Famille Olphe-Galliard

La famille Olphe-Galliard est une famille d'ancienne bourgeoisie française[2] dont la filiation est présumée pour une branche originaire de Gap depuis Gabriel Olphi allias Galliard, notaire et consul de Gap en 1441[3]. Cette branche donne dès le milieu du XV^e siècle une lignée de notaires et de consuls de la ville de Gap[4]. Une branche mentionnée à Ancelle dès le XIV^e siècle donne à partir du XVII^e siècle une lignée de marchands drapiers à La Bâtie-Neuve dans les Hautes-Alpes puis à Lyon au XIX^e siècle. Cette branche compte aux XX^e siècle et XXI^e siècle des intellectuels, industriels, officiers, ecclésiastiques et avocats, installés à Lyon et à Hendaye.

Famille Olphe-Galliard
Armes de la famille : Famille Olphe-Galliard


Blasonnement	D’azur au coq d’or, crêté, becqué, barbé et membré de gueules ; au chef d'argent chargé d'un croissant de sable[1].
Branches	Branche d'Ancelle Branche de Gap Branche de La Bâtie-Neuve Branche de Lyon (branche aînée subsistante) Sous-rameau d'Hendaye (branche cadette subsistante)
Période	XIV^e siècle - XXI^e siècle
Pays ou province d’origine	Dauphiné Gap
Charges	Notaire, consul, procureur de Gap

On trouve dans les Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes de 1902 à 1904 une monographie de cette famille [5] rédigée par un de ses membres, Gabriel Olphe-Galliard, avec l’aide notamment de l’archiviste des Hautes-Alpes le chanoine Paul Guillaume[6].

Onomastique [7]

Le nom primitif de cette famille était Olphi[8]. Selon Gabriel Olphe-Galliard, auteur de la monographie sur sa famille, on peut supposer, bien que rien ne permette de l'affirmer, une même identité avec des porteurs du nom Rodulphi (décliné en Adulphi, Ayolphi, Eydulphi, Odulphi) et on peut inférer que Odulphi est un dérivé de Rodulphi. Il écrit « Si cette hypothèse venait à être confirmée, il en résulterait que l'origine de la famille Olphi devrait se rattacher à l'une des nombreuses familles Rodulphi qui existent à cette époque. Parmi ces dernières nous citerons seulement : Rodolphe, doyen de Gap (1251) »[9]. Le nom parait seul de 1297 à 1441[10]. L'auteur ajoute « le nom Olphe vient du radical Olph ou Ulph qui n’est autre que le mot suédois « ulf » qui signifie loup (la transformation de la terminaison ulfus en olphe, est admise comme normale par tous les linguistes)[11]. Les noms formés de ce radical sont fréquents dans les pays scandinaves, il n’y a pas lieu de s’étonner qu’un certain nombre d’entre eux, importé dans la région durant les invasions des barbares y aient été adoptés et y soient devenus des noms de saints d’abord, puis des noms de famille »[12].

Le nom Gaillard (Goliardi, Galhardi, Gaihardz), de racine gallo-romaine était très répandu dans la région et a pour étymologie gallus, qui veut dire coq. Selon Gabriel Olphe-Galliard « Il semble peu probable que ce nom ait été ajouté à titre de sobriquet ; il est plus vraisemblable que ces personnages ont pris, à la suite d’une alliance, le nom de leur épouse afin de se distinguer de ceux de leurs parents ».

Selon Georges de Manteyer, les Olphi portèrent tantôt ce nom seul, tantôt complété par « alias Gailliardi » ou « dit Gaillard », tantôt composé en « Olphe-Galliard ». Au XVII^e siècle, le nom Olphe disparaît même parfois pour ne laisser subsister que celui de Gaillard.

Généalogie simplifiée

XIV^e siècle-XV^e siècle: les notaires d'Ancelle[13]

Branche d'Ancelle

Sans qu'une filiation soit donnée par les sources on trouve à Ancelle :

Giraud Olphi, né vers 1330. Tenancier d'une terre en 1354, 1378, 1378.
- Pierre, mort avant 1446. Notaire.
  - Pierre, mort avant 1479. Notaire.
- Jean, né vers 1370. Notaire, épouse Agnète Barthelemy.
  - Jean II. Notaire en 1447.
  - Guillaume, né à la fin du XIV^e siècle, propriétaire à Ancelle. Auteur de la branche de Gap.
    - Jean, né vers 1458, cultivateur.
      - André, né après 1480, cultivateur.
        André II, mort en 1606, cultivateur. Auteur de la branche de La Bâtie-Neuve.

XIV^e siècle-XVI^e siècle : les notaires et consuls de Gap [14]

Branche de Gap

L'histoire politique du Gapençais est une suite ininterrompue de dissensions, souvent sanglantes, entre les différentes autorités qui se disputaient le pays. Cette situation s'explique par le fait que le régime féodal n'existait pas dans ces régions méridionales. Malgré l'identité apparente des titres et des institutions, la ville de Gap avait la prétention constante à l'autonomie immémoriale dans la continuation de l'organisation municipale gallo-romaine sans passer par la phase féodale[15].

Gabriel Olphi alias Galliard, fils de Guillaume (branche d'Ancelle), né avant 1416. Notaire et secrétaire de la cour temporelle en 1441[16]. En 1460 il assiste à une assemblée générale des habitants de Gap et plusieurs actes du 21 mars 1461 sont reçus et signés par Gabriel Olphi-Gaillard[17]. En 1463 il fait partie des 31 personnages de Gap, d'Avignon ou de Grenoble à qui les habitants de Gap donnèrent procuration pour se rendre à Abbeville auprès de Louis II (futur Louis XI) afin de défendre les intérêts de la cité de Gap et faire casser une sentence arbitrale en faveur de l'évêque Gaucher de Forcalquier. A la suite de cet évènement il est nommé consul de Gap en 1464. Il est nommé conseiller en 1478. Il possède une maison rue des Minsard (actuelle rue du Mazelle[18]).
- Guillhelme Olphi, mariée à André Grégoire, de Montmaur, dont deux fils : Baltazar, prêtre habitué de l'église de Gap et recteur de l'église Saint-Jacques de Veynes et Jean qui achete une terre à Montmaur en 1565.
- Guillaume Olphi, alias Galhardi, mort avant 1525. Notaire, tenancier d'une terre à Parassac le 20 février 1479.
  - Jamone Olphi, morte avant 1541. Mariée à Antoine Chaspoul (1ère noce) puis à Pierre Motons, juge de Gap.
- Jean Olphi dit Gaillart, né vers 1460. Notaire, consul, procureur d'office et bourgeois de Gap, il fut parmi les 186 habitants qui, le 24 août 1511, votèrent l'annexion de Gap au Dauphiné. Le 31 juillet 1513, il assistait comme conseiller, et le 22 août de la même année, comme procureur général de la ville, à un conseil secret des conseillers, le 24 septembre 1515, il assiste en qualité de procureur de la ville, à la prestation du serment de conserver les libertés municipales[19]. Il habite rue des Minsards (actuelle rue du Mazel) à Gap[18]. De par sa profession lucrative, il acquiert plusieurs maisons, domaines, forestages, vignes, près, jardins à Gap[20]. Il est enterré au cimetière de St-Arnoux dans le caveau familial. De son mariage avec Jeanne (dont on ne connait pas le nom), il eut :
  - Michel Olphe-Galhard[21], mort en 1551. Protonotaire apostolique, chanoine et capiscol du chapitre de Gap. Il fut prieur de Saint-Martin de Jarjayes[10], curé de Laye et de Monêtier-Allemont, et bénéficier des chapelles Notre-Dame-d'Ancelle, Notre-Dame-de-Gap, Saint-Barthélémy-de-Veynes, Sainte Catherine d'Agnières, Saint-Paul-de-Gap, la Madeleine-de-Neffes, et du prieuré de Chaudane[22]. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap.
  - Jean II[23], né vers 1496, bourgeois de Gap.
  - André[24], mineur en 1521, chapelain de Notre-Dame de Gap et bénéficier.
  - Gabriel Olphe-Galhard[25], mort en 1581. Consul, procureur d'office, exacteur des tailles, procureur fiscal et patrimonial de l'évêque Gabriel de Clermont, et vice-châtelain de Montalquier. Bourgeois de Gap, il est propriétaire de nombreux immeubles, domaines et forestages. Il épouse Jeanne de Piard avec qui il eut :
    - Jacques[26]^,[27], clerc, curé de Le Glaizil et de Ribiers, bénéficier. Il fut emprisonné à Corps (Isère)[28], par le capitaine Furmeyer en 1563.
    - Nicolas[29], curé de la chapelle Saint-Pierre de Curbans, bénéficier.
    - Olivier[30], curé de Monêtier-Allemont, bénéficier.
    - Jeanne[30], épouse Etienne Arnaud (1ère noce), puis Étienne Simon, bailli de Remollon.
    - Béatrix[31], épouse Gaspar Bovat, notaire et greffier épiscopale.
  - Antoine Olphi dit Galhiard[32], né en 1485. Notaire, consul, procureur d'office. Il fut également bailli de Tallard puis procureur fiscal et patrimonial de l'évêque Gabriel de Clermont. Il tenta en vain d'empêcher les prédications du réformateur Guillaume Farel, rentré à Gap sur la demande de ses coreligionnaires, mais céda, craignant les troubles pouvant résulter de ce conflit. Il est enfin rédacteur des cadastres de la cité. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap. Il avait épousé Jeanne Mazet avec qui il eut:
    - Jeanne[33], morte en 1547. Mariée à Jacques de Patras, notaire, d'une ancienne famille du Dauphiné de laquelle était Abraham de Patras[34], Gouverneur générale des Indes, mort en 1735.
    - Antoine II[35], mort en 1573. Procureur d'office et greffier des cours épiscopales, il fut aussi nommé receveur des droits épiscopaux. Il embrasse la religion réformé et épouse Catherine Farel[36], fille de Pierre et de Clairmonde de Cazeneuve, cousine du réformateur Guillaume Farel. Ensemble, ils quittent Gap avec les autres protestant de la ville. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap.
      - Jean Olphi-Galhiard[37], mort en 1626. Conseiller de la cité de Gap. Epouse Françoise Chevallier.
      - Gaspar Gailhard[38], né en 1573. Consul, procureur d'office, il fut également châtelain royal de Montalquier et greffier du Champsaur. Il épouse Hysabeau de Clot-Eyraud.
    - Gaspar Galhard[39], décédé en 1586. Consul, docteur-ès-droit, avocat et juge à Gap. Il fut également clerc, bénéficier des chapelles Bonafosse, Notre-Dame de Pitié, Notre-Dame de la consolation, Ste-Catherine, et de la Ste-Trinité. Il est mis en possession de quatre chapelles de la cathédrale de Gap.
    - Jacques[40], décédé en 1571. Procureur d'office, il fut nommé capitaine et faisait partie des troupes catholiques envoyées à Tallard en 1563 dans le cadre de la Paix d'Amboise[40].
      - Antoine[41], clerc, bénéficier, curé de la chapelle Saint-Pierre de Curbans, des chapelles Notre-Dame de Gap et de Notre-Dame d'Ancelle.
    - Pierre de Galliard[41], décédé en 1585. D'abord précenteur[42], chanoine[42], il est écuyer[42] et seigneur de Châteauvieux[42], puis procureur d'office. Il est nommé séquestre général des revenus de l'évêché. En altercation avec le chapitre de Gap, il embrasse la religion réformée et achète la haute, moyenne et basse juridiction de Châteauvieux le 21 décembre 1563. Il épouse Marie de Nicat[43] avec qui il eut:
      - Aimé[44], décédé avant 1585, seigneur de Châteauvieux[45].
      - Françoise Gaillarde de Nicat[46], né en 1569, épouse Daniel d'Armand de Lus, seigneur de Saléon, avocat et conseiller au parlement de Grenoble[47].

Cette branche fut victime de la terrible épidémie de peste à Gap en 1629.

XVII^e siècle-XVIII^e siècle: les marchands drapiers protestants de La Bâtie-Neuve[48]

Branche de La Bâtie-Neuve

Après avoir quitté Ancelle pour s'installer à La Bâtie-Neuve en 1617[49], puis à Lyon en 1748, cette branche protestante prospère en tant que marchands drapiers. En effet, la région produisait du chanvre, matière première de nombreux tissages auxquels le voisinage des cours d'eau procurait la force motrice, en même temps que le voisinage du Rhône constituait un moyen de communication et de transport vers Lyon. Cette émigration est considérée comme le cinquième exode des dauphinois vers la plaine.

Pierre Olphi-Galhiard[49], fils d'André II (branche d'Ancelle), né en 1570. Il part d’Ancelle, éleveur-cultivateur, il achète le domaine des Brès au hameau des Astiers à la Bâtie-Neuve.
- Dominique Olphi-Galhiard[50], né en 1599. Tisserand-cardeur, il hérite du domaine des Brès.
  - Guillaume[51], né en 1645. Tisserand-cardeur, il épouse Marguerite Chaix, d'une ancienne famille du Dauphiné.
  - Esprit Olphi-Galhiard[52], né en 1648. Consul, tisserand-cardeur, propriétaire du domaine des Brès. Il épouse Diane Chaix.
    - Pierre[53], né en 1659. Consul, tisserand-cardeur. Il épouse Rose Isoard.
    - Claire[54], épouse en 1702 Arnoux Aubin, consul aux Clots.
    - Jean[55], né en 1676. Consul, tisserand-cardeur. Il épouse Marguerite Aubin (1ère noce), puis Marguerite Guiramuad.
    - André[56], né en 1684. Fabriquant de draps et laines, il hérite du domaine des Brès. Il épouse Benoite Estachy.
      - Jean[57], né en 1707. Consul, fabriquant de draps et laines. Il épouse Madeleine Borel (1ère noce) puis Marguerite Clément.
      - Joseph[58], né en 1718. Marchand drapier. Il quitte La Bâtie-Neuve avec son frère Pancrace en 1736. Ensemble, ils fondent la maison Galliard frère à Montluel. Il est propriétaire de plusieurs immeubles, maisons, vignes et forestages et est considéré comme bourgeois de Montluel.
      - Pancrace Galliard[59], né en 1720. Marchand drapier, il émigre avec son frère Joseph, et fonde la maison Galliard Frère à Montluel. Bourgeois de Montluel, il est nommé conseiller du roi, syndic des marchands drapier, receveur des deniers patrimoniaux puis premier syndic. Leur société fut prospère, et les frères Galliard étaient en affaire avec de nombreux commerçants lyonnais[60]. Il épouse Claudine André d'Arbelles, tante de Claude André, et de François André d'Arbelles. Ils eurent treize enfants dont :
        Louis-Esprit Gaillard[61], mort à Lyon en 1818. Marchand drapier, il s'installe à Lyon et entre en apprentissage dans la maison Pont-Reynaldis, qui était en relation commercial avec ses parents. Il épouse Marguerite Pont et fonde la maison Galliard-Pont et Cie. Après avoir participé à la défense de Lyon, lors du siège de la ville par l'armée républicaine, en tant que capitaine de bataillon sous les ordres du général de Precy, il doit fuir avec sa famille à Hambourg dénoncé comme royaliste. Il revient le 9 Thermidor et relève son commerce. Il fut connu pour avoir fait fortune dans le commerce Galliard-Pont et Cie, maison de toile peinte d'Indienne et de toile de Jouy et était partenaire de la maison Dollfus-Mieg et Compagnie, de la maison Koechlin et de la manufacture Oberkampf. Il était propriétaire de plusieurs immeubles à Lyon. Il est à l'origine des deux branches familiales représentées de nos jours, étant le père de:
        Joseph-Claude, auteur de la branche de Lyon qui suit.
        
        Joséphine[62], née en 1780. Épouse François Chastel, propriétaire du prieuré de Taluyers.
        
        Philippe-Victor[62], né en 1785, officier de la garde nationale.
        
        Léonard-Alexandre, auteur du sous-rameau d'Hendaye qui suit.
        
        Dominique Galliard[63]^,[64], né en 1763. Marchand drapier. Président et secrétaire de la commission chargées de constituer l’administration provisoire et le conseil général de Lyon. Démissionne. Victime de la Terreur, il fut guillotiné Place Bellecour à Lyon par les sans-culottes le 28 octobre 1793 car contre-révolutionnaire. Son nom figure sur le mausolée élevé à la Chapelle Sainte-Croix de Lyon à la mémoire des victimes de la Révolution française.
        
        Jean-Étienne[63], né en 1764. Vicaire de Saint-Nizier à Lyon, il prête serment à la constitution civile mais se rétracte le 25 juillet 1797 dans une déclaration publique. Il devient chanoine de Saint-Pierre à Lyon puis missionnaire

« Nous voyons que cette immigration progressive vers Lyon contribue inconsciemment à la formation traditionnelle de la population de cette ville, issue d'immigrants des régions avoisinante (Ain, Dauphiné, Gapençais, Beaujolais, Jura). Immigration composite, mais formé d'éléments énergiques et travailleurs, qu'est du le caractère lyonnais, à la fois progressif et traditionnel, économe et charitable, commerçant et intellectuel, pratique et artistique, cosmopolite et casanier, ploutocratique et démocratique, conservateur et épris par-dessus tout de liberté. »

— Gabriel Olphe-Galliard

XIX^e siècle- XX^e siècle : les marchands drapiers à Lyon[65]

Branche de Lyon

Joseph-Claude[66], né à Lyon en 1778. Marchand drapier, fils de Louis-Esprit dont il est associé. Fonde la maison Labit et Galliard de toile peinte d'Indienne et de toile de Jouy[67]. Epouse Virginie Piron, petite-fille de François Piron, recteur de l'Hôtel-Dieu de Lyon[68].
- Jean-Gustave, né en 1812, épouse Palmyre Oger.
  - Virginie, née en 1844, religieuse de l'Adoration réparatrice[69].
- Louis[70], né en 1810. Marchand drapier dans la maison Labit et Galliard[71]. Rejoint la garde nationale sous les ordres de Ferdinand-Philippe d'Orléans et fut blessé à la Croix-Rousse lors de la révolte des canuts de 1831. Epouse Louise Dupin, petite fille de Louis Dupin, maire de La Voulte-sur-Rhône, président du conseil général de l'Ardèche, et sœur de Mesdames Peillon et Dupré La Tour.
  - Laure[70], née en 1846. Epouse Aymé Frérejean, fils de Benoît Frèrejean[72].
  - Emmanuel[70], né en 1844. Chevalier de la Légion d'Honneur, marchand drapier[73], membre du conseil d'administration des Hospices civils de Lyon[74], membre du conseil central de l'Œuvre pontificale de la propagation de la foi[75], membre des Unions de la paix sociale[76], propriétaire du château de la Guerrière[77]. Epouse Marie Fayard de Mille[78].
    - Joseph Olphe-Galliard, né en 1877. Jésuite, officier aviateur, aumônier général des Forces françaises libres à Londres.
    - Louise[79], née en 1878. Epouse Adrien Bizot.
    - Henry[80], né en 1880. Chevalier de la Légion d'Honneur, officier de cavalerie[81], épouse Monique Arthaud de La Ferrière, arrière-petite-fille du général Jean-Andoche Junot duc d'Abrantes[82]^,[83]. Propriétaire du château de la Guerrière[84].
      - Josèphe, née en 1909. Epouse Bernard Jarrosson[85] docteur en droit, petit-fils d'Henry Hoppenot, fondateur et administrateur de la Société anonyme de filature de la Schappe, frère de Marie-Edmée Brac de La Perrière et neveu de Maurice Jarrosson[86].
      - Emmanuel, né en 1910. Directeur de la SCTT-Sud[87]. Epouse Monique Escudier, petite-nièce d'Arthur Fontaine, de Paul Escudier, d'Henry Lerolle et d'Ernest Chausson[83].
    - Marie-Thérese[88], née en 1882. Epouse Joseph Gensoul, chevalier de la Légion d'Honneur, propriétaire du château du Banchet, maire de Châteauneuf, petit-fils de Joseph Gensoul.
    - Élisabeth, née en 1878. Epouse Jacques de Catheu[89], fils de Théodore, chef de cabinet du ministre de l'Intérieur.
    - Laurence, née en 1885. Epouse (1ère noce) Ferdinand de La Rochette, sous-lieutenant au 217e régiment d'infanterie, mort pour la France, fils de Fernand de La Rochette, directeur de la compagnie des hauts-fourneaux et forges de Givors (Fonderie La Rochette, Prénat & Cie), administrateur des Houillères de Saint-Étienne, puis Pierre de La Fournière[90].
    - Pierre Olphe-Galliard[91], né en 1890. ESM Saint-Cyr[92], Officier de la Légion d'honneur[93], NC, CI et AéCF[94]. Officier de cavalerie puis pilote de chasse à l'Escadrille SPA 93[95]pendant la Première Guerre mondiale. PDG de la SCTT et administrateur de sociétés[96] (Chantiers de Penhoët, Compagnie internationale de navigation aérienne et Société transatlantique aérienne[97]). Propriétaire de la chartreuse de Bonpas[98]. Epouse Suzanne Dal Piaz[99], fille de John Dal Piaz, président de la Compagnie générale transatlantique et président des armateurs de France[100]^,[101].
      - Jean, né en 1923. NC, CI. PDG de la SCTT[102], administrateur de Pernod Ricard[103]et de champagne Salon[104], maire de Caumont-sur-Durance, propriétaire de la chartreuse de Bonpas, producteur de chapelle-chambertin[105]. Epouse Martine Faye, fille de Robert Faye, PDG de la compagnie Dubonnet-Cinzano-Byrrh [106] et petite-fille de Jules-Félix Pernod, fondateur du groupe Pernod Ricard.
      - Gemme, née en 1925. Epouse Jean-Marie Pastré, transitaire à la SCTT[107], propriétaire du château de Beauvoir, petit-fils de Joseph Pastré, maire d'Evry et propriétaire foncier[108]^,[109].

Sous-rameau d'Hendaye

Léonard-Alexandre[110]^,[111], né à Lyon en 1786. Marchand drapier, fils de Louis-Esprit dont il est associé. Fonde une nouvelle maison de toile peinte d'Indienne et de toile de Jouy, quai de Retz, actuel quai Jean-Moulin. Rejoint la garde nationale sous les ordres de Ferdinand-Philippe d'Orléans lors de la révolte des canuts de 1831. Propriétaire du manoir de Montcorin et Place Bellecour (n°35). Membre de la Société d'Agriculture[112]. Epouse Germaine Joyard, fille de Jean-François Joyard et Fleurie Germain, belle-sœur d'Antoine Duclaux et cousine germaine d'Henri Germain[113]. Enterré au cimetière de Loyasse.
- Léon Olphe-Galliard[114], né à Lyon en 1825. Ornithologue installé à Hendaye en 1880. Epouse Marguerite-Sophie Hedde, fille d'Isidore Hedde.
  - Alexandre, né à Lyon en 1865. Chevalier de la Légion d'honneur, officier d'artillerie. Epouse (1ère noce) Marie-Louise Poute de Puybaudet, puis Catherine Sutter.
    - Dom Jean[115]^,[116], né en 1893. Croix de guerre, moine de la Congrégation de Solesmes, abbé de l'abbaye de La Source[117].
    - Antoine, né en 1895. Croix de guerre avec palme, officier au 144e régiment d'infanterie durant la première guerre mondiale. Epouse Cécile Hess.
      - Marie-Madeleine, née en 1922, agrégée de grammaire [118].
      - Jacqueline, née en 1923, épouse Jean-Louis Simmonet.
    - Pierre, né en 1897[119]. Croix de guerre, sous-officier au 418e régiment d'infanterie durant la première guerre mondiale, mort pour la France le 12 août 1916 à l'âge de 19 ans lors de la Bataille de la Somme. Figure sur le monument aux morts d'Hendaye [120].
    - Michel Olphe-Galliard[121], né en 1900. Docteur en théologie[122], jésuite, professeur en théologie ascétique et mystique.
    - Marie-Radegonde, née en 1902. Religieuse bénédictine à l'abbaye Notre-Dame de Maylis.
    - Maurice[123]^,[124], né en 1904. Avocat, bâtonnier de Bayonne, secrétaire de la Société des sciences, lettres et arts de Bayonne[125]. Palmes académiques, reçoit de l'Académie française le prix René-Bardet pour son ouvrage La lyre et la balance: Apologues judiciaires (1980)[126]. Participe à la création du Musée basque et de l'histoire de Bayonne[127]. Epouse Denyse du Buit, petite-fille d'Henry du Buit, et d'Arsène Henry.
  - Charles né en 1867, artiste peintre.
  - Gabriel Olphe-Galliard[128], né en 1870. Docteur en droit, lauréat de l'Institut[129], professeur au CLSS, conseiller municipal d'Hendaye. Épouse Louise Dubois.
    - Jacques, né en 1904. Epouse Arlette de Chazelles (1ère noce), puis Yvette Bataille de Baget[130].
    - Jean-Raoul[131], né en 1906. IEP de Paris[132], avocat, romancier[133], poète[134]. Secrétaire général de la caisse primaire d'assurance maladie de Bayonne et secrétaire général de l'Union Bayonnaise des arts (UBA). Il épouse Marie-Madeleine Lalanne, fille de Paul Lalanne, bâtonnier de Bayonne[135].
    - André, né en 1909, ESSEC[136].
    - Marie-Madeleine, née en 1914.
    - Marc, né en 1915. ESSEC[136], RY. Agent général d'assurance et juge au tribunal de commerce de Bayonne, propriétaire de La Plane. Epouse Martine Poirier de Clisson.
    - Pierre, né en 1919. ESSEC[136]. Epouse Thérèse Debroise.

Galerie

Louis-Esprit Olphe-Galliard, 1810, marchand drapier.
Laure Olphe-Galliard, 1846, épouse Aymé Frérejean.
Léonard-Alexandre Olphe-Galliard, 1786, marchand drapier.
Léon Olphe-Galliard, 1825, ornithologue.
Gabriel Olphe-Galliard, 1870, sociologue.
Joseph Olphe-Galliard, 1877, aumônier militaire.
Dom Jean Olphe-Galliard, 1893, abbé de l'abbaye de La Source.
Chapelle-Chambertin, grand cru, 1985, Jean Olphe-Galliard.

Odonymie

Rue Olphe-Galliard : discrète rue dans le centre de Gap, elle est dédiée à Léon Olphe-Galliard, qui a donné au musée de Gap une importante collection d'oiseaux empaillés.

Bibliographie

Archives des Hautes-Alpes, récit du notaire Pierre Mutonis.
Notes pour servir à l’histoire de la famille gapençaise Olphe-Galliard publié dans les Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes entre 1902 et 1904, Gabriel Olphe-Galliard.
Généalogie Olphe-Galliard, Paris, imprimerie R. Hermieu, 1927.
Les Anciennes Familles de France, André Guirard, 1930, tome I^er.
Notes pour servir à l'histoire de la famille Olphe-Galliard, monographie familiale publiée par Gabriel Olphe-Galliard, 1933.
Et voici les 200 familles, la féodalité financière maîtresse de la France, volume 4, Augustin Hamon, 1936.
Les maîtres de la France, volume 1 à 3, Augustin Hamon,1938.
Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, André Delavenne, 1954.
Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l'ancienne Gaule du VI^e au XII^e siècle, Paris, Centre National de la recherche scientifique, 1968-1985, 3 vol.
Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, Paris, Perrin, 1997, 1027 p. (ISBN 2-262-01350-0).
Histoire de la ville de Gap, ouvrage publié sous les auspices de la Société d'études des Hautes-Alpes, 1966.
La Généalogie, Pierre Durye, PUF, 1886.
Armorial Haut-Alpin, Jean Grosdidier de Matons, MEMODOC, 2003.
L'ancienne bourgeoisie en France, Xavier de Montclos, Éditions A&J Picard, 2013.
Bottin mondain et Who's who in France.

Références

Articles connexes

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[1] « VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). XI Dauphiné. », sur Gallica, 1701-1800 (consulté le 3 juin 2020).

[2] La Généalogie, Pierre Dury, PUF, 1988

[Annales_106-3] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 106.

[4] Périodiques français méridionaux; Annales du Midi, Année 1904, 16-61, p. 101-123

[5] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 97.

[6] Data BNF : Paul Guillaume

[7] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes1902, page 98

[8] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 106

[9] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 101

[Grosdidier_p506-10] Armorial Haut-Alpin, Jean Grosdidier de Matons, MEMODOC, 2003, page 506

[11] Provincia: Bulletin de la Société de statistique de Marseille, 1936, page 256

[12] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 99.

[12148/bpt6k9608596c/f269-13] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 263 à 272.

[14] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 102.

[15] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 104.

[16] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 102.

[17] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 102.

[ga-18] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 110.

[19] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 107.

[20] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 108.

[21] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 225.

[22] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 226.

[23] 2 Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 228.

[24] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 228.

[25] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 180.

[26] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 185.

[27] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 224.

[28] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 227.

[29] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 228.

[12148/bpt6k9608596c/f236_p230-30] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 230.

[31] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 233.

[32] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 172.

[33] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1902, page 232.

[34] Abraham Patras, Gouverneur Général des Indes, notes biographiques et généalogiques, 1892

[35] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 115.

[36] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 117.

[37] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 115.

[38] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 119.

[39] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 120.

[Catho-40] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 122.

[12148/bpt6k9608596c/f131-41] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 125.

[P-42] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 177.

[43] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 179.

[44] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 180.

[45] Tableau historique du Département des Hautes-Alpes, État Ecclésiastique, 1887, page 90

[46] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1903, page 180.

[47] Armorial Haut-Alpin, Jean Grosdidier de Matons, MEMODOC, 2003, page 114

[48] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 17.

[12148/bpt6k9633885w/f2-49] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 15.

[50] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 17.

[51] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 20.

[52] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 74.

[53] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 75.

[54] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 76.

[55] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 75.

[56] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 80.

[57] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 80.

[58] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 192.

[59] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 192.

[60] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 244.

[61] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 273.

[Gallica_1904-62] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 274.

[12148/bpt6k9633885w/f249-63] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 243.

[64] Tableau Général des citimes et martyrs de la Révolution en Lyonnais, Forez et Beaujaulais, 1911, page 183.

[65] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 240.

[66] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 274.

[67] Tablettes historiques et littéraires de la ville de Lyon: journal de l'industrie, des moeurs, des théâtres et des beaux arts, Volume 1, Tablettes historiques et littéraires, 1822

[68] Histoire chronologique de l'Hôpital général et grand Hôtel-Dieu de Lyon, depuis sa fondation, mêlée de faits historiques concernant l'aumône générale de la ville de Lyon, Volume 2, Etienne Dagier

[69] Annales apostoliques de la Congrégation du Saint-Esprit, 1er janvier 1911

[12148/bpt6k9633885w/f281-70] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 275.

[71] Bulletin des soies et des soieries, Revue hebdomadaire Lyonnaise, 30 juin 1888, page 7

[72] The Heirs of Europe

[73] Bulletin des soies et des soieries, Revue hebdomadaire Lyonnaise, 30 juin 1888, page 7

[74] Archives du Rhône, le château de la Guerrière

[75] Annales de la propagation de la foi, 1893

[76] Annuaire des Unions pour la Paix Sociale pour l'an 1876

[77] Annuaire des châteaux et des départements, 1927, page 728

[78] Le Figaro, 26 mai 1919

[79] Le Figaro, 08 avril 1933

[80] Le Figaro, 14 juillet 1931

[81] Recueil des arrêts du Conseil d'État statuant au contentieux, des décisions du Tribunal des conflits, de la Cour des comptes et du Conseil des prises, 1935

[82] Le Figaro, 14 juillet 1931

[Valynseele-83] Les Princes et les ducs du Premier Empire, non maréchaux, Joseph Valynseele, 1959, page 114

[84] Paris-mondain, annuaire du grand monde parisien et de la colonie étrangère, 1908

[85] Bottin Mondain

[86] Comoedia, 24 juin 1930

[87] Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, Partie 2, 1981.

[88] Le Figaro, 26 septembre 1907

[89] Le Figaro, 26 juillet 1909

[90] Les châteaux historique, Emile Salomon,1888-1945

[V231G-91] Patrons de France, Agence nationale de la recherche

[92] Promotion de la Moskova, 1910-1913

[93] Chronique de : Olphe-Galliard, Pierre — L'Entreprise, 1953, n^o 2, 15 avril 1953, p. 30

[94] Annuaire des Grands Cercles et du Grand Monde, 1930, page 374

[95] JORF 1919

[96] Les Documents politiques, diplomatiques et financiers, 1er janvier 1926

[97] Annuaire de l'aéronautique, 1931, page 220

[98] Bulletin de la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique générale de la France, 1953

[99] Le Figaro, 12 janvier 1922

[100] Les Transports Maritimes, Augustin Hamon, Les Maîtres de la France, tome III, Éditions sociales, février 1938, 354 pages

[101] Augustin Hamon, « Et voici les 200 familles, La féodalité financière maîtresse de la France », Série d’articles dans L’Humanité (janvier-mai 1936), accompagnant la publication du premier tome des Maîtres de la France.

[102] Marchés Tropicaux et méditerranéens, volume 38, 1982, page 1015

[103] Jane's Major Companies of Europe, Franklin Watts Publishing Company, 1977

[104] Bulletin officiel des annonces commerciales, partie 2, page 58

[105] Wine Price File,1999

[106] Who's Who in France, vol. 11, 1969

[107] Le Crapouillot, 1950, page 26

[108] Evry ville nouvelle: 1960-2003 : la troisième banlieue, Jacques Guyard, Espaces sud, 2003 - 351 pages

[109] Les Transports Maritimes, Augustin Hamon, Les Maîtres de la France, tome III, Éditions sociales, février 1938, 354 pages

[110] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 279.

[111] Revue du Lyonnais, 1885, série 1 n^o 25, Châteaux des environs de Lyon

[112] Le moniteur industriel, 24 août 1854

[113] Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1904, page 280.

[114] Bulletin de la Société d'Étude des Hautes-Alpes, 1893, page 136

[115] Revue Mabillon: archives de la France Monastique, 1977

[116] « Jean Olphe-Galliard (1893-1975) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le 30 juillet 2020).

[117] Le Petit Parisien, 16 janvier 1935

[118] Cahier de Neuilly, 1956

[119] Livre d'or du pensionnat J-B de La salle et de l'école Saint-Genès

[120] Monument aux Morts d'Hendaye

[121] « Michel Olphe-Galliard (1900-1985) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le 30 juillet 2020).

[122] Chronique, Institut Catholique de Toulouse, 1983

[123] « Maurice Olphe-Galliard - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le 30 juillet 2020).

[MKDPGE-124] ttp://www.avocats-bayonne.org/le-barreau/presentation.html

[125] Société des Sciences,Lettres et Arts de Bayonne, Bulletin 133 à 134

[126] ttp://www.academie-francaise.fr/maurice-olphe-galliard

[127] Gazettes de Bayonne, de Biarritz et du Pays basque, 1942-1944

[128] « Gabriel Olphe-Galliard (18..-19..) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le 30 juillet 2020).

[129] Annuaire du Ministère du travail et de la prévoyance social, 1912

[130] Le jour 1933-1934

[131] « France-Afrique. Littéraire, artistique et scientifique », sur Gallica, 21 juillet 1933 (consulté le 30 juillet 2020).

[132] uaire des anciens de SciencesPo

[133] Bibliographie des ouvrages en langue française parus dans le monde entier, Service bibliographique, Librairie Hachette, 1953

[134] Quand j'avais l'âge de raison, Jacques Isorni, 1966, page 191

[135] ttps://www.avocats-bayonne.org/le-barreau/presentation.html

[es-136] uaire des anciens de l'ESSEC