-de-Thomières possède selon la classification de Köppen un climat méditerranéen à étés chauds. Ce climat méditerranéen possède deux caractéristiques qui rappellent l’influence océanique et montagnarde, typique des Cévennes :

    • Des précipitations assez importantes
    • Un écart entre les températures estivales et hivernales très significatif.

    En effet, en automne, les épisodes cévenols permettent aux précipitations annuelles de dépasser le mètre et en hiver, on observe régulièrement des abaissements de température soudains et violents, provoqués par la tramontane.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[1],[2].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[3]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[4],[5].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[7] :

    • la « grotte de la Rivière Morte », d'une superficie de 89,5 ha, un site d'hivernage majeur pour l'une des espèces de Chauve-souris d'intérêt communautaire, le Grand Murin[8] ;
    • la « grotte de la source du Jaur », d'une superficie de 30,3 ha, abritant une très importante colonie d'une chauve-souris : le Minioptère de Schreibers[9] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[10] : la « grotte de la rivière Morte » (248 ha), couvrant 2 communes du département[11] et la « grotte de la source du Jaur » (35 ha)[12] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] :

    • le « massif du Somail » (23 004 ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[13] ;
    • la « montagne noire centrale » (34 724 ha), couvrant 27 communes du département[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pons-de-Thomières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (84,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), zones urbanisées (2,4 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %), prairies (0,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Saint-Pons et Thomières sont, à l'origine, deux communes distinctes.

    Au IVe millénaire av. J.-C., des hommes se sont installés autour de la source du Jaur : c'est la naissance de Thomières. L'étymologie de Thomières repose sur le mot occitan mais aussi d'origine celte qui signifie « source abondante », et d'origine pré-latine tomièra qui désigne un clayon de laiterie[pas clair][21]. Dans l'Histoire générale du Languedoc, on trouve les mentions « monasterium...nomine Tomerias » en 939[22] et « monasterii S. Poncii Tomeriensis » en 940[23].

    En 936, le comte Raymond Pons de Toulouse fait construire une abbaye de l'autre côté de la rivière Jaur, c'est la naissance de Saint-Pons.

    Thomières était dit « ville moindre », « ville des pauvres », alors que Saint-Pons avec son abbaye et ses maisons de maîtres était dite « ville mage ».

    La commune de Saint-Pons a pris le nom de Saint-Pons-de-Thomières par le décret du 11 juin 1979 publié au Journal officiel de la République française (JORF) du 14 juin 1979 avec effet au 15 juin 1979[24]. Aujourd'hui les deux villes sont regroupées.

    Histoire

    L'abbaye de Saint-Pons-de-Thomières a été fondée par Raymond III Pons, comte de Toulouse, en l'honneur du saint martyr Pons de Cimiez.

    La paroisse de la ville était Saint-Martin du Jaur. Les paroisses de Saint-Thomas des Verreries, Notre-Dame de Courniou, Saint-Fabien de Prouilhe et Saint-Mathias de Marthomis étaient des annexes de la paroisse de Saint-Pons.

    Le diocèse de Saint-Pons-de-Thomières créé en 1318, a vécu jusqu'en 1790. Son territoire faisait partie auparavant du diocèse de Narbonne.

    Façade néoclassique est de la cathédrale Saint-Pons, reconstruite au XVIIIe siècle.

    Saint-Pons-de-Thomières appartenait à la sénéchaussée de Béziers, mais avait le privilège de se présenter au sénéchal de Carcassonne ou à celui de Béziers.

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société républicaine » et créée avant juillet 1791[25].
    Durant cette période, la commune porte le nom de Thomières. Elle est rebaptisée Saint-Pons en 1793[26].

    En 1790, le diocèse de Saint-Pons est supprimé en tant que division administrative, lors de la création des départements par la Constituante : il est alors compris dans le "département maritime du Bas-Languedoc", qui devient le département de l'Hérault.

    Saint-Pons est alors le chef-lieu d'un district englobant l'ancien diocèse civil et trois communes distraites de l'ancien diocèse de Béziers.

    Par la loi du 28 pluviôse an VIII (), lors de la création des préfectures et sous-préfectures, Saint-Pons devient chef-lieu du quatrième arrondissement de l'Hérault.

    En 1864, Saint-Pons perd des territoires qui réunis à ceux distraits des communes de Boisset et Rieussec, forment la commune nouvelle des Verreries-de-Moussans[27].

    En 1884, Saint-Pons perd les hameaux de Courniou, Prouilhe et Marthomis et Rieussec, qui forment la commune nouvelle de Courniou[28].

    En 1926, une réforme administrative supprime définitivement l'arrondissement de Saint-Pons qui est rattaché à l'arrondissement de Béziers.

    Par le décret du , Saint-Pons prend le nom de Saint-Pons-de-Thomières.

    En 1948, la commune a reçu la croix de guerre (décret du 11 novembre 1948).

    Dans le contexte de la fin de la guerre d’Algérie, un hameau de forestage a été construit à destination de familles de harkis sur le lieu-dit « Plô de Mailhac », isolé du centre de la commune ; le hameau de forestage a été utilisé de 1963 à 1974. Les familles ont ensuite été relogées lors de la construction des HLM des Marbrières, à km du centre de Saint-Pons-de-Thomières[29].

    Le 3 septembre 2009, onze Saint-Ponais sont interpelés dans l'« affaire du corbeau » : en 2008 et 2009, un auteur qui signe « Cellule 34 » envoie des lettres anonymes contenant des balles à l'adresse du président de la République Nicolas Sarkozy ainsi que d'autres personnalités politiques. Parmi les personnes arrêtées, se trouve Pierre Blondeau qui tient le bureau de tabac-librairie La Cigale ainsi que d'autres personnes, militants pour la plupart dans différentes associations et partis politiques d'extrême-gauche. Toutes sont relâchées faute de preuve. L'affaire est close quand un habitant d'un village proche avoue être l'auteur des envois[30],[31]. L'affaire donne lieu en 2017 à la réalisation d'un documentaire d'Olivier Azam, La Cigale, le Corbeau et les Poulets[32].

    Georgette Tailhades[Note 5], maire de Saint-Pons-de-Thomières de 1977 à 1989, décédée en mars 2016, lègue à la commune 800000 €[33].

    Héraldique

    Blason
    D'argent à un arbre de sinople fûté de sable, accompagné de deux lettres capitales du même, S à dextre et P à senestre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Affiche électorale (1914).
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1989 Georgette Tailhadès PS Conseillère générale
    juin 1995 octobre2012 Kléber Mesquida PS Député
    démissionne après son élection au mandat de député
    octobre 2012 mars 2014 Christian Auzias[34] PS  
    mars 2014 2020 Georges Cèbe[35] DVG  
    2020 En cours
    (au 28 juin 2020)
    André Arrouche[36] PS
    Agir ensemble[37]
    Technicien principal de la gestion du domaine public[38]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2018, la commune comptait 1 839 habitants[Note 6], en diminution de 7,73 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 4574 5064 9905 5296 2676 9957 1287 2717 056
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    6 6526 4975 8325 8095 6873 5623 2473 0493 040
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 9502 7382 6383 1373 1572 9172 6493 0832 900
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    3 2673 1172 7332 5662 2872 1952 0621 8921 839
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

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    La commune héberge une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Béziers Saint-Pons.

    Les carrières des « Marbres de France » sont situées sur la commune de Saint-Pons. Sur un même site, elles extraient six variétés de marbre de couleurs différentes selon leur zone d’extraction : le Kuros Doré, le Kuros Fleur de pêcher, le Rouge de St-Pons, le Kuros Perde de nacre, le Noisette Fleury et le Skyros. Grâce à ses qualités techniques et esthétiques, le marbre de Saint-Pons est très prisé des sculpteurs mais aussi des architectes et des professionnels de l'aménagement d'intérieur.

    Lieux et monuments

    • La cathédrale Saint-Pons était à l'origine une abbatiale fondée en 936 et érigée en cathédrale en 1317, l'église fut construite vers 1100. Fortifiée au XIIIe siècle puis remaniée et transformée au XVIIIe après le pillage huguenot de 1567. Seule la face nord conserve le crènelage et les meurtrières des deux tours de l'époque de fortification de l'édifice.
    • L'hôtel de ville qui occupe l'emplacement de l'ancien évêché. De la partie ancienne subsiste une tour qui a fait l’objet d'un classement au titre des monuments historiques le [42].
    • Les restes de l'ancienne église paroissiale Saint-Martin-du-Jaur qui a fait l’objet d'une inscription au titre des monuments historiques le [43].
    • La chapelle Notre-Dame-du-Jaur qui aurait été construite par un cavalier qui s'était perdu au cours d'un orage et qui aurait été guidé grâce à l'intervention de la Vierge. En remerciement, le chevalier aurait édifié cette chapelle. Elle a été détruite après la prise de la ville par les protestants, en 1567. Elle a été reconstruite en 1637 en la dotant d'un beau retable baroque.
    • L'ancien évêché situé à la place du Foirail date des XIVe et XVe siècles, a subi les assauts au temps des guerres de religion, et a été partagé au moment de la Révolution. De nouvelles constructions ont modifié l'ensemble. Les vestiges de l'enceinte et le passage voûté dit La Portenelle ont été inscrits au titre des monuments historiques le [44].
    • L'ancienne chapelle des pénitents.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[6].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. née Georgette Chinour, en 1926, elle avait épousé Edgar Tailhades qui fut sénateur-maire de Nîmes de 1947 à 1965
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    2. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    3. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    4. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    5. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Pons-de-Thomières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9101428 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101429 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pons-de-Thomières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF la « grotte de la rivière Morte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « grotte de la source du Jaur » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF le « massif du Somail » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Frank Hamlin, Les noms de lieux du département de l'Hérault, 1983.
    22. HGL tome V, c 183
    23. HGL tome V, c 185
    24. Code officiel géographique 1999 (COG), Paris, Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), 13e édition, 1999, pagination multiple, 30 cm, (ISBN 2-11-066875-X), page 34-7.
    25. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. B.L., 1864, XXIII-374
    28. B.L., 1884, XXVIII-183
    29. Journal La Dépêche du midi du 18 juin 2011 (selon cette même source, depuis juin 2011, une stèle de marbre porte les noms des 140 chefs de famille ayant successivement habité dans ce hameau de forestage)
    30. « La traque au corbeau fait chou blanc », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Chasse au corbeau : les policiers toujours bredouilles », leparisien.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Saint-Pons-de-Thomières: les insurgés permanents de la Cigale », liberation.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    33. MIDI LIBRE, « Biterrois : un legs de plus de 800 000 € pour Saint-Pons-de-Thomières », Midi libre, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Christian Auzias succède à Kléber Mesquida à la tête de la mairie », sur Midi-Libre, (consulté le ).
    35. « Saint-Pons-de-Thomières : Georges Cèbe, le dissident, remporte les municipales », sur Midi-Libre, (consulté le ).
    36. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 de Saint-Pons-de-Thomières, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    37. « André Arrouche conduira la liste Agir ensemble pour Saint-Pons », sur Midi-Libre, (consulté le ).
    38. « Résultats des élections municipales 2020 », sur Midi-Libre (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. Notice no PA00103710, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Notice no PA00103708, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Notice no PA00103709, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gérard Alzieu, Églises et chapelles de l'ancien diocèse de Saint-Pons-de-Thomières, Montpellier, P. Clerc, , 99 p.
    • Joseph Barthès, Petite histoire religieuse de Saint-Pons-de-Thomières, Saint-Pons-de-Thomières, Éd. M. Francès, [s.d.], 125 p.
    • J. Barthes, Saint-Pons-de-Thomières et son abbaye des origines à 1318, 2 vol., Nîmes, C. Lacour, 1997, 761 p.
    • Marcel Durliat, « Saint-Pons-de-Thomières », Congrès Archéologique de France, Montpellier, t. 108, , p. 271-289
    • Joseph Sahuc, Ville de Saint-Pons. Inventaire sommaire des archives communales antérieures à 1790, Ricard frères éditeurs, Montpellier, 1895 (lire en ligne)
    • Joseph Sahuc, Plan de la ville de Saint-Pons de Thomières, en 1699, 1900 (voir)
    • Joseph Sahuc, Saint-Pons-de-Thomières : ses vieux édifices, ses anciennes institutions., Bergerac, Imprimerie générale du Sud-Ouest, , 155 p.
    • Joseph Sahuc, L'art roman à Saint-Pons-de-Thomières, Imprimerie générale du Midi, Montpellier, 1908
    • Joseph Sahuc, Ville de Saint-Pons. Inventaire sommaire des archives hospitalières antérieures à 1790, J. Lauriol imprimeur, Montpellier, 1910 (lire en ligne)
    • Joseph Sahuc, Dictionnaire topographique et historique de l'arrondissement de Saint-Pons, comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Imprimerie générale du Midi, Montpellier, 1910
    • Joseph Semat, La ville et le pays de Saint-Pons-de-Thomières : essai historique, Saint-Pons-de-Thomières, F. Barthès, , 488 p.
    • V. Soupirac, Petit dictionnaire géographique et historique du diocèse de Montpellier, arrondissement de Saint-Pons-de-Thomières, Montpellier, J. Martel, 1880, 162 p.
    • C. Chabaneau, Le livre des franchises et libertés des habitants de Saint-Pons et autres documents en langue d'oc de Saint-Pons et de La Salvetat (1442-1600), Montpellier, C. Coulet, 1897, 40 p.
    • Dom Claude Devic, dom Joseph Vaissète, Histoire générale du Languedoc, avec les notes et pièces justificatives, Édouard Privat éditeur, Toulouse, t.V, Toulouse, 1872-1892, pp. 173-183.
    • M. Chérif-Nissels, Une communauté urbaine et rurale en Languedoc à la fin du Grand Siècle : Saint-Pons-de-Thomières, capitale du diocèse, 7 vol., thèse de doctorat sous la direction d'Anne Blanchard, Elie Pélaquier, Université Paul-Valéry, Montpellier III, novembre 1999, 1025 p.
    • M. Chérif-Nissels, « Reconstitution de l'espace à partir de compoix par la méthode manuelle : Saint-Pons-de-Thomières en 1680 », in A. Claveirole, E. Pélaquier (dir), Le compoix et ses usages, Actes du colloque de Nîmes, 26 et 27 novembre 1999, Montpellier, Publications de Montpellier III, 2001.
    • J. Miquel, Essai sur l'arrondissement de Saint-Pons-de-Tomières : le Moyen Âge, Montpellier, 1896, 181 p.
    • C. Rivals, Saint-Pons-de-Thomières au Moyen Âge : études morphologique à partir des sources planimétriques, fiscales et archéologiques, 3 vol., mémoire de master préparé sous la direction de J-L. Abbé et F. Hautefeuille, Université Toulouse II, Le Mirail, juin 2010.

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