Jean-Denis Maillart

Jean Jacques Henri Denis Maillart né le à Paris et mort le à Illiers-l'Évêque (Eure) est un peintre, graveur, illustrateur et décorateur français.

Pour les articles homonymes, voir Maillart.

Biographie

Jeunesse

Jean-Denis Maillart est né le dans le 8e arrondissement de Paris[1]. Ses premiers tableaux et ses dessins de mode sont signés Jean Maillart. En 1939, il prend comme nom d'artiste Jean-Denis Maillart.

Maillart est issu d’une famille de peintres. Son père, Roger Maillart (1869-1915)[2], né à Paris, est artiste peintre[3], ainsi que sa mère, Suzanne Marie Louise Marion (née le à Rueil)[4]. Ils se sont mariés le dans le 14e arrondissement de Paris[5]. Son grand-père paternel est le peintre Diogène Maillart (1840-1926).

Il a deux ans lorsque meurt son père[6].

Après sa scolarité, Jean Maillart est étudiant dans l'atelier d’Émile Renard tout en fréquentant l’École nationale supérieure des beaux-arts dès 1929. Inscrit à l’École le dans l’atelier d'André Devambez, il préfère suivre l’enseignement d’Othon Friesz et se voit primé pour un portrait, son premier envoi, au Salon des artistes français de 1935[7]. « En peinture, j'ai toujours pensé portrait »[8].

Le , il épouse Jacqueline Mornand[9], fille de l’homme de lettres Pierre Mornand (1884-1972)[10],[11] et de Germaine Mornand née Poidatz. Ensemble ils auront huit enfants[9].

Cette même année, lors du vernissage du 5e Salon portraits contemporains à la galerie de Paris, il fait la connaissance de la photographe Laure Albin Guillot, alors au faîte de sa gloire, qui lui ouvre les portes du Tout-Paris et dont il conservera l’amitié la vie durant[12],[13]. Il leur est arrivé d'exposer ensemble, dans la même galerie et sur le même thème, elle par ses œuvres photographiques encadrées et lui par ses toiles, par exemple « Les Fleurs de Laure Albin Guillot et de Jean-Denis Maillart »[14],[15],[16].

En 1943, il dessine des publicités  entre autres pour Mellerio dits Meller[17] , illustre des magazines de mode[18],[19] et réalise des couvertures de roman comme pour La Belle amour de Francis Carco (1952)[20] ou pour Louis-Charles Royer (1952, 1959)[21].

La mode

La maison Worth cherchant un dessinateur, Madame Jacques Worth, Suzanne Cartier, l'engagea, à la vue de ses croquis, comme modéliste [22]. Jean-Denis Maillart y devint designer en chef[23]. C'est l'âge d’or pour la haute couture parisienne à la fin des années 1930, il participe à la préparation des collections et travaille avec les couturiers de renom[24]. Puis entre, après la guerre, chez Jean Patou [25],[26]. Mais au moment où la mode lui offre avantageusement une carrière assurée, il décide de tenter de vivre de sa peinture [27].

La peinture

Aubin Diximus, Propriété de Jean Denis Maillart à Oinville-sur-Montcient dans le Vexin français de 1945 à 1966.

Pendant l'Occupation, à l’été 1942, il part s’installer pour plusieurs mois à la campagne, dans la propriété de ses beaux-parents, avec son épouse, ses trois enfants, son jeune élève et l'ami peintre Luigi Corbellini pour y peindre. Il en résulte pour Jean Denis Maillart une première exposition personnelle de 30 toiles en à la galerie Jean Pascaud au 163, boulevard Haussmann à Paris[28],[29]. Visitant son atelier à cette époque, Paul Valéry lui dédia les lignes suivantes :

« J’ai coutume, ou la manie de dire : le peintre cherche la peinture, parole profonde que je n’ai pas le loisir, peut-être les moyens, d’expliquer, mais je crois, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé[réf. nécessaire]. »

En 1943, il présente au Salon des Tuileries sa Dame en noir qui lui vaut dix commandes de portraits dans la haute société parisienne[30]. Au Salon des Tuileries de 1946 où il a envoyé une Étude pour la danse posée par Renée Jeanmaire (qui deviendra Zizi Jeanmaire), la toile est acquise par le Fonds national d'art contemporain et est conservée dans la résidence de l’Assemblée nationale[31],[32].

Envoi de Paul Valéry (1942), livre d'or de Jean-Denis Maillart, collection Lasserre Maillart Paris.

En 1944, il expose un autoportrait au Salon des indépendants[33].

Élève

Jean-Denis Maillart, ayant déjà du succès comme peintre, a été, à Paris de 1942 à 1943[34], le professeur de François Morellet ; il lui donnera des cours et lui permettra d'exposer une de ses premières toiles au Salon de Société nationale des beaux-arts[35],[36].

Œuvre

Portraits

Au cours de sa carrière, Jean-Denis Maillart réalise plus de 2 000 toiles : têtes d'enfants, arlequins, paysages, bouquets de fleurs, avec une tendance symboliste plus tardive et plus de 600 portraits, parmi lesquels ceux de personnalités comme le prince Hassan Aziz Hassan et l'impératrice d'Iran Fawsia[37], la dernière sultane turque Neslişah[38], la reine Farida[39], Isa Miranda[40], Barbara[41], Jeanne Moreau [42], Charles Edward Merrill (en), David Rockefeller[43], Bernard et Mirabel Magdelene Kelly, la comtesse de Paris, sa fille la duchesse Diane de Wurtemberg et son époux duc Carl[44], le prince Albert II de Monaco[44] ou le comte Jacques-Rodolphe de Wurstemberger, le baron Hottinguer, la princesse de Bourbon Parme, le duc de Mouchy, d'Harcourt, Paul-Louis Weiller, Louis de Polignac ; à New York, il peint 40 portraits en trois mois en 1957 et 60 en 1961.

Fresques

Jean-Denis Maillart à Oinville en 1937.

En 1960, La Municipalité de Blonville confie à Jean-Denis Maillart la décoration intérieure de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1954[45],[46], dans laquelle il peint 13 fresques.

Scénographie

Entre 1947 et 1954, Jean Denis Maillart a réalisé un grand nombre des maquettes de costumes et une vingtaine de décors de ballet, de théâtre, de film.

Décors d'expositions et de festivals

Outre des affiches pour ballet[70], expositions ou festivals [71],[72], Jean-Denis Maillart a également composé des décors pour :

  • Floralies internationales de Paris, avril-, au CNIT, Paris La Défense, décoration des 700 m2 du pavillon du rosiériste Georges Delbard[73] : « une présentation originale qui tient à la fois de l’art du jardinier et de l’art dramatique, dans un décor léger et fabuleux signé Jean-Denis Maillart – le peintre pour qui réalité et songe se mêlent dans le même ivoire des siècles – et Bernard Bon, un jeune décorateur de talent »[74].
  • La Fée dentelle, exposition organisée par la Fédération nationale des dentelles et broderies au Palais Miramar à Cannes du 1er au dans un décor de Jean-Denis Maillart[75].
  • Décor pour le souper de clôture du 7e Festival International du Film à Cannes, le , aux Ambassadeurs et illustration de la couverture du programme de la soirée[76].
  • Décor pour le gala de clôture du XVIe Festival du film du Aux Ambassadeurs à Cannes[77].
  • Décoration de la Rotonde de l'Opéra Garnier pour la soirée du Cercle Carpeaux deux années de suite les [7],[78] où le décor et les costumes du Divertissement étaient également signés de l'artiste. Et le [79] où il a spécialement composé la couverture du programme [80].
  • Décorateur de la Compagnie fermière de Vichy sous la direction de Jean-Pierre Bourgeois, pour la relance de cette ville, Jean-Denis Maillart rénove « La Restauration » (rebaptisé le « Grand café » inauguré le dimanche 30 juin 1985), le pavillon Sévigné, les pavillons du Sporting (tennis et golf) et des Sources. De 1984 à 1985[81].

Lithographie

  • Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, 1944[82].
  • Arbre, 1 noir/blanc 1/80, 1972.
  • Arbre, 2 noir/blanc 1/80, 1972.
  • Le Cri, 6 couleurs 1/80, 1973.
  • Les Chevaux marins, 4 couleurs 1/80, l973.

Gravure au burin

  • Les Trésors du Monde, cinq gravures sur cuivre sur « Les trésors légendaires à la banque moderne » pour le Crédit lyonnais[83].
  • Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour le dixième anniversaire de la Banque Française du Commerce Extérieur[84].
  • Les Rois Mages (Los Reyes Magos), planche sur cuivre composée par l'artiste 41,5 × 31,5 cm pour la Banque de Cuba.

Dessins à la plume

Illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable d'Henry de Montherlant pour Opéra, journal de Roger Nimier, l’hebdomadaire du Théâtre, du Cinéma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numéro du pour s’échelonner jusqu'au [85].

Gouache, aquarelle et mine de plomb

Expositions

Distinction

Médaille de vermeil attribuée par la mairie de Paris en 1982 pour l’ensemble de son œuvre et son rayonnement culturel à l’étranger[93],[2].

Collections publiques

Citations

« L'atelier de Jean-Denis Maillart aussi étrange que fascinant est un atelier où éclate à même le mur une grande esquisse de Jean Cocteau et ['Antinoüs de Praxitèle portant les ailes de l’Archange de Sodome et Gomorrhe conçu par Christian Bérard. L'artiste, qui comme la Rose de Rainer Maria Rilke a semé aux quatre coins du monde ses pétales depuis qu'il exerce le dur métier de l'apparence a reçu comme la foudre l'hommage que lui a rendu Paul Valéry en lui écrivant : "J'ai coutume - ou la manie - de dire : le peintre cherche la peinture ; parole profonde que je n'ai pas le loisir — peut-être les moyens — d'expliquer. Mais je crois bien, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé." Le piège ou la trappe de Valéry aurait pu se refermer sur la longue route de la vie de Maillart, et j'en puis témoigner, mais Jean-Denis Maillart cherche encore l’appréhension du réel, l’incarnation des chairs, la profondeur de l'œil et la projection du ciel sur la terre.

A contre-courant, son œuvre plaide pour l'intégrité du visage de l'homme. L’artiste a refusé d'entrer dans le jeu des grandes destructions de l’art contemporain, où les visages et les corps humains sont déchiquetés, morcelés, insultés.Il croit, solitaire, à l'éminente dignité de l'amour et de la beauté, qui sont les luxes de la vie. Il restera toujours aussi attentif à la fragilité, aux faiblesses de la forme écrasée par ce monde inhumain où nous sommes entrés à reculons.Les Anges Oniriques de la Chapelle de Blonville, le Bateau Ivre illustrant le poème de Rimbaud, le jeu de cartes, les bijoux, les maquettes de théâtre, les portraits, sur les cimaises du monde entier, ne pourront que grandir avec le temps et témoignent que Jean-Denis Maillart n'a cessé de peindre à travers tant de frères humains qui après nous vivront, avec une seule arme, la sienne. » Jean-François Noël[108].

B. Duplessis, in « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars-, no 119, écrit :

«  C'est par son art du portrait que Jean-Denis Maillart marqua le plus son époque car il est un des rares à avoir représenté avec autant d'heureuse inspiration le visage de ceux qu’il a voulu peindre ou qui lui ont demandé de fixer leurs traits pour longtemps. Il a reconnu d'ailleurs : « J'ai toujours été fasciné par le visage humain », ajoutant – et c'est révélateur : « Lorsque j'écris un visage, j'assouvis un désir ». Les mains ont aussi pour lui une très grande importance : « La main accuse ce que le visage peut ou veut masquer. »[109]. »

Publications

  • Yves Mourousi, « Les Peintres de la fête », La Fête à Paris, no 20, , p. 3.
  • Fresques. Blonville sur Mer, Paris, Arts et Mémoires, 2016, 70 p. Bilingue français anglais. Préface du R.P. Riquet, (ISBN 978-2-9552621-0-8).
  • Esquisse d'un portrait de Laure Albin Guillot (préf. Paul Guth), Paris, Arts et Mémoires, , 99 p. (ISBN 978-2-9552621-1-5, présentation en ligne).
  • Napoléon III ou le Mécénat d'État, conférence prononcée au Grand Casino de Vichy le [110].
  • Portraits, In 8°, 185 p. dont 85 reproductions noir et couleur, Arts et Mémoires, 2019. — À la fois, livre d’art, de souvenirs et d’anecdotes que le peintre se plaisait à raconter à ses visiteurs..
  • Sa Vie, son oeuvre par lui-même, 2021 (en ligne).

Bibliographie

  • « La Chapelle Maillart » par Martine Sautory. Revue La Vie. 12 au no 3489
  • « Les Gènes du Talent » par François Billaut[8]
  • « Quand "les grands" se font tirer le portrait » par Yves Gérard[44]
  • « La Duchesse Diane au milieu des artistes » par Maurice Zalewski[111]
  • « Le Vernissage de Jean-Denis Maillart »[112]
  • « De la Silhouette de mode à la toile de Maitre »[27]
  • « Nos Peintres » d’Alfred Edwards[113]
  • « Jeunes Artistes » dans le bimensuel Plaisir de France, double-page illustrée de six photos de Laure Albin Guillot prises dans l’atelier de l'artiste[114].
  • Pierre Moirignot et Hamadi Cherif, Jean-Denis Maillart, Expo 90, .

Notes et références

  1. Extrait des minutes des actes de naissance du 8e arrondissement de Paris, année 1913.
  2. (en) « Jean-Denis Maillart », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
  3. « Roger Maillart », in Dictionnaire Bénézit.
  4. Musée d'Orsay, Suzanne Marion.
  5. Acte de mariage du , mairie du 14e arrondissement de Paris.
  6. Gérard Schurr - Pierre Cabanne, Les petits Maitres de la Peinture 1820-1920, Paris, Les Éditions de l'Amateur, , 175 p. (ISBN 2-85917-006-5), p. Volume III page 134 - Illustration page 109.
  7. Point de vue Images du Monde N° 34 du 27 janvier 1949
  8. François Billaut, « Les Gènes du talent », Point de vue Images du monde, , p. 26-27-28-29
  9. Whos is who in France.
  10. Catalogue Bnf, Mornand, Pierre.
  11. Kandinsky-Pompidou, Mornand.
  12. Esquisse d'un portrait de Laure Albin Guillot 2016, p. 13.
  13. Collection de photographies du musée national d'Art moderne, 1905-1948, Annick Lionel-Marie, Alain Sayag, 1996, page 28.
  14. « Les Expositions », Beaux-Arts, no 21, .
  15. « Les arts. Nos Peintres », Le Matin, télégrammes de la nuit, .
  16. Annonce exposition Maillart-Guillot, Galerie des Jacobins, Le Journal, .
  17. hprints
  18. « Les Chapeaux de printemps », L’Art et la Mode, no 2683, .
  19. « Turban de Sygur », L’Art et la Mode, n°2685, .
  20. WorlCatalogue.
  21. Abe books.
  22. Suzanne Cartier 1885-1960, petite fille du créateur de bijoux Louis François Cartier.
  23. designer en chef
  24. les couturiers de renom
  25. « À la fermeture de la grande maison en 1942, il entre chez Patou. », François Billaut, « Les Maillart », Point de vue, , p. 29.
  26. Jean Patou , Robe du soir de Jean Patou en jersey gris argent, photographie de Laure Albin Guillot (1879-1962), photographe , Note(s) : Au dos, titre, date et mentions ms. : « Jean Denis Maillart modéliste » (notice BnF no FRBNF40480563).
  27. Fernand Xau, « De la Silhouette de mode à la toile de maître », Le Journal, (lire en ligne)
  28. Comoedia,  : « Le peintre Luigi Corbellini peignait avec Jean Denis Maillart lors de cet épisode pictural à la campagne. Une toile Maillart à cette exposition Pascaud représentait les deux femmes de peintres, Jacqueline M. et Nicole C., se reposant couchées dans l'herbe en jupe de couleur ». Comoedia, en ligne sur Gallica.
  29. France Europe,  : « L'extrême facilité avec laquelle Jean-Denis Maillart semble avoir toujours manié le pinceau devait, les relations mondaines aidant, en faire un brillant portraitiste. La verve, le brio, l'éclat, un certain don de coloriste, toutes qualités appréciées du public mais superficielles, étaient son apanage. Il faut lui savoir gré d'avoir bien voulu considérer, malgré le succès qui le guettait, que la Peinture est autre chose qu'un art aussi factice. Il faut encore le féliciter de n'avoir pas la prétention, en 1942, de redécouvrir Cézanne. Dans cette exposition, on trouvera de jolies recherches d'harmonies tel 'Nuage' dans un ciel gris témoigne d'une belle sensibilité rétinienne ; telle petite « Étude de poire » possède de réelles qualités picturales ; plusieurs figures de femmes, deux amies couchées couchées sur l'herbe, sont d'un coloriste subtil qui aurait peut-être un peu trop regardé par-dessus l'épaule travailler Corbellini. ».
  30. Salon des Tuileries, 20e exposition, Palais de Tokyo, catalogue de l’exposition, p. 54 ; Beaux-Arts, .
  31. Salon des Tuileries, 23e exposition, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, catalogue de l’exposition, p. 52.
  32. Étude pour la danse, huile sur toile, 100 × 60 cm, signée en bas à droite, vers 1940, achat à l’artiste en 1946 par le Fonds national d’art contemporain, inv. FNAC 19515. En dépôt depuis le à l'Assemblée nationale à Paris. Centre national des arts plastiques (CNAP).
  33. catalogue du 55e Salon des indépendants sur Gallica.
  34. Serge Lemoine, François Morellet : dessins, Musée de Grenoble, , p. 47.
  35. Artwiki.
  36. Fiche RKD, Jean-Denis Maillart.
  37. (en) Hassan Hassan, « Turkey and England Illustrations », dans In the House of Muhammad Ali, A Family Album, 1805-1952, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 9781617972416, lire en ligne), p. 46.
  38. Alif Art Galeri, Nişantaşı - İstanbul.
  39. Artnet.
  40. Centre des monuments Nationaux, photographies, Séeberger frères.
  41. Barbara, sur artnet.
  42. QUINIO/Gamma-Rapho via Getty Images.
  43. Nadeaus auction.
  44. Yves Gérard, « Quand « les grands » se font tirer le portrait », Point de vue Images du monde, , p. 54-55
  45. Fresques de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption de Blonville-sur-Mer.
  46. Chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption sur 14910.net.
  47. Source : programme du Théâtre national de l'Opéra.
  48. catalogue Bnf
  49. (en) J. P. Wearing, The London Stage 1950-1959: A Calendar of Productions, Performers, and Personnel, p 331.
  50. catalogie BnF.
  51. Quatorze maquettes de costumes de Jean-Denis Maillart, 1958, 14 dessins : aquarelle, pastel ; 47,5 × 32,5 cm, (notice BnF no FRBNF45078197)
  52. Source : Critique d’Andrew Porter, The Financial Times, London, 3 septembre 1956.
  53. (en)Dancing Times, 1956, page 10.
  54. Source : programme 1950-1951 du Théâtre de la Scala, contrat du 12 décembre 1950 entre le Théâtre de la Scala et J.-D. Maillart.
  55. Le Courrier musical de France, Numéros 33 à 40, Page 166
  56. Source : contrat entre la Ville de Marseille et J.-D. Maillart, décembre 1961, Le Provençal, 22 janvier 1952.
  57. catalogue BnF
  58. (notice BnF no FRBNF32524453)
  59. Catalogue Bnf
  60. catalogue BnF
  61. Notice rédigée d'apr. "Pariscope" : Semaine de Paris 30 sept.-6 oct.1953 (notice BnF no FRBNF39498716).
  62. Régie théâtrale, catalogue maquettes
  63. Bulletin de la Bibliothèque nationale, Volumes 3 à 4, p159
  64. Source : programme du spectacle ; lettre de Mme Harry-Baur, directrice du Théâtre des Mathurins du 14 novembre 1958 adressée à J.-D. Maillart, critique de Jean-Jacques Gautier.
  65. Paris-théâtre, Numéros 143 à 154, via GGbooks
  66. Jacqueline Cartier, « Les coulisses des théâtres », L'Aurore,
  67. Réalités: femina-illustration, Numéros 144 à 149 , 1958, page 101
  68. (notice BnF no FRBNF39460534).
  69. Jacques Bucquet, « Le Fil à la patte », Le Parisien libéré, .
  70. [image]Ballet Opéra de Paris, 1948, lithographie, de Jean Denis Maillart.
  71. [image]Médiathèque du Festival de Cannes, affiche 1963
  72. [image]Médiathèque Festival de Cannes, affiche 1960, XIIIe festival du film et Floralies
  73. Bon de commande du 15 novembre 1958  de Georges Delbard.
  74. Jean-François Noël (1915-1985) auteur dramatique et d'émissions radio. Scénariste et réalisateur.
  75. Le Parisien libéré, 5 avril 1954.
  76. Programme de la soirée de gala, Nice Matin 20 avril 1954. Nice Matin 20 avril 1954.
  77. « Le film français », Cinémonde,, 12 mai 1963.
  78. lettre du 24 décembre 1948 de Ghislaine Marbeau, secrétaire du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
  79. 21/01/1950 de M. P. Prenot du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
  80. Programme édité à 250 exemplaires numérotés de 1 à 250 pour la soirée du Cercle Carpeaux le 19 décembre 1949
  81. https://carteret.pagesperso-orange.fr/Histoire%20Vichy.htm
  82. Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, vingt feuillets libres non chiffrés illustrés de onze planches composées et dessinées sur pierre par Jean-Denis Maillart, tirées format in-folio 34 × 43,5 cm sur les presses de Maurice Darantière, Paris, Éditions du Raisin, 1944 (notice BnF no FRBNF32572560)).
  83. « Les Trésors du Monde » cinq burins précédant un texte Des trésors légendaires à la banque moderne, éd. Crédit lyonnais, 1950, 5000 ex. 38 × 28 cm (notice BnF no FRBNF40379662)
  84. Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour la Banque Française du Commerce Extérieur, tirée sur les presses du maître taille doucier Pierre Thirot, typographie composée par M. Charles Peignot à Paris, 1950 Sources : correspondance de M. Jacques Belin 1899-1961 (Président de la B.F.C.E, Directeur général de la Banque de France, professeur à l'Institut de sciences politiques de Paris), laquelle indique que la première épreuve lui a été remise fin novembre 1950 , lettre du 20/11/1950] et la planche elle-même à la mi-décembre 1950 et lettre du 19/12/1950, révélant aussi que le cuivre offert à la Banque par J.-D. Maillart « fait l’admiration de mes visiteurs » lettre J. Belin du 30/06/1953.
  85. Source : lettre du Journal Opéra du 3 mars 1951  confiant à J.-D. Maillart le soin d'illustrer le roman de M. Henry de Montherlant, L'Histoire d'amour de la rose de sable à paraître dans leur hebdomadaire.
  86. Maxence van der Meersch (préf. Armand Lanoux), L’Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune, illustrations de Jean-Denis Maillart, Paris, Club des amis du livre, , 460 p.(notice BnF no FRBNF33206877)
  87. Bibliographie de la France, Au Cercle de la Librairie, (lire en ligne), p.122.
  88. Source : Convention entre Odiot S.A. et Jean-Denis Maillart du 1er février 1975.
  89. (en)Dxpo-Playing cards, Deck of the month, sept. 2012.
  90. Beaux-Arts Magazine, , no 21.
  91. Le Journal, , Gallica, BnF.
  92. « Les expositions », Journal de Monaco, , p. 787.
  93. Who's who France, 2000-2001, p. Maillart Jean-Denis.
  94. mabfaap.sismu.com.br
  95. Reproduit dans le catalogue de la donation.
  96. Le Beau Masque, de Jean-Claude Pascal, éditeur, Robert Laffont, 1986, (ISBN 978-2-2211-7772-3), Chapitre VI.
  97. Web museo, expo/280
  98. Museums.fivecolleges.edu.
  99. (en) Sidney Jowers et John Cavanagh, Theatrical costume, Masks, Make-up and Wigs a bibliography ans iconography., Routledge London and Newyork, Motley Pesss Romsey, , p14 (fl 1951) n°1495
  100. Collections Victoria & Albert Museum
  101. Collections Victoria & Albert Museum
  102. Collections Victoria & Albert Museum
  103. Collections Victoria & Albert Museum
  104. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6841
  105. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1958
  106. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6841, 1949
  107. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1953
  108. Préface catalogue exposition galerie Le Triskèle, 23 rue de Fleurus, 75006 Paris, mai-juin 1981.
  109. B. Duplessis, « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars-avril 1987 n°119.
  110. À la demande de Philippe de Chaunac à l’occasion de la rénovation des lieux de cure.
  111. Maurice Zalewski, « La Duchesse Diane au milieu des artistes », Point de vue Images du monde, , p. 6-7
  112. « Sous la haute présidence de la Comtesse de Paris, le vernissage de Jean-Denis Maillart », La Fête à Paris, du 11 mai au 17 mai 1977, p. 10-11
  113. Alfred Edwards, « Nos Peintres », Le Matin,
  114. « Jeunes Artistes », Plaisir de France, , p. 22-23

Liens externes

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