Corps (Isère)

Corps est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Corps.

Corps

Rue des Fossés.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes de la Matheysine
Maire
Mandat
Fabien Mulyk
2020-2026
Code postal 38970
Code commune 38128
Démographie
Gentilé Corpatus
Population
municipale
470 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 10″ nord, 5° 56′ 51″ est
Altitude Min. 639 m
Max. 1 840 m
Superficie 11,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Corps
Géolocalisation sur la carte : Isère
Corps
Géolocalisation sur la carte : France
Corps
Géolocalisation sur la carte : France
Corps
Liens
Site web www.villedecorps.fr

    Ses habitants s'appellent les Corpatus.

    Géographie

    Pour des articles plus généraux, voir Géographie de l'Isère et Géographie des Alpes.

    Le lac du Sautet et l'Obiou depuis Corps.

    Corps est une petite commune du Sud de la France. Située dans la région du Beaumont dans les Alpes du Sud, à la frontière entre le département de l'Isère et celui des Hautes-Alpes, elle se situe à 40 km au nord de Gap, 65 km au sud de Grenoble et 220 km au nord de Marseille.

    Le village de Corps est encerclé par de hautes montagnes, dont l'Obiou dans le massif du Dévoluy qui surplombe le magnifique lac du Sautet.

    Le village est au départ de la route qui mène au Sanctuaire marial de La Salette, lieu de pèlerinage où la Vierge de La Salette serait apparue à deux petits bergers corpatus, Mélanie Calvat et Maximin Giraud.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Corps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), prairies (9 %), eaux continentales[Note 2] (8,7 %), zones urbanisées (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Du latin corbus (corbeau).

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Les plus anciennes traces d'occupation humaine du pays de Corps remontent à quelque 1200 ans avant notre ère. Il s'agissait probablement de groupes altaïques venus d'Asie centrale, qui auraient apporté dans leur vocabulaire des racines comme 'alp' (alpage), 'ar' (rivière, d'où dérive le nom du Drac), et 'bal' (montagne, d'où dérive le nom du Beaumont). Vers -800, un habitat ligure important existait à quelques kilomètres en aval de Corps, sur l'actuelle commune de Quet-en-Beaumont. Aux environs de -300, quelques Celtes arrivés des Alpes suisses se mêlèrent aux Ligures locaux, et formèrent le « peuple des trois enseignes », ou Tricorii, dont le nom a donné celui de Trièves[8].

    Après la défaite d'Hannibal par les Romains, ceux-ci entreprirent de contrôler l'au-delà des Alpes. En -151, le Beaumont, comme toute la région, était soumis. Mais aucune civitas n'était établie en Beaumont. Une voie romaine, d'importance secondaire, reliait la vallée de la Durance à Cularo (Grenoble) en passant par le Champsaur et le Beaumont. Il semblerait que ce soit à l'emplacement de l'ancien hameau de Saint-Brême, aujourd'hui noyé sous les eaux du lac du Sautet, que se situait le lieu dénommé Geminae sur la carte de Peutinger, embranchement d'une voie se dirigeant vers Mens. Là serait né le premier village du pays de Corps, les vestiges trouvés ailleurs n'étant liés qu'à de petites villae agricoles[9].

    À partir de l'an 1202, une famille Alleman possédait en alleu, c'est-à-dire sans suzerain autre que l'empereur du Saint-Empire, une maison forte à Corps. En 1247, l'empereur cède au Dauphin de Viennois le « haut-domaine », c'est-à-dire la juridiction majeure, sur ses alleus en Beaumont. Celui-ci ne se privera pas d'en profiter pour s'approprier les biens de ses sujets.

    En 1250 est créé le mandement de Corps, comprenant, sur la rive droite du Drac : Corps, Saint-Bénigne (Saint-Brême), Saint-Jean des Vertus (les Côtes-de-Corps), la Salette (sans les Fallavaux) et Saint-Julien (lieudit aujourd'hui disparu), et sur la rive gauche : Pellafol, Beaufin, Ambel et le Monestier d'Ambel, qui formeront bientôt deux mandements distincts[10]. Cependant aucun châtelain n'est connu avant 1309.

    En 1321, le régent Henri octroie au bourg de Corps des chartes de franchise municipales et individuelles, confirmées en 1324 par Béatrix de Hongrie, mère du Dauphin[11]. À partir de 1349, Corps est l'une des châtellenies sur lesquelles repose la rente octroyée à Humbert II de Viennois, qui a vendu ses possessions au roi de France[12]. En 1374, Reynaud II Raymond, coseigneur de Sigottier, Furmeyer et autres lieux, achète la maison-forte de Corps et ses terres à Guigues III Alleman. Son fils Henri II Raymond en devient seigneur en 1406[13].

    Dans la première moitié du XVe siècle, le dauphin Louis II, futur roi de France sous le nom de Louis XI, fait régulièrement étape à Corps en se rendant à Montorcier en Champsaur.

    Durant les Guerres de religion, Corps, fidèle à la foi catholique, est pris et repris plusieurs fois par les armées adverses, et finalement ruiné en 1577. Par la suite, et à deux reprises, la seigneurie tombe en main-morte et est reprise par le Roi. En 1781, les habitants de Corps purent se plaindre d'un préjudice dû à l'absence de seigneur[14].

    Napoléon Ier fit étape à Corps et passe la nuit du 6 au 7 mars 1815 à l'hôtel du Palais, au retour de l'Ile d'Elbe. Tous les ans à la Pentecôte Corps fête cet événement sous l'intitulé « Aventurier à Corps, Prince à Grenoble ». Le 19 septembre 1846, la Vierge Marie serait apparue à deux enfants de Corps, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, dans la montagne au-dessus du village de La Salette. L'apparition mariale ayant été reconnues par l'Église catholique, un pèlerinage s'est développé vers le sanctuaire de La Salette.

    Entre 1930 et 1935, la construction du barrage du Sautet provoque un afflux de travailleurs étrangers, d'où un développement économique important pour le bourg jusqu'ici resté exclusivement agricole. En 1932, la ligne de chemin de fer de la Mure est prolongée jusqu'à Corps, établissant une liaison depuis Grenoble. Elle eut un relatif succès, notamment pour les pèlerins de la Salette, mais, les autocars donnant bientôt un accès direct au sanctuaire, et faute d'achèvement de la liaison vers Gap, la ligne périclita, le service fut interrompu en 1949, et la ligne définitivement abandonnée en 1952.

    La prise de Corps par les Réformés

    Vue générale de la commune.

    On raconte[15] que, les troupes protestantes étant inférieures en nombre aux défenseurs de la ville, un des lieutenants de Lesdiguières alla dans la nuit attacher des lanternes aux cous des bêtes d'un troupeau qu'il dirigea ensuite vers la ville. Les habitants, impressionnés par cette attaque hardie, se rendirent sans combattre.

    Les débuts de l'école de Corps

    Le 14 décembre 1806, monsieur Jean-Claude Neyret de Mens est nommé instituteur à Corps. Les classes s’ouvrent en été à 5 h du matin jusqu’à 11 h et de 13 h à 20 h, soit 13 heures de classe par jour. En janvier 1812, M. François Gourdon est nommé instituteur à Corps. La classe se fait en été de 6 h à 10 h et de 13 h à 17 h, soit 5 h de moins qu’en 1806. Le 1er novembre 1819, M. Charles Sibylle remplace M. Gourdon, puis en 1835 il est lui-même remplacé par M. Chevalier. Le 20 avril 1841 on songe à construire une école de garçons, c’est en 1844 qu’est créée une école de filles. Le 14 janvier 1853 il est voté une indemnité de 500 fr pour l’instituteur à charge pour lui d’enseigner à tous les enfants de la commune. En mai 1854, le traitement de l’instituteur est fixé à 1000 fr. Le 8 novembre 1857, c’est au tour de M. Fayollat de devenir instituteur. C’est en 1881 que l’école maternelle voit le jour aux Logis Neufs, puis en 1893 on réunit école primaire et maternelle dans les locaux actuels[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Pour un article plus général, voir Armorial des communes de l'Isère.

    Blasonnement :
    D'azur, au chevron d'argent, accompagné en chef de deux étoiles d'or, et en pointe, d'un ours passant du même.[Note 3].

    Culture

    La médiathèque Saint-Eldrade

    Langue

    Historiquement, le Beaumont appartient à la zone de parlers occitans[16] de type vivaro-alpins[16]. Le nom de Corps, anciennement prononcé « Corpe », est probablement dérivé du mot occitan corp signifiant corbeau.

    La médiathèque Saint-Eldrade

    La médiathèque de Corps propose d'une part des prêts de romans, bandes dessinées, de documentaires (parfois avec DVD inclus) et de contes pour petits, et d'autre part des accès internet[17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2005 2014 Magali Francou-Carron UMP  
    2014 En cours Fabien Mulyk DVD puis UDI[18] Infirmier, conseiller général du Canton de Corps (2011-2015)
    Conseiller départemental, vice-président du Conseil départemental depuis 2015
    Les données manquantes sont à compléter.

    Aménagement

    Sportif

    Le terrain de basket de Corps se situe en haut de la maison de retraite. Il y a un terrain de tennis à côté du terrain de basket et l’autre est à côté du jardin de ville. En 2004, la mairie a refait le jardin de ville. Les enfants y trouveront : une balançoire, un skate parc, un petit château avec son petit toboggan, le grand toboggan, un jeu à ressort, un terrain d’herbes et à côté un terrain de boules. Au jardin de ville il est interdit de faire rentrer des chiens.

    Population et société

    Démographie

    Pour un article plus général, voir Démographie de l'Isère.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2018, la commune comptait 470 habitants[Note 4], en diminution de 6,75 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9351 0381 2381 1281 4411 4141 3861 4511 350
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3151 3351 3291 3061 2391 3561 3251 2261 201
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1049989427377628999831 128687
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    608556465505512453456511478
    2018 - - - - - - - -
    470--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Festivités

    Depuis 1989 a lieu en août les Nuits musicales de Corps[23], festival consacré à la musique classique.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le barrage du Sautet, construit entre 1930 et 1935, haut de 126 mètres, barrant le Drac juste en aval de son confluent avec la Souloise.
    • Le pont du Sautet, jouxtant le barrage, pont d'une seule arche au-dessus du défilé du Drac en aval du barrage. Il a remplacé l'ancien pont suspendu du XIXe siècle, déjà remarquable par son audace. Un autre pont existaient antérieurement au barrage un peu en amont du confluent : le pont de Saint-Brème, sur le Drac, portant une route vers Ambel.
    • L'ancienne gare du chemin de fer, aujourd'hui siège des services de l'Équipement.
    • L'Ancien Hôpital, labellisé Patrimoine en Isère[24].
    Plaque commémorative
    • La Maison Napoléon, ancienne gendarmerie. Le 6 mars 1815, Napoléon arrive à Corps après avoir franchi le col Bayard. Il arrive tard dans la soiréé, loge dans cette maison. Après avoir reçu des témoignages d'anciens soldats, on lui sert un repas à base d'omelette puis il travaille plusieurs heures avant de se coucher. Cambronne est allé en éclaireur à La Mure avec 40 chasseurs et un peloton de cavaliers où il a rencontré des troupes royales. Les deux troupes se font face sans tirer. Le 7 mars au matin, Cambronne a envoyé un message à Napoléon en lui demandant de le rejoindre. Napoléon quitte Corps[25].
    • De nombreuses maisons anciennes dans le vieux bourg.
    • Les anciennes écuries, formant encore un curieux passage voûté.
    • Les remparts et le château médiéval, du début du XIIIe siècle, ont été détruits à la fin du XVIe siècle[26].

    Patrimoine religieux

    La statue de la Vierge en pleurs
    • Église Saint-Pierre
    L'église primitive de Corps faisait partie d'un prieuré construit en 1212 par des moines bénédictins de Marseille, et dont il ne reste que le porche d'entrée face à l'église actuelle. De style roman, l'église a été ravagée en 1821 par un incendie qui a aussi détruit le presbytère et la plus grande partie du village. Elle a été restaurée en accord avec son style d'origine. Le clocher est de style gothique. L'intérieur de l'église mérite la visite :
      • l'abside, circulaire, est très dépouillée, et éclairée par une rangée de hauts vitraux
      • l'autel est en marbre blanc, richement décoré
      • l'absidiole droite comporte un petit vitrail circulaire représentant la Sainte Famille
      • dans le transept, un vitrail représentant saint Eldrade, patron de la paroisse
      • dans les allées latérales, deux statues de Notre-Dame de la Salette, dont une « Vierge en pleurs » ; sur le sol, quelques dalles portent des inscriptions funéraires
      • de part et d'autre de l'entrée, deux bénitiers en marbre (modernes) portent des inscriptions en latin et en grec.
    • En bordure du village, la petite chapelle Saint-Roch est installée sur un promontoire face au lac et aux montagnes (Dévoluy, Obiou).

    Patrimoine naturel

    • lac du Sautet, à découvrir avec le bateau électro-solaire depuis la base nautique du Sautet.

    Gastronomie

    • liqueurs de la Distillerie artisanale La Salettina, située dans la maison natale de Maximin Giraud[27]

    Personnalités liées à la commune

    • Saint Eldrade a fondé la première église de Corps.
    • Jean Galland, pasteur à Corps vers la fin du XVIIe siècle, est l’ancêtre d’Adolf Galland, as de la chasse allemande pendant la dernière guerre. La famille Galland était originaire de Veynes (Hautes-Alpes). À la mort du pasteur, sa veuve, Charlotte Gondre, son fils Jacques et sa femme, née Jordan, émigrèrent en Allemagne où le couple fit souche.
    • Emile Gueymard, né à Corps, major de Polytechnique, professeur à la faculté des Sciences de Grenoble. Collaborateur de Vicat et ingénieur en chef des mines sous la Restauration.
    • Victor Auguste Gueymard, frère du précédent. Juriste et doyen de la faculté de Droit de Grenoble.
    • Mélanie Calvat
    • Maximin Giraud
    • Emile Mathieu, né le 17 mai 1880 à Corps, père de Noël Mathieu, plus connu sous le nom de Pierre Emmanuel (1916-1984), poète et académicien.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Note sur l'histoire de Corps et de son mandement depuis les origines jusqu'à nos jours. Henri DURAND
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Jean Gueydan, Les seigneurs du Beaumont, éd. du Cosmogone, Lyon, 2003, (ISBN 2-914238-40-1), pages 32 à 35.
    9. Jean Gueydan, Les seigneurs du Beaumont, pages 40 & 141.
    10. id., pages 141.
    11. id., page 143.
    12. id., pages 129 & 130.
    13. id., pages 384 & 385.
    14. id., pages 144 à 146.
    15. Gabrielle Sentis, La légende dorée du Dauphiné, éditions Didier-Richard, Grenoble, 1984 (ISBN 2-7038-0028-2).
    16. Bert, Michael et James Costa. 2010. "Linguistic borders, language revitalisation and the imagining of new regional entities", Borders and Identities (Newcastle upon Tyne, 8-9 janvier 2010), 18.
    17. Horaires et contacts sur le site de la ville de Corps
    18. http://www.udi38.info/accueil/%C3%A9lu-e-s/
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Le festival “les nuits musicales de Corps” fête ses trente ans », sur Le Dauphiné, (consulté le ).
    24. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr (consulté le ).
    25. Note : Voir la notice sur la maison.
    26. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 675-676.
    27. Distillerie artisanale La Salettina sur le site dela Commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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