Murviel-lès-Montpellier

Murviel-lès-Montpellier (Mervièlh en occitan) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Murviel-lès-Montpellier

Vue générale depuis le sud.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Isabelle Touzard
2020-2026
Code postal 34570
Code commune 34179
Démographie
Gentilé Murviellois
Population
municipale
1 873 hab. (2018 )
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 19″ nord, 3° 44′ 15″ est
Altitude 150 m
Min. 66 m
Max. 236 m
Superficie 10,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Murviel-lès-Montpellier
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Murviel-lès-Montpellier
Géolocalisation sur la carte : France
Murviel-lès-Montpellier
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Murviel-lès-Montpellier

    Géographie

    Carte

    Le territoire de Murviel est implanté à sept kilomètres à l'ouest de Montpellier; il est marqué par d'importantes déclivités (environ 100 mètres de dénivelé entre le point haut - 200 mètres d'altitude à Valcrose, et le point bas dans la vallée à l'est en direction de Saint-Georges-d'Orques autour de 100 mètres d'altitude). Pour information, le centre du bourg se situe autour de 140 mètres.

    Son accessibilité est relativement aisée par la proximité d'un axe autoroutier (l' A750 se situe à quatre kilomètres au nord de la commune - axe reliant la méridienne A75 à Montpellier).

    Situé dans un massif recouvert de garrigue au nord de la plaine de Pignan, il s'agit d'une zone de colline méditerranéenne où l'eau est une ressource rare.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Murviel-lès-Montpellier
    Montarnaud
    Saint-Paul-et-Valmalle Saint-Georges-d'Orques
    Pignan

    Climat

    Dans ce secteur, on trouve un climat méditerranéen marqué : les étés sont chauds et secs, l'arrière saison et l'automne sont doux et voient se succéder des périodes bien ensoleillées et des pluies assez abondantes.

    L'ensoleillement est de 2 700 heures/an à Montpellier - à titre d'exemple, il est de 1 800 heures/an à Paris, et le secteur le plus ensoleillé de France est l'Arrière Pays Varois avec 2 900 heures/an.

    La pluviométrie annuelle moyenne à Murviel-les-Montpellier est de l’ordre de 800 mm avec une forte irrégularité (INRA, Baldy 1990). Les valeurs extrêmes peuvent aller de moins de 400 mm (1985) à plus de 1 500 mm. À Murviel, les pluies estivales, cumulées entre juin et août, sont faibles, de l’ordre de 100 mm en année médiane.

    Hydrographie

    Dans ce climat méditerranéen relativement aride, la compétition entre l'usage urbain et l'usage agricole de l'eau a induit la création d'une station d'épuration par lagunage (avec 2 lagunes pour l'épuration des eaux usées et une 3e pour le stockage de l'eau). Après épuration dans les lagunes, l'eau est filtrée et enfin utilisée pour l'irrigation de cultures de raisins de table et d'oliviers localisées à proximité, le sol jouant alors son rôle de filtre. Ce dispositif génère une économie de 50 000 m3 d'eau par an, certains éléments polluants (nitrates, phosphates) sont recyclés par les cultures, l'objectif étant le zéro pollution. Notons qu'au nord du territoire communal, proche du domaine des Quatre Pilas, a été mis en évidence une nappe souterraine importante (débit enregistré 40 m3/h).

    Site naturel

    Le domaine du Mas Dieu, à cheval sur trois communes (Montarnaud, Murviel, Saint-Paul), représente 540 hectares.

    Un projet initié en 1990 par le district de Montpellier devait voir l'implantation d'une décharge géante sur ce site, la mise en évidence d'une nappe phréatique importante sous le site, et surtout de la forte conductivité des sols localement (d'où un risque de pollution), ont permis l'abandon de ce projet… à la suite du rachat du foncier par la SAFER auprès de Vivendi Environnement[réf. nécessaire]. Depuis lors, un ambitieux projet d'aménagement a vu le jour :

    • 145 hectares affectés aux projets agricoles (culture de la vigne et de l'olivier - relance de variétés traditionnelles oubliées comme la Rougette de Pignan, la Verdale, culture de la truffe ;
    • 242 hectares consacrés au pâturage d'un troupeau ovin (race caussenarde en voie de disparition) ;
    • 100 hectares de parc public avec un lac (accès gratuit), avec sentiers de promenade (il est également envisagé un parc à thème « le jardin des découvertes » de 20 hectares).
    La vigne est encore exploitée en 2009.

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[2] :

    • la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », d'une superficie de 10 694 ha, présentant sur 20 % de son territoire un couvert de pelouses méditerranéennes à brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grâce à une pratique pastorale encore très fréquente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45 %, et des forêts sempervirentes non-résineuses (chênaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25 %. Sept espèces de chauve-souris, dont 3 d'intérêt communautaire, présentes sur le site[3]

    et un au titre de la directive oiseaux[2] :

    • les « garrigues de la Moure et d'Aumelas », d'une superficie de 9 015 ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[4].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[5] : la « garrigue du Mas Dieu » (248 ha), couvrant 3 communes du département[6] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[5] : le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Murviel-lès-Montpellier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), forêts (16 %), zones urbanisées (7,4 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Muro Vetulo en 1031 et 1060, de Muro Veteri en 1149 et 1150[14].

    Le nom du village vient du pluriel latin muri vetuli, de l'occitan mur « mur d'enceinte », accompagné de l’adjectif vièlh « vieux »[14].

    « A tiré son nom des ruines de l'oppidum situé au lieu-dit le Château ou le Castellas »[14].

    Histoire

    Extrait de l'usuel de compoix de Murviel-lès-Montpellier (1600)

    La colline du Castellas est occupée au moins depuis le IIe siècle av. J.-C. (Oppidum d'Altimurium). À la fin du Ier siècle av. J.-C., la localité s'étendait sur 30 hectares. En face se trouvait un sanctuaire gallo-romain récemment découvert[15].

    Face au site antique d’Altimurium, le castrum (village fortifié) de Murviel est édifié autour d’un château-fort datant du XIe et XIIe siècles mais vraisemblablement établi sur des vestiges antérieurs (présence de tombes) peut-être du Haut Moyen Âge. Appartenant à un certain Aeneas mentionné dans le cartulaire de Gellone en 1107, le château passe ensuite aux mains d’une famille seigneuriale, les Aton (ou Athon), vassale des Guilhem, seigneurs de Montpellier qui cherchaient alors à exercer leur pouvoir sur tous les territoires à l’ouest de Montpellier afin d’étendre leur seigneurie et garantir leur sécurité jusqu’à la vallée de l’Hérault.

    Au XIIIe siècle, alors propriété de Jacques Ier d'Aragon, la seigneurie de Murviel est cédée à l’évêque de Maguelone, Béranger de Frédol, par un accord signé le . Murviel est rapidement ajoutée à la mense épiscopale de Maguelone, faisant du village une seigneurie ecclésiastique relevant de l’évêque qui détient le pouvoir temporel comme n’importe quel seigneur féodal.

    Au XIVe siècle, malgré les épreuves (peste noire, guerre de Cent Ans), le château de Murviel demeure. Ce n’est qu’avec la Guerre des Religions opposant protestants et catholiques qu’il sera mis à mal : mal défendu car peu occupé, le château de Murviel est incendié partiellement en 1562. En 1591, l’évêque de Montpellier, Antoine de Subjet, décide de transférer le château de Murviel à Pierre de Griffy (dont le nom apparaît en tête du Compoix de 1601 conservé à la Mairie de Murviel), moyennant 300 écus et la promesse de restaurer l’édifice dans un délai de cinq années. La promesse n’ayant pas été tenue, le château de Murviel est repris par l’évêque Jean Garnier en 1605.

    Au XVIIe siècle, une expertise du château est commandée par l’évêque mais en raison de son coût trop onéreux, la restauration n’aura jamais lieu. Seul le bastion sud-ouest est réaménagé (voûtement des caves et création d’un appartement au premier étage) afin d’y installer le presbytère. À partir du XVIIIe siècle, le château est progressivement démantelé, parfois jusqu’à l’arasement complet de certains secteurs : les pierres sont récupérées par les habitants et même vendues par adjudication.

    Le village médiéval de Murviel possède également une église, dont la première mention date de 1080, sous l’invocation de Saint Jean-Baptiste. D’après les mentions faites dans le cartulaire de Gellone aux XIe et XIIe siècles, le prieuré de Murviel serait une fondation des moines de Gellone, puis serait passé aux mains des évêques de Maguelone dans la deuxième moitié du XIIe siècle. La partie la plus ancienne de l’édifice, l’abside romane, a sans doute été construite à la fin du XIIe siècle.

    L’église de Murviel est ainsi à la fois une église castrale (c’est-à-dire l’église du castrum de Murviel) et une église castellane puisqu’incorporée dans les structures du château fort (castellum). Si l’on attribue historiquement la construction de l’église au chapitre de Maguelone, il n’est pas impossible qu’elle soit l’œuvre d’un des seigneurs de Murviel lié à la famille des Guilhems de Montpellier.

    L’église Saint-Jean-Baptiste de Murviel devient, après les guerres de Religion, l’église paroissiale, à la suite de l’abandon d’un second édifice de culte situé en dehors du castrum dédié à saint Julien (dont le souvenir est perpétué par le tènement actuel de Saint Julia au milieu des vestiges de la ville basse gallo-romaine), complètement détruit au XVIIe siècle. L’église Saint-Jean-Baptiste est à de multiples reprises remaniée au cours des siècles suivants (construction de la nef et agrandissement, clocher, tribune, chapelles). En 1932-1933, le clocher est reconstruit puis l’église rénovée en 1944 pour lui rendre son aspect originel[16].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Bernard Lapoche Radical Conseiller général (1973-1976)
      1989 Pierre Devèze    
    1989 mars 2008 Alfred Conesa PS  
    mars 2008 mars 2014 Françoise Berger PS  
    mars 2014 En cours Isabelle Touzard SE Cadre supérieure
    Vice-présidente de la communauté d'agglomération de Montpellier déléguée à l’Emploi, Agriculture, TPE, PME, Artisanat
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

    En 2018, la commune comptait 1 873 habitants[Note 6], en diminution de 0,79 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    374379426520522446401431448
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    403414453462414351435456520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510517509409406403349305321
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3904244416879351 2081 6021 6581 877
    2017 2018 - - - - - - -
    1 8831 873-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Chevet de l'église Saint-Jean-Baptiste.

    Héraldique

    Blason
    De sinople à Saint Jean-Baptiste d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[1].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    2. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Murviel-lès-Montpellier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    3. « site Natura 2000 FR9101393 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « site Natura 2000 FR9112037 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Liste des ZNIEFF de la commune de Murviel-lès-Montpellier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF la « garrigue du Mas Dieu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1474.
    15. Découverte d’un sanctuaire gallo-romain à Murviel-lès-Montpellier, Inrap, 5-13 avril 2017.
    16. Impr. AVL), Histoire et patrimoine : les monuments médiévaux de Murviel au diocèse de Maguelone, A. Sudre, (ISBN 978-2-84210-102-2, OCLC 762811518, lire en ligne).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. Table de Murviel.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Émile Bonnet, Note sur le mobilier d'une sépulture découverte à Murviel-lez-Montpellier, Montpellier, Imprimerie générale du Midi, , 8 p.
    • François Favory, « Le territoire de Murviel-lès-Montpellier dans l'Antiquité et le Moyen Age », Revue archéologique de Narbonnaise, vol. 24, , p. 63-109
    • Jean-Claude Richard, 10 villages, 10 visages : entre Coulazou et Mosson. De la Préhistoire à la fin du monde antique,
    • Louis Secondy, Le livre des habitants du lieu de Murviel, Murviel-lès-Montpellier, Mairie de Murviel, , 146 p.
    • Patrick Thollard (dir.), Une agglomération antique aux portes de Montpellier. 10 ans de recherches archéologiques à Murviel-lès-Montpellier (Hérault)., Association GRAHM, , 68 p.
    • Maxence Tringale, Topographie funéraire et translations de cimetières de la fin du Moyen âge à nos jours : essai d'archéologie des périodes très documentées, l'exemple du canton de Pignan (34), communes de Cournonsec, Cournonterral, Fabrègues, Murviel-lès-Montpellier, Pignan, saint Georges d'Orques et Saussan., S.l., s.n., , 70 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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