Le Caylar

Le Caylar (en occitan, Lo Cailar) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Le Cailar.

Le Caylar

Ancienne porte dite «Portal Blanc» au Caylar

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Jean Trinquier
2020-2026
Code postal 34520
Code commune 34064
Démographie
Gentilé Caylarain
Population
municipale
452 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 50″ nord, 3° 19′ 11″ est
Altitude Min. 714 m
Max. 826 m
Superficie 22,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Caylar
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Le Caylar
Géolocalisation sur la carte : France
Le Caylar
Géolocalisation sur la carte : France
Le Caylar

    Ses habitants sont appelés les Caylarains. Le Caylar est labellisée Village étape en 2013.

    Géographie

    Carte

    Le Caylar est situé à 71 km de Montpellier et à 18 km de Lodève. Le village est situé sur le plateau du Larzac dans les causses méridionaux ; le climat y est très sec, froid l'hiver et plutôt chaud l'été. Le sol y est calcaire et sablonneux.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 030 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,5 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Plans », sur la commune des Plans, mise en service en 1994[6]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 611,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 32 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats, le « causse du Larzac »[14]. D'une superficie de 29 556 ha, il fait partie des causses méridionaux, un ensemble régional original unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endémiques. Ce site abrite 17 espèces d'oiseaux d'intérêt communautaire pour la plupart liées pour leur reproduction et/ou leur alimentation aux milieux ouverts (dont le Bruant ortolan, le Pipit rousseline, l'Alouette lulu, la Pie-grièche écorcheur, etc… en effectifs bien représentées par rapport à la moyenne nationale)[15],[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] :

    • le « chaos dolomitique de la Pezade » (750 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aveyron et deux dans l'Hérault[18] ;
    • le « chaos dolomitique des Rives » (550 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;
    • le « chaos dolomitique du Caylar et du Cros » (625 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
    • les « combes dolomitiques du Mas Vieil » (290 ha)[21] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Caylar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,3 %), terres arables (13,7 %), forêts (13,7 %), prairies (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones urbanisées (2,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Héraldique

    Les armes du Caylar se blasonnent ainsi : d'argent à un arbre arraché de sinople fûté au naturel.[29].

    Toponymie

    caylar signifie « château »

    Histoire

    Les premières traces d'occupation du site remontent à l'âge du fer. Des maisons carolingiennes (avant le Xe siècle) sont encore visibles dans le village.

    Le Roc Castel, qui domine le village de Caylar, constitue les vestiges du Castellas (château) construit à l'origine au XIIe siècle. La chapelle Notre-Dame du Roc Castel, qu'il abrite toujours aujourd'hui, date également du XIIe siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 1951 Urbain Coste[30] SFIO-PSdF-DVG Conseiller général
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1963 février 1993
    (décès)
    Pierre Bouyeron[31] Rad. puis PS Médecin, conseiller général
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Guy Cambon[30] DVG Entrepreneur
    mars 2008 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Jean Trinquier[32] PS Retraité
    Président de la Communauté de communes du Lodévois - Larzac (2002 à 2009)[33]
    1er vice-président de la Communauté de communes Lodévois et Larzac (2017 à 2020), Président depuis 2020[33]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2018, la commune comptait 452 habitants[Note 7], en augmentation de 2,49 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    628720757809805860824830875
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    849863841819796766714719678
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    626596550502508504449397378
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    336327259295339383425442447
    2018 - - - - - - - -
    452--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Chapelle Notre-Dame. Retable du XIVe siècle en bois polychrome.
    • L'Arbre sculpté.
    • Roc Castel. Il domine le village (752 mètres d'altitude) et offre un panorama remarquable sur le Larzac.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Hubert Marcorelles, Évolution économique et démographique du canton du Caylar, Montpellier, , 221 p.
    • Albert Fabre, Histoire des communes du canton du Caylar : [partie photographique], , 19 p.
    • Albert Fabre, Histoire du Caylar : Le Cros, Les Rives, Pégairolles-de-l'Escalette, Saint-Félix-de-l'Héras, Saint-Maurice, Saint-Michel, Sorbs : communes du canton du Caylar ; suivie d'une notice sur La Couvertoirade (Aveyron)., Montpellier, C. Boehm, coll. « Histoire des communes de l'Hérault », , 212 p.
    • Jacques Frayssenge et Sylvie Groueff, « Démographie et structures familiales du Larzac : Le Caylar 1750-1890 », Famille et familles dans la France méridionale à l'époque moderne, , p. 157-187
    • Archives Départementales de l'Hérault, [La] vie autrefois dans le canton du Caylar et le sud-Larzac : exposition, Montpellier, 1989, Archives départementales de l'Hérault, Montpellier, Archives départementales de l’Hérault,
    • Hubert Marcorelles et Sylvie Groueff, Parenté, patrimoine et émigration dans les communautés rurales du Larzac héraultais : évolution économique et démographique du canton du Caylar, Nîmes, C. Lacour, , 222 p.
    • Hubert Marcorelles, Évolution démographique et économique du canton du Caylar, Montpellier, , 219 p.
    • Jean Nougaret et Bernard Derrieu, Les retables du Caylar et de Parlatges : deux sculptures du 14e siècle en Lodévois-Larzac, Lodève, Charte Lodévois-Larzac, , 43 p.
    • Jean-Claude Rivière, Le Caylar en Larzac : aspect du Lodévois, Montpellier, Moresa, , 110 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Les Plans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Le Caylar et Les Plans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Les Plans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Le Caylar et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune du Caylar », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9112032 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101385 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune duCaylar », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « chaos dolomitique de la Pezade » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « chaos dolomitique des Rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « chaos dolomitique du Caylar et du Cros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « combes dolomitiques du Mas Vieil » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 37.
    30. Les maires du Caylar, publié sur le site francegenweb.org (consulté le ).
    31. Notice : Pierre, Jacques Bouyeron, publié le par Olivier Dedieu, sur le site du maitron.fr (consulté le ).
    32. Jean Trinquier élu maire pour un troisième mandat, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    33. Jean Trinquier a choisi de ne pas se représenter, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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