Viols-le-Fort
Viols-le-Fort (en occitan Viòus lo Fòrt) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Viol (homonymie) et Le Fort.
Viols-le-Fort | |||||
Porte du Fanabregol. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Lodève | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup | ||||
Maire Mandat |
Anne Durand 2020-2026 |
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Code postal | 34380 | ||||
Code commune | 34343 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Violiens | ||||
Population municipale |
1 220 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 44′ 39″ nord, 3° 42′ 20″ est | ||||
Altitude | 257 m Min. 157 m Max. 535 m |
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Superficie | 16,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lodève | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Annuaire service-public.fr : Viols-le-Fort | ||||
Géographie
Viols-le-Fort se situe dans le Sud de la France au nord de la ville de Montpellier (Hérault, 34) dans la région Occitanie.
Communes limitrophes et proches
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin de Londres », sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[7]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[13].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :
- les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[16]
et un au titre de la directive oiseaux[15] :
- les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18] : les « bois dolomitiques des Matelettes » (243 ha), couvrant 2 communes du département[19] et les « mares de Cazarils et de Caunas » (415 ha), couvrant 3 communes du département[20] et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[18] :
- les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[21] ;
- le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[22] ;
- les « Pic-Saint-Loup et Hortus » (11 816 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[23].
Urbanisme
Typologie
Viols-le-Fort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones urbanisées (5,3 %), cultures permanentes (4 %), forêts (3,9 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
L'origine du nom de « Viols-le-Fort » et de ses villageois reste un mystère[30].
Les habitants de la commune sont parfois nommés les siffleurs. L’origine de ce surnom est lié à la façon de prononcer le nom du village par laquelle la lettre « s » de Viols est sonore. Le bulletin d'information de la municipalité s'appelle d'ailleurs « Lou Sifflaïre de Viols » en hommage à ce sobriquet qui a traversé les âges[30].
Histoire
Héraldique
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Les armoiries de Viols-le-Fort se blasonnent ainsi : « D’azur à un Saint-Étienne de carnation, vêtu en diacre, l’aube d’argent et la dalmatique de gueules bordée d’or, tenant d’une main une palme aussi d'or et de l’autre trois cailloux d'argent ensanglantés aussi de gueules ». |
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Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2018, la commune comptait 1 220 habitants[Note 8], en augmentation de 3,04 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Sports
Le Tambourin Club de Viols-le-Fort (TCVLF) porte les couleurs de la commune en balle au tambourin. L'équipe fanion masculine du TCV évolue en Nationale 1, la premiere division nationale de la discipline.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Porte du Fanabregol (ou Fabregol) : clocher situé au cœur du village ;
- Église catholique Saint-Étienne ;
- Dolmen de la Draille.
Galerie
- Vue de la façade de l'église de l'Invention-de-Saint-Étienne.
- Vue du fort.
- Vue de la Porte Fabregol.
- Vue d'un côté latéral du fort.
- Vue des remparts.
- Affiche de la fête de plein air [1945-1955].
Personnalités liées à la commune
- Père André Soulas (1808-1857).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances vers : Brissac, Saint-Bauzille-de-Putois, Saint-Martin-de-Londres, Notre-Dame-de-Londres, Viols-en-Laval, Cazevieille, Le Triadou, Les Matelles, Saint-Gély-du-Fesc, Combaillaux, Murles, Vailhauquès, Montarnaud, Argelliers, Aniane, Puéchabon, Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Privat, Pégairolles-de-Buèges, Causse-de-la-Selle et Saint-André-de-Buèges, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin de Londres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Viols-le-Fort et Saint-Martin-de-Londres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin de Londres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Viols-le-Fort et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Viols-le-Fort », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Viols-le-Fort », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois dolomitiques des Matelettes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « mares de Cazarils et de Caunas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Pic-Saint-Loup et Hortus » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Pourquoi les habitants de Viols-le-Fort sont-ils appelés siffleurs ? », publié le par Christophe Garnier, sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- Résultats des élections municipales et communautaires dans l'Hérault, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
- Anne Durand, confiante pour le second tour, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Casado, Paysans et seigneurs au Mas-de-Londres et à Viols-le-Fort, au XVIe siècle : ou la dénonciation de l'oppression seigneuriale, Viols-le-Fort, IOTA, , 77 p.
- Pierre Casado, « Origine et histoire des noms de lieux, abrégé méthodologique : un cas d'espèce, Viols-le-Fort », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 48, , p. 15-23
- Bernard Combettes, Le Parler de Viols-Le-Fort (Hérault), S.l., s.n., , 481 p.
- Jean-Claude Richard Ralite, « Une perspective du plan du lieu de Viols-le-Fort (Hérault) de 1625 », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 201-202-203, , p. 6-17
- André Soutou, « Le mas médiéval des Gardioles (Viols-le-Fort, Hérault) : à la mémoire de Jacques Vallon », Archéologie en Languedoc, no 4, , p. 165-167
- Viols-le-Fort : quelques aspects de la vie quotidienne d'un village de garrigues, coll. « Mémoire d'Oc » (no 34), , 100 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Viols-le-Fort (1660-1895) [1,67 ml]. Cote : 343 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Article connexe
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Annuaire service-public.fr : Viols-le-Fort Site officiel
- Viols-le-Fort sur le site de l'Insee
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