Le Cailar

Le Cailar[1] est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Le Caylar.

Le Cailar

L'église Saint-Étienne.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes de Petite Camargue
Maire
Mandat
Joël Tena
2020-2026
Code postal 30740
Code commune 30059
Démographie
Gentilé Les Cailarois devenus Cailarens
Population
municipale
2 410 hab. (2018 )
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 37″ nord, 4° 14′ 12″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 41 m
Superficie 30,01 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Cailar
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Aigues-Mortes
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Cailar
Géolocalisation sur la carte : Gard
Le Cailar
Géolocalisation sur la carte : France
Le Cailar
Géolocalisation sur la carte : France
Le Cailar

    Géographie

    Localisation

    Les communes de Vauvert, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aimargues, Codognan et Vergèze sont limitrophes de la commune du Cailar.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 675 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,5 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsillargues », sur la commune de Marsillargues, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 621,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Garons », sur la commune de Saint-Gilles, mise en service en 1964 et à 16 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 15 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Cailar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Cailar, une unité urbaine monocommunale[17] de 2 412 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Le Cailar est l'une des 79 communes membres du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud-Gard et fait également partie des 51 communes du pays Vidourle-Camargue.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,8 %), prairies (16 %), cultures permanentes (14,4 %), zones humides intérieures (12,6 %), zones urbanisées (2,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Cailar, du roman Caylar, Caislar, Caslar, Castlar, du bas latin Caslarium, Castlarium, du latin castellare, château-fort[23].

    Témoignage de la vie médiévale, ce nom de lieu rappelle la présence d'un château fort. Le latin Castellum est présent dans toute la France, comme il est présent dans notre département, il a donné avec le suffixe -are : Le Cailar (Castellare en 1018). Le Castellus de 675 confirme la réponse : il s'agit ici d'un château.

    Ses habitants s'appellent les Cailarois mais devenus les Cailarens et Cailarenes plus proche de la Lèngo Nostro.

    Histoire

    Préhistoire

    Il existe un site de fouilles, dit des Clochettes, où a été retrouvé du matériel préhistorique. Dans le passé, le village était plus proche des rives du Rhône (dont le lit a varié avec les siècles) et était quasiment au bord de la mer, à laquelle on accédait par une lagune aujourd’hui ensablée. Pour mémoire, il en est distant aujourd'hui d'une quinzaine de kilomètres à vol d'oiseau, avec l’ensablement, le littoral a pris sur la mer qui s’est donc éloignée. Cet emplacement privilégié, ajouté à sa situation au confluent de deux cours d'eau drainant l’arrière-pays, le Vistre et le Rhôny, en fait un endroit stratégique qui suscitera très tôt un intérêt pour les populations autochtones.

    Antiquité

    Le site d'habitation du Cailar est très ancien. Depuis 2003, il s'y déroule des fouilles archéologiques mettant au jour de nombreux vestiges d'influences grecque et celtique, remarquables par leur singularité, datant du Ve au IIIe siècle av. J.-C.. Dans l'antiquité, il subira l'influence grecque et rhodienne jusqu'à devenir un petit comptoir, c’est-à-dire un port destiné à la pêche et aux échanges commerciaux qui comptera près de 5 000 habitants contre 2410 en 2018, d'où l'importance quantitative des vestiges retrouvés.

    Peuplé vers le IIIe siècle av. J.-C. par les Volques Arécomiques, une tribu gauloise, il subira ensuite l'influence latine. On ne compte plus les bornes et traces de présence romaine et gallo-romaine dans cette région traversée à cette époque par la Via Domitia, une des principales voies romaines de circulation.

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, le village, proche de la célèbre abbaye de Psalmodie et situé non loin de Saint-Gilles, un des hauts lieux religieux de l'époque en France où est né le pape Clément IV, se trouve sur une route régulièrement empruntée par les pèlerins qui se rendent à Saint-Jacques-de-Compostelle (la via Tolosana). C'est donc un site notable dont on trouve la trace dans des documents du VIIe siècle[Note 4].

    La région subira également à cette époque l'influence des Sarrazins, venus du sud, qui y font des raids réguliers pendant plus de cent ans. À l'opposé, elle connaîtra les conséquences des remous provoqués par Simon de Montfort en 1209 durant la croisade des albigeois qui voit les seigneurs du nord prendre l'ascendant sur ceux du sud. Cette campagne militaire signe le déclin de la Maison Trencavel, dont dépend alors la vicomté de Nîmes, dont dépend lui-même Le Cailar.

    En 1212, les Bermond d'Anduze en prennent le contrôle et ajoutent à leurs titres celui de baron du Cailar. En 1382, le château primitif est incendié par des Tuchins[Note 5] venant de Beaucaire. Après diverses péripéties, le fief passera au XVIe siècle, par le jeu des alliances, aux Baschy d’Aubais.

    Impôt proportionnel

    C'est dans ce village, en 1158, qu'a été pour la première fois appliqué au Moyen Âge l'impôt proportionnel qui remplacera peu à peu dans toute la France l'impôt dit « par feu »[24].

    Époque moderne

    Le château féodal, qui était probablement situé entre les arènes et le cimetière actuel, sur le point culminant du village, est détruit définitivement par le prince de Condé en 1628 durant les guerres de Religion.

    Révolution française et Empire

    À la Révolution, il ne reste déjà plus que des traces du château féodal. Seul le nom de celui-ci[Note 6] gardera le souvenir de cette importante place forte.

    Époque contemporaine

    Après la Première Guerre mondiale suivra une période de déclin relatif qui verra la population du village tomber à environ 1 000 personnes dans les années 1960, notamment à cause des grandes crises viticoles de la fin du XIXe et du début du XXe, pour remonter depuis grâce à un nouvel élan économique, dû notamment à l'essor du tourisme de masse.

    En 2009, le village commémore le 150e anniversaire de Mirèio[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
        Paul Lamy PCF Conseiller général du canton de Vauvert (1945-1951)
    1967 1980 René Clavel DVD  
    1980 mars 2001 Pierre Bergé-Lefranc   Magistrat
    mars 2001 avril 2014 Reine Bouvier DVG Commerçante
    avril 2014 En cours Joel Téna SE [26]  Directeur d'établissement bancaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2018, la commune comptait 2 410 habitants[Note 7], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9409871 0481 0851 1011 1481 1931 1831 255
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2951 2491 3351 2311 2571 3021 2891 3061 344
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5161 5291 5451 4111 4181 3091 3211 0681 156
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1091 1581 2221 4121 9292 3112 3692 3472 418
    2018 - - - - - - - -
    2 410--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête votive se tient chaque année début août. Pierre Combescot a pu estimer que durant cet événement, Le Cailar est « le village de France le plus alcoolisé au mètre carré »[31].

    En 2014, Sophie Calle monte à cette occasion avec Stephan Eicher un groupe éphémère, les Roulettes polymères[32], qui se produit sous la férule de Sébastien Bantzé, une figure locale[33]. En 2018, Eicher se produit avec sa formation au complet, devant un « public médusé » selon Hocine Rouagdia[34].

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • La mairie est installée dans un bâtiment du XVIIIe siècle, ancienne caserne des dragons du Roi. Elle fut construite au début du XVIIIe, à la suite de la guerre des Camisards pour aider à pacifier la région.
    • Tour de l'horloge coiffée d'une toiture.
    • Tour d'Anglas : à l'extérieur du village, on aperçoit la Tour d'Anglas, ancienne tour d'octroi en direction de la mer, datant du XIVe siècle qui est très bien restaurée. Elle doit son nom au comte François-Antoine de Boissy d'Anglas, noble d'origine protestante et figure de la Révolution française.
    • Mas Les Hourtès : ancienne propriété de Marie-Laure de Noailles, qui comporte de nombreux éléments décoratifs remarquables, dont, entre autres, une verrière réalisée par le sculpteur César Baldaccini et des tapisseries art and craft signées William Morris. C'est la résidence de l'ancien manadier Jean Lafont, dont on peut voir, non loin de là, le mausolée, sculpture de l'artiste Jean-Michel Othoniel à qui l'on doit l'entrée de la station de métro parisienne Palais-Royal-Musée du Louvre.
    • Tombes de taureaux : Ce sont des taureaux cocardiers qui y reposent, la population du village ayant décidé d’honorer leurs qualités de bravoure exceptionnelles lors de leurs participations aux courses camarguaises. La plus visible est celle du taureau Le Sanglier, de la manade Fernand Granon (années 1920-30), qui trône à l’entrée du village. Plus discrète, la tombe du taureau Le Cosaque, de la manade Lafont (années 1950), se trouve dans les prés.
    • La « Maison aux volets verts », où Fernand Granon a fini ses jours.

    Édifices religieux

    Signalétique

    En 1996, le village s'est doté d'une signalétique hors du commun réalisée par l'artiste François Boisrond. Mise en place par les commerçants du village grâce au programme de la Fondation de France, elle indique l'ensemble des commerces, artisanats et lieux publics du village. Cette opération est une initiative du Cercle d'Art Contemporain du Cailar. Celui-ci présente depuis 1988 des créations relatives à l'identité culturelle du village dont l’élément principal est le taureau de Camargue. Fondé par Jean-Marie Bénézet, cette association a exposé plus de 140 artistes contemporains, certains émergents, d’autres de notoriété internationale tels que Jean Le Gac, Valery Koshlyakov, Claude Viallat, Hervé Di Rosa, Robert Combas, Gilles Aillaud, Jean-Michel Alberola, Pentti Sammallahti, Jean-Paul Chambas ou Lucio Fanti.

    Tauromachie et élevage

    Le village dispose d'arènes communales, les Arènes du Cailar. Elles sont destinées aux novilladas et aux courses camarguaises. Elles ont été inscrites aux Monuments historiques le [36],[37]. Elles ont une capacité de plus de 1 100 places[38] et ont été construites entre 1900 et 1925 selon la fiche du patrimoine[39].

    Outre les monuments, le site est particulièrement remarquable par sa situation exceptionnelle en petite Camargue et l'aspect préservé de ses alentours, partagés entre les prairies où paissent les taureaux et chevaux sauvages et les marécages (marais de la Souteyranne par exemple) à la flore et faune très diversifiée. C’est au Cailar que sont apparues, au XIXe siècle, les premières manades (troupeaux d’élevage en semi liberté) de taureaux exclusivement réservés à la course camarguaise. Cette pratique s’est développée en raison de la survivance d’un droit féodal, le « droit d’esplèche » : une jouissance à titre gracieux des terres non cultivées, par les habitants du village, pour y faire paître les troupeaux. Au début des années 1960, on compte déjà au Cailar les manades Aubanel, Blatière, Lafont et Raynaud[40]. C’est aujourd'hui encore le village qui comporte le plus grand nombre de ces élevages prestigieux, d'où son surnom de Capitale de la Petite Camargue.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes du Cailar[Note 8] se blasonnent ainsi :

    D'argent au saule de sinople[42].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, , 1056 p. (ISBN 2-221-09246-5)
    • Frédéric Saumade, Des sauvages en occident, les cultures tauromachiques en Camargue et en Andalousie, Paris, Mission du patrimoine ethnologique, 1994-1995, 275 p. (ISBN 978-2-7351-0587-8 et 2-7351-0587-3)
    • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux : les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, , 512 p. (ISBN 978-84-96820-37-1 et 84-96820-37-8, lire en ligne)
    • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux : les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, , 512 p. (ISBN 978-84-96820-37-1 et 84-96820-37-8, lire en ligne), Annexe CD-Rom

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Viguerie d'Aigues-Mortes, diocèse de Nîmes, archiprêtré d'Aimargues
    5. les Tuchins sont des paysans révoltés contre le pouvoir central.
    6. De castellum = château, transformé en Cailus, Cayla, Chayla, Quila en occitan et enfin Cailar
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. Le blason figuré sur les documents émanant de la mairie figure un saule non "pleureur". Le blasonnement laisse toute liberté quant à l'espèce.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Castellus (Duchesne, Franc. Script. I, 850) 675
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marsillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Cailar et Marsillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marsillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Cailar et Saint-Gilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nimes-Garons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Cailar », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 420, t.1
    24. Page 247 http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1994_num_138_1_15354
    25. Michel Falguières, « Le Cailar a fêté le 150e anniversaire de l'œuvre de Frédéric Mistral : « Mireio » », Bulletin de liaison de Litoraria, no 10, .
    26. « Résultats municipales 2020 à Le Cailar », sur lemonde.fr (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Jacky Siméon (préf. Carole Delga), Jean Lafont : le roi de Camargue, Vauvert, Au diable Vauvert, , p. 113-114 : « L'écrivain Pierre Combescot se plaisait à dire que pendant la fête, Le Cailar est le village de France le plus alcoolisé au mètre carré. ».
    32. Hocine Rouagdia, « Gard : au Cailar on s’amuse sérieusement », midilibre.fr.
    33. Hocine Rouagdia (dir.) (préf. Benoît Duteurtre, ill. Stéphane Barbier), Jean Lafont, Nîmes, Atelier baie, , 175 p. (ISBN 978-2-919208-51-7), p. 73.
    34. Rouagdia et al. 2019, p. 73.
    35. « Eglise Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. « Arènes du Cailar sur la base mérimée », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Fiche sur patrimoine de France », sur patrimoine-de-france.com (consulté le ).
    38. Maudet 2010, annexe, p. 85.
    39. « Descriptif patrimoine de France », sur patrimoine-de-france.com (consulté le ).
    40. André Pastré, « Le char de monsieur Lafont », Bulletin de liaison de Litoraria, no 15, .
    41. Jean-Pierre Granier, « L'Amiral Jean-Bernard Jauréguiberry », Bulletin de liaison de Litoraria, no 10, .
    42. « Blason de la commune »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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