La Seyne-sur-Mer

La Seyne-sur-Mer est une commune française située au bord de la Méditerranée dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole Toulon Provence Méditerranée (TPM).

Pour les articles homonymes, voir Seyne et Seynes.

La Seyne-sur-Mer

Le port de La Seyne-sur-Mer, vu du sommet du pont levant.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Métropole Toulon Provence Méditerranée
Maire
Mandat
Nathalie Bicais (LR)
2020-2026
Code postal 83500
Code commune 83126
Démographie
Gentilé Seynois
Population
municipale
62 888 hab. (2018 )
Densité 2 837 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 06′ 00″ nord, 5° 53′ 00″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 352 m
Superficie 22,17 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Cantons de La Seyne-sur-Mer-1 et de La Seyne-sur-Mer-2
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Var
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
La Seyne-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
La Seyne-sur-Mer
Liens
Site web www.la-seyne.fr

    Ses habitants sont appelés les Seynois (les autochtones prononcent traditionnellement « seïnois »).

    La commune, qui comptait 62 888 habitants au dernier recensement de 2018, est la deuxième ville la plus peuplée du département (après Toulon) et se trouve au cœur de l'agglomération toulonnaise qui, avec ses 569 793 hab., est la 3e plus importante de la région.

    Donnant sur l'ouest de la rade de Toulon et sur la Méditerranée, la commune possède un port de plaisance et un port de pêche. Elle constitue pour partie une station balnéaire avec son quartier des Sablettes. Les maisons néo-provençales des Sablettes, construites après la guerre, sont de l'architecte Fernand Pouillon[1].

    La Seyne-sur-Mer a dû son développement principalement à la construction navale, la ville ayant abrité un des plus grands chantiers navals de France.

    Localisation

    Carte de la commune.
    Légende

    La Seyne-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur dans le sud-est du département du Var sur le littoral méditerranéen, à mi-chemin entre Marseille à l'ouest et Saint-Tropez à l'est, et à 30 km de l'aéroport de Toulon-Hyères.

    La commune est limitrophe de Toulon (préfecture du département) et fait partie de la métropole Toulon Provence Méditerranée.

    Intercommunalité

    Elle fait partie de la métropole Toulon Provence Méditerranée.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Image satellitaire de Toulon et La Seyne-sur-Mer.

    Les territoires de La Seyne-sur-Mer et de Saint-Mandrier occupent la partie est de la presqu’île de Sicié, la partie ouest correspondant à la commune de Six-Fours-les-Plages. L’ensemble s’inscrit dans la « Provence cristalline »[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Un seul fleuve (très modeste) est présent sur la commune : l'Oïde[3],[4]. Il prend naissance sur le bassin versant est du massif du Cap-Sicié.

    La qualité des eaux souterraines fait l'objet d'une surveillance à partir de quinze stations[5].

    La Seyne-sur-Mer dispose de la station d'épuration de Toulon Ouest - Cap-Sicié d'une capacité de 500 000 équivalent-habitants[6].

    Protection de l'environnement

    En application de la Loi littoral du relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral et d'autre part des dispositions de la Loi sur l'eau et les milieux aquatiques du et du schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) qui en découle, une étude diagnostic de la situation environnementale d'accueil de navires de grande plaisance a été réalisée[7].

    Un centre de compostage des déchets verts, commun à Toulon et à La Seyne-sur-Mer, a été réalisé à La Seyne-sur-Mer[8].

    Climat

    La Seyne-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur et bénéficie d'un climat méditerranéen aux étés chauds et secs et aux hivers doux et relativement humides. La rade peut être soumise à des vents violents avec un record établi à 148 km/h le . Le mistral y souffle régulièrement, ce vent venant, après le delta rhodanien, de l'ouest. La commune est abritée au nord par le Massif de la Ste Baume et plus près, par le mont Caume, et le mont Faron. Elle est parfois exposée au levant qui s'engouffre dans la rade entre Port-Cros et le Cap Bénat mais est protégée du sirocco par Porquerolles et la presqu'île de Giens.

    En moyenne annuelle, la température s'établit à 15,9 °C avec une moyenne maximale de 20,1 °C et une minimale de 11,8 °C. Les températures nominales maximales et minimales relevées sont de 29 °C en juillet-août et 6 °C en janvier et février, valeurs douces grâce à la présence de la Méditerranée et de l'agglomération toulonnaise. Les jours de gel sont assez rares mais le fut relevée la température de −7,5 °C ; et c'est le que fut relevée la température de −9 °C. À l'inverse, le la température de 40,1 °C établissait un record. L'ensoleillement moyen s'établit à 2 899,3 heures par an avec une pointe à 373,8 heures en juillet.

    Autre valeur importante, caractéristique du climat méditerranéen, les précipitations totalisent à Hyères 665 millimètres sur l'année, valeur relativement faible par rapport à d'autres communes du pourtour méditerranéen et surtout les pluies sont très inéquitablement réparties avec moins de sept millimètres en juillet et près de quatre-vingt-quatorze millimètres en octobre. Le record de précipitations relevées en vingt-quatre heures s'établit à 156 millimètres le .

    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Année
    Températures maximales moyennes (°C) 13 13 15 18 22 26 29 29 26 21 16 14 20,1
    Températures minimales moyennes (°C) 6 6 8 10 13 16 19 19 17 13 9 7 11,8
    Températures moyennes (°C) 9 10 11 14 17 21 24 24 21 17 13 10 15,9
    Ensoleillement (h) 155,3 158,2 217,6 252,1 301,5 329,3 373,8 334,9 259,9 210,3 158,7 147,6 2899,3
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 76,3 88,3 56,4 55,7 45,0 22,3 6,6 28,5 49,1 93,9 69,4 73,5 665,2
    Source : climatologie mensuelle à Toulon[9].
    Tableau comparatif des données climatiques de Toulon – La Seyne-sur-Mer
    VilleEnsoleillementPluieNeigeOrageBrouillard
    Toulon-La Seyne[10]2 899 h/an665 mm/an2 j/an24 j/an5 j/an
    Toulouse2 047 h/an655 mm/an7 j/an26 j/an44 j/an
    Paris1 797 h/an642 mm/an15 j/an19 j/an13 j/an
    Strasbourg1 637 h/an610 mm/an30 j/an29 j/an65 j/an
    Moyenne nationale1 973 h/an770 mm/an14 j/an22 j/an40 j/an

    La protection des risques naturels et technologique

    L'arrêté du préfet du Var du dresse un état des risques et technologiques sur la commune[11].

    Sismicité

    La commune est située en zone 2, sismicité faible[12].

    Distances par rapports aux grandes villes

    La Seyne en FranceSituation[13]
    Paris 696 km nord-quart-nord-ouest
    Toulouse 363 km ouest-quart-nord-ouest
    Bordeaux 552 km ouest-nord-ouest
    Grenoble 232 km nord
    Montpellier 171 km ouest
    Marseille 65 km ouest
    Nantes 742 km nord-ouest
    Lyon 306 km nord-quart-nord-ouest
    Nice 150 km est

    Transports routiers

    La commune est accessible via l'autoroute A50 en direction de Toulon (à l'est) et Marseille (à l'ouest) : sortie no 13 (Camp-Laurent échangeur de La Seyne quartiers Ouest) - sortie 14 (Chateauvallon - La Seyne Centre) - sortie 15b (La Seyne Centre).

    Transports en commun

    La Seyne-sur-Mer est desservie par les bus du réseau Mistral.

    C'est le réseau Mistral de la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée qui gère les transports en commun de La Seyne-sur-Mer :

    • trois lignes maritimes : 8M (N2 à partir de 20 h), 18M et N4 ;
    • quinze lignes terrestres : 8, 12, 18, 28, 70 à 72, 81 à 87 et N8 ;
    • et l'appel-bus : AB80.

    Transports ferroviaires

    La gare de La Seyne-Six-Fours est une gare ferroviaire de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière) située sur le territoire de la commune. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains express régionaux TER Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    La commune est proche de la gare de Toulon desservie par des TGV et des trains grandes lignes Intercités et Intercités de nuit.

    Transports aériens

    Par la route, la commune est située à 32 kilomètres de l'aéroport de Toulon-Hyères, à 87 kilomètres de l'aéroport Marseille-Provence et à 150 kilomètres de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur.

    Urbanisme

    Typologie

    La Seyne-sur-Mer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[17] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 60,5 % 1425
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 9,2 % 216
    Réseaux routier et ferroviaire et espaces associés 1,4 % 34
    Zones portuaires 4,2 % 99
    Espaces verts urbains 1,1 % 25
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 1,4 % 32
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,6 % 13
    Forêts de conifères 11,1 % 261
    Végétation sclérophylle 9,3 % 219
    Mers et océans 1,4 % 32
    Source : Corine Land Cover[25]

    Morphologie urbaine

    Vue sur la corniche de Tamaris, depuis les Sablettes.
    Le port de La Seyne-sur-Mer, avant la tombée de la nuit.

    La commune comprend plusieurs quartiers et lieux-dits[26].

    • Balaguier

    Portion la plus à l'est du territoire seynois, au sud de l'Éguillette, et bordé par les corniches Bonaparte et Michel Pacha. Il est desservi par la ligne 83.

    • Barban

    Quartier situé entre le col d'Artaud et le quartier Pignet, au sud du chemin 216 de La Seyne à Six-Fours. On y trouve les terrains de tennis municipaux (chemin d'Artaud à Pignet, chemin du Couchant). Il est desservi par les lignes 84 et 85.

    • Les Barelles

    Quartier situé à l'extrémité nord de la forêt de Janas, entre l'ancien quartier Cachou (actuels lotissements du cap Sicié) et la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est desservi par la ligne 81 (terminus du Mai).

    • Bastian

    Quartier situé au nord-ouest du quartier Mauvéou et au sud du chemin de Brémond. Il est desservi par les lignes 85 et 87.

    Quartier qui s'étend du chemin de La Seyne à Ollioules au chemin de Lagoubran aux Playes, non loin d'une zone commerciale. Une cité a été conçue dans les années 1960 pour donner plus de confort, d’espace, de modernité, de logements, à ses habitants dans un nouveau quartier . Il est desservi par les lignes 8 et 81.

    • Brémond

    Quartier d'altitude moyenne 60 mètres, situé entre les quartiers Gavet, Bastian, Pignet et Domergue. Il est desservi par les lignes 84, 85 et 87.

    • Brégaillon

    Quartier situé au nord-est de la commune comportant une colline dominant la baie de la Seyne (anse de Brégaillon) et le port de commerce La Seyne-Brégaillon[27]. Il est desservi par les lignes 18, 71 et N8.

    • Camp-Laurent

    Quartier situé à l'extrême nord-ouest de la commune, emplacement de la zone industrielle et de l'échangeur entre l'autoroute Marseille-Toulon et la route de La Seyne à Ollioules. Il est desservi par les lignes 12 et 81 (terminus Langevin).

    • Cavaillon

    Quartier délimité par la rue Isnard, la place Séverine, la rue Cavaillon et la rue Louis-Blanqui (ex-rue Calade). Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 85, 87 et N8.

    • Centre-ville — Port

    Quartier autour du port de La Seyne, abritant l'hôtel de ville et de nombreuses terrasses de café. Le port a été bombardé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et la plupart des immeubles datent des années 1950. L'église Notre-Dame-de-Bon-Voyage (de style néogothique) est située derrière le port, à la jonction des rues d'Alsace, Parmentier et Berny. Il est desservi par les lignes 8, 8M (bateau), 12, 18, 28, 81, 82, 83, 85, 87, N2, N7 et N8.

    • Châteaubanne

    Quartier localisé au sud de la route 559 de La Seyne à Toulon, de part et d'autre du chemin du Vieux-Reynier, entre les quartiers Vignelongue et Vallon des Signes. Il est desservi par les lignes 12, 70, 71, 72, 81, 83, 86 et N7.

    • Coste-Chaude

    Versant exposé au sud de la colline du Rouquier et s'étendant jusqu'aux quartiers Mauvéou à l'ouest et les Plaines au sud. Il est desservi par les lignes 81 (Le Mai) et 87 (Sablettes).

    • Le Crouton

    Ancienne zone marécageuse, domaine des siagnes, roseaux et massettes, autrefois riche en gibier d'eau, située entre Tamaris, le chemin de l'Évescat aux Sablettes, l'avenue Noël-Verlaque et la baie du Lazaret, dont l'assainissement avait été commencé par Michel Pacha. Aujourd'hui, on y trouve les résidences La Croisette, les Loggias des Sablettes, Les Sagnarelles, dont les noms de rues (allée des Scirpes, allée du Sparganier, allée Brin-de-Jonc, allée du Typha) évoquent bien le passé marécageux de ce quartier. Il est desservi par les lignes 81 et 83.

    • Domergue

    Quartier situé entre Tortel, la Donicarde et les Quatre-Moulins. Il est desservi par la ligne 85.

    • La Donicarde

    Quartier approximativement délimité par les quartiers du col d'Artaud (à l'ouest), Daniel (au nord), Domergue (à l'est) et les Isnards (au sud). Il est desservi par la ligne 85.

    • L'Éguillette

    Quartier situé à l'extrémité est de la commune (la pointe de l'Éguillette s'avance dans la rade de Toulon, à environ 650 mètres au nord de la pointe de Balaguier). Il est desservi par la ligne 83.

    • Fabrégas

    Quartier situé entre la mer (plage de Fabrégas), la forêt de Janas (Corniche varoise) et le quartier de la Verne. Il est desservi par la ligne 81 (au départ ou → Fabregas).

    • Les Gabrielles

    Quartier situé à l'est de la route de Janas et à l'ouest de la colline du Plan d'Aub, avant d'atteindre la Maison forestière et la clairière de Janas. On y trouve une piscine, un camping, un centre d'équitation, etc. Il est desservi à proximité par la ligne 81 (au départ ou → Le Mai).

    • Gai-Versant

    Quartier du nord de la ville, entre les avenues d'Estienne-d'Orves et Antoine-de-Saint-Exupéry, centré sur la colline dont la crête est-ouest est parcourue par le chemin de Gai-Versant. Il est desservi par les lignes 70, 72 et 82.

    • Gavet

    Quartier situé aux environs du point le plus élevé (altitude 65 m.) atteint par le chemin de La Seyne à Bastian, plus précisément à l'intérieur du triangle formé par ce dernier avec le chemin de Fabre à Gavet. Il est desservi par la ligne 85.

    • Les Isnards

    Quartier situé au sud du chemin de la Donicarde, sur les pentes ouest de la colline qui culmine à 72 m. (entre les quartiers Donicarde et Domergue). Il est desservi par la ligne 85.

    • Janas

    Partie la plus au sud de la commune, qui est couverte par la forêt de Janas, et qui est au contact au nord-est avec les quartiers Fabrégas, les Gabrielles, le Plan d'Aub, et à l'ouest avec la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est desservi par la ligne 81 (au départ ou → Le Mai).

    • Jaumen

    Quartier situé au sud du chemin du Vieux-Reynier, qui englobe le versant nord de la colline culminant à 66 m. où est édifiée la résidence La Commandante. Il est desservi par la ligne 86.

    • Léry

    Portion le plus à l'ouest de l'ancienne Grande Terre de Saint-Jean, située au sud des quartiers Camp-Laurent et Farlède, à l'est de Berthe et au nord de Vignelongue. On y trouve notamment deux stades et la Z.I. Jean-Monnet. Il est desservi par les lignes 12 (Nord), 71, AB80 (Appel-Bus 80, 83 et 84 (Léry).

    • Mar-Vivo

    Quartier du sud-est de la ville entre les quartiers des Sablettes, le Pas-du-Loup, les Plaines et la Verne. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 81, 87 (Sablettes) et N8.

    • Mauvéou

    Quartier situé du côté sud du chemin de La Seyne à Bastian, entre le chemin de Mauvéou et le chemin de Paradis, donc entre les quartiers Bastian, Brémond, Coste-Chaude et Croix-de-Palun. Il est desservi par les lignes 84 (Brémond), 85 et 87.

    • Le Pas-du-Loup

    Centré sur la partie sud de l'avenue Salvador-Allende et le chemin des Oliviers. Il se situe entre les Plaines (côté ouest) et Mar-Vivo (côté est). Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28, 81, 87 (Sablettes) et N8.

    • Pignet

    Quartier situé à la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages, au niveau des chemins du Couchant et de Selon, entre Barban, Brémond et Bastian. Il est desservi par les lignes 70, 72, 84 et N7.

    • Les Plaines

    Quartier dont les limites ne sont pas évidentes à préciser, mais que l'on peut situer entre le Pas-du-Loup (à l'est), Coste-Chaude (au nord), Mauvéou et les Moulières (à l'ouest) et l'Oïde (au sud). Il est desservi par les lignes 81 et 87 (Sablettes).

    • Pont-de-Fabre

    Quartier compris entre lavenue Jean-Baptiste-Ivaldi (ancienne route des Sablettes), le chemin de Fabre à Gavet et le chemin Jean-Ghibaudo. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 28 et N8.

    • Les Quatre-Moulins

    Quartier situé sur une colline au sud du quartier Tortel, entre Domergue et Saint-Honorat (cimetière). On y accède, venant du nord, par le chemin Aimé-Genoud, ou, venant du sud, par le chemin des Quatre-Moulins. Ces chemins constituaient la voie des meuniers et des paysans qui exploitaient les moulins. Il est desservi par la ligne 85 et 87.

    Portion de territoire constituant l'isthme de la presqu'île de Saint-Mandrier et comprenant la plage des Sablettes, le parc paysager Fernand-Braudel et l'agglomération qui s'est développée de part et d'autre de l'actuelle avenue Charles-de-Gaulle. Ce quartier est limité à l'est par Saint-Elme, au sud par la mer, à l'ouest par Mar-Vivo et au nord par le Crotton. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18, 18M (bateau), 28 - 83 - 87 (terminus), N4 (bateau) et N8.

    • Saint-Elme

    Quartier situé à l'extrémité est de la plage des Sablettes. Il comprend un petit port de pêche et de plaisance, une base nautique municipale et un club nautique. Il est desservi par les lignes 8 (dimanche), 18 et 28.

    • Tamaris

    Quartier délimité, à l'est, par la baie du Lazaret (corniche Georges-Pompidou), au sud par le Crotton, à l'ouest par l'Évescat et au nord par Balaguier. On y trouve notamment, dans sa partie sud, l'Institut Michel-Pacha et les résidences Les Jardins d'Alizarine et Le Ciel Bleu, et, dans sa partie nord, le parc aménagé par Michel Pacha , avec la Villa Tamaris-Pacha et les résidences La Pinède, Port Tamaris, les Hameaux de Tamaris, Villa Eugénie, les Terrasses de Tamaris, les Balcons de Tamaris, Royal Amiral, les Collines de Tamaris, George Sand. Il est desservi par les lignes 18M, 82 et 83.

    • Vignelongue

    Quartier situé au sud du quartier Léry, entre le quartier Châteaubanne et la limite de la commune de Six-Fours-les-Plages. Il est maintenant traversé par les avenues de Londres et de Rome et inclut la Z.I. Jean-Monnet. Il est desservi par les lignes 70, 72, 83, 86 et N7.

    Rénovations

    Le , Arthur Paecht, alors maire de La Seyne-sur-Mer, a lancé les travaux de réaménagement du site des anciens chantiers navals, friche industrielle laissée à l'abandon depuis près de vingt ans. Ces quarante hectares sont aujourd'hui le plus grand projet urbanistique entre Gênes et Marseille[réf. nécessaire]. Ils accueillent le parc de la Navale, dédié à la mémoire des chantiers navals, et plus tard un site d'exposition, un nouveau port de plaisance, etc.[28].

    Les premières réalisations ont vu le jour en peu de temps : un grand parc, les places et voiries qui traversent désormais ce site avec le cours Toussaint-Merle. La restauration du pont levant, emblème de la cité, s'est achevée en 2009, comme le site d'exposition baptisé « Esplanade marine ». L'agglomération Toulon Provence Méditerranée, le département, la région, l'État et l'Union européenne soutiennent le vaste et ambitieux projet municipal. Cependant, celui-ci a un coût très élevé pour les finances de la commune, ce qui a conduit Arthur Paecht à faire de la ville l'une des plus imposées et des plus endettées de France. Battu aux élections de , il a laissé la ville au bord de la tutelle.

    Depuis ces élections, plusieurs opérations initialement prévues dans le périmètre du site des anciens chantiers navals ont connu des modifications importantes. Ainsi, par exemple, le projet de pôle théâtral a été abandonné. Le nouveau maire, Marc Vuillemot, a en effet choisi de recentrer certains volets du programme vers des aménagements « plus productifs »  du moins à première vue  de ressources pour l'économie locale. Ainsi sont sur les rails, la réfection et l'équipement des quais permettant l'accueil et l'hivernage de yachts de haute plaisance, le changement d'usage et la valorisation d'un vaste bâtiment industriel pour une activité commerciale, de loisirs et de mémoire de la construction navale et de l'activité maritime de la rade de Toulon, ou, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d'Industrie du Var, l'installation d'une gare maritime permettant l'accueil de paquebots de croisière parmi les plus grands du monde.

    Toponymie

    Le nom de la commune est La Sèino[29] en provençal, norme mistralienne, ou La Seina selon la norme classique de l'occitan, francisé en La Seyne. Le « y » de la graphie française signale la diphtongue de la langue régionale (prononcé « èï »). Ce nom vient d'une plante peuplant autrefois cette zone marécageuse : « la saigne », comme en témoignent les panneaux placés par la commune utilisant une forme étymologique[30], La Sanha de Mar en occitan/provençal et La Sagno de Mar selon la norme mistralienne, signifiant « la roselière de mer ».

    Histoire

    Le nom de La Seyne provient d'un roseau qui poussait dans cette zone marécageuse, au fond de la baie qui baigne également Toulon. Cette plante était appelée la sagne, d'où le nom de La Seyne. Comme cela est précisé dans le chapitre des maires de la commune, le hameau de la Seyne appartenait autrefois à Six-Fours, commune mère.

    Peu avant la Révolution française, l’agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-89 très froid. L’élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de , ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[31].

    C’est au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, qu’une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute d’origine frumentaire se produit à La Seyne les 26 et [32]. Elle s’en tient à des menaces contre les possédants, mais avec une certaine mise en scène, puisqu’un cercueil est apporté, au son lugubre du tambour, devant la porte d’une des personnes visées par l’émeute. Il est ensuite prévenu d’avoir à se préparer à mourir[33]. Cette émeute parvient à obtenir la suppression d’un impôt, le piquet[34]. Dans un premier temps, pour calmer la population, on envoie un détachement de l’armée. Puis des poursuites judiciaires sont diligentées, mais les condamnations ne sont pas exécutées, la prise de la Bastille comme les troubles de la Grande peur provoquant, par mesure d’apaisement, une amnistie début août[35].

    Le XIXe siècle

    Ces derniers existent depuis plus de deux siècles, l’activité du premier chantier naval seynois est attestée en 1711 ; à l'origine, il s'agissait d'un chantier construisant des bateaux en bois de petite taille. Ils ont ensuite connus une forte expansion au cours de la première moitié du XIXe siècle, et c'est durant cette période que s’est développée l’utilisation de la métallurgie dans la construction des bateaux.

    Ainsi, dès le début du XIXe siècle, une activité industrielle potentiellement polluante (utilisation d’hydrocarbures et de métaux) est présente dans le quartier du site. En 1848, les chantiers sont agrandis sur plusieurs milliers de m², emploient 1 300 personnes et assemblent de nombreux navires.

    L'ancien pont levant des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer en 2006.

    À partir de 1855, c’est la société des Forges et Chantiers de la Méditerranée (FCM) qui reprend la gestion du site industriel. Cette société connaît alors un essor très important dans la construction des navires, aussi bien civils que militaires[36].

    Un rapport des archives de la Marine de 1884 désigne les chantiers de la FCM comme les plus importants de France, par leur surface (14,6 ha) et la longueur de leurs quais (près d'km). Ils disposent en effet de 10 cales de construction dont la taille permet aux FCM de construire les plus grands bateaux de l'époque.

    Ces grands bateaux sont les paquebots et les cargos transocéaniques qui assurent des liaisons entre l'Europe et le reste du monde, mais aussi de grands navires de marines militaires de puissances étrangères comme le croiseur japonais Matsushima. À cette époque, le rapport nous signale 2308 ouvriers employés dans les chantiers navals.

    Le XXe siècle

    D’autres grands travaux d'équipements débutent peu avant la Première Guerre mondiale, avec l’installation de deux énormes caissons pour obtenir en 1927 le plus grand bassin du monde. Les FCM conserve ainsi la gestion du site jusqu’à la veille de leur liquidation en 1966.

    Le pont levant de La Seyne-sur-Mer en 2015 après rénovation.

    Les chantiers changent de nom au fur et à mesure de la reprise et prennent alors le nom de Constructions navales et industrielles de la Méditerranée (CNIM). Comme d'autres chantiers français en perte de vitesse, les CNIM tentèrent de recentrer leurs activités en exploitant des niches technologiques moins exposées à la concurrence internationale, notamment la construction de navires spéciaux, méthaniers, frigorifiques, de barges flottantes et d'équipements pour les plates-formes pétrolières.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, un bombardement aérien entraîne le une destruction partielle des chantiers et du site. Le , des mines sous-marines engendrent ensuite une destruction plus importante des chantiers.

    Cependant, ils seront reconstruits et agrandis dès 1949 pour atteindre 25 hectares et un front de mer de 1 400 mètres. Le nom CNIM est adopté en 1966. C'est la première entreprise en grève du département lors de Mai 68 en Provence.

    En 1973, à la veille du choc pétrolier, les chantiers de La Seyne-sur-Mer employaient plus de 5 000 personnes. Après les grèves à répétition des années 1970, le rapprochement et le naufrage des Chantiers du Nord et de la Méditerranée (la Normed) après l'échec des négociations, il est procédé à la fusion de France-Dunkerque, des Chantiers navals de La Ciotat et des CNIM. Le nom CNIM en tant qu'établissement de La Seyne-sur-Mer réussit à subsister en dehors de la construction navale. De nouvelles activités sont créées pour se diversifier avec la construction de nombreux escaliers mécaniques, en service à Paris et dans plusieurs lignes du métro de Hong Kong, furent construits par les CNIM.

    Il est important de mentionner que le pont levant de La Seyne a été inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, par arrêté du [37], et constitue, avec les grands quais, les seuls vestiges de ce chantier naval (un ascenseur, nouvellement intégré, permet d'y admirer la vue de son sommet). Le centenaire de sa construction est célébré en 2017.

    Crise et reconversion

    On peut estimer que le site a connu à partir de ce moment-là une baisse conséquente de son activité industrielle jusqu'en 1985 avec la construction du dernier bateau et en 1989 avec la fermeture définitive des chantiers navals. La ville souffre dans les années 1990 de la crise économique (taux de chômage de 30 %) et de la corruption de ses responsables politiques (avec deux maires successifs, Charles Scaglia - Parti républicain - et François Hérisson - Rassemblement pour la République -, mis en examen)[38].

    La Seyne-sur-Mer, pour faire face à la crise de ses activités industrielles, devait opérer une réelle reconversion et diversifier ses activités dans d'autres secteurs. Ainsi, un vaste programme d'aménagement de la ville fut mis en place, notamment avec l'inauguration du parc Fernand-Braudel[39] en 1999 par l'ancien maire Maurice Paul, avec l'inauguration du parc de la Navale en 2006 par l'ancien maire Arthur Paecht (voir section Rénovations). La ville se tourne alors résolument vers le tourisme balnéaire, déjà amorcé au XIXe siècle[40] avec l'aménagement des Sablettes[41] et de Tamaris[42],[43] par Michel Pacha, et le tourisme culturel grâce à la richesse de son patrimoine historique et à la beauté du cadre naturel provençal (voir sections Patrimoine naturel et Patrimoine culturel et historique).

    Liste indicative de quelques réalisations

    Liste indicative de quelques réalisations par les chantiers de La Seyne :

    Croix de guerre

    La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[44],[45].

    Politique et administration

    Cantons

    Le territoire de La Seyne couvre deux cantons :

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2003[46].

    La Seyne-sur-Mer a reçu trois fleurs au concours des villes et villages fleuris.

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[47] :

    • total des produits de fonctionnement : 90 594 000 , soit 1 386  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 83 462 000 , soit 1 276  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 20 543 000 , soit 314  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 18 853 000 , soit 288  par habitant ;
    • endettement : 127 977 000 , soit 1 957  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 25,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,11 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 76,70 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 020 [48].

    Justice et sécurité

    La Seyne-sur-Mer dépend des tribunaux suivants :

    Jumelages

    La commune de La Seyne-sur-Mer est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[49],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 62 888 habitants[Note 4], en diminution de 2,53 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 9804 8954 8265 6056 7326 3447 0996 4977 401
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8 70911 70011 19210 12310 65512 07213 16614 33216 341
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    21 00219 74722 09323 16824 67826 81727 07326 17226 672
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    33 57043 78351 15557 65959 96860 18856 76862 64064 620
    2018 - - - - - - - -
    62 888--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Écoles maternelles et élémentaires[52]

    Liste des écoles publiques et privées de La Seyne-sur-Mer
    Maternelles Élémentaires
    École Lucie-Aubrac
    École Georges-Brassens École Georges-Brassens
    École Collines-de-Tamaris
    École Eugénie-Cotton
    École relais Jacques-Derrida
    École Anatole-France
    École Jean-Giono
    École Victor-Hugo[53] École Victor-Hugo
    École Jean-Jaurès
    École Léo-Lagrange École Léo-Lagrange-1
    École Léo-Lagrange-2
    École Amable-Mabily
    École Émile-Malsert-1
    École Cédric-de-Pierrepont
    École Jean-Baptiste-Martini
    École Marie-Mauron
    École Toussaint-Merle École Toussaint-Merle
    École Marcel-Pagnol
    École Ernest-Renan
    École Romain-Rolland
    École Jean-Jacques-Rousseau École Jean-Jacques-Rousseau
    École Antoine-de-Saint-Exupéry École Antoine-de-Saint-Exupéry
    Institution Sainte-Thérèse[54] (privée) Institution Sainte-Thérèse[54] (privée)
    École Pierre-Semard
    École Édouard-Vaillant

    Collèges et lycées[55]

    Liste des collèges et lycées de La Seyne-sur-Mer
    Collèges Lycées
    Collège Marie-Curie LGT Beaussier
    Collège Jean-L'Herminier LGT Paul-Langevin
    Collège Paul-Éluard
    Institution Sainte-Marie (privé) Institution Sainte-Marie (privé)[56]
    Collège Henri-Wallon

    Cultes

    Manifestations culturelles et festivités

    • Festival du Cirque contemporain « Janvier dans les étoiles », remplacé en 2016 par la « Saison du Cirque Méditerranée »[62], en janvier à l'Espace Chapiteaux aux Sablettes.
    • Festival de jazz, en été au fort Napoléon.
    • Festival de musique cubaine.
    • Festival « Couleurs Urbaines ».
    • Festival Musiques & Patrimoine en Pays Varois[63], Médiathèque des Sablettes, Le clos Saint-Louis, les 26 et et 1er et .

    Santé

    La ville dispose d'espaces santé très complets et bénéficie de ceux, proches, situés à Toulon[64].

    Aujourd'hui l'hôpital Font-Pré et Chalucet de Toulon, remplacés par l'hôpital Sainte-Musse depuis le , font partie du centre hospitalier intercommunal Toulon la Seyne sur Mer qui regroupe deux autres hôpitaux de l'agglomération toulonnaise : l'Hôpital George Sand à La Seyne-sur-Mer et l'Hôpital Georges-Clemenceau à La Garde.

    Sports

    • Union sportive seynoise, club omnisports de la ville réputé pour sa section de rugby à XV qui évolue en Fédérale 1
    • Footbal Club seynois
    • La Seyne Var Handball
    • Vélo Sport seynois
    • Stade de Berthe
    • Stade Guimier
    • Stade Hubidos
    • Stade Antoine-Scaglia
    • Stade Victor-Marquet
    • Salle Maurice-Baquet
    • Salle Delfino
    • Gymnase Langevin
    • Gymnase Alain-Mimoun
    • Gymnase Sauvat
    • Complexe sportif Léry
    • Salle de boxe Centa
    • Base nautique de Saint-Elme
    • Piscine Aquasud
    • Stade Sebastien-Squillaci
    • la route du Jasmin y prend son départ

    Télévision

    En 1967, Robert Dhéry y tourne des plans dans son film Le Petit Baigneur avec Louis de Funès. On y reconnait les Chantiers du Midi et le fort de Balaguier. Le film sortira en 1968.

    L'école élémentaire Émile-Malsert a accueilli le tournage d'une série nommée La Cour des grands (France 2).

    Pour les besoins du tournage, des petits Seynois et Seynoises ont pu passer une audition et ainsi devenir figurants.

    Pour les besoins du film de cape et d'épée Blanche (film, 2002) , troisième long métrage de Bernie Bonvoisin, la dernière scène a été tournée au fort Napoléon.

    La scène finale de la saison 2 de Mafiosa (2008) est tournée à la chapelle de Notre-Dame-du-Mai.

    Le réalisateur des Vacances de Ducobu, Philippe de Chauveron, a choisi le Var pour le tournage de son dernier long-métrage, qui s’est déroulé en septembre et  : vacances d’été obligent, des décors de plages ensoleillées étaient nécessaires. Sur l’affiche du film, on peut reconnaître la plage des Sablettes de La Seyne-sur-Mer comme le souligne Nice Matin. Heureux hasard, le nouveau garçon qui interprète Ducobu à l’écran, François Viette[65], est seynois. On reconnaît également le fort de Balaguier.

    Radio

    Les fréquences radio sur La Seyne-sur-Mer : trente radios sont disponibles[66].

    Économie

    La situation et la desserte de la ville[67] lui confère des possibilités de développement et d'accueils diversifiés.

    Agriculture et pêche

    • La métropole Toulon Provence Méditerranée considère le maintien et le développement de l’agriculture comme un axe privilégié de son action économique d’intérêt communautaire et intervient dans les divers domaines d'activités[68].

    Tourisme

    La ville dispose de[69] :

    • 12 hôtels ;
    • 2 résidences de tourisme ;
    • 37 chambres d'hôtes ;
    • 5 campings ;
    • 370 locations saisonnières etc ;
    • 46 restaurants ;
    • 1 casino.

    Commerces

    La ville dispose de 201 magasins[70] de proximité, supermarchés...

    La Seyne-sur-Mer comptait 4 065 entreprises du secteur marchand en 2014, et un Pôle Mer Méditerranée comptant 25 entreprises de la commune[71].

    Plus de 480 cellules commerciales, représentant 110 activités, sont recensées sur le centre-ville[72].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine naturel

    • Les Sablettes : c'est la plage la plus connue et la plus prisée de la ville. Elle se trouve sur l'isthme de la presqu'île de Saint-Mandrier. C'est une longue bande de sable fin qui s'étale du petit port de Saint-Elme jusqu'à Mar-Vivo, avec depuis quelques années le parc paysager Fernand-Braudel de 7,5 hectares.
    • À l'ouest des Sablettes, la Verne et ses rochers décorés de bateaux de pêche multicolores remontés à terre sur des rails, ses plages abritées du mistral comme le sont, à la suite, la plage de Fabrégas et son sable noir ainsi que les plages naturistes du Jonquet.
    • Les Deux Frères : deux rochers émergeant à la pointe du cap Sicié visibles depuis la plage des Sablettes et emblématiques de la ville[73].
    • La forêt de Janas : remarquable ensemble boisé par sa diversité et sa conservation. S'étendant de la ville de La Seyne, jusqu'au cap Sicié. Le cap Sicié géologiquement schisteux, est de même origine que la Corse et la Sardaigne. Après l'effondrement du bassin Méditerranéen, ces trois lieux résistèrent en tant qu'îles, ou promontoire.
    • Le parc du Manteau, ancienne propriété de Michel Pacha[74] dans le quartier de Tamaris[75]. Le château du Manteau, construit vers 1880 sur les plans de l'architecte Paul Page et d'inspiration orientale[76], a été détruit mais le parc botanique existe toujours. On y remarque notamment des éléments d'architecture rocaille remarquables comme un moulin ou une barque de pêcheur en ciment armé signée V. Picasse et datant de 1892[77].
    Le parc exotique accueille des arbres remarquables à grand développement (araucarias, cocotiers du Chili) ainsi que de nombreux palmiers rares (caryotas, Kentias,) et tropicaux qui sont encore cultivés dans ce jardin devenu le parc d'une résidence privée, lotie en copropriété[78] et fermée au public.
    • Le site historique des anciens chantiers navals[28] : entièrement aménagé en parc paysager. Inauguré en , le site des anciens chantiers navals reste un lieu de mémoire, symbolisé par la rénovation de la Porte des Chantiers et prochainement par la rénovation du pont levant en observatoire. Il témoigne du passé industriel et maritime de la ville.

    Le patrimoine religieux

    Église Notre-Dame-du-Bon-Voyage.
    • L'église Notre-Dame-de-Bon-Voyage : construite en 1674, elle est parmi les plus anciens monuments de la commune[79],[80]. Le campanile provençal, de style gothique attardé du XVIIe siècle figure sur l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques. La cloche de 1689 est classée au titre des objets mobiliers[81]. À l’intérieur de ce lieu de culte, la mécanique des orgues, partie instrumentale construite par François Mader[82], est classée en tant qu'objet mobilier[83],[84], ainsi que les statues en bois doré de saint Paul[85] et saint Pierre[86], le buste reliquaire de saint Éloi[87] (Allard, 1819) et le retable du XVIIe siècle représentant la bataille de Lépante[88].
    Un parvis piétonnier (situé devant l’entrée du parking Martini) agrémente la façade néo-gothique de l’église, offerte jadis par Michel Pacha.
    Il y a quelques dizaines d'années, le parvis de l'église était entouré d'une grille métallique supprimée depuis pour faciliter la circulation automobile. On raconte que jadis les pécheurs attachaient leurs bateaux aux barreaux de cette grille car la mer peu profonde arrivait près de l'église. Des quartiers ont été depuis construits sur la mer, éloignant le port et les bateaux de pêche.
    • L'église Notre-Dame-de-la-Mer[89].
    • L'église évangélique de Pentecôte, de confession protestante[90],[91].
    • Monuments commémoratifs[92],[93].
    • Le monument aux Justes[94].
    • Les chapelles :
      • de l'Institution Sainte-Marie[95],[96] et son orgue[97].
      • Saint Vincent et son orgue de l'école de musique[98].
      • de Bonne-Garde, dite Notre-Dame-du-Mai[99],[100],[101].
      • Notre-Dame-de-Balaguier[102].

    Le patrimoine industriel et maritime

    • Le pont levant : il fut commandé à la société Daydé en 1913. Il entra en service en 1920 et permit d'assurer l’accès du chemin de fer sur le site des anciens chantiers navals sans traverser le centre-ville. Depuis 1986, le pont levant, emblème de la ville, reste dressé vers le ciel. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, sa restauration et sa mise en lumière ont débuté en 2007 et se sont achevées le . Il est depuis cette restauration doté d'un ascenseur qui permet d'atteindre le belvédère à 40 m de hauteur. Au 1er étage se déroule une exposition des moteurs autrefois utilisés pour permettre au pont de basculer, et qui permettaient de laisser passer les trains de marchandises chargés pour ravitailler les chantiers navals. Il est doté d'un éclairage par leds.
    • Le remorqueur Le Laborieux[103].
    • Le carrousel Jules Verne[104].
    Le fort Balaguier.

    Le patrimoine militaire

    Le patrimoine civil

    Le château de Michel Pacha à Tamaris en 1920.
    Médaillon représentant George Sand provenant de la bastide où elle demeura en 1861. Déposé au fort de Balaguier après la démolition de l'immeuble.
    • L'Institut de biologie marine Michel-Pacha : qui est notamment la base de recueillement des données du télescope à neutrino Antares[111]
    • La villa Tamaris, qui accueille diverses expositions durant l'année.
    • La fresque Vasarely, façade nord l'hôtel de ville[112].
    • La villa George-Sand (ancienne bastide Trucy)[113] et son parc d'acclimatation[114]. La romancière séjourna dans cette villa louée à Albert Trucy, la villa Les Tamarins, du au pour des raisons de santé. Cette villa n'existe plus, elle a été détruite en 1975 pour laisser la place à des immeubles. Dès son retour dans sa propriété de Nohant dans l'Indre, George Sand entreprit l'écriture de son roman Tamaris, roman réédité par Boris Touaty[115].

    Équipements culturels

    • La commune, sous l'impulsion de son maire Toussaint Merle a initié en 1967 une École municipale de musique, sous la direction de Jean Arèse, également chef adjoint de l'Opéra de Toulon. Cette école aura un grand rayonnement par les cours dispensés, de nombreux élèves devenant professionnels, elle est actuellement intégrée au Conservatoire à rayonnement régional de Toulon (Toulon Provence Méditerranée).
    • La Philharmonique La Seynoise est aussi une des plus anciennes sociétés de musique du département (fondée en 1840)[116].
    • La bibliothèque de théâtre Armand Gatti (11 000 livres de théâtre) est un lieu de résidence, accueillant des auteurs de théâtre[117].
    • Café théâtre La 7e vague, lieu de convivialité artistique, culturelle et citoyenne depuis 1999. (Graeme Allwright, Pierre Vassiliu, Anthony Joubert...)

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :

    D'azur, à deux poissons d'argent, l'un sur l'autre,
    le second contourné, et un chef cousu de gueules,
    chargé de cinq pains d'or, posés 3 et 2.
    [120]

    Lorsqu'il est représenté avec ses ornements extérieurs, le blason est entouré de rameaux de chêne et de laurier, coiffé d'une couronne murale à trois tours et décoré de la Croix de guerre que la ville a reçue le [121]. Cette version des armoiries de La Seyne-sur-Mer, datant de la Révolution française et rétablie en , avait été privée de sa Croix de guerre et les rameaux de chêne et de laurier avaient fait place à des rameaux de sagne, tels que sur la version de 1700, tandis que les actuels cinq pains d'or étaient devenus des brioches.

    Les plages

    La Seyne-sur-Mer dispose aussi de nombreuses plages.

    En partant de la ville et en descendant vers le sud puis l'ouest, on trouve successivement :

    Petits points de baignade le long de la corniche

    Nombreux coins de baignade plus ou moins confidentiels tout au long de la Corniche jusqu'à Tamaris

    Les Sablettes

    C'est de loin la plage la plus importante de La Seyne, avec un beau sabre doré.

    Très grosse affluence pendant les vacances d'été.

    Mar Vivo

    Elle se situe dans la continuité des Sablettes vers l'Est.

    La Verne

    C'est une plage de cailloux avec quelques rampes pour hisser des pointus hors de l'eau.

    Fabrégas

    Plage de sable sombre.

    Le Jonquet

    Plage de cailloux située sous le Cap Sicié, après une descente relativement abrupte.

    La partie Ouest de la plage est réservée aux nudistes.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « station balnéaire des Sablettes », notice no IA83000439, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Géologie des territoires de La Seyne-sur-Mer et de Saint-Mandrier
    3. Actions sur les bassins versants de l'Oïde.
    4. L’Oïde dans le Cap Sicié.
    5. L'eau dans la commune.
    6. Description de la station Cap Sicié - Amphitria.
    7. Étude diagnostic de la situation environnementale d'accueil de navires de grande plaisance.
    8. [PDF] Mairie de Toulon, Collecte des déchets verts.
    9. Archives climatologiques mensuelles - Toulon (1961-1990)
    10. Données climatiques de la ville de Toulon-La Seyne-sur-Mer, l'encyclopédie des villes de France, L'Internaute.
    11. Fiche communale d’informations sur les risques naturels, miniers et technologiques
    12. Didacticiel de la règlementation parasismique
    13. Annuaire des mairies.
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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    26. Origine des quartiers et lieux-dits seynois. Images de la vie seynoise d'antan - Tome VIII (2001)
    27. Les côtes de Provence. Toulon et la rade d'Hyères
    28. Au Parc de la Navale, acier corten
    29. Le Trésor du Félibrige, Frédéric Mistral, édition CPM 1979, vol. 2 p. 870
    30. Revue de l'université de Moncton, vol. 36 n°1, 2005, page 267
    31. Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, vol. 36, no 145, , p.309 (lire en ligne).
    32. Cubells 1986, p. 310 et 312.
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    36. « atelier de fabrication et de réparation dit atelier des turbines puis de mécanique des chantiers navals », notice no IA83000431, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Pont-levant », notice no PA00081737, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Gilbert Rochu & Yasmina Salhi, « Toulon, ville amirale du Front national », sur Le Monde diplomatique, .
    39. Le parc Fernand-Braudel par le groupe local Littoral Ouest Varois
    40. Le tourisme balnéaire à La Seyne-sur-Mer
    41. Sablettes-les-bains sur le site officiel de la ville
    42. « station de villégiature de Tamaris », notice no IA83000437, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. L'architecture balnéaire de Tamaris
    44. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 : p. 48 (La Seyne-sur-Mer et page 54 Saint-Mandrier-sur-Mer.
    45. Résistances seynoises.
    46. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Seyne-sur-Mer, consultée le 26 octobre 2017
    47. Les comptes de la commune « Copie archivée » (sur l'Internet Archive), .
    48. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    52. Écoles maternelles et élémentaires publiques de la commune
    53. École maternelle publique Victor Hugo
    54. « Ecole Sainte-Thérèse », sur ecole-saintetherese83.org.
    55. Écoles, collèges et lycées à la Seyne-sur-Mer
    56. Chapelle de l'institution Saint Marie : soutien de la Fondation du patrimoine aux travaux de restauration
    57. Paroisse Saint-Jean Baptiste
    58. Eglise Notre-Dame du Bon Voyage
    59. Chapelle catholique Notre Dame du Mai ou de Bonne Garde
    60. Notre-Dame de la Mer
    61. Centre consistorial israélite de La Seyne-sur-Mer et de l'Ouest varois
    62. Un renouveau pour le Cirque à la Seyne.
    63. Festival Musiques & Patrimoine en Pays Varois.
    64. Espaces santé
    65. Les Vacances de Ducobu, la suite de L'Elève Ducobu dans laquelle le jeune François Viette a pris la relève de Vincent Claude dans la peau du héros créé par Zidrou et Godi
    66. Les fréquences radio sur la commune.
    67. Économie locale
    68. le maintien et le développement de l’agriculture le maraîchage, la viticulture, la Canne de Provence, la production horticole, la pêche artisanale, la culture marine, le Pescatourisme
    69. Hébergements.
    70. Les magasins à La Seyne-sur-Mer.
    71. Mairie de La Seyne-sur-Mer, Panorama de l’économie locale.
    72. Mairie de La Seyne-sur-Mer, Commerce centre-ville.
    73. Les Deux Frères sur le site officiel de la ville
    74. « station de villégiature du Manteau », notice no IA83000438, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    75. Histoire du château du Manteau et de son parc botanique.
    76. Georges Ortolan, « Michel Pacha, enfant de Sanary, créateur de Tamaris », éditions Graichs, 57 p., 1984.
    77. La barque, principal élément d'architecture rocaille du parc de Michel Pacha.
    78. Le parc exotique du Manteau.
    79. « Eglise Notre-Dame-du-Bon-Voyage », notice no PA00081735, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    80. L'église Notre-Dame-du-Bon-Voyage
    81. Notice no PM83000556, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l'église Notre-Dame-du-Bon-Voyage
    82. Orgue de Mader (buffet «raccourci» en 1969...)
    83. Notice no PM83001466, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune
    84. Notice no PM83000555, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
    85. Notice no PM83000925, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Paul
    86. Notice no PM83000926, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Pierre
    87. Notice no PM83002630, base Palissy, ministère français de la Culture buste-reliquaire : Saint Éloi
    88. Notice no PM83000554, base Palissy, ministère français de la Culture retable, tableau : Saint Pie V et la bataille de Lepante
    89. L'église Notre-Dame-de-la-Mer
    90. L'église évangélique de Pentecôte
    91. Sanary sur Mer, église réformée de Sanary-La Seyne
    92. Monument aux morts, monument commémoratif des victimes des bombardements, plaque commémorative de la gare SNCF, plaque commémorative des chantiers navals, plaque commémorative du commissariat de police, carré militaire allée 22, carré militaire allée 35, carré militaire n° 11 franco-russe, carré de corps restitués aux familles
    93. Le monument aux morts
    94. Le monument aux Justes
    95. Soutien de la Fondation du patrimoine à la restauration de la chapelle : remise aux normes de l'électricité, restauration des peintures murales, restauration de l'orgue
    96. Institution Sainte-Marie. Les Maristes
    97. L'orgue de la chapelle de l'Institution Sainte-Marie, construit par François Mader
    98. Orgue de l'école de musique, chapelle Saint-Vincent
    99. Histoire de Notre-Dame de Bonne-Garde, dite Notre-Dame-du-Mai
    100. Pèlerinage à Notre Dame du Mai ou de Bonne Garde
    101. A la découverte des oratoires de Janas : sur les trâces des Pénitents de Notre-Dame-du-Mai
    102. La chapelle Notre-Dame-de-Balaguier
    103. Caractéristiques du remorqueur Le Laborieux
    104. Le carrousel Jules Verne
    105. « Fort de Balaguier », notice no PA00081736, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    106. Le musée Balaguier, informations
    107. Le Fort de l'Éguillette, informations
    108. Le Fort Napoléon, histoire
    109. Le fort Napoléon, activités culturelles
    110. La Batterie de Peyras, informations
    111. L'Institut Michel-Pacha sur le site officiel de la ville.
    112. La fresque Vasarely, façade nord l'hôtel de ville
    113. George Sand à Tamaris.
    114. A. Robertson – Proschowsky, G. Roster et B. Chabaud, La résistance au froid des palmiers, Marly-le-Roi, Champflour, , 264 p. (ISBN 2-87655-039-3), p. 233.
    115. "Tamaris", le roman de George Sand réédité par un jeune Seynois
    116. Site officiel de la Philharmonique La Seynoise (Fondée en 1840).
    117. La Bibliothèque de théâtre Armand Gatti.
    118. Juste parmi les Nations : Roland Huillet
    119. George Sand sur le site officiel de la ville
    120. Toulon Provence Méditerranée Ouest : La Seyne-sur-Mer, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    121. Le blason

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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