Jacques Dutronc

Jacques Dutronc, né le à Paris, est un chanteur, auteur-compositeur et acteur français.

Pour les articles homonymes, voir Dutronc.

Jacques Dutronc
Jacques Dutronc sur scène en 2010
Informations générales
Naissance
Paris, France
Activité principale Chanteur, auteur-compositeur-interprète, acteur
Genre musical Rock français, pop, chanson française
Instruments Guitare, piano, batterie, accordéon
Années actives Depuis les années 1960
Labels Vogue
Gaumont Musique
Columbia
Site officiel jacques-dutronc.fr

Comme chanteur il deviendra, par sa collaboration avec le parolier Jacques Lanzmann, une des célébrités notables de l'époque yéyé, notamment avec les tubes Et moi et moi et moi, Mini mini mini, Les Play Boys, Les Cactus, J'aime les filles, Il est cinq heures Paris s'éveille, L'Hôtesse de l'Air, L'Opportuniste et Le Petit Jardin.

En 1973 Jacques Dutronc entame une carrière d'acteur au cinéma, avec Antoine et Sébastien de Jean-Marie Périer. Il tourne par la suite pour Claude Lelouch, Andrzej Żuławski, Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Mocky, Claude Chabrol, entre autres.

En 1992 il obtient le César du meilleur acteur pour Van Gogh de Maurice Pialat. Un César d'honneur lui est remis en 2005 pour l'ensemble de cette carrière.

En 2014 et 2017 il forme avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday le trio Les Vieilles Canailles.

Biographie

Jeunesse

Jacques Dutronc est le fils cadet de Pierre (1908-2004) et Madeleine Dutronc (1914-1991), un couple d'intellectuels artistes. La famille occupe un appartement situé au 67, rue de Provence à Paris. Son père, ingénieur aux Charbonnages de France et pianiste amateur, l'initie à la musique, puis lui fait suivre des cours de piano et de violon[1].

Jacques Dutronc fait son parcours scolaire à l’école communale de la rue Blanche, à l’école Rocroy-Saint-Léon (devenue lycée Rocroy-Saint-Vincent-de-Paul[2]), rue du Faubourg-Poissonnière, puis au lycée Condorcet.

À partir de 1958, il fréquente ce qui est en train de devenir le lieu culte du rock français : le Golf-Drouot d'Henri Leproux. Il y retrouve d'autres copains, futurs confrères et concurrents : Long Chris, Dany Logan, Johnny Hallyday et Eddy Mitchell.

À 16 ans, il contracte la maladie de Bouillaud qui l'oblige à rester cloîtré chez lui pendant un an. Il en profite pour emprunter la guitare de son frère et débuter en autodidacte, en reproduisant des accords de chansons entendues à la radio ou sur des disques. Commençant à maîtriser cet instrument, il monte avec ses copains de la « bande du square de la Trinité » le groupe Les Tritons. Le succès de Johnny Hallyday l'incite à s'engager dans une carrière musicale[3].

Les premières années (1960-1965)

Dessinateur, guitariste, assistant de directeur artistique, compositeur, puis chanteur, Jacques Dutronc participe aux débuts de l'époque yéyé comme guitariste du groupe El Toro et les Cyclones, qui signe chez Vogue le et dont Jacques Dutronc devient le leader[4]. À l'occasion de prestations de son groupe, il rencontre des vedettes présentes ou futures. C'est ainsi qu'au début des années 1960 il compose Fort Chabrol, un morceau qui va être un succès instrumental du groupe les Fantômes (pour qui il composera deux autres titres). José Salcy et Françoise Hardy reprennent ce titre qui, avec des paroles, devient Le Temps de l'amour, un des premiers hits de Françoise. Durant cette période, il lui arrive occasionnellement d'être guitariste pour Eddy Mitchell.

Il effectue son service militaire dans les Forces françaises en Allemagne, à Trèves. Il devient ensuite co-directeur artistique des éditions Alpha de Jacques Wolfsohn, directeur artistique chez Vogue, ce qui signifie qu'il doit veiller au parcours de quelques artistes (par exemple Zouzou, pour qui il compose six chansons, ou Benjamin) et s'occuper de la promotion de leurs disques. Pendant ses années Vogue, il compose une autre chanson interprétée par Françoise Hardy , Va pas prendre un tambour[1].

Les premiers succès (1965-1966)

Dutronc (1966)

Jacques Wolfsohn, irrité par le succès d'Antoine, lancé par Christian Fechner, décide de prouver que lui aussi, qui a découvert Johnny et Françoise Hardy, peut encore dénicher des talents. Il propose à Jacques Lanzmann, directeur du magazine Lui et romancier, d'écrire des chansons. Un premier texte, Cheveux longs, est chanté par Benjamin, un apprenti beatnik, mais sans succès.

Lanzmann donne un deuxième texte pour Benjamin ; Wolfsohn le transmet à Jacques Dutronc qui compose une musique et fait une maquette, mais finalement les essais ne sont pas concluants, pas plus que celui de son bassiste Hadi Kalafate, éternel complice de Jacques Dutronc. Finalement, la meilleure version est celle de Jacques Dutronc lui-même. C'est ainsi que paraît le 45 tours Et moi, et moi, et moi, qui va être un des tubes de l'été 1966 (plus de 100 000 ventes[5]) ; les autres chansons connaissent un certain succès (Mini, mini, mini, en particulier, mais aussi Les gens sont fous et J'ai mis un tigre dans ma guitare).

Au mensuel Salut les copains, il déclare: « Ce qui a accéléré les choses pour le disque, c'est qu'étant dans la maison je savais exactement à qui adresser mes demandes et à qui botter le cul pour que ça s'exécute ».

La reconnaissance artistique (1966-1969)

En 1966 sort chez Vogue son premier album qui enchaîne les tubes : Les Play-Boys, Les Cactus, citée à l'Assemblée nationale par Georges Pompidou[6], J'aime les filles, L'Idole, Le plus difficile, entre autres ; en cette année de révélation, Jacques assure plus de 200 concerts à travers la France[6].

En 1968 sa chanson Il est cinq heures, Paris s'éveille est un de ses plus grands succès. Elle atteint les sommets des hit-parades de l'époque, non seulement en France, mais aussi en Belgique (no 2) et aux Pays-Bas (no 3). Amateur de jazz manouche, il s'oriente dans certaines compositions vers un répertoire qui en est teinté : À tout' berzingue, sorti en 1969, par exemple. 1969 est aussi l'année de L’Aventurier, du Responsable et de L’Hôtesse de l'air...

Retour à la chanson (1970-1975)

En 1970, le dessinateur Fred succède, le temps de deux disques pour enfants (Le Sceptre et La Voiture au clair de lune) et d'un 45 tours simple (Le Fond de l'air est frais) à Jacques Lanzmann, qui jusque-là avait écrit tous les textes chantés par Jacques.

Dutronc sur scène à Annecy en 1971 avec le bassiste Noël Mirol.

Les années 1970 sont moins fécondes. Jacques Dutronc semble s'essouffler après les grandes réussites des années précédentes. Néanmoins, il continue à enregistrer quelques succès comme À la vie, à l'amour, Le Petit Jardin, La France défigurée, Le Dragueur des supermarchés ou Le Testamour, et connaît un franc succès en chantant les génériques de la série télévisée Arsène Lupin, L’Arsène et Gentleman cambrioleur.

Il est aussi l'auteur-compositeur d'une chanson en verlan, J'avais la cervelle qui faisait des vagues. Il fréquente Serge Gainsbourg qui dit de lui « c'est en France ce qu'il y a de plus intéressant, après moi... »[réf. nécessaire] et qui lui écrit Elle est si, L'Amour prison, Les Roses fanées, L'île enchanteresse. Jacques Dutronc écrit toutes ses musiques (exception faite des génériques TV et Les Roses fanées).

Avec Françoise Hardy (1978-1991)

En 1978 Jacques Dutronc chante un duo Brouillard dans la rue Corvisart avec Françoise Hardy, mais c'est en 1980 qu'il fait son grand retour à la chanson avec l'album Guerres et pets, dont six titres sur neuf sont écrits avec Serge Gainsbourg. L'album ne connaît pas les records de vente de ses débuts, cependant chaque retour de Jacques Dutronc est désormais un événement musical. Le titre qui en ressort est "L'Hymne à l'amour (moi l'nœud)", manifeste anti-raciste présenté sous un angle à la fois impertinent et désinvolte reflétant les tempéraments communs des deux auteurs. Jacques Dutronc reprend également Le temps de l'amour qu'il avait composé près de vingt ans plus tôt pour sa compagne.

Jacques Dutronc sur scène en 2010.

Cette décennie voit d'ailleurs essentiellement la publication de rééditions. Il faut attendre le single Merde in France en 1984 pour retrouver Jacques Dutronc en verve. Les albums Guerre et pets (1980), disque d'or (avec entre autres L'Hymne à l'amour (moi l'nœud) et J’ai déjà donné, un disque avec 7 titres de Gainsbourg), C'est pas du bronze (1982) (dans lequel il fait ses premiers pas d'auteur en solitaire avec Savez-vous planquer vos sous, Tous les goûts sont dans ma nature et L’Autruche) ou C.Q.F.D...utronc (1987), qui sera aussi disque d'or, rencontrent un succès d'estime.

Triomphe sur scène (1992-1995)

Il fait un grand retour en public en 1992, au Casino de Paris, qui donne lieu à un film tourné par Jean-Marie Périer et un album qui se vend à plus de 650 000 exemplaires, ainsi qu'une tournée. Jacques Dutronc a alors 50 ans et la « Dutroncmania » semble reprendre, comme l'écrit alors Globe. Durant les années 1990, Jacques Dutronc publie un seul album studio, en 1995, Brèves Rencontres, opus pour lequel il collabore avec son fils Thomas, alors auteur débutant.

Son album Madame l'existence (2003)

Sur son dernier album en date Madame l'existence, publié en 2003, on remarque que les textes sont cosignés Lanzmann-Dutronc, ce dernier écrivant les musiques. Il contient deux reprises, L'homme et l'enfant, chanson chantée dans les années 1950 par Eddie Constantine et Un jour, tu verras, de Marcel Mouloudji, un voisin de la rue de Provence dans les années 1960. Le CD est disque d'or (plus de 100 000 exemplaires vendus) malgré une promotion réduite au minimum.

Nouvelle tournée (2010-2013)

Début 2010, Jacques Dutronc fait un autre retour sur scène. Il commence une tournée qui au départ prévoyait 50 dates, débutant aux Arènes de l'Agora d'Évry, avant de passer quelques jours au Zénith de Paris. Le succès est tel qu'il fera finalement plus de 80 concerts, avec la tournée des festivals d'été dont Art Rock, Vieilles Charrues, Paléo Festival Nyon, Ecaussystème à Gignac (Lot)..., finissant à la Fête de l'Humanité devant plusieurs dizaines de milliers de personnes. Ses fans sont nombreux, de Johnny Depp (qui le considère comme le premier punk) à Iggy Pop, en passant par Vanessa Paradis, Jean Rochefort, Étienne Daho (avec qui il interprète en duo Tous les goûts sont dans ma nature, une chanson de 1982 dont il est l'auteur-compositeur) ou Vincent Lindon.

Il est en 2010 la 40e personnalité préférée des Français, tous métiers confondus, d'un classement publié chaque année par le JDD. Fin novembre de cette même année, c'est la sortie de Et vous, et vous, et vous, le CD témoignage de la tournée, également disponible en DVD. Selon une étude faite par la SACEM, la tournée de Jacques Dutronc est le 5e spectacle musical ayant généré le plus de droits en France en 2010.

Tournée avec Vieilles Canailles (2014-2017)

En novembre 2014, Jacques Dutronc est sur la scène de Bercy avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday pour le spectacle des Vieilles Canailles[7]. En juin et juillet 2017, le trio se reforme pour une tournée à travers la France, la Belgique et la Suisse[8].

L'acteur

En 1973, Jean-Marie Périer, ex-photographe de Salut les copains, lui propose son premier rôle au cinéma dans Antoine et Sébastien ; Jacques Dutronc partage l'affiche avec François Périer. Bon dès la première prise, selon Jean-Marie Périer, il tournera dans 48 films[6].

La carrière cinématographique de Jacques Dutronc est marquée par plusieurs réussites : la première est L'important c'est d'aimer de Andrzej Żuławski, réalisé en 1974. Jacques Dutronc y joue aux côtés de Romy Schneider avec qui il a une relation le temps du tournage[9].

Il interprète par la suite des adaptations de Pierre Boulle, Francis Ryck, Robert Merle, Patrick Modiano, Frédéric Dard, Boileau-Narcejac, José Giovanni (par Alain Corneau) et Raymond Queneau pour son unique incursion à la télévision. Il mène également une des plus longues carrières de séducteur du cinéma français, ayant pour partenaires Mireille Darc, Marlène Jobert, Isabelle Adjani, Isabelle Huppert, Nicole Garcia (qui le dirigera par la suite à deux reprises), Catherine Deneuve, Jane Birkin, Sophie Marceau (chez Zulawski), Lio, Mathilda May, Sandrine Bonnaire, Charlotte Rampling, Michèle Laroque, Marthe Keller, jusqu'à Joseph et la Fille en 2010 où il incarne un personnage décidé à initier une fille de vingt ans. Bien des années plus tôt, il avait joué le père d'Hélène Rollès.

Dutronc se confronte souvent aux plus grands : Annie Girardot, Michel Piccoli, Jean-Pierre Marielle, Michel Serrault et Jean-Louis Trintignant (Malevil), Patrick Dewaere (Paradis pour tous), Daniel Auteuil, entre autres. En 1980, il est pressenti pour le rôle du méchant français René Belloq dans Les Aventuriers de l'arche perdue (1981), mais ne l'obtient pas du fait qu'il ne maîtrise pas l'anglais, au grand dépit de Steven Spielberg qui voit en lui « le premier acteur du monde » et une « véritable star »[10]. En 1991, il obtient le César du meilleur acteur pour son interprétation de Van Gogh, de Maurice Pialat. À propos de son interprétation de Van Gogh, on[Qui ?] a dit ainsi qu'il « vampirisait le personnage »[réf. nécessaire].

À la fin des années 1980, il tenta de réaliser lui-même un long métrage dont l'action devait se dérouler en Corse, Pinzuti, qui ne vit toutefois pas le jour[réf. nécessaire].

Vie privée

Le il épouse Françoise Hardy, avec qui il vivait depuis 1967. Il vit en Corse sur les hauteurs de Monticello. Leur fils Thomas, né le , participe désormais à la conception de leurs disques. En 1987 il se sépare de Françoise Hardy mais reste marié, Hardy vivant à Paris et lui en Corse. Depuis 1997 il vit en couple avec son ancienne maquilleuse, Sylvie Duval[11]. Іls se sont rencontrés en 1997 sur le plateau de tournage de Place Vendôme, elle était à l'époque maquilleuse pour l'équipe[12].

Il est connu pour fumer le cigare même pendant les interviews et cacher ses yeux sensibles à la lumière derrière des Ray-Ban[13].

Influence

Filmographie

Cinéma

Télévision

La chanson Fais pas ci, fais pas ça par Jacques Dutronc est devenue le générique de la série télévisée française Fais pas ci, Fais pas ça en 2007, lors de sa première diffusion.

Distinctions

Box-office

Films avec Jacques Dutronc ayant attiré plus d'un million de spectateurs en France
No Film Réalisateur Année Entrées
1 L'important c'est d'aimer Andrzej Żuławski 1974 1 544 986
2 Embrassez qui vous voudrez Michel Blanc 2001 1 528 784
3 Malevil Christian de Chalonge 1981 1 432 881
4 Van Gogh Maurice Pialat 1991 1 307 437
5 Le Bon et les Méchants Claude Lelouch 1976 1 090 678
6 Mado Claude Sautet 1976 1 024 625

Bibliographie

De Jacques Dutronc

  • 2000 : Pensées et répliques, éd. Le Cherche Midi, 2000 - rééd. poche, éd. J'ai lu, 2002
  • 2010 : Encore ! Pensées et répliques, éd. Le Cherche Midi, 2010

Chansons en BD

  • Collectif, Chansons de Jacques Dutronc en bandes dessinées, éd. Petit à petit, 2003

Sur Jacques Dutronc

  • Gérard Halimi, Jacques Dutronc, Solar, 1980
  • Christian Eudeline, Jacques Dutronc, Éditions Parallèles, 1994
  • André Chomier et Jean-Claude Lemeunier. Crac ! Boum! Huuue ! 1995
  • Michel Leydier, Jacques Dutronc, Éd. J'ai lu, collection Librio, 1999
  • Gilles Lhote, Jacques Dutronc de A à Z, Albin Michel, 2000
  • Yann Plougastel, Hardy, Dutronc, Flammarion, 2004
  • Michel Leydier, Jacques Dutronc, la bio, Paris, Éditions du Seuil, , 352 p. - Nouvelle édition 2010 (ISBN 978-2-02-101287-3)
  • Christelle Schaff, Jacques Dutronc, et moi, et moi, les Éd. des Étoiles, DL 2010
  • Frédéric Quinonero, Jacques Dutronc, l'insolent, préface de Thomas Dutronc, L'Archipel, 2021.

Articles connexes

Notes et références

  1. Laurent Delahousse, « Françoise Hardy et Jacques Dutronc », émission Un jour, un destin sur France 2, 13 novembre 2013.
  2. Reportage intitulé « 15 ans après : Dutronc émoi et moi » dans l’émission Envoyé spécial - la suite du 29/05/2010 sur Antenne 2.
  3. Michel Leydier, Jacques Dutronc, Librio, , p. 12.
  4. Hervé Mouvet, La belle histoire des groupes de rock français des années 60, Fernand Lanore, , p. 85.
  5. Ventes de l'année 1966.
  6. Documentaire Hallyday, Mitchell, Dutronc : un trio de légende, réalisé par Mireille Dumas (2014), diffusé le vendredi 26 août 2016 sur France 3.
  7. http://www.hallyday.com/Tour/Tour/tour2014VC.html / consulté le 19 septembre 2017.
  8. http://www.hallyday.com/Tour/Tour/tour.html / consulté le 19 septembre 2017.
  9. Khadija Moussou, « Jacques Dutronc raconte sa liaison avec Romy Schneider », sur elle.fr, .
  10. Magazine Première, n°54, septembre 1981, page 86, interview de Steven Spielberg par Henry Béhar. Question : "Le bruit avait couru que vous aviez eu l'intention de confier le rôle de Belloq, le méchant des Aventuriers à Dutronc." Réponse : "C'est tout à fait vrai." Question : "Quel a été le problème ?" Réponse : "La langue. S'il avait su ne serait-ce que se débrouiller en anglais, il aurait eu le rôle. Or, il est incapable d'aligner deux mots d'anglais et mon français se limite à la page deux du "Français sans peine". Mais Jacques Dutronc était mon choix numéro un. C'est pour moi le premier acteur au monde et je le tiens pour une véritable star. Il est sensuel, il est intelligent, il est très fort intérieurement comme extérieurement... Il pourrait être une plus grande star internationale que Robert Redford, s'il voulait bien apprendre l'anglais."
  11. Françoise Hardy évoque la nouvelle compagne de Jacques Dutronc, « l'homme de sa vie ». Gala, 10 novembre 2016.
  12. Qui est Sylvie Duval, l'amour de Jacques Dutronc rencontré avec Françoise?. Amomama, 18 août 2018.
  13. Éric Jean-Jean dans l'émission du 2 mars 2015 « La curiosité est un vilain défaut » animée par Sidonie Bonnec et Thomas Hugues sur RTL et ayant pour thème la carrière de Jacques Dutronc.
  14. « Dutronc », sur Discogs (consulté le )
  15. « Joyeux anniversaire M'sieur Dutronc: un album hommage et une soirée sur France 2 », sur francetvinfo.fr, .
  16. "Vidéo : Un clip glamour de Zine pels « Baudo de l'Ogim »", La Setmana, 15 mars 2017.

Liens externes

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