Mens

Mens est une commune française, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Son nom se prononce comme « mince » (en API [mɛ̃s]).

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Mens

La place de la Halle.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes du Trièves
Maire
Mandat
Pierre Suzzarini
2020-2026
Code postal 38710
Code commune 38226
Démographie
Gentilé Mensoises
Mensois
Population
municipale
1 397 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 04″ nord, 5° 45′ 04″ est
Altitude Min. 612 m
Max. 1 929 m
Superficie 28,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Mens
Géolocalisation sur la carte : Isère
Mens
Géolocalisation sur la carte : France
Mens
Géolocalisation sur la carte : France
Mens
Liens
Site web http://www.mairie-de-mens.fr/

    Ses habitants sont appelés les Mensois.

    Géographie

    Mens-panorama general

    Située à 55 km au sud de Grenoble, Mens est la capitale du Trièves, grand plateau glaciaire situé entre les massifs du Vercors (à l'ouest) et du Dévoluy (à l'est).

    Jusqu'au nouveau découpage territorial, Mens était le chef-lieu du canton de Mens. Depuis 2015, il fait partie du canton de Matheysine-Trièves. L'ancien canton de Mens étant le plus méridional du département, en limite des départements des Hautes-Alpes et de la Drôme, des Alpes du Nord et des Alpes du Sud, il bénéficie d'un climat plus chaud et plus sec que les massifs ou vallées voisins du Vercors, de la Matheysine ou de l'Oisans.

    Légèrement à l'écart des axes routiers, Mens est desservi à l'ouest par la D 1075 et la ligne SNCF Grenoble-Gap (gare de Clelles - Mens), à l'est par la RN 85 ou route Napoléon.

    La commune est au centre du principal bassin agricole du Trièves. Le canton dont elle est le chef-lieu est séparé des territoires voisins par les gorges profondes du Drac et de l'Ébron.

    Depuis 2007, l'arrivée de l'autoroute A51 au col du Fau, à 20 km de là, amène une population nouvelle qui relance la dynamique démographie de la commune.

    Lieux-dits et écarts

    Les principaux hameaux sont : Menglas, Milmaze, Foreyre, Pierre-Longue, Saint-Genis (siège d'une commune indépendante jusqu'à son rattachement à Mens en 1973), Mentayre, Ser Clapi.

    Hameaux et fermes constituent les écarts, organisés concentriquement autour du bourg et témoignant d'étapes successives d'extension du territoire agricole. Les limites communales, situées sur des reliefs ou dans des gorges, sont le plus souvent occupées par des pinèdes, dont certaines ont recolonisé d'anciens écarts, abandonnés pendant l'exode rural (hameau du Verdier, domaine de Raud maintenant occupé par le Centre écologique Terre vivante).

    On trouve de nombreux toponymes avec « pierre » dans les alentours : Pierre longue, Pierre grosse, Pierre des sacrifices, etc.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Châtel-en-Trièves, Saint-Jean-d'Hérans, Cornillon-en-Trièves, Prébois et Saint-Baudille-et-Pipet.

    Historiquement, les autres communes du canton étaient Cordéac, Lavars et Tréminis. Après la Révolution, le canton de Mens comprenait également la commune de Pellafol, rattachée ensuite au canton de Corps. La commune de Tréminis, maintenant rattachée au canton de Mens, faisait alors partie du canton de Clelles.

    Urbanisme

    Typologie

    Mens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,6 %), prairies (29,6 %), terres arables (16,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), zones urbanisées (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Plusieurs hypothèses sont avancées quant à l'origine du nom de la localité.

    Selon certaines, son nom serait attesté sous la forme Menz au XIIe siècle[8]. Menz serait alors un nom de personne gaulois Mincios, Mincius, pris absolument, sous-entendu *Mincium fundum[9].

    Pour d'autres[Qui ?], Mens se serait appelée Saint-Mens.

    Une chose est certaine : Mens porte déjà son nom actuel au Haut Moyen Âge[10].

    Histoire

    Histoire ancienne

    Le Trièves était habité par les Tricores, une tribu Voconce qui s'est romanisée sous la domination romaine.

    À l'époque impériale il existait, approximativement à l'emplacement de l'actuel village, un marché appelé Forum Neronis, créé par le général romain Tiberius Néron, pontife de Jules César vers 55 av. J.-C..

    Au Moyen Âge, le village est fortifié. L'actuel quartier historique de Mens en rappelle l'étendue. L'église primitive du XIe siècle est développée d'abord par les Templiers au XIIe siècle, puis au XIVe siècle.

    Au XIIIe siècle, Mens devient véritablement la capitale du Trièves, avec son marché hebdomadaire où les cours des denrées et des bestiaux étaient fixés. La prospérité de Mens tient aussi à son artisanat, alors très actif : cloutiers (petit filon de fer à Montvallon), potiers, tuiliers (veines d’argile) et surtout tisserands (laine, lin et chanvre surtout). Les toiles à voile sont réputées et vendues jusqu’à Beaucaire. Pendant cette période, le commerce est plus axé sur le Midi et le Diois que sur Grenoble (manque de voies de communications).

    Au temps de la Réforme

    François de Bonne de Lesdiguières

    Au XVIe siècle, le connétable Lesdiguières devient gouverneur du Dauphiné en 1612. Chef militaire hors pair, diplomate et négociateur habile, qualifié par Henri IV « de rusé comme un renard », François de Bonne de Lesdiguières fait de Mens une place forte du protestantisme. En 1573, ce protestant convaincu a fait de Mens son bastion militaire, dissuadant les attaques des troupes catholiques. Dès le milieu du XVIe siècle, un temple est édifié dans le bourg, qu'on surnomme désormais "la petite Genève des Alpes"[11].

    Le village compte alors 1200 habitants dont 90 % de protestants. Alors que les guerres de religion opposant catholiques et protestants sévissent en France, Mens fait exception.

    Temple de Mens

    Révocation de l'édit de Nantes

    En 1685, avec la Révocation de l'édit de Nantes, le catholicisme s’impose et 300 protestants mensois, sur 1 200 habitants, choisissent l’exil. D’autres poursuivent leur culte dans la clandestinité.

    Le parlement de Grenoble cherche à nettoyer ce nid de protestants et envoie régulièrement ses troupes. Beaucoup de huguenots sont inquiétés, mis en prison ; les femmes envoyées au couvent. Jean Bérenger, que l'on appelle le pasteur Colombe, responsable de la « Religion Prétendue Réformée » sur tout le Dauphiné, est condamné deux fois à mort par contumace. Il est brûlé en effigie sur la place du Breuil.

    Patrimoine religieux: ancien bastion du protestantisme en Dauphiné, Mens garde ses deux clochers (église catholique et temple protestant), ainsi que de nombreux cimetières privés, tous protestants, datant de l'époque où les Réformés n'avaient pas le droit d'enterrer les leurs en terre « chrétienne » ; il y a aussi deux cimetières publics, l'un catholique et l'autre protestant.

    XIXe/XXe siècle

    Avec l'édit de tolérance en 1787, et surtout avec le Premier Empire, la liberté de religion est rétablie, mais la ferveur des fidèles a beaucoup faibli.

    Un jeune évangéliste, Félix Neff, arrivé de Genève en 1821, ranime alors le protestantisme en Trièves. C’est l’initiateur de « l’École modèle », longtemps la seule école normale protestante de France, qui fonctionne de 1834 à 1914.

    Dès lors, Mens se développe comme nœud de communications, mais aussi grâce à son activité de tissage du chanvre. Une usine de soie est construite en 1895 et fermera ses portes en 1962. Aujourd'hui, le tourisme a permis de compenser l'exode rural, et Mens attire désormais des citadins séduits par le calme et la nature préservée du Trièves[12].

    1939-1945

    Mens est proche des maquis, notamment celui du Pas de l'Aiguille où sont plusieurs jeunes Mensois.

    Des familles juives ont été accueillies dans la région.

    Edouard Arnaud, maire de Mens et propriétaire du « Café des Arts » est arrêté par les Allemands pour fait de résistance en juillet 1944. Il est envoyé au camp de Neuengamme où il meurt d'épuisement le 29 janvier 1945 ; il sera, malgré son absence, élu maire aux élections de mai 1945, Mens ne connaîtra son décès qu'en juin 1945.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1900 1904 Paul Sennebier n.c.  
    1904 1912 Édouard Besson n.c. Deux mandats
    1912 1923 Charles Dellorenzi n.c. Deux mandats
    1923 1925 Louis Rippert n.c. Décédé en fonction le 6 décembre 1925
    1925 1929 Albert Baup n.c.  
    1929 1941 Paul Brachet n.c. Deux mandats ; décédé en fonction le 2 novembre 1941
    1941 1944 Édouard Arnaud n.c. Arrêté par les nazis en juin 1944 (Cf. ci-dessous)
    oct. 1944 mai 1945 René Édouard Galland n.c. Désigné par le comité local de libération
    mai 1945 oct. 1946 Édouard Arnaud n.c. Déporté au camp de Neuengamme en juillet 1944, meurt le 29 janvier 1945. Élu en son absence : Mens ne connaîtra en effet son décès qu'en juin 1945
    oct. 1946 1947 Jean Rolland n.c. À la suite de la démission du conseil, à l'origine de nouvelles élections
    1947 1953 Édouard Henri Darier n.c.  
    1953 1959 Louis Joseph Brun MRP Conseiller général du canton de Mens de 1949 à 1955
    1959 1971 Roger Brachet Rad. puis MRG Deux mandats ; conseiller général du canton de Mens de 1955 à 1979
    1971 1977 Roland André Chabert n.c.  
    1977 1983 Pierre Rolland DVG Conseiller général du canton de Mens de 1979 à 1983
    1983 1989 Dr Marc Simond n.c.  
    1989 2001 Philippe Richard n.c.  
    2001 2008 Philippe Gazin DVD Éducateur spécialisé, directeur d'établissements médico-sociaux
    2008 2014 Annette Pellegrin PS Agent des PTT
    2014 2020 Bernard Coquet SE Retraité de la fonction publique
    2020 En cours Pierre Suzzarini SE Infirmier libéral

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].

    En 2018, la commune comptait 1 397 habitants[Note 2], en augmentation de 4,02 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0091 8831 9921 8281 8841 9242 1262 1352 093
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8521 9031 9511 9671 9652 0831 8981 7281 706
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7341 6461 5391 2331 1441 1531 2571 1231 207
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1371 0901 1391 1161 1291 1751 3821 3701 397
    2018 - - - - - - - -
    1 397--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie et spécialités

    En visitant Mens, il est impossible d'ignorer la fameuse bouffette composée de deux biscuits de Savoie (sorte de génoise) fourrés avec une crème vanillée à base de sucre glace et de crème fraîche dont la recette de la famille Perrier, boulangers de père en fils, est tenue secrète depuis plusieurs générations.
    Parmi les autres spécialités locales, les ravioles du Trièves figurent parmi les incontournables plats; petits raviolis généralement fourrés de fromage local ainsi que d'herbes aromatiques.

    Personnalités liées à la commune

    Comte Jean Bérenger (1767-1850)

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village de Mens depuis la vallée, vue sur l'Obiou et le Châtel
    • Dans le vieux bourg, sur la place de la Halle, la halle de Mens du XVe siècle et la fontaine sont inscrites au titre des monuments historiques par arrêté du 23 mai 1961[17],[18].
    • La fontaine de la place de la Mairie est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 23 mai 1961[19], ainsi que la fontaine de la place Paul-Brachet[20].
    • L'église de l'Assomption de Mens, bâtie en XIe et XIIe siècles et modifiée en XIXe siècle, est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 19 mai 1987[21].
    • Dans le vieux bourg, les deux devantures et le décor intérieur du café des Arts sont partiellement inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 23 janvier 1989[22].
    • La ferme du Thau est labellisée Patrimoine en Isère[23].
    • Église Notre-Dame, dans le vieux bourg
    • Dans le vieux bourg, temple protestant : ancienne maison de Lesdiguières, aménagée en temple en 1825-1826.
    • Dans le village, école modèle protestante. Fondée au XIXe siècle pour former des instituteurs, elle abrite maintenant un centre de gérontologie.
    • Pierre des sacrifices, curieuse pierre située au pied de la montagne de Châtel, à km du bourg.

    d'autres photos sont disponibles sur Wikimedia Commons

    Patrimoine culturel

    Le musée du Trièves.
    • Musée du Trièves[24]
    • Centre écologique Terre vivante[25], à km du bourg. Unique en France, ce centre présente des techniques et modes de vie respectueux de l'environnement et de la santé de l'homme (jardinage biologique, habitat sain, énergies renouvelables, efficacité énergétique, épuration écologique). Il publie une revue Les 4 saisons du jardin bio ainsi que de nombreux livres.

    Évènements

    • Foire du 1er mai (existe depuis le XIIIe siècle, par édit du Dauphin).
    • Festival de randonnées dernier week-end de juin (VTT, cyclotourisme, randonnées pédestres et équestres).
    • Rallye du Trièves, chaque premier weekend du mois d'août. (Rallye automobile organisé par l'ASA Dauphinoise[26]. )
    • Festival de musique « Mens Alors ! »[27] en août.
    • Foire de la Transition en septembre[28].
    • Festival des jeux en novembre.
    • Foire du 15 août.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 450b.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    10. Thérèse Sclaffert, Le Haut-Dauphiné au Moyen Age, Paris, Société anonyme du recueil Sirey, (lire en ligne).
    11. « Sur les pas des Huguenots – Itinéraire culturel européen : De la Drôme à Genève », Sur les pas des Huguenots [PDF], sur www.surlespasdeshuguenots.eu (consulté le ), p. 12.
    12. Mens, son histoire, sur le site de la mairie de Mens
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    17. « Halle », notice no PA00117219, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    18. « Fontaine », notice no PA00117216, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    19. « Fontaine », notice no PA00117217, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    20. « Fontaine », notice no PA00117218, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. « Église », notice no PA00117215, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. « Café des Arts », notice no PA00117214, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
    24. « Accueil », sur museedutrieves.fr (consulté le ).
    25. « Terres Vivantes », sur Terres Vivantes (consulté le ).
    26. « Accueil - ASA Dauphinoise », sur www.asadauphinoise.com (consulté le ).
    27. « Festival 2018 », sur Mens alors ! (consulté le ).
    28. « Accueil 2017 », sur Quelle Foire Trieves (consulté le ).

    Voir aussi

    Liens externes

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