Buxy

Buxy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Buxy

Une des rues principales du centre du village.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Sud Côte Chalonnaise
(siège)
Maire
Mandat
Dominique Lanoiselet
2020-2026
Code postal 71390
Code commune 71070
Démographie
Gentilé Buxinois[1], Buxynois[2]
Population
municipale
2 132 hab. (2018 )
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 42′ 45″ nord, 4° 41′ 50″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 430 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Buxy
(ville isolée)
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Buxy
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Buxy
Géolocalisation sur la carte : France
Buxy
Géolocalisation sur la carte : France
Buxy
Liens
Site web buxy.fr

    Géographie

    Situé à une vingtaine de kilomètres de Chalon-sur-Saône, Buxy est un village viticole de la côte chalonnaise.

    Communes limitrophes

    Accès et transports

    Le village est situé à proximité de grands axes de circulation, à 15 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), 18 kilomètres de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, 6 kilomètres de la route nationale 80 (RCEA) Chalon-Moulins, et à une vingtaine de kilomètres de la LGV Sud-Est (TGV) (gare du Creusot TGV).

    Bus

    La ligne LR701 du réseau régional de cars « Mobigo » reliant Chalon à Mâcon via Cluny, dessert plusieurs arrêts à Buxy (gare, collège et centre).

    Géologie et relief

    Le Trias inférieur gréseux affleure le village, et est en contact avec des calcaires du Kimméridgien supérieur[3]. D'une altitude de 196 mètres à 428 mètres, l'escarpement est prononcé par endroits.

    Hydrographie

    Les principaux cours d'eau sont la Corne, la rivière des Curles et le Loup Poutet.

    Climat

    C'est un climat tempéré à légère tendance continentale, avec étés chauds et hivers froids[4], et une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogènes sur l'année, le mois de mai étant le plus arrosé. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Les gelées tardives, sont peu fréquentes sur le vignoble en général. Il y a bien quelques lieux-dits, où les risques de gelées sont plus importants (on parle de zones gélives). De violents orages peuvent s'abattre sur ce vignoble, avec parfois de la grêle.

    Valeurs climatiques de Mâcon, car Buxy est situé au nord de cette ville.

    Mâcon

    Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :

    Relevés Mâcon 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6
    Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2
    Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4
    Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[5]

    Urbanisme

    Typologie

    Buxy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Buxy, une unité urbaine monocommunale[9] de 2 136 habitants en 2017, constituant une ville isolée[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (22,8 %), cultures permanentes (13,5 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (8,5 %), forêts (6,7 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    C'est au Xe siècle que le nom de Buxy (Buxum, Buxiacum puis Bussiacum auparavant) apparaît officiellement, peut-être à cause des buis qui l'entourent.

    Malgré son étymologie, on prononce /byksi/. Selon Jean-François Bazin dans L’Almanach bourguignon (émission de la radio RCF en Bourgogne), Buxy est le seul nom d’une commune située sur le territoire de l’ancienne province bourguignonne comportant un X en milieu de nom où ce X se prononce /ks/ (le X dans Aloxe-Corton, Auxant, Auxerre, Auxey-Duresses, Auxonne, Auxy, Bissy-sous-Uxelles, Fixin, Franxault, Maxilly-sur-Saône, Semur-en-Auxois, Uxeau, etc. se prononçant /s/). Ce même Jean-François Bazin écrit dans Le Vin de Bourgogne : « le Bourguignon a en horreur les x gutturaux. Il adoucit tout : Fixin se prononce Fissin, Auxey Aussey, Auxerrois Ausserrois, etc. En revanche, on bute sur le x de Buxy : Buk-sy ».

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Le site fut vraisemblablement connu de l'Homme de Néandertal (grottes de Culles les Roches)[16],[17], et leurs successeurs de l'époque de Hallstatt (traces). L'occupation romaine y est présente (site de Granges)[18]. La christianisation a commencé très tôt, vers le Ve siècle.

    Les comtes de Chalon

    Après les invasions barbares et celle des Arabes, Buxy passe sous la dépendance des comtes de Chalon (sur Saône). Au Xe siècle, Buxy est un vicus. Buxy est alors le siège d'une prévôté dépendant des comtes. Les conflits entre le roi de France et les comtes amènent le village à se fortifier à partir du XIIe siècle. L'église romane est construite à cette époque (église Saint-Germain-l'Auxerrois)[18]. Les templiers s'installent dans la région vers 1185 (demeure templière de Jully). Dans le procès de 1310, Martin, de Buxy, un templier de cette maison, fut entendu comme témoin. En 1204, Béatrice de Chalon (1174 - † 7 avril 1227), dite Béatrice de Thiers, comtesse de Chalon, octroie une charte précisant les droits et devoirs des habitants de Buxy. Les Buxynois sauront faire valoir leurs droits, même devant plus puissants qu'eux. C'est la véritable naissance de la municipalité buxynoise. En 1237, le Chalonnais passe entre les mains du duc de Bourgogne Hugues IV[19], par échange avec la principauté de Salins.

    Les juifs à Buxy

    Jusqu'au XIVe siècle, une importante communauté juive réside à Buxy[20], cour Marmagne. Ils sont chassés du royaume en 1306, par Philippe le Bel.

    Les ducs de Bourgogne

    Le bourg a toujours eu l'attention des ducs. En 1318, le duc Eudes IV octroie un droit de passage au milieu du village, pour les voyageurs allant de Beaune à Cluny.

    Buxy souffre de la Guerre de Cent Ans, et les buxynois prennent part aux combats. Vers 1360, ils vont lutter contre la bande des écorcheurs, hommes de guerre à gages que le traité de Brétigny jette sur les routes, et qui rançonnent le pays. Malgré ses murailles, Buxy est difficilement défendable, faute d'hommes pour le faire, ceux-ci étant employés à lutter contre les troupes royales, commandées par Rodrigue de Villandrando.

    La fin de la guerre de Cent Ans laisse le bourg exsangue, d'autant plus que les écorcheurs font un retour bref mais sanglant. Les derniers ducs de Bourgogne rendent un peu de calme et de prospérité à la région, mais c'est sans compter sur le désir du roi de France Louis XI, en lutte contre Charles le Téméraire.

    Buxy est donc le lieu d'une bataille entre l'armée bourguignonne, basée à Chalon-sur-Saône, composée de nobles et de mercenaires en majorité allemands, et les troupes royales recrutées dans le Dauphiné, la vallée du Rhône et venant de Saint Gengoux-le-Royal.

    Le 14 mars 1471, à la bataille de Buxy, des milliers d'hommes de guerre s'affrontent[16]. Après une issue incertaine, les troupes royales semblent l'emporter.

    La période des rois de France

    Après la mort de Charles le Téméraire en 1477, le duché tombe entre les mains des rois de France (Louis XI)[19]. Leur première décision est de faire disparaître ce qui rappelle la gestion des ducs. Les murailles de Buxy sont laissées à l'abandon, et les habitants construisent sur les remparts.

    Le roi se réserve d'accorder, à titre de récompense, les revenus des droits seigneuriaux de la prévôté de Buxy. Ces seigneurs deviennent des seigneurs engagistes, mais jamais seigneurs de Buxy.

    Dans la lignée des personnages importants ayant reçu Buxy, citons entre autres Marie de Savoye, fille de Yolande de France et d'Amédée IX, marquise de Rothelin par son mariage avec Philippe de Bade-Hochberg-Neuchâtel, puis ses descendants de la famille de Hochebourg. En succession (cf. Jeanne), Buxy passe dans la famille de Longueville, à la Princesse de Condé, Françoise d'Orléans[19], suivie par Charles de Bourbon. La veuve de Charles de Bourbon cède la terre de Buxy à Jacques du Blé, marquis d'Uxelles pendant environ un siècle. Les biens de Nicolas du Blé sont attribués au marquis de Beringhem, gouverneur de Chalon. Celui-ci vend Buxy à François Henrion de Pressey, gouverneur des pages de la chambre du roi, et trésorier de France en Bourgogne. Son fils aîné Camille est le dernier seigneur de Buxy qu'il quitte, criblé de dettes.

    Dans les réformes engagées par le roi de France, la nomination des curés par les évêques, en dehors, bien souvent, de la paroisse de Buxy, crée, en particulier, des dissensions favorables à l'introduction du protestantisme. La localité est d'ailleurs relativement protégée lors des guerres de religion (refuge d'une partie des protestants du Chalonnais)[21]. Seule l'incursion de troupes protestantes, sous la conduite de l'amiral de Coligny, ayant avec lui le jeune prince de Béarn (futur Henri IV) et de Condé, amène l'incendie d'une partie de l'église et la destruction des archives (1570 ou 1575).

    Les protestants à Buxy

    La réforme calviniste a très tôt un grand nombre d'adhérents à Buxy, pour la plupart issus de classes aisées ou dirigeantes. Ils représentent jusqu'au tiers de la population.

    Plusieurs synodes provinciaux se tiennent à Buxy entre 1604 et 1671. Un temple est érigé dans une maison léguée par Humbert Perrault, protestant notoire. La séparation catholiques et protestants ne semble pourtant alors pas très marquée : le notaire Abraham Cornu, protestant, gère les biens des moines de Cluny et de la Ferté. Après la révocation de l'édit de Nantes, les protestants sont victimes de persécutions. Certains émigrent en Suisse, comme la famille Delagrange dont seront issus plusieurs architectes, d'autres se rallient, peut-être sous la contrainte, au catholicisme : en 1730, dit l'abbé Courtépée, on ne connaît plus de calvinistes à Buxy.

    La Révolution et l'époque Napoléonienne

    Buxy ne reste pas à l'écart de la Révolution française : une milice bourgeoise est créée le 24 juillet 1789. Elle devient la Garde nationale et est armée jusqu'en 1792, l'entraînement se faisant sur le Champ de Mars, l'actuelle place de Baranges.

    La fête de la fédération du 14 juillet 1790 est célébrée par une messe solennelle, suivie du serment patriotique.

    À la création du département de Saône-et-Loire, Buxy devient chef-lieu de canton.

    Après la destruction de ce qui rappelle la féodalité (terriers, titres...), vient la période des perquisitions, ventes des biens du clergé et émigrés, avec arrestations et réquisitions. Mais la population ne s'engage pas réellement à la suite des révolutionnaires, peu nombreux.

    Buxy participe à l'effort de guerre, ce qui permet à un enfant du pays, Charles-Claude Meuziau, de devenir général et baron d'Empire, puis plus tard baron héréditaire.

    Après Thermidor, l'église est rendue au culte.

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune porte provisoirement les noms de Buxy-le-National et de Grand-Buxy[22].

    À la fin de l'Empire, la France est envahie et Buxy se mobilise pour résister à l'invasion. Le village sera occupé par les Autrichiens en 1814 et 1815 après Waterloo. Buxy devient provisoirement Buxy-le-Royal de 1816 à 1822[23].

    Le XIXe siècle

    Au cours de ce siècle s'organisent les principaux services publics :

    • 1826 : organisation d'un service incendie et en 1848 de la Compagnie des sapeurs-pompiers.
    • 1831 : organisation de la garde nationale.
    • 1832 : après l'épidémie de choléra, création d'un service de salubrité et organisation de l'enlèvement régulier des immondices et des fumiers.
    • 1844 : installation d'une brigade de gendarmerie à Buxy[24].
    • 1861 : fondation des sociétés de secours mutuels et de la société de secours mutuels des vignerons.
    • 1866 : début de l'éclairage public, qui devient électrique en 1913.
    • 1880 : fondation de l'hôpital.
    • 1888 : arrivée du chemin de fer.

    Au sommet de la Chaume, à 429 mètres d'altitude, Buxy dispose durant toute la première moitié du XIXe siècle d'une « station » (ou « poste télégraphique aérien ») du télégraphe Chappe implantée le long de l'« embranchement » reliant Chalon-sur-Saône à la ligne Paris-Toulon, installation qui cesse de fonctionner en 1853, remplacée par la télégraphie électrique[25]. Le sommet de la colline est par la suite exploité en carrière, au plus tard à partir de 1973[26].

    La fin de ce siècle voit le phylloxéra toucher durement le vignoble[21].

    Le XXe siècle

    Il se caractérise par les deux guerres : celle de 1914-1918, qui fait de nombreuses victimes parmi les poilus du bourg ; et celle de 1939-1945, qui se caractérise par l'entrée des troupes allemandes le , avec une résistance remarquée des soldats français, et des dégâts matériels. Peu après, en , la ligne de démarcation coupe le canton de Buxy en deux[21]. La présence du camp d'observation aérienne de Montagny-les-Buxy est la cause de nombreux désagréments dans la population, avec comme exemple le massacre de résistants et de civils en au hameau voisin de Neuilly[21]. La libération de Buxy, par des troupes oranaises et de l'empire (colonial), et non des soldats américains comme certains l'ont cru, se fait sans dommages.

    1930 : fondation de la coopérative vinicole de Buxy, avec Henri Ozanon, maire de Romenay, pour président[27].

    Création de l'appellation Montagny en 1936, dont la commune fait partie[28]. En 1954, l'eau courante arrive à Buxy[16].

    En 1993, la Société d'astronomie de Saône-et-Loire s'installe à son tour sur la colline de la Chaume, y construisant un observatoire[29]. En 2018, Jean-Claude Merlin fait don à l'observatoire du télescope qu'il a construit en 1985 et initialement installé près du Creusot[30],[31].

    Le XXIe siècle

    En 2002, la commune avec Montagny-lès-Buxy, Saint-Vallerin et Jully-lès-Buxy, accueille la Saint-Vincent Tournante pour l'appellation Montagny[32]. Avec la canicule de 2003, les vendanges débutent pour certains domaines cette année-là à la mi-août, soit avec un mois d'avance, des vendanges très précoces qui ne s'étaient pas vues depuis 1422 et 1865 d'après les archives[33].

    En mai 2018, la petite planète (375007) Buxy découverte par Jean-Claude Merlin est baptisée « Buxy ».

    L'hôpital Saint-Lazare-de-Jérusalem

    On ignore à quelle date cet hôpital fut fondé à Buxy, mais l'abbé Courtépée le cite en 1454 comme léproserie. Il était situé sur l'actuelle place de Baranges. Il fut réuni à l'hôpital de Tournus[19] vers 1696, moyennant deux lits pour les pauvres de Buxy. Cette réunion dura jusqu'en 1880, et en 1883, un hôpital fut construit à Buxy. C'est l'actuelle maison de retraite.

    Héraldique

    Blason
    De sinople à la grappe de raisin d’or ; au chef du même chargé d’une branche de buis de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Buxy est une commune qui vote très légèrement à droite. Depuis 1997, la droite est arrivé en tête dans 10 élections et la gauche, dans 8 scrutins[34],[35],[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43],[44],[45],[46],[47],[48],[49],[50],[51].

    Trois élections ont concerné deux personnes du village, avec André Gentien et Dominique Lanoiselet :

    Cantonales 2008

    Au premier tour à Buxy, pour le canton de Buxy, Dominique Lanoiselet (UMP), arrive en tête avec 49,20 %, suivi du socialiste Daniel Basset (38,18 %)[37]. Au deuxième tour, Dominique Lanoiselet l'emporte avec 55,65 %, contre 44,35 % au socialiste[37]. Dominique Lanoiselet est élue sur le canton (51,45 %)[38].

    Cantonale 2001

    Au premier tour, pour le canton de Buxy, André Gentien (RPR), le conseiller général sortant, l'emporte au premier tour dans la commune et dans le canton avec 51,08 %, suivi du socialiste Daniel Nicolas (20,09 %), de l'écologiste Marie-Claude Colin-Cordier (14,18 %)[49].

    Cantonale 1994

    Au premier tour, pour le canton de Buxy, André Gentien (RPR), arrive en tête au premier tour dans la commune et dans le canton avec 31,19 %, suivi du conseiller général sortant (RPR) Jean Rigoulot (19,27 %), du socialiste Gérard Maitre (19,15 %), de Joël Juillet (droite) (16,66 %), de M. Chevalier (10,62 %) et de M. Clerget (3,11 %)[49]. André Gentien l'emporte au second tour.

    Administration municipale

    Buxy dépend de l'arrondissement de Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 19 membres conformément à l'article L. 2121-2 du Code général des collectivités territoriales[52]. À l'issue des Élections Municipales de 2014, Dominique Lanoiselet est réélue Maire de Buxy.

    Listes des maires

    Liste non exhaustive des prévôts
    Période Identité Étiquette Qualité
    1386   Guillaume Duchemin[53]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1864 1866 Charles Dariot   Juge de paix
    Conseiller général du canton de Buxy (1855 → 1871)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1959 mars 1965 M. Violot    
    mars 1965 mars 1971 Marcel Legros RI Viticulteur
    Sénateur de Saône-et-Loire (1958 → 1971)
    Conseiller général du canton de Buxy (1951 → 1970)
    Ancien maire de Saint-Vallerin (1959 → 1965)
    mars 1971 mars 1989 Lucienne Claustre PS Institutrice
    mars 1989 mars 2008 André Gentien RPR puis UMP Chef d'entreprise Député de la 5e circonscription de Saône-et-Loire (1995 → 1997 puis 2002)
    Conseiller général du canton de Buxy (1994 → 2008)
    mars 2008 En cours Dominique Lanoiselet UMP-LR Infirmière libérale
    Conseillère générale du canton de Buxy (2008 → 2015)
    Conseillère départementale du canton de Givry (2015 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Canton et intercommunalité

    Jusqu'en 2015, cette commune était le chef-lieu du canton de Buxy, comptant 8 490 habitants en 2006, et dont Dominique Lanoiselet a été la dernière conseillère générale de 2008 à 2015. Depuis 2015, Buxy appartient au canton de Givry.

    En ce qui concerne l'intercommunalité, le village fait partie de la Communauté de communes du Sud de la Côte chalonnaise depuis 2000.

    Instances judiciaires et administratives

    Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi de la commune de Chalon-sur-Saône, qui possède un tribunal d'instance, un tribunal de grande instance, un tribunal de commerce et un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et la cour administrative d'appel de Dijon[54].

    Jumelages

    Buxy est jumelée avec Schacht-Audorf (Allemagne)[55].

    Population et société

    Évolution démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].

    En 2018, la commune comptait 2 132 habitants[Note 3], en diminution de 1,84 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6001 6021 7061 6831 7411 9581 9951 9221 896
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9052 0302 1532 0632 0522 0522 0121 9822 013
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9891 8711 8651 6111 5501 5931 5081 4001 368
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 6501 6851 6701 7961 9982 0982 1642 1842 066
    2018 - - - - - - - -
    2 132--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Une école maternelle
    • Trois établissements primaires (l’école primaire « du Nord », « du Centre », l’établissement privé Sainte-Marthe)
    • Un collège (« La Varandaine »)
    • Un établissement spécialisé, institut médico-éducatif pour jeunes en situation de handicap et retard scolaire

    Santé

    Il y a huit médecins généralistes[60], un médecin généraliste à orientation homéopathie[61], trois kinésithérapeutes[62], deux infirmières[63], dentistes et pharmacies[64] sur la commune. Il y a également une maison de retraite (EHPAD du Champ Fleury)[65]. L'hôpital le plus proche se situe à Chalon-sur-Saône.

    Sports

    Une société de gymnastique nommé L'Avenir Gym est créée en 1904[66]. Un club de rugby à XV nommé le RC Buxy, qui évolue en Fédérale 3 pour la saison 2017-2018[67]. Un club de football nommé US Buxy évoluant en 2011-2012, en 1er division de district du pays saônois pour l'équipe première[68]. Un club de basket-ball.

    Il y a aussi des clubs de volley-ball (Buxy Volley Team), judo (Judo Club), badminton (Badminton Loisir), tennis (Tennis Club Buxy) et cyclisme (Amicale Cycle de Buxy)[69].

    Ainsi que deux terrains en herbe, un pour le rugby et un pour le football; un gymnase.

    La 6e étape du Tour de France 2007, entre Semur-en-Auxois et Bourg-en-Bresse, passe par Buxy[70].

    Cultes

    Catholique avec plusieurs autres communes : Paroisse Saint Vincent des Buis.

    Sécurité

    Il y a une gendarmerie.

    Écologie et recyclage

    Cave coopérative de Buxy.

    Économie

    Une des parts importante de l’économie du village, est représentée par la viticulture. L'agriculture est aussi représentée avec deux agriculteurs[71]. Il y a également une activité sur une carrière de pierre[19].

    Buxy compte un supermarché[72], deux supérettes[73] et restaurants, un kebab[74], quatre bars, un salon de thé[75], un hôtel-restaurant[76], cinq chambres d'hôtes[77], trois gîtes[78], deux bureaux de tabac[79], trois salons de coiffure[80], quatre artisans[81], trois garagistes[82], une jardinerie[83], quincaillerie[84]

    Vignoble

    Village viticole rentrant dans l’AOC Montagny. La commune compte deux domaines viticoles et une grosse cave coopérative, appelée cave coopérative de Buxy ou cave des vignerons de Buxy. Elle a été fondée en 1931 et a fusionné en 1970 avec celle de Saint-Gengoux-le-National[85].

    Culture locale et patrimoine

    Classés ou inscrits aux monuments historiques

    Église.

    Autres lieux et monuments

    • Le Châtel de Buxy (ou vieux Buxy) prit forme entre le XIIe et le XVIe siècle. Entouré de murs flanqués de six tours, il contenait une quarantaine de maisons. Il y avait un temple protestant, plusieurs moulins, deux huileries, une blanchisserie, une magnanerie.
    • Châteaux de Cary Potet, les Raveaux, le Cray, et de la tour Bandin (aujourd'hui sur le territoire communal de Montagny-lès-Buxy).
    • Anciennes tours d’enceinte, dont la tour du Roi et la tour Rouge, qui abrite un caveau et restaurant gastronomique.
    • Vestiges des anciennes fortifications.
    • Ruines de l’ancien château fort des Damas (tour de Tenarre).
    • Tours escalier : tour Perrault (1531), tour Perrussot (vers 1550), tour Saccazand.
    • Anciennes maisons de vignerons.
    • Lavoir et source de Barranges.
    • Une maison de retraite récemment construite, près de la voie verte.
    • Musée du vigneron, dans une cave voûtée.
    • Office du tourisme.
    • Siège social de la société Networkvb, fondée par Vincent Barberot.
    • Une bibliothèque municipale gratuite pour tous, offrant de nombreuses animations.

    Patrimoine local

    En loisirs et culture, peuvent être citées les associations comme le « Comité des Fêtes », le « Groupe Folklorique », la « Société d'Histoire », la « Bibliothèque », l'« Ensemble Vocal de Buxy »…[86]

    Espaces verts

    La commune est une ville fleurie récompensée d’une fleur.

    Personnalités liées à la commune

    • Perrault ou Perreaud François (Buxy, 1572 – Thoiry (pays de Gex), 1637), démographe[19], pasteur protestant, auteur d'un traité de démonologie : L'Antidesmon de Mascon.
    • Charles-Claude Meuziau (Buxy, 1771 - Strasbourg, 1834) : général et baron d'Empire en 1810, baron héréditaire en 1817.
    • Colonel Pierre Maufroy (Buxy, 1768 - 1833) : valeureux défenseur de la forteresse de Delfzijl aux Pays-Bas, en 1813-1814. La forteresse résista à un siège de six mois, dont six semaines au-delà du départ de Napoléon pour l'île d'Elbe, auquel le colonel ne voulait pas croire.
    • Paul Grenier (1914-1945), résistant, Compagnon de la Libération
    • Bernard Desbrière (1935 - ), ancien adjoint au maire, ancien conseiller général du canton de Buxy, ancien sénateur de Saône-et-Loire.
    • André Gentien (1938 - 2018), ancien maire et conseiller général du canton de Buxy, également ancien député de la circonscription de Chalon (en remplacement de Dominique Perben, ministre à cette époque). Il est à l'initiative de la voie verte, première réalisation d'envergure de ce type en Europe, contribuant ainsi à l'essor touristique du village. En 2017, lors de l'anniversaire des 20 ans de la Voie verte, il prononce un discours pour sa dernière sortie publique.
    • Robert Rigot (1929 - ), sculpteur, membre de l'Institut de France, premier prix de Rome en 1954, auteur du tympan de l'église[87].
    • Ivan Avoscan (1928 - 2012), sculpteur, auteur des fontaines de la place Saint-Vincent de Chalon-sur-Saône, et de la place du Carcabot à Buxy. Ses sculptures sont aussi présentes à Lyon, sur l'autoroute du Sud (La porte du soleil) et présentes dans le monde entier.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Chaumont, Histoire de Buxy.
    • Albert Rebouillat, Histoire de la ville de Buxy, d'après les archives publiques et particulières, Mâcon, Protat frères, 1914.
    • André Bailly, Histoire de Buxy, 5 volumes, Buxy, Société buxynoise de recherches historiques et scientifiques, 1977-1980.
    • Buxy d'hier à aujourd'hui, Société d'histoire de Buxy.
    • En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, 100 pages, (ISSN 1969-265X).
    • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 p. (ISBN 2-915907-23-4).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
    2. habitants.fr
    3. Terroirs et vins de France. Itinéraires œnologiques et géologiques, Éditions BRGM, Bourgogne (La côte chalonnaise), p. 84.
    4. André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
    5. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Buxy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. [PDF]Site de la mairie de Buxy, Histoire (Buxy dans le temps), consulté le 9 mars 2012.
    17. En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 40.
    18. En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 41.
    19. La Saône-et-Loire ; les 573 communes, Buxy, p. 38.
    20. En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 42.
    21. En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 43.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Buxy », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    23. Registres d'état civil de Buxy.
    24. « Vigne, prévôté, commerce : Buxy », par A. Bailly, revue Images de Saône-et-Loire n° 4 d'avril 1970, p. 17 à 19.
    25. « Le télégraphe Chappe en Saône-et-Loire (1799-1853) », article de Pierre Laffont paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 84 (hiver 1990-1991), pages 17 à 24.
    26. Archive départementale
    27. Par ailleurs président de la Confédération générale des associations viticoles de Bourgogne (fondée en 1907).
    28. Site du BIVB : Montagny, consulté le 19 mars 2012.
    29. Sous la bonne étoile, Typo, 20 avril 2009
    30. En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Quatre villages pour une attachante appellation), p. 48.
    31. La Revue du vin de France n°482S : Le Millésime 2003 en Bourgogne, p. 109.
    32. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Buxy, p. 8.
    33. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Buxy, p. 9.
    34. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Buxy, p. 6.
    35. Site du Ministère de l'Intérieur, page sur les résultats des élections cantonales 2008 sur la commune de Buxy, consulté le 12 mars 2012.
    36. Site du Ministère de l'Intérieur, page sur les résultats des élections cantonales 2008 sur le canton de Buxy, consulté le 12 mars 2012.
    37. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Buxy, p. 17.
    38. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Buxy, p. 20.
    39. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Buxy, p. 17.
    40. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Buxy, p. 20.
    41. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2005, Canton de Buxy, p. 3.
    42. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Buxy, p. 7.
    43. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Buxy, p. 6.
    44. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Buxy, p. 16.
    45. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Buxy, p. 15.
    46. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Buxy, p. 15.
    47. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 12 mars 2001, Canton de Buxy, p. 2.
    48. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Buxy, p. 4.
    49. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Buxy, p. 23.
    50. Article L. 2121-2 du Code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    51. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, charte 139.
    52. « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
    53. Site de la mairie de Buxy, page sur le jumelage avec schacht-audorf, consulté le 12 mars 2012.
    54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    58. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecine générale, p. 427.
    59. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecins générale orientation homéopathie, p. 430.
    60. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Kinésithérapeutes, p. 369.
    61. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Infirmiers, p. 348.
    62. Site de la mairie de Buxy, page sur les professionnels de santé, consulté le 13 mars 2012.
    63. Site de la mairie de Buxy, page sur l'E.H.P.A.D du Champ Fleury, consulté le 20 mars 2012.
    64. Site de l'Avenir Gym de Buxy, consulté le 13 mars 2012.
    65. Site du RC Buxy, consulté le 13 mars 2012.
    66. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 12 mars 2012, pages sports, p. 30.
    67. Site de la mairie de Buxy, page sur les clubs sportifs, consulté le 13 mars 2012.
    68. Site du Tour de France, page sur l'itinéraire de la 6e étape du Tour de France 2007, consulté le 6 juillet 2011.
    69. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Agriculteurs, p. 65.
    70. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Supermarchés et hypermarchés, p. 590.
    71. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Alimentation générale, p. 71.
    72. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les restaurants, consulté le 14 mars 2012.
    73. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les bars-brasseries, consulté le 14 mars 2012.
    74. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les hôtels, consulté le 14 mars 2012.
    75. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les chambres d'hôtes à Buxy, consulté le 14 mars 2012.
    76. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les gîtes à Buxy, consulté le 14 mars 2012.
    77. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les bureaux de tabac, consulté le 14 mars 2012.
    78. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les salons de coiffure, consulté le 14 mars 2012.
    79. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les artisans, consulté le 14 mars 2012.
    80. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les garagistes, consulté le 14 mars 2012.
    81. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Jardineries, végétaux, articles de jardins, p. 365.
    82. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur le bricolage, consulté le 14 mars 2012.
    83. Jean-François Bazin, Le vin de Bourgogne, Paris, Dunod, , 2e éd., 263 p. (ISBN 978-2-10-072264-8), p. 173.
    84. Site de la mairie de Buxy, page sur les loisirs et cultures (Activités), consulté le 13 mars 2012.
    85. Un magicien du métal : Robert Rigot, créateur d'un nouveau bestiaire, revue « Images de Saône-et-Loire » no 21 (avril 1974), p. 22-23.
    • Portail de la Saône-et-Loire
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.