Chișinău
Chișinău (prononcé en roumain[1] : /ki.ʃi.ˈnəw/, ) ou Chisinau sans les diacritiques[2] (en russe : Кишинёв, Kichinev[3] de 1812 à 1917, de 1940 à 1941 et de 1944 à 1989), est la capitale de la République de Moldavie et la ville principale de la Bessarabie, qui est une partie de la région historique de Moldavie.
Chișinău, Chisinau Kișinöu (gag) | |
Héraldique |
Drapeau |
Administration | |
---|---|
Pays | Moldavie |
Maire | Ion Ceban |
Code postal | MD-20xx |
Plaque d'immatriculation | C |
Indicatif | 22 |
Démographie | |
Gentilé | Chisinéen, Chisinéenne |
Population | 492 894 hab. (2011) |
Densité | 4 107 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 00′ 00″ nord, 28° 55′ 00″ est |
Altitude | 85 m |
Superficie | 12 000 ha = 120 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.chisinau.md |
Noms
Les hypothèses linguistiques placent l’émergence du nom et de la localité dans le contexte des attaques des Tatars contre la principauté de Moldavie, alors alliée de la Hongrie. En 1436, sur le flanc (ou côté) sud de la grand-route qui longe la rive droite de la rivière Bîc, menant du Khanat de Crimée (et avant, de la Horde d'or) vers le cœur de la principauté, le prince Iliaș posta un fortin de soldats Sicules (Magyars de Transylvanie) pour faire face aux attaques venues de l’Est. Les fondations de ce fortin supportent l’actuelle église de Mazarache (ro). Dans les langues oghoures, « flanc » ou « côté » se dit yänäk[4] et le nom sicule Kis-Jenő (/ˈkiʃ.jɛ.nøː/, Chișinău en moldave[5]) signifierait donc « le petit flanc ».
Durant la période communiste, l’étymologie qui a été proposée par les philologues soviétiques combinait le tatar kychla (« hivernage ») au moldave nouă (« nouvelle »)[6] mais cette thèse a été abandonnée depuis. Une autre étymologie, proposée par le philologue roumain Iorgu Iordan, partait des mots magyars Kis-Jenő interprétés par lui comme signifiant « petite-source » ou « petit-Eugène ». Pendant les périodes russe (1812-1917) et soviétique (1940-1941 et 1944-1991), Chisinau était désignée à l’étranger sous le nom russifié de Кишинёв (Kichinev) et est encore ainsi désignée dans les pays de la CEI et par la IATA.
Géographie
Chișinău se situe au centre de la République de Moldavie. La municipalité se situe sur sept collines et s’étend sur 120 km2.
Structure géologique
La ville est située dans la partie centrale d’une structure géologique de l’Europe du Sud-Est, dont le socle est constitué de boucliers de granit et de gneiss protérozoïques et paléozoïques (boucliers pannonien, moesien et, en Moldavie, scythique), d'une profondeur d’env. 1 150 m en dessous du niveau de la mer. La partie supérieure de la stratigraphie de cette structure est représentée par des roches sédimentaires du Silurien précoce, Dévonien, Mésozoïque (avec localement des hiatus (de)), Paléogène et Néogène. L’érosion récente entaille l’argile, le lœss, les sables et calcaires lacustres du Cénozoïque supérieur. Du nord au sud, la ville est traversée par une couche de récifs marins tropicaux développés au Sarmatien (équivalent local du Miocène moyen et supérieur). Des couches d'argile, lœss et de sable sont présentes dans toute la ville, à une profondeur de 2 à 30 m. Sur les pentes de la vallée de la rivière Bîc se trouvent des terrasses alluviales d’une largeur allant jusqu’à 1,3 m. Des perturbations tectoniques mineures (glissements de terrain à la suite de la déglaciation post-würmienne ou à des séismes) ont été enregistrées au nord-ouest de la ville.
Les richesses minérales
Sur le territoire de Chișinău et de ses environs se trouvent de nombreux gisements de matières premières destinés à la construction : de la chaux, du calcaire, de la pierre brute, de l'argile, du sable, du gravier. Cinq carrières de pierre et de chaux sont exploités : Mileștii Mici, Chișinău, Făurești, Goian, Cărămida. Les tuiles sont fabriquées à partir de matières premières extraites des carrières de Bubuieci et Mileștii Mici et à partir de sable, de cailloux et de gravier extraits à Cobușca et Vadul-lui-Vodă.
De même, dans la ville sont exploitées d’autres ressources qui sont utilisées dans la production de semi-conducteurs, l’industrie de la microélectronique. L’exploitation des gisements de ces mines est effectuée par la s.a. Mezon.
Hydrographie
Les cours d’eau coulant à Chișinău proviennent du bassin du Dniestr notamment, le plus important, le Bîc. Cette rivière a une longueur de 155 km et s’écoule dans le Dniestr à 1 km du village Gura Bîcului dans le district d’Anenii Noi.
Les réserves d’eau souterraine de la municipalité de Chișinău permettent l’approvisionnement partiel de l’eau potable dans la ville. Sur la quantité totale d’eau utilisée, 20 % provient des eaux phréatiques. Les nappes phréatiques provenant des couches du Sarmatien sont des eaux minérales, utilisables pour le traitement des maladies gastro-intestinales.
Dans la banlieue, des réservoirs d’eau de la ville ont été aménagés à partir des villes de Ghidighici et Ialoveni, conçus comme des bases de loisirs.
Au début des années 1950, dans la vallée des Moulins (Valea Morilor) au sud-ouest de Chișinău a été créé un lac de barrage baptisé Komsomol (aujourd’hui Valea Morilor) d’une superficie est de 34 hectares. Autour, une allée circulaire de 2,5 km du parc de Valea Morilor fait le tour du lac, sur lequel les Chisinéens font du canotage et de la voile.
La partie centrale du parc de la vallée des Roses (Valea Trandafirilor), parc situé à Botanica, est aussi décorée de lacs et d’une cascade. L’étendue d’eau est de 9 hectares.
Le parc Izvor s’étend sur 150 hectares : créé en 1972, il est également composé de cascades et d’étangs.
En tout, il y a 23 lacs répartis autour du centre-ville, offrant à Chișinău des espaces de loisir et de détente.
Climat
Le climat de Chișinău est tempéré continental, la ville est située dans la zone « Dfb ». En hiver la température moyenne descend jusqu’à −2,5 °C en janvier et l’été elle grimpe jusqu’à 20,8 °C en juillet. La neige recouvre le sol en moyenne 63 jours par an. L’été est la saison qui reçoit le plus de précipitations, sous forme d’orages principalement.
- Température record la plus froide : −36 °C (février 2015)
- Température record la plus chaude : 39,4 °C (juillet 1907)
- Nombre moyen de jours avec de la neige dans l'année : 53
- Nombre moyen de jours de pluie dans l'année : 128
- Nombre moyen de jours avec de l'orage dans l'année : 33
- Nombre moyen de jours avec tempête de neige dans l'année : 3
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −4,3 | −3,6 | 0,2 | 5,9 | 11,6 | 15,2 | 17,3 | 16,9 | 12 | 6,8 | 1,6 | −2,8 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | −1,9 | −0,8 | 3,7 | 10,4 | 16,5 | 19,9 | 22,1 | 21,7 | 16,3 | 10,5 | 4,1 | −0,6 | 10,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 0,9 | 2,6 | 8,1 | 15,4 | 22 | 25,2 | 27,5 | 27,2 | 21,5 | 15,1 | 7,5 | 2,3 | 14,6 |
Précipitations (mm) | 36 | 31 | 34 | 39 | 46 | 65 | 62 | 56 | 62 | 36 | 37 | 39 | 543 |
Nombre de jours avec précipitations | 8 | 7 | 11 | 13 | 14 | 14 | 12 | 10 | 10 | 10 | 11 | 9 | 129 |
Voies de communications et transports
L’agglomération possède un réseau de bus et de trolleys, avec une vingtaine de lignes. Le transport urbain est en outre assuré par des taxis collectifs suivant des trajets précis mais s’arrêtant à la demande.
Une gare ferroviaire internationale permet des connexions vers Bucarest, Kiev, Minsk, Odessa, Moscou, Samara, Varna et Saint-Pétersbourg. Des lignes interurbaines d'autocars desservent les autres principales villes du pays et des lignes internationales relient Chișinău à Odessa en Ukraine et Bucarest en Roumanie.
L’autoroute M14, qui relie les villes ukrainiennes d’Odessa au sud-est, à Cernăuți au nord-ouest, traverse la Moldavie et passe au nord-est de Chișinău[7].
Chișinău possède un aéroport international d’une capacité de 1 200 000 passagers par an, dont le code IATA est KIV[8]. L’aéroport comporte une piste de 3 kilomètres.
Histoire
À l’abri du fortin de Kis-Jenő s’éleva aux alentours du XVe siècle la bourgade moldave de Chișinău où les paysans et les viticulteurs des environs tenaient marché. Les historiens n’ont pas de réponse précise quant à la date où commence l’histoire de la ville, mais le nom Кішіɴъȣ (Chișinău) est mentionné dans une charte datant du d’un prince de Moldavie, à savoir Alexandre le Bon, successeur d'Iliaș.
Il est probable que l’histoire de la ville commence avant cette époque mais elle ne se distinguait pas de celle des villages alentour. Un certain nombre de documents datant de XVIe et XVIIe siècles présentent le bourg, orthographié Кішіɴъȣ, Kischenau, Kiszinou ou Chiscinao, comme un simple marché sans rôle politique notable. Dans les anciennes cartes de la principauté de Moldavie, comme sur la carte de Reicherstorf de 1541 ou celle Iacobo Castaldo en 1584, Chișinău n’apparaît pas, alors que figurent des villes comme Orhei, Tighina (Teghenaccio), Lăpușna (ro), Soroca ou Hotin. Toutefois, le bourg prend de l’importance au fil des siècles car les différends fonciers portant sur des sources, des moulins à vent ou à eau, initialement arbitrés par les magistrats moldaves de Lăpușna (ro), capitale du Ținut (comté moldave) dont dépendait Chișinău, le sont ensuite par les princes de Moldavie eux-mêmes, et finalement par l’Assemblée moldave (Sfatul domnesc). D’ailleurs l’extension du bourg au-delà de ses premières limites provoque les plaintes des villageois voisins. Ainsi, le prince de Moldavie Vasile Lupu envoie, le , les principaux magistrats de Lăpușna « au village de Chișinău pour y faire justice »[9].
Chișinău, présentée par les voyageurs comme une ville médiévale à l’aspect rural, a brûlé en 1739, 1788, 1789 et 1793, au point qu’une partie de la population a été contrainte de migrer à Buiucani. Malgré les incendies, les rues irrégulières et les logis dispersés, malgré les guerres russo-turques, malgré les rivalités voisines, la ville continue de se développer et englobe les villages alentour.
Le traité de Bucarest de 1812 scelle la partition de la Moldavie (toujours d’actualité au début du XXIe siècle) et l’annexion de sa moitié orientale par l’Empire russe qui en fait son gouvernement de Bessarabie, dont Chișinău devient la capitale sous le nom russifié de Kichinev (en russe : Кишинёв, également transcrit Kichiniov). En fait, pour donner une capitale impériale à leur nouvelle province (dirigée au début de manière autonome et selon le droit moldave par le hospodar Scarlat Sturdza (ro)), les autorités russes adjoignent cinq villages voisins au bourg de Chișinău (initialement situé autour de la butte où s’élève l’église Măzărache (ro)) : Buiucani-Vovinţeni fusionnés, Hrușca, Visterniceni, et ultérieurement Râșcani et Muncești. Ce regroupement en une seule municipalité s’accompagne de la construction, sur le plateau au-dessus du vieux bourg moldave, d’une ville nouvelle en damier peuplée de colons venus de tout l’Empire russe : russes bien sûr (surtout fonctionnaires et militaires), mais aussi ukrainiens (ouvriers, jardiniers), juifs (commerçants, artisans), arméniens (idem), allemands (charpentiers, menuisiers, maçons...) ou polonais (idem)[10].
En 1834, est établi un plan hippodamien pour la nouvelle ville, aux rues se coupant à angle droit. L’un des principaux architectes de la seconde moitié du XIXe siècle est Alessandro Bernardazzi (Alexandru Bernardații en moldave, Александр Осипович Бернардаций en russe), d'origine tessinoise mais né en Russie, auteur entre autres de l'Hôtel de ville de Chișinău).
Durant le XIXe siècle, les Russes construisent des casernes, des bâtiments administratifs, une cathédrale russe et le chemin de fer pour écouler les produits agricoles vers Odessa. Après plusieurs années de sécheresse, la situation économique se dégrade ; en 1903 et 1905 ont lieu deux pogroms, prélude aux assassinats de Juifs[11] pendant la Seconde Guerre mondiale, une trentaine d'années plus tard.
La population de la ville reste très cosmopolite jusqu’en 1940 (avec de nombreux réfugiés russes blancs, juifs, grecs fuyant l’URSS, ukrainiens fuyant la famine et arméniens fuyant l’Asie mineure, pris en charge par l’Office international Nansen pour les réfugiés)[12]. Les déportations et les massacres des années 1940-1950 par les régimes fasciste roumain et stalinien soviétique diminuent la population ; cette diminution est numériquement compensée à partir de 1945 par l’afflux de Russes, Ukrainiens et Juifs venus de toute l’URSS et de Moldaves venus de la campagne environnante[13].
La ville est la plus grande du pays avec 752 000 habitants en 2002 et 469 000 habitants en 2014. C’est un important centre industriel et tertiaire (commerces, services).
Politique et administration
Organisation administrative
La ville comprend les cinq arrondissements du Centre, de Buiucani, de Botanica, de Rîșcani et de Ciocana.
L'agglomération du Grand Chișinău comprend 18 communes, la municipalité elle-même, six villes et trois villages.
Liste des maires
Cette liste est donnée à titre indicatif en raison de la variabilité des translittérations des noms et du fait que certains maires ont effectué plusieurs mandats en alternance les uns avec les autres. Il n'y a eu de maires élus que dans les périodes 1917-1928 et depuis 1991 ; en dehors de ces périodes, ils étaient nommés soit par le gouvernement impérial russe, soit par le gouvernement roumain. En Union soviétique, la fonction de maire n'existait pas avant 1986 et l'administration de la ville était assurée par les secrétaires généraux des échelons locaux du PCUS.
Jumelages
La ville de Chișinău est jumelée avec[15] :
La ville de Chișinău possède des accords de partenariats avec :
- Moscou (Russie) depuis le ;
- Comté d'Hampshire (Angleterre) depuis le ;
- Jérusalem (Israël) depuis le ;
- Saratov (Russie) depuis le ;
- Città di Castello (Italie) depuis le ;
- Noursoultan (Kazakhstan) depuis le ;
- Damas (Syrie) depuis le ;
- Toula (Russie) depuis le ;
- Kherson (Ukraine) depuis le ;
- Rome (Italie) depuis le . Seulement avec le Municipio XVII ;
- Vilnius (Lituanie) depuis le ;
- Voïvodie de Lubusz (Pologne) depuis le ;
- Pitești (Roumanie) depuis le .
Population et société
Démographie
Évolution de la population | ||
---|---|---|
Année | Pop. | ±% |
1959 | 258 910 | — |
1970 | 415 956 | +60.7% |
1979 | 589 140 | +41.6% |
1989 | 770 948 | +30.9% |
2004 | 712 218 | −7.6% |
2014 | 469 402 | −34.1% |
Source : Recensements[16] |
Groupe ethnique | % |
---|---|
Moldaves et Roumains | 81,7 |
Russes | 9,3 |
Ukrainiens | 5,9 |
Autres | 1,3 |
Bulgares | 1,1 |
Gagaouzes | 0,7 |
Roms | 0,1 |
Enseignement
Il existait entre les deux guerres mondiales à Chișinău ; un lycée français général Berthelot, une faculté de lettres et philologie et un séminaire orthodoxe, mais l'université d'État de Moldavie (en roumain : Universitatea de Stat din Moldova) a été ouverte en 1946 et dispense aujourd’hui treize cours.
Sports
Quatre clubs de football évoluent en première division du championnat moldave : le FC Zimbru Chișinău, le FC Dacia Chișinău le FC Academia Chișinău et le CSCA-Rapid Chișinău. Le stade Zimbru est l'enceinte sportive principale de la ville.
La commune voit également la création d' un club de rugby à XIII en 2020 pour disputer l'Euro XIII, une coupe d'Europe inter clubs : Les Scorpions de Chisinau[17].
Économie
Chișinău est la ville la plus industrialisée et la plus importante économiquement de la Moldavie.
Culture locale et patrimoine
Fête annuelle de la ville
Lieux et monuments
Galerie de photos
- Arc de triomphe et cathédrale orthodoxe dans le centre de Chișinău.
- Hôtel de ville de Chișinău.
- La vallée de la roseraie (Valea Trandafirilor) dans l'arrondissement de « Botanica » (ancien jardin botanique, devenu quartier de HLM).
- Monument à Étienne III de Moldavie (Ştefan cel Mare).
- Parc Ştefan cel Mare.
- Lac Valea Morilor.
- Palatul Republicii.
- Palais présidentiel.
- Hôtel « Cosmos ».
- Eternitate.
Notes et références
- La langue officielle de la Moldavie a une double dénomination légale :
- « Roumain » (limba română /ˈlimba roˈmɨnə/) aux termes de la déclaration d’indépendance de 1991 et de l’arrêt no 36 de la Cour constitutionnelle du 5 décembre 2013 (source : ) ;
- « Moldave » (limba moldovenească /ˈlimba moldovenˈe̯ascə/) selon l’article 13 de la Constitution : Constitution de la République de Moldavie)
- L'usage des diacritiques étrangères n'est pas recommandé par la Commission d'enrichissement de la langue française : JO du 24 septembre 2008 ; toutefois, cette recommandation vaut surtout pour les noms communs.
- Orthographe habituelle dans les textes en français entre 1945 et 1991.
- (hu) Gyula Kristó (dir.), Pál Engel et Ferenc Makk, Korai magyar történeti lexikon : 9-14. század [« Encyclopédie des premiers temps de l'histoire hongroise (9e-14e siècles) »], Budapest, Akadémiai, , 753 p. (ISBN 963-05-6722-9).
- Selon l'historien Ștefan Ciobanu (en), et aussi (ro) « Istoria Orașului I » (version du 1 mars 2012 sur l'Internet Archive), sur BasarabiaVeche.com.
- Grande Encyclopédie soviétique, éditions successives.
- réseau routier sur via michelin
- aéroport de la ville
- (ro) « Istoria orașului în general », sur Chișinău, orașul meu (consulté le ).
- Présentant Chișinău à un visiteur français, le géographe russe Zastchouk lui dit : « C'est notre Far West ici » : A. Zastchouk: La Province de Bessarabie : matériaux pour la géographie et la statistique de l'Empire, Saint-Pétersbourg 1862 ; voir aussi (ro) « Istoria orașului în general », sur Chișinău, orașul meu (consulté le ).
- Memories of the Holocaust: Kishinev (1941-1944) sur jewishvirtuallibrary.org Les pogroms et la Seconde Guerre mondiale.
- Anthony Babel, La Bessarabie, Félix Alcan, Genève, 1936.
- Nikolaï Feodorovitch Bugaï, Депортация народов из Украины, Белоруссии и Молдавии // Лагеря, принудительный труд и депортация. Германия. Эссен. 1999. (1.3) : La Déportation des peuples d'Ukraine, de Biélorussie et Moldavie, Essen (Allemagne) : Dittmar Dahlmann et Gerhard Hirschfeld, 1999, p. 567-581.
- Karl Schmidt en tant que maire
- Orașe înfrățite
- (ro) « Caracteristici - Populație 1 (populația pe raioane, sexe, vârste, etnie, limba maternă, limba vorbită) », sur statistica.md.
- Nicolas Jacquemard, « 12ème équipe dévoilée par l'Euro XIII, un 12ème pays représenté », sur Treize Mondial, (consulté le ) : « La douzième équipe est les Chisinau Scorpions, une équipe moldave créée pour relancer le rugby à XIII dans le pays. »
- Musée national d’ethnographie et d’histoire naturelle
Voir aussi
Bibliographie
- (en) Andrei Brezianu et Vlad Spânu, The A to Z of Moldova, Scarecrow Press, , 444 p. (ISBN 978-0-8108-7211-0, lire en ligne)
- (en) Katrin Klingan et Ines Kappert, Leap into the city : Chișinău, Sofia, Pristina, Sarajevo, Warsaw, Zagreb, Ljubljana : cultural positions, political conditions : seven scenes from Europe, Cologne, DuMont Literatur und Kunst Verlag, , 597 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
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