Saint-Gengoux-le-National

Saint-Gengoux-le-National est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Gengoux-de-Scissé.

Saint-Gengoux-le-National

L'église Saint-Gengoux.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Sud Côte Chalonnaise
Maire
Mandat
Didier Bordet
2020-2026
Code postal 71460
Code commune 71417
Démographie
Population
municipale
1 049 hab. (2018 )
Densité 112 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 53″ nord, 4° 39′ 49″ est
Altitude Min. 193 m
Max. 390 m
Superficie 9,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cluny
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Saint-Gengoux-le-National
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
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Saint-Gengoux-le-National
Liens
Site web saint-gengoux.fr

    Géographie

    Le village est situé sur un coteau dominant la basse Grosne.

    Il se compose de trois éléments à l'intérieur même des murs : un noyau en plaine, l'accès à ce centre et une extension étagée en bandes sur le versant du coteau[1].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gengoux-le-National est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (25,5 %), forêts (14,3 %), zones urbanisées (11,1 %), terres arables (5,1 %), cultures permanentes (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    La commune doit son nom à saint Guengoult, qui a parcouru le Morvan au VIIIe siècle.

    Histoire

    Époque médiévale

    Saint-Gengoux-le-National appartient au Pays d'art et d'histoire « Entre Cluny et Tournus » créé en 2010.

    Après la fondation de l'abbaye de Cluny en 910, son domaine s'est progressivement étendu jusqu'à atteindre le territoire de la villa Sancti Gandulfi, en 928. Le bourg était situé au croisement des routes menant à Mâcon par Cluny, à Chalon et à Autun. L'église est mentionnée en 950.

    L'église, son presbytère et tous les biens qui y étaient attachés entrent dans le domaine de Cluny par une donation en 1020. Ces biens vont devenir le noyau d'un doyenné. Les donations au doyenné ont continué pendant tous les XIe et XIIe siècles. En 1150, le doyenné de Saint-Gengoux est le plus important de la région.

    Pour installer son influence en Bourgogne méridionale, le roi Louis VII prend prétexte des incursions du comte de Chalon sur les terres de l'abbaye de Cluny pour intervenir contre le comte. L'abbé Étienne se décide alors à conclure un acte de pariage avec le roi en 1166 l'associant dans la possession du doyenné et en particulier dans le burgum novum qui désigne la nouvelle agglomération qui s'est développée autour de l'église.

    Le roi Louis VII obtient alors d'installer un prévôt et de fortifier la ville de Saint-Gengoux afin d'assurer sa sécurité. À partir de cette date, les rois de France se servent de la ville comme appui pour étendre leur pouvoir dans la basse vallée de la Saône. Louis IX y aurait installé un bailliage avant l'acquisition du comté de Mâcon par le roi 73 ans après l'acte de pariage.

    La double tutelle de l'abbaye de Cluny et du roi de France conduit à un enrichissement de la ville et un accroissement de la population. En 1190 on note une première mention d'un bourgeois dans la ville, ce qui peut dire qu'elle possédait un acte de franchise dont le texte n'a pas été conservé. L'enrichissement se traduit par exemple par la prise en censive par les bourgeois d'une ancienne réserve d'un chevalier en 1235, puis par l'achat par un bourgeois, en 1250, d'une seigneurie noble. Au début du XIIe siècle, une part importante des héritages des chevaliers devient la propriété des bourgeois. C'est pendant cette période que se construisent les maisons conservées les plus anciennes.

    Durant la guerre de Cent Ans, le comté de Mâcon passe des mains du roi de France en celles des ducs de Bourgogne en 1435.

    Le siège du bailliage royal est transféré de Mâcon à Saint-Gengoux entre 1359 et 1372, puis de 1424 à 1435. Par la suite, la châtellenie royale de Saint-Gengoux continue d'exercer la justice sur un ressort regroupant les villages des environs. Elle est sise au château qu'on voit encore aujourd'hui, au bas du bourg, qui servait de résidence à un juge châtelain.
    L'abbaye de Cluny relâche son contrôle sur ses biens dans le doyenné dès le début du XIVe siècle en encourageant la formation d'un mépart, société de prêtres, qui est chargée de la cura animorum. En 1315, ce mépart compte 11 prêtres appelés concurés.

    La ville souffre peu de la guerre de Cent Ans même si on note que les Écorcheurs ruinent le chœur de l'église. Mais les temps de troubles sont coupés de périodes de calme assez longues pour permettre la construction de plusieurs maisons.

    Les officiers royaux et ducaux et les prêtres forment une partie de l'élite de la ville, et se font construire plusieurs maisons à la fin du XVe et au début du XVIe siècle.

    Époque contemporaine

    À la Révolution, Saint-Gengoux-le-Royal prend le nom de Jouvence[9]. Par un décret du 17 avril 1882, Saint-Gengoux-le-Royal prend le nom actuel de Saint-Gengoux-le-National[10].

    La ville est également le théâtre d'une insurrection armée lors de la proclamation du Second Empire : le 5 décembre 1851 133 émeutiers prennent les armes avant d'attaquer les notables, ainsi que ceux de Cormatin et de Saint-Sorlin (actuellement, La-Roche-Vineuse), avant de prendre le contrôle de Cluny. Un groupe d'insurgés comprenant également des républicains de Cluny marche ensuite sur Mâcon, où ils sont dispersés par l'armée. 138 villageois, dont 40 de Saint-Gengoux, sont arrêtés et jugés le 9 février 1852. 34 Jouvenceaux sont condamnés à des peines de prison, d'exil ou de déportation (principalement en Algérie, mais aussi à Cayenne)[11].

    De 1889 au 7 avril 1969 (date de sa fermeture par la SNCF), Saint-Gengoux-le-National est relié à Montchanin par une ligne de chemin de fer[12].

    1929 : fondation de la coopérative vinicole de Saint-Gengoux-le-National, avec Jean Dutartre pour président (cave qui sera absorbée en 1977 par la cave coopérative de Buxy).

    L'année 1994 a vu la fondation à Saint-Gengoux d'une société savante : la Société d'études historiques et naturelles du Pays de Grosne et Guye[13].

    Économie

    Marché les 1ers et 3es mardis de chaque mois.

    Politique et administration

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    maire en 1880  ? Jean Janaud   Notaire, conseiller d'arrondissement du Canton de Saint-Gengoux-le-National
    Suppléant du juge de paix du Canton de Saint-Gengoux-le-National
    mars 1977 juin 1995 Docteur Jacques-Albert Ruste
    (vétérinaire)
    MRG puis DVD Conseiller général du Canton de Saint-Gengoux-le-National (1980-2000)
    juin 1995 mars 2008 Jean-Pierre Chapelon
    (professeur de collège)
    DVG Conseiller général du Canton de Saint-Gengoux-le-National (2001-2015)
    mars 2008 mars 2014 Joël Pierre
    (viticulteur)
    UMP  
    mars 2014 en cours René Delorme
    (agent commercial)
    UDI  

    Démographie

    Les habitants de Saint-Gengoux-le-National s'appellent les Jouvenceaux (gentilé tirant son origine de l'ancien nom de la ville à la fin du XVIIIe siècle : Jouvence).


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

    En 2018, la commune comptait 1 049 habitants[Note 2], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4501 4691 6271 4861 4921 6721 7601 7771 799
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7221 7661 8301 8551 8571 9551 9001 6471 780
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7261 6871 5231 2071 2431 1601 0911 0981 053
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 0581 0701 0581 0671 0131 0491 0531 0531 053
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0411 049-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Gengoux-le-National a été labellisée Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté en 2017.

    Saint-Gengoux-le-National, église.
    • L'église Saint-Gengoux[18],[19],[20] a été construite en 1120 par les bénédictins de Cluny sous le vocable de saint Gengoux. Elle mesure quarante et un mètres de long et seize de large. Elle fut plusieurs fois pillée et restaurée. En 1802, trois chapelles attenantes à l'église furent détruites pour construire sur leur emplacement une halle aux blés. Depuis août 2004, l'église est inscrite à la Fédération des sites clunisiens[21] ;
    • Le prieuré, fondé par les bénédictins en 1020. Le bâtiment actuel date du XVe siècle ;
    • Le lavoir[22], construit en 1857 ;
    • Le donjon, reste du château construit en 1206. Il était entouré de quatre tourelles que Henri IV fit détruire en 1604. Il fut ensuite cédé aux concurés pour y faire leur presbytère ;
    • La maison des concurés[23]. Les onze concurés vivant en communauté devaient être natifs du village. L'échauguette est le symbole de la rue du Commerce ;
    • La tour François 1er, dernière tour des remparts médiévaux encore intacte.
    Saint-Gengoux-le-National, maisons du XIVe siècle.
    • La maison de bois est une maison à architecture bourguignonne à pans de bois du second quart du XVe siècle, dont les fondations date de 1410 et les ouvertures sont de style gothique flamboyant. On peut la voir des deux côtés, rue du Mouton et rue du Moulin-à-Cheval ;
    • La promenade est l'avenue principale, où on peut voir de nombreuses maisons du XIXe siècle, construites à la place des fortifications. Deux fontaines ornent le haut de cette avenue. La plus haute, la fontaine des Manants (ou de Manon) a été construite au XVIIIe. La seconde, plus récente (XXe) ;
    • Le foyer rural : ancien couvent de religieuses ursulines (entre 1631 et 1732) qui instruisaient les jeunes filles nécessiteuses. Elles furent remplacées par les sœurs du Saint Sacrement de Mâcon. Il cessa ces fonctions après la Seconde Guerre mondiale ;
    • La rue pavée d'andouilles, les « andouilles » sont des pavés non conformes, invendables qui étaient donnés aux communes voisines par les carriers de grès ;
    • La maison du terroir dite « La Crémaillère » : lieu culturel avec une expo-vente des artisans d'art de la région ;
    • Le Montgoubot, ancien château fort dont il ne reste qu'une tour, on y trouve dans des fouilles des vestiges gallo-romains ;
    • Le Mont Saint-Roch : anciennement nommée Montagne d'Isle, elle prit le nom de Mont Saint Roch, lorsque deux familles décidèrent de construire une chapelle dédiée à saint Roch, protecteur de la peste, pour le remercier de les avoir épargné. Il ne reste qu'une bande de pierres datant de 1662, qui se trouvent à l'entrée de la grotte qui porte aujourd'hui une statue de la Vierge érigée en 1868.

    Manifestations

    • Festival Printanier, le 1er dimanche de mai : défilé de chars fleuris, musiques, majorettes et groupes d'animations, le tout sur fond de fête foraine.
    • Randonnée « la Jouvencelle », le 2e dimanche de mai : circuits de marche et VTT.
    • Marchés artisanaux de nuit, juillet et août.

    La voie verte

    Utilisant la plateforme de la ligne de Cluny à Chalon-sur-Saône, une voie verte est idéale pour se promener à bicyclette, en roller, en fauteuil roulant ou tout simplement à pied, sur une voie sécurisée, à l'abri de la circulation automobile en direction de Cluny au sud ou de Chalon-sur-Saône au nord-est.

    De Saint-Rémy à Charnay-lès-Mâcon, la voie verte, longue de 70 km[24], traverse un paysage diversifié de forêts, bocages, coteaux viticoles de la Côte Chalonnaise et du Mâconnais et permet d'accéder aux sites touristiques de Givry, Buxy, Saint Gengoux le national, Cormatin, Cluny…

    Vingt-cinq boucles de cyclotourisme balisées sont rattachées à l'ensemble de la voie verte, et permettent ainsi d'apprécier la vie locale, artisanale et culturelle de la Bourgogne du Sud.

    L'office du tourisme cantonal

    L'office du tourisme cantonal, situé dans un ancien poste de garde napoléonien, proposent diverses balades et endroits à découvrir sur Saint-Gengoux et son canton.

    Littérature

    L'église de Saint-Gengoux est citée comme point de passage sur un chemin initiatique vers Compostelle au début du XIIe siècle dans le livre Les étoiles de Compostelle par Henri Vincenot[25].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Saint-Gengoux-le-National se blasonnent ainsi : « De gueules à la bande d'or chargée de trois alérions de sable, et accompagnée de deux cors de chasse d'or. »

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Marguerite Rebouillat, Histoire de Saint-Gengoux-le-National (préface de Henri Peutin, maire), imprimerie Buguet-Comptour, Mâcon, 1970.
    • Marcel Dazy, Un écrin agreste pour églises et châteaux : le val de Grosne, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 18 (juin 1973), pp. 3–8.
    • Pierre Garrigou Grandcamp, Saint-Gengoux-le-National, bourg clunisien et prévôté royale, du XIe au début du XVIe siècle, p. 253-275, dans Congrès archéologique de France. 166e session. Monuments de Saône-et-Loire. Bresse bourguignonne, Chalonnais, Tournugeois. 2008, Société française d'archéologie, Paris, 2010 (ISBN 978-2-901837-37-4)
    • Pierre-Michel Delpeuch, Raconter, tome 2 de la collection « Les Essentiels du Pays d’Art et d’Histoire Entre Cluny et Tournus », Pays d'art et d'histoire « Entre Cluny et Tournus », Tournus, 2020 (ISBN 978-2-9558953-4-4). Ouvrage de 100 pages publié sous la forme d'un leporello comportant sur une face quatre frises historiques consacrées à Cluny, Lugny, Saint-Gengoux-le-National et Tournus (Cluny, rayonnement dans l'Europe de l'an mil ; Lugny, capitale de la vigne en Haut-Mâconnais ; Saint-Gengoux-le-National, cité médiévale au sud de la Côte chalonnaise ; Tournus, abbaye millénaire en rive de Saône) et, sur l'autre face, sept chapitres donnant « les clés de compréhension des patrimoines caractéristiques des grandes époques de ce territoire ».

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Michel Bouillot, « Contribution à l'étude des plans des villes clunisiennes », article paru dans Mélanges d'histoire et d'archéologie offerts au professeur Kenneth John Conant par l'association Splendide Bourgogne, Éditions Bourgogne-Rhône-Alpes, Mâcon, 1977, pp 173-204.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Histoire de Saint-Gengoux-le-National, Marguerite Rebouillat, 1970
    10. Lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, année 1882, 1882, p. 582.
    11. Michelle Zancarini-Fournel, Les luttes et les rêves : Une histoire populaire de la France de 1685 à nos jours, Paris, Éditions La Découverte, , 995 p. (ISBN 978-2-35522-088-3), chap. 8 (« Les espoirs déçus du moment 1848 »), p. 326.
    12. « Le chemin de fer de Saint-Gengoux à Montchanin : un souvenir inscrit dans le paysage », article d'Alain Dessertenne paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 75 (automne 1988), pages 17 à 20.
    13. Source : Fernand Nicolas, « Les sociétés naturalistes en Saône-et-Loire », article paru dans la revue trimestrielle Terre vive éditée par la Société d'étude du milieu naturel en Mâconnais (Sémina), n° 124, 2001, pp. 17-24.
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. Notice no PA00113430, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église
    19. Fédération des sites clunisiens : Saint-Gengoux-le-National - doyenné de Cluny (Saône-et-Loire - Bourgogne)
    20. Diocèse d'Autun Chalon Mâcon : église Saint-Gengoux
    21. « Itinérances autour des doyennés clunisiens et du ban sacré », livret édité par la FAPPAH, juin 2016, introduction de Jean-Denis Salvèque (ISBN 978-2-9556826-0-9).
    22. Notice no IA71000851, base Mérimée, ministère français de la Culture : Lavoir
    23. Notice no PA00113431, base Mérimée, ministère français de la Culture Maison des concurés (ancienne)
    24. Association française de développement des vélo routes et voies vertes
    25. Les étoiles de Compostelle, Henri Vincenot. Ed. Succès du livre1982, p. 226.
    26. Paul Gaudillière, Une Admiratrice de Lamartine. Nathalie Blanchet. Ses relations avec Lamartine et Alix de Cessiat, comtesse de Pierreclos. Correspondances inédites sur Google Livres, impr. Protat frères, 1931
    27. Une plaque commémorative le rappelle
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