Jean-Antoine Houdon

Jean-Antoine Houdon, né le à Versailles et mort le à Paris, est un sculpteur français.

Il est l'un des plus importants statuaires du XVIIIe siècle. Réputé pour le rendu réaliste de ses œuvres, habile non seulement dans le travail en marbre, Houdon avait aussi un talent et aptitude pour façonner la terre, le plâtre et le bronze. On l'appelle souvent « le sculpteur des Lumières »[1].

Biographie

Voltaire assis, (1781), marbre, H.140 x l.106 X p.80 cm, Comédie Française, Paris.

Sa mère Anne Rabache était issue d'une famille de jardiniers du Château de Versailles[2]. Quant à son père Jacques Houdon, il était domestique puis concierge de la Nouvelle École des protégés du Roi à Paris, jusqu'en 1775. Houdon commence à sculpter enfant, à neuf ans, dans l'atelier de Jean-Baptiste Pigalle, puis devient l'élève de Michel-Ange Slodtz dont il revendiquera l'influence[3].

Après l'Académie, Houdon obtient en 1761 la bourse rétribuant le prix de Rome. Il arrive à Rome lorsque le classicisme florissant commence à détrôner le berninisme. Houdon étudie les œuvres de l'Antiquité et les artistes de la Renaissance comme Michel-Ange. Il apprend rapidement à combiner le réalisme avec l'idéalisme grec. Il séjourne à Rome de 1764 à 1768, date à laquelle il revient à Paris. Houdon s'intéresse vivement à l'anatomie du corps humain et veut que ses œuvres soient fidèles à la nature. « J'ai employé ce temps,à des études profondes sur l'anatomie comme base du dessin », écrit Houdon[4].. C'est pendant son séjour à Rome qu'il réalise son chef-d'œuvre L'Écorché, sculpté en 1767 avant son retour à Paris, et son premier succès.

Il est agréé par l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1769 où il est reçu le . Il expose au Salon à partir de 1771 jusqu'en 1814. En 1778, il réalise quatre portraits de Voltaire, dont seul le portrait tête nue donne satifaction au philosophe et dont on peut voir aujourd'hui la grande version en marbre Voltaire assis à la Comédie-Française. De plus Houdon moule son masque mortuaire[5]. Il réalise les portraits des philosophes Diderot, Rousseau. En 1787, il réalise le portrait du roi Louis XVI, dont il présente le marbre[6] au salon de 1790 !

Voyage en Prusse et commandes en Russie

Présentation de sculptures de Houdon au château de Friedenstein.

Sa rencontre avec Diderot, et le succès du portrait du philosophe « au naturel » (1771), c'est-à-dire sans perruque, ouvre les portes des cours étrangères de Prusse et de Russie. Houdon fait deux voyages à la cour de Saxe-Gotha, principauté de Thuringe, pour répondre à la commande d’un mausolée en mémoire de la duchesse Louise-Dorothée et du duc Frédéric III. Leur fils le duc Ernest II Saxe-Gotha-Altenbourg commande alors plusieurs centaines de plâtres à Houdon, lui offrant un véritable musée aujourd'hui encore dans château de Friedenstein, à Gotha. Après le gotha allemand qui lui passe de nombreuses commandes , c'est la cour de Russie avec les figures des princes Dimitri Alexievitch Galitzine et Stroganov qui lui passent commandes des portraits de Diderot et la tsarine de Russie Catherine II [7]. La cour de France ne lui passe, elle, que trois commandes !

Voyage aux États-Unis

Houdon fait partie d'une loge maçonnique, les Neuf Sœurs, qui a soutenu la jeune république américaine. Il y côtoie Benjamin Franklin, et lorsque celui-ci retourne en Amérique, fait la connaissance de son remplaçant, Thomas Jefferson, qui lui commande un buste et le persuade de faire une statue de George Washington. En 1785, « appelé par l'État de Virginie pour fixer les traits de Washington », Houdon traverse l'Atlantique et passe quinze jours à Mount Vernon pour saisir les traits de Washington qui pose pour lui. Houdon est accompagné de ses assistants praticiens Bégler et Michetti. L'état de Virginie paye 25000 livres plus une caution de 10000 livres à la famille du sculpteur s'il arrivait malheur pendant le voyage qui dure de juillet 1785 à janvier 1786. Une des statues de Washington se trouve aujourd'hui au capitole de Richmond. Les sculptures sont sculptées à Paris et envoyées aux États-Unis en 1796[8]. Houdon est un des rares artistes européens de son temps à avoir fait le voyage en Amérique du Nord.

Peu après être retourné à Paris en 1788, Houdon présente au Salon des statues mythologiques et allégoriques, notamment une Diane et une Baigneuse (New York, Metropolitan Museum of Art).

Le mariage avec Cécile Langlois

Houdon se marie le 1er juillet 1786 avec Marie-Ange-Cécile Langlois[9]. Elle va prendre en charge la gestion de l'atelier du sculpteur, tant pour les relations commerciales des éditions qu'avec les commanditaires pour les contrats et les paiements[10]. Fille adoptive de la comtesse de Villagagnon[11] et du banquier britannique Thomas Walpole qui est le cousin de Horace Walpole et descendant du premier ministre britannique Robert Walpole. Cécile Houdon traduit le roman anglais "Belmour"[12],[13] de la sculptrice et romancière anglaise Anne Seymour Damer, qui est sa cousine par alliance.

Avec son mari ils auront trois filles, Sabine (1787), Claudine (1788) et Anne-Ange (1790) qui servent au sculpteur plusieurs fois de modèles pendant les années de la Révolution.

La peintre et graveuse Joséphine Calamatta(1817-1893) est leur petite fille. Une peintre Marguerite Houdon(Lenoir), décédée à Paris en 1795, semble être une parente du sculpteur[14].

Pendant la Révolution

Madame Houdon en 1786, musée du Louvre.
Moulage du visage du Marquis de Lafayette en 1785.

Parmi ses bustes exposés au Salon de 1790, on peut mentionner ceux de La Fayette, de Benjamin Franklin, d'Honoré de Mirabeau, de Jacques Necker, et de Jean Sylvain Bailly. En 1793, dénoncé par Jacques-Louis David[15], au Comité de Salut Public pour avoir travaillé une sculpture de Sainte Scolastique[16], Houdon est acquitté en transformant sa sculpture en Philosophie. La sculpture est payée et placée dans la Salle de Séances de la Convention en 1795[17]. Houdon propose alors de réaliser un monument à Jean-Jacques Rousseau aux Champs-Élysées[18], puisqu'il a réalisé le masque mortuaire du philosophe[19].

Devant se défendre, Houdon produit un mémoire où il explique que son œuvre est pillé par la contrefaçon, et qu'il a dû dés 1787 créer son propre atelier de fonderie pour fondre en bronze ses portraits de Voltaire, Rousseau... ainsi que son fameux écorché en 1792[20]. En 1793, il offre à l'Académie des Beaux-Arts un moulage de "Cheval écorché moulé sur nature"[21],[22].

En 1795, sous le Directoire, Houdon est nommé membre de l'Institut. Lorsqu'il cesse d'exposer en 1814, il aura successivement travaillé sous Louis XVI, sous la Révolution française et sous l'Empire.

Professeur de sculpture

Sous l'Empire, tous ceux qui comptent passent par son atelier, l'Empereur, Joséphine, maréchaux et artistes en renom[23]. En 1806, il réalise une sculpture monumentale de Napoleon Ier en bronze[24] pour la Colonne de la Grande Armée à Boulogne mais également des portraits en marbre de l'Empereur (aujourd'hui à Versailles). Il est nommé chevalier de l'Empire le [25]. En 1812, il réalise la sculpture de Voltaire debout pour le Panthéon de Paris. En 1814, il participe pour la dernière fois au Salon.

Houdon est nommé professeur à L'Ecole des Beaux-Arts de Paris , le , succédant à Pierre Julien[26]. Il y reste jusqu'en 1823, date à la quelle son épouse décède. Agé de 82 ans, Houdon demande sa retraite et meurt en 1828 à Paris. Durant ces cinq dernières années, spectateur assidu de la Comédie Française où il a une loge, il se dégrade lentement. Lors de ses lentes promenades il ramasse des pierres et des cailloux qu'il observe avec attention et rêverie, ce qui pour ses contemporains était un signe de retour à l'enfance [27].

À sa mort son atelier au Palais de l'Institut et l'intérieur de son domicile à la Bibliothèque Royale, sont mis en vente dans deux vacations cataloguées.

Il est inhumé au cimetière Montparnasse.

Le portraitiste

Le Marquis de Miromesnil (1775), Londres, Victoria and Albert Museum.

Houdon est principalement connu comme portraitiste. Ses portraits sont extrêmement précis et vivants et de nombreuses personnalités de son temps posent pour lui. On lui doit les bustes de la tsarine Catherine II de Russie et du philosophe Denis Diderot, quatre bustes différents de Voltaire, un buste posthume de Jean-Jacques Rousseau ainsi qu'un buste de Cagliostro. Le réalisme du rendu des yeux de ses portraits est célèbre. Melchior Grimm, frappé par le jeu de la lumière et l'expressivité de leurs regards, remarquait que : « Houdon est, peut-être, le premier sculpteur qui ait su modeler les yeux »[28]. Auguste Rodin remarquait : « Le regard, c’est plus de la moitié de l’expression pour ce statuaire. À travers les yeux, il déchiffrait les âmes. »[29]. On peut encore citer ses portraits de Voltaire (en buste, en pied au Panthéon de Paris, ou assis au musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg), de la comédienne Sophie Arnould, de Molière, de Boissy d'Anglas, de Napoléon Bonaparte, ainsi que ceux de plusieurs grands hommes américains : outre celui de Washington déjà évoqué, de Robert Fulton, Benjamin Franklin ou Thomas Jefferson.

Les bustes pour l'Opéra

Buste de Christoph Willibard Gluck (1777).
Sophie Arnould en Iphigénie, marbre Louvre.

Houdon fit le portrait du musicien et compositeur d'opéra Christoph Willibald Gluck en 1777. Au Salon, le réalisme saisissant du portrait scandalisa les partisans d'une idéalisation du portrait. Le sculpteur n'ayant pas hésité à représenter les cicatrices profondes de la petite vérole sur le visage du compositeur, marques que les artistes tel le peintre Duplessis, avaient eux pris soin d'effacer [30]. Le buste fut cependant placé dans le foyer de l'opéra.

Les méthodes commerciales de Houdon sont connues à travers le contrat qu'il établit en 1775 avec la cantatrice Sophie Arnould représentée dans le rôle d'Iphignénie de Gluck. Il lui vend pour 3800 livres son portrait en marbre, auquel s'adjoint 30 tirages en plâtre sur piédouches, l'original en terre accompagné d'une clause pour 20 tirages en plâtre supplémentaire à 60 Livres chaque[31].

Les Écorchés

L'écorché bras replié sur la tête, Montpellier, musée Fabre.

Chef-d'œuvre[32] du sculpteur qui se passionne pour l'anatomie, l’Écorché, bras droit tendu devant de 1766-1767, et sa variante, l’Écorché, le bras replié au-dessus de la tête[33], restent aujourd'hui des modèles de référence dans l'apprentissage de l'anatomie artistique.

La Frileuse (ou L'hiver) et L'Été

Pendant de la statue de L'Été (1785, Montpellier, musée Fabre), L'Hiver, dit aussi La Frileuse, fut un grand succès d'édition en bronze. L'esquisse en terre cuite (1781) et la statue en marbre (1783) sont conservées au musée Fabre[34].

Œuvres dans les collections publiques

Louis Léopold Boilly, L'Atelier de Houdon (vers 1804), Paris, musée des Arts décoratifs.
Allemagne
  • Berlin, musée de Bode : Portrait du baron de Vietinghoff, 1791, buste en marbre[35]. Le plâtre a été exposé au salon de Paris en 1777.
  • Gotha, musée ducal (de) :
    • L'Écorché, 1767, statue en plâtre ;
    • Morphée, vers 1769, statue en plâtre ;
    • Denis Diderot, 1771, buste en plâtre ;
    • Voltaire, 1778, buste en plâtre teinté bronze ;
    • Jean-Jacques Rousseau, 1778, buste en plâtre teinté bronze.
  • Altenbourg, Lindenau-Museum (de) :
États-Unis
France
  • Aix-en-Provence, bibliothèque Méjanes : Buste du marquis de Méjanes, 1786-1787, marbre[37].
  • Dijon, musée des Beaux-Arts : Portrait de Buffon, vers 1781, buste, plâtre original[38].
  • Gray, musée Baron-Martin : Voltaire assis dans un fauteuil, statuette en plâtre patiné façon terre cuite, réduction d'après le modèle de 1781, 33 × 18 × 26 cm, dépôt du la Manufacture de Sèvres.
  • Grenoble, musée de Grenoble : Buste du marquis de Franquières, 1799, marbre.
  • Lyon, musée des Beaux-Arts : Buste de fillette, 1791, plâtre.
  • Montpellier,
    • musée Fabre
      • L'Hiver ou La Frileuse, 1781, esquisse en terre cuite
      • L'Hiver ou La Frileuse, 1783, statue en marbre[39] ;
      • L'Été, 1783, statue en marbre[40].
      • L'écorché, bras levé, plâtre[41].
      • Voltaire assis, vers 1780-1790, terre cuite, plâtre
      • Buste du marquis de Miromesnil, vers 1781, marbre
      • Buste d'un magistrat inconnu, 1788, marbre
      • Buste de Molière, vers 1779, plâtre
      • Buste de Benjamin Franklin, vers 1779, plâtre
  • Paris :
  • Versailles, musée Lambinet :
    • Voltaire assis ;
    • Buste de Rousseau ;
    • Buste de Claudine Houdon ;
    • Buste de Sabine Houdon ;
    • Buste de La Fayette ;
    • Buste de Washington ;
    • Buste de Jean Charles Pierre Lenoir ;
    • Diane chasseresse, terre cuite.
Italie
Au Portugal
Royaume-Uni
Russie
Suisse

Élèves

Hommages

Tony Noël, Monument à Jean-Antoine Houdon (1891), Versailles.

Armoiries

Armes de chevalier de l'Empire : « D'azur au chevron cousu de gueules du tiers de l'écu, chargé du signe des chevaliers légionnaires, accompagné en chef, à dextre d'un croissant, à sénestre d'un arc et d'une flèche, le tout d'argent ; et en pointe d'un vieillard assis dans un fauteuil, le tout aussi d'argent. » Ces armes rappellent la statue de Voltaire assis dans un fauteuil, un des chefs-d'œuvre de l'artiste[25].

Notes et références

  1. Cat Coll, dir. Anne Poulet, Houdon, sculpteur des Lumières : 1741-1828, cat exposition, Musée national du château de Versailles, 1er mars-31 mai 2004, Paris : Réunion des musées nationaux , 2004 Versailles : Château de Versailles , 2004.
  2. in Valérie Roger, « Du portrait malgré lui à la grâce intemporelle du visage », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [En ligne], Articles et études, mis en ligne le 13 juin 2008, consulté le 31 août 2020. URL : http://journals.openedition.org/crcv/3323 ; DOI : https://doi.org/10.4000/crcv.3323
  3. Élisa Maillard, Houdon ,Editions Rieder, Paris, 1931, p. 8-9
  4. déclare Houdon dans un mémoire destiné au Comité de Salut Public en 1794 in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 160
  5. https://www.louvre.fr/oeuvre-notices/voltaire-francois-marie-arouet-dit-1694-1778-ecrivain
  6. aujourd'hui à Versailles
  7. in Valérie Roger, « Du portrait malgré lui à la grâce intemporelle du visage », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [En ligne], Articles et études, mis en ligne le 13 juin 2008, consulté le 31 août 2020. URL : http://journals.openedition.org/crcv/3323 ; DOI : https://doi.org/10.4000/crcv.3323
  8. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 99
  9. née à Paris en 1765 d'un père fonctionnaire du Roi
  10. in Elizabeth Eger, Bluestockings Displayed, Cambridge University Press, Cambridge, 2013, p. 87-89
  11. Jeanne-Marguerite Bataihle de Montval
  12. roman anglais "Belmour" de Mistress Dimmer () paru à Paris, Demonville et Dentu, 1804, 2 vol. in-12 in Revue universelle des arts, article Houdon sa vie et ses ouvrages, (1741-1828.), Paris, 1855 p. 417 Gallica, in https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5415555g/texteBrut
  13. (en) Helen C. Frick, « Madame Jean Antoine Houdon », The Art Bulletin, vol. 29, no 3, , p. 207-212 (DOI 10.2307/3047132, JSTOR 3047132)
  14. idem note précédente p. 417
  15. suivant le procès-verbal du témoignage de Madame Houdon au procès de David en 1815
  16. marbre commandé pour une chapelle latérale de l'église des Invalides
  17. in B.Barrère, Mémoires de B.Barrère, tome II, Editions Jules Labitte, 1842, p. 143
  18. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 127-130
  19. Houdon n'obtient pas la commande qui revient au sculpteur Moitte, pour "Jean-Jacques Rousseau méditant sur les premiers pas de l’enfance" sculpture jamais réalisée.
  20. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 162-164
  21. Procès-verbaux de l'Académie royale de peinture et de sculpture: publiés pour la Société de l'histoire de l'art français (1648-1793), J.BAur, Paris 1892 p. 221.
  22. pour certains auteurs, ce cheval est l'étude préparatoire pour un monument équestre à Georges Washington in Paul Lacroix, Revue universelle des arts, Volume 1, Paris, 1855, p. 320-321
  23. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 279
  24. aujourd'hui disparue
  25. Alcide Georgel, Armorial de l'Empire français : L'Institut, L'Université, Les Écoles publiques, (lire en ligne).
  26. Son successeur sera Charles DupatyFrédéric Chappey, « Les professeurs de l'École des beaux-arts (1794-1873) », in Romantisme, no 93, 1996, p. 95-101.
  27. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 357-358
  28. in Friedrich Melchior Freiherr von Grimm, Correspondance, littéraire, philosophique et critique par Grimm, Diderot, Raynal, Meister, etc: revue sur les textes originaux, comprenant outre ce qui a été publié à diverses époques les fragments supprimés en 1813 par la censure, les parties inédites conservées à la Bibliothèque ducale de Gotha et à l'Arsenal à Paris, Volume 12, Garnier frères, Paris, 1968, p. 104
  29. Auguste Rodin, L’Art, entretiens réunis par Paul Gsell, Grasset, 1911, p. 157-158
  30. in Louis Réau, Houdon une biographie critique, Ed Renouard, Paris, 1930.
  31. in Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828). Tome 1, Paris, 1918, p. 326-327
  32. universalis.fr.
  33. « Écorché, le bras replié au-dessus de la tête », notice de la base Cat'zArts.
  34. Sur le même thème, Pierre Travaux a sculpté une Frileuse (1867) inspirée de celle de Houdon, également conservée au musée Fabre.
  35. (en) Hjorvardur Harvard Arnason, The Sculptures of Houdon, Londres, Phaidon, 1975, p. 41
  36. Référencé sur le site du musée, le buste en marbre est présenté comme appartenant à une collection privée à Londres dans la revue Grande Galerie - Le Journal du Louvre, no 41, septembre-octobre-novembre 2017, p. 24.
  37. Notice sur citedulivre-aix.com.
  38. « collections du musée des beaux-arts de dijon - Affichage d'une notice », sur mba-collections.dijon.fr (consulté le )
  39. H.H. Arnason, op. cit., p. 67.
  40. H.H. Arnason, op. cit., p. 114.
  41. Collection permanente de la ville
  42. Notice no 2436, base Atlas, musée du Louvre.
  43. Notice no 16587, base Atlas, musée du Louvre.
  44. Acquisition par le musée le 16 mai 2017.
  45. Notice no 2482, base Atlas, musée du Louvre.
  46. Notice no 2454, base Atlas, musée du Louvre.
  47. Notice no 2429, base Atlas, musée du Louvre.
  48. Notice no 2499, base Atlas, musée du Louvre.
  49. Notice no 10744, base Atlas, musée du Louvre.
  50. Notice no 2428, base Atlas, musée du Louvre.
  51. Notice no 2432, base Atlas, musée du Louvre.
  52. Notice no 19107, base Atlas, musée du Louvre.
  53. Notice no 2537, base Atlas, musée du Louvre.
  54. Notice no 2452, base Atlas, musée du Louvre.
  55. Notice no 2456, base Atlas, musée du Louvre.
  56. Notice no 2509, base Atlas, musée du Louvre.
  57. Notice no 2477, base Atlas, musée du Louvre.
  58. Notice no 2434, base Atlas, musée du Louvre.
  59. H.H. Arnason, op. cit., p. 41.
  60. Notice no 2414, base Atlas, musée du Louvre.
  61. Notice no 2437, base Atlas, musée du Louvre.
  62. Notice no 524, base Atlas, musée du Louvre.
  63. Notice no 522, base Atlas, musée du Louvre.
  64. Notice no 4420, base Atlas, musée du Louvre.
  65. Notice no 2440, base Atlas, musée du Louvre.
  66. Le buste en marbre est à New York au Metropolitan Museum of Art.
  67. Notice no 2439, base Atlas, musée du Louvre.
  68. Notice no 2426, base Atlas, musée du Louvre.
  69. Notice no 28410, base Atlas, musée du Louvre.
  70. Notice no 2512, base Atlas, musée du Louvre.
  71. H.H. Arnason, op. cit., p. 15.
  72. latribunedelart.com.
  73. H.H. Arnason, op. cit., p. 40.
  74. (en) « Buste of Madame de Sérilly », sur wallacelive.wallacecollection.org.
  75. H.H. Arnason, op. cit., p. 24.

Annexes

Bibliographie

  • Hjorvardur Harvard Arnason, Jean-Antoine Houdon. Le plus grand sculpteur français du XVIIIe siècle, Edita-Denoël, 1976. 292 p.
  • Valérie Roger, « Du portrait malgré lui à la grâce intemporelle du visage », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles, 2007 (mis en ligne le 13 juin 2008. Consulté le ).
  • Georges Giacometti, Le Statuaire Jean-Antoine Houdon et son époque (1741-1828), Paris, 1918.
  • Élisa Maillard, Houdon ,Editions Rieder, Paris, 1931.
  • Cat, coll dir. Anne Poulet, Houdon, sculpteur des Lumières : 1741-1828, Musée national du château de Versailles, 1er mars-31 mai 2004, Éditions Réunion des musées nationaux, Versailles, 2004.

Liens externes

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