François Hennebique
François Benjamin Hennebique, né le à Neuville-Saint-Vaast et mort le à Paris est un ingénieur français, auteur de brevets pour des systèmes constructifs en béton armé.
Biographie
Dans sa ville natale de Neuville-Saint-Vaast, entre Lens et Arras, au 64, rue du Canada, un médaillon en bronze porte l’inscription « François Hennebique, inventeur de la construction en béton armé, naquit ici le »[1]. François Hennebique est le fils de Benjamin Hennebique, marchand colporteur et d’Augustine Demarchilye[2].
En 1860, il devient maçon et décide peu de temps après de se mettre à son propre compte, son entreprise de construction étant d'abord vouée à la restauration des églises[3]. Il part alors 20 ans à Bruxelles. Vers 1867, il crée sa propre entreprise de réfection de bâtiments dans la région[3]. Vers 1873-1874, François Hennebique a entrevu les immenses possibilités des procédés de construction, développés par Joseph Monier, premier dépositaire d'un brevet, le , concernant un « Dispositif de caisses-bassins mobiles en fer et ciment applicables à l'horticulture »[4].
Il coule sa première dalle de béton armé en 1879.
En 1892, il abandonne son statut d'entrepreneur et devient ingénieur consultant. Son premier brevet sur l'utilisation du béton armé est déposé le [5], intitulé Combinaison particulière du métal et du ciment en vue de la création de poutraisons très légères et de haute résistance[6].
Il développe ensuite ses propres concepts de construction qui vont devenir le Système Hennebique[7] : un ensemble d'étriers de renforcement, en fer plat de 25 à 30 mm de largeur, destinés à solidariser et à homogénéiser les masses[8],[9], qui vont constituer les précurseurs des armatures métalliques pour béton armé[10].
En 1893, il construit son premier immeuble en béton armé au 1, rue Danton à Paris avec l'architecte lyonnais Édouard Arnaud, au service des Monuments et Bâtiments de France à cette époque[11] et y installe son entreprise avec le slogan « Plus d’incendies désastreux ».
En 1894, il construit son premier pont en béton armé, en Suisse, à Wiggen, quartier de la commune d'Escholzmatt[12].
En 1895, son procédé breveté est utilisé à Chantenay près de Nantes pour le premier bâtiment de stockage de grande taille en béton armé : le Grand Moulin de la Loire Perraud et Compagnie dont les architectes sont Lenoir, Etève et Raoulx, les ingénieurs-constructeurs lillois E. et P. Sée et Eugène Le Brun, ingénieur local du Bureau Hennebique à Nantes.
Il est sollicité en 1896 par Hector Guimard pour la terrasse de l'armurerie Coutolleau à Angers.
En 1899, il conçoit et construit le premier pont en béton armé de France, le pont Camille-de-Hogues à Châtellerault[13].
En sa qualité d'ingénieur civil, il participe début 1901, à la Commission du ciment armé, créée par arrêté ministériel du , à la suite de la catastrophe du qui s'est produite à l'attraction du Globe céleste lors de l'Exposition universelle de Paris.
Afin de démontrer les possibilités exceptionnelles de son matériau, il l'emploie pour bâtir, de 1901 à 1904, une demeure à l'architecture originale, que l'on peut remarquer en face du lycée Lakanal, près de la gare RER de Bourg-la-Reine. Les constructions s’enchaînent ensuite : les docks de Manchester, le tunnel de Newcastle, les stade de Lyon et de Turin, les tribunes de l'hippodrome de Longchamp, la structure, les planchers et les escaliers du Petit Palais à Paris…
Édifiée en 1907 d'après les plans de l'ingénieur Pierre Bouchet, la halle de Longages Haute-Garonne est réalisée en béton par la firme Hennebique. En cours de restauration, elle est destinée à recevoir la bibliothèque municipale[1].
Le système de pont en béton armé est utilisé en Belgique[14], dès 1905 à Bouillon et en 1911 à Hermalle-sous-Huy[15].
En 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale, l'entreprise Hennebique constitue une véritable multinationale comptant 127 concessionnaires, seuls autorisés à exploiter ses brevets, répartis dans 38 pays. La firme traite 7 000 dossiers par an[3].
Principales réalisations
- Paris, rue de Saint-Senoch, immeuble d'ateliers d'artistes construit en 1910 par l'architecte George Thirion et l'entreprise de l'ingénieur François Hennebique. Son ossature est en béton, clairement affirmée, le bois et le métal étant utilisés pour les huisseries et la brique pour le remplissage.
- Bâtiment Hennebique situé à Romorantin-Lanthenay.
- Pont Camille-de-Hogues, 1900, à Châtellerault[16].
- Pont du tramway de la Vésubie, 1909, dans les gorges de la Mescla (Alpes-Maritimes),
- Plus de 90 hôtels de ville ont été construits, en tout ou partie, d'après les plans de François Hennebique, parmi lesquels : la nouvelle mairie du 14e arrondissement de Paris, l'hôtel de ville d'Armentières, d'Aubusson, de Boulogne-Billancourt, de Bailleul, de Guéret, de Mexico, de Messine, de Montdidier, de Panama, de Péronne, de Philippeville, de Sfax[17].
- En Belgique, à Liège, la passerelle Mativa ou pont Hennebique, 1904-1905.
Pont Camille-de-Hogues à Châtellerault (1900). - Villa Hennebique à Bourg-la-Reine, (1901-1904).
- Passerelle Mativa à Liège, (Belgique), (1904-1905).
Pont du tramway de la Vésubie dans les gorges de la Mescla (Alpes-Maritimes) (1909).
- Plus de 50 imprimeries ont été construites, en tout ou partie, d'après les plans de François Hennebique, parmi lesquelles : Le Matin à Paris, Le Petit Parisien à Paris, Le Progrès de Lyon, Le Nouvelliste de Lyon, La Petite Gironde à Bordeaux, L'Ouest-Éclair à Rennes, L'Est Républicain à Nancy, Le Journal de Rouen, La dépêche de Constantine, Le Progrès de la Somme à Amiens, L'imprimerie Draeger à Paris, L'imprimerie Lavauzelle à Limoges[17].
Villa Hennebique
Inscrite en 1972 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques [18], la maison de François Hennebique, fut construite de 1901 à 1904 au 1, avenue du Lycée-Lakanal et 22, avenue Victor-Hugo à Bourg-la-Reine. Cette villa familiale possède une architecture unique, véritable vitrine des possibilités novatrices du béton armé : terrasse en encorbellement, tour-minaret de 40 mètres de hauteur faisant office de château d'eau destiné à l'arrosage par gravitation des serres et des jardins suspendus de la villa, portées importantes sans piliers, porte-à-faux, différences de niveaux et saillies illustrent à merveille la souplesse du matériau[19],[20].
Système Hennebique
François Hennebique a développé tant en France qu'à l'étranger, un réseau de nombreux concessionnaires et agents du système Hennebique : 290 établissements ont été ainsi établis dès 1902, répartis dans de nombreux pays : France, Belgique, Suisse, Italie, Égypte, Russie, colonies, etc. Entre 1895 et 1910, son succès international lui a permis d'exercer presque un monopole dans le domaine de la construction en béton armé, et son procédé en vint à concurrencer le métal dans la construction des ouvrages d'art[21].
Certains de ses concessionnaires ont participé au développement du procédé de construction (la Compagnie Porcheddu à Turin, Louis Gustave Mouchel (en), en Grande Bretagne, etc.)
- En France
- Des immeubles représentatifs de l'Art nouveau, ont été construits avec le système Hennebique :
- l'immeuble construit en 1900, pour François Hennebique, au 1, rue Danton à Paris, par l'architecte lyonnais Édouard Arnaud[22] ;
- la villa Majorelle à Nancy, construite entre 1901 et 1902 sur un plan de l'architecte parisien Henri Sauvage[23] ;
- l'Immeuble Les Chardons dans le 16e arrondissement de Paris, construit en 1903 par l'architecte Charles Klein[24]. Son décor est presque entièrement consacré au chardon inspiré de l'architecte et décorateur Eugène Grasset ;
- un immeuble construit en 1905 par l'architecte marseillais Charles Héraud, avec des décors de chardons, tant sur la maçonnerie que sur la ferronnerie, au 26, cours Lieutaud à Marseille[25],[26].
- Immeuble au 1, rue Danton à Paris (1892).
- Villa Majorelle à Nancy (1901-1902).
- Immeuble Les Chardons, Paris (1903).
- Pendant l'annexion allemande (district de Lorraine) de la Lorraine, ont été construits, entre 1905 et 1908, deux ouvrages imposants à Metz : la gare de Metz-Ville, ainsi que le château d'eau, dédié autrefois à l'approvisionnement en eau des locomotives à vapeur. Le style néo-roman avait été imposé à l'architecte berlinois Jürgen Kröger par l'empereur allemand Guillaume II pour « germaniser » la ville[27].
- Gare de Metz, (1908)
- Ancien château d'eau de la gare de Metz, (1908)
- La Maison des étudiants belges et luxembourgeois, construite entre 1925 et 1927, à la Cité internationale universitaire de Paris (CIUP), financée par la Fondation Biermans-Lapôtre[28].
- Le Château d'eau de Luçon construits dans les années 1913 et 1914.
- La basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois, gros œuvre achevé en 1939.
- Le château d'eau de Luçon.
- Basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois.
- En Italie
- Le pont du Risorgimento à Rome[29] a été conçu et construit entre 1909 et 1911 par l'ingénieur italien Giovanni Antonio Porcheddu (it). Il a été le premier pont romain réalisé en béton armé, puisque son créateur, à l'époque, était le seul concessionnaire italien du Système Hennebique. Sa construction sur le Tibre marque l’apogée technique de la Maison Hennebique. Bâti sur un sol difficile, cet ouvrage particulièrement hardi est formé d’une arche unique fortement surbaissée de 100 mètres de portée et d'une flèche de 10 mètres. Elle établit, à l'époque, un nouveau record mondial pour une arche en béton. Suivant le principe du monolithe, constitutif du Système Hennebique, les culées et l’arche, ne forment qu’un seul bloc[30]. Le jour de l'inauguration, le , les spectateurs doutaient de la solidité de la structure, après l'enlèvement des échafaudages de soutien. Porcheddu était si confiant dans l'efficacité et la fiabilité de la nouvelle technique qu'il a voulu assister à la suppression des échafaudages sur un petit bateau juste en dessous de l'arche du pont, accompagné de ses deux plus jeunes enfants, Giuseppe et Ambrogia. Lors de la cérémonie d'inauguration, le roi Victor-Emmanuel III a qualifié Giovanni Porcheddu de « roi du béton armé »[31],[32].
- pont du Risorgimento à Rome (1911).
- Plaque commémorative.
- Pont en béton armé avec une arche unique de 100 m de portée et une flèche de 10 m.
- À la suite de l'effondrement du campanile de Saint-Marc à Venise le , Giovanni Porcheddu a utilisé le Système Hennebique pour le renforcement de l'ossature du nouvel édifice, reconstruit à l'identique[33]. Celui-ci a été inauguré le , le jour de la Saint-Marc[34].
- Au Royaume-Uni
Entre 1892 et 1902, plus de 7 000 structures ont été construites au Royaume-Uni, en utilisant le système Hennebique, y compris des bâtiments, des châteaux d'eau et des ponts. La plupart d'entre eux ont été construits par ses concessionnaires ou agents, dont les entreprises LG Mouchel (en) et F.A. Macdonald & Partners (en)[35].
Le premier bâtiment construit en 1897 avec le Système Hennebique, par LG Mouchel, a été le Weaver Building (en) à l'emplacement des anciens docks de Swansea, au Pays de Galles[36]. Le moulin à farine a été démoli en 1984, lorsque les quais ont été réaménagés pour accompagner le développement du Quartier Maritime (en). Un fragment du bâtiment d'origine a été conservé sur le côté de la rivière Tawe, où une plaque y commémore sa réalisation[37].
À Liverpool, au bord de la Mersey, se dresse depuis le un spectaculaire édifice en béton armé. Le Royal Liver Building a été construit par LG Mouchel, le partenaire britannique de François Hennebique. Avec 98 mètres de hauteur, le bâtiment a été connu comme le premier « gratte-ciel » de Grande-Bretagne, et à l'époque, la plus grande structure en béton armé dans le monde. Il est devenu un symbole de la ville[38]. Cet édifice appartient à un groupe de trois bâtiments historiques, appelés The Three Graces (Les Trois Grâces), du Pier Head, site labellisé depuis 2004, par l'UNESCO World Heritage.
- En Belgique
En Belgique, plus de 5 000 constructions ont été exécutées, en tout ou partie, d'après les plans de François Hennebique parmi lesquelles[39],[40] :
- à Bruxelles : le passage souterrain devant la gare du Nord, l'hôpital français Reine Élisabeth, les entrepôts de Bruxelles-Maritime, les Pavillons français, les magasins du Bon Marché, la Caisse des Reports et Dépôts, la Banque de Bruxelles, l'université libre de Bruxelles (ULB) dans le quartier du Solbosch d'Ixelles ;
- à Anvers : le bazar du Bon Marché, les huileries de Merxem, l'hôtel Terminus, le Frigorifique, les docks, le zoo ;
- à Liège: le pont Mativa, construit à l’occasion de l’Exposition universelle de Liège de 1905. Monument classé en 2016[41], il est remarquable par sa très faible hauteur de section en clef : 350 mm pour une portée de 57 m[42];
- l'université catholique de Louvain, le pont du Pain perdu à Gand, le casino de Spa.
- En Égypte
Le musée des antiquités égyptiennes du Caire, construit entre 1896 et 1899, par l'architecte Marcel Dourgnon et inauguré en 1902.
- En Suisse
Le théâtre municipal de Berne (de), de style néo-baroque, construit entre 1899 et 1903 par l'architecte René von Würstemberger, inauguré le .
- En Géorgie
La cathédrale de Poti, de style néo-byzantin, construite entre 1906 et 1907 par les architectes A. Zelenko et M. Marfeld. La cathédrale est une imitation de l'église Sainte-Sophie à Istamboul. Après avoir été confisquée par le pouvoir en 1923, la cathédrale a été restituée à l'Église orthodoxe géorgienne en 2005.
- En Algérie
À partir de 1916, la Maison Hennebique, depuis son agence à Alger[43], a participé à la construction de nombreux bâtiments dans la ville[44],[45].
- Musée égyptien du Caire, Égypte (1896-1899).
Les Bétons armés Hennebique
Après le décès de François Hennebique le , son savoir-faire a perduré dans son bureau d'étude, les Bétons armés Hennebique (BAH). Celui-ci conçoit :
- la partie en béton armé du sanatorium de Guébriant, dans la commune de Passy (Haute-Savoie) en 1931[17]. Le projet a été mené par les architectes Pol Abraham (1891-1966) et Henry Jacques Le Même (1897-1997) pour l'Association des villages sanatoriums de haute altitude (AVSHA). Dans la définition de la structure de la chapelle du sanatorium a été utilisée une forme intermédiaire, entre une parabole et une chaînette renversée. L'ancien sanatorium[46], propriété du conseil départemental du Val-de-Marne depuis 1971, a été transformé en village de vacances en 1973[47] ;
- les silos pour la brasserie coopérative de Mons-en-Barœul. Le projet a été mené par l'architecte Paul Florin entre 1932 et 1933[48].
Le petit-fils de François Hennebique, Roger Flament-Hennebique (1903-1935), ingénieur de l'École centrale de Paris, a intégré l'entreprise d'abord en qualité de dessinateur, puis il parvint par la suite à la direction de l'entreprise. Il mourut dans un accident automobile près de Hal en Belgique le [45].
Le bureau d'étude BAH, fondé en 1894, a traité un nombre considérable de dossiers : 60 000 jusqu'en 1918. Il a cessé ses activités en 1967 après avoir traité près de 150 000 dossiers.
Revue Le Béton armé
Du (no 1) au (no 378)[49] a été publiée une revue technique et documentaire des constructions en béton armé[50]. La revue Le Béton armé était destinée aux agents et concessionnaires du Système Hennebique. Elle a été tirée entre 3 000 et 10 000 exemplaires[7], et jusqu'à 21 000 exemplaires pour la présentation du pont du Risorgimento dans le no 165[32].
Notes et références
- Compagnons et Maîtres d'œuvre, « François Hennebique, promoteur du béton armé », sur journalcmo.wordpress.com, (consulté le ).
- « Neuville-Saint-Vaast - Etat civil en ligne », sur Archives départementales du Pas de calais- Etat civil en ligne, p. 566
- David Di Bella, « François Hennebique inventeur du béton armé », dans Cent ans de vie dans la région, tome 1 : 1900-1914, éditions de La Voix du Nord, hors-série, 17 novembre 1898, p. 90-91.
- « Joseph Monier, inventeur et constructeur », sur ciment.wikibis.com (consulté le ).
- Office européen des brevets, « Brevets Hennebique », sur worldwide.espacenet.com (consulté le ).
- Georges Pilot, Jean-Louis Bordes - Ingénieurs et Scientifiques de France, « Ouvrages du génie civil français dans le monde : Ponts et viaducs 1820 1915 » [PDF], sur planete-tp.com (consulté le ).
- Revue Le Béton Armé, « Le Béton Armé - N°13 page 2 » [PDF], sur lib.ugent.be, (consulté le ).
- (en) « System of reinforced concrete, by Hennebique », sur arch.mcgill.ca (consulté le ).
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- Historique du béton
- Biographie de François Hennebique sur fr.structurae.de.
- Archives du Pas-de-Calais, « 25 avril 1842 : naissance de François Hennebique », sur archivespasdecalais.fr (consulté le ).
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- Notice no IA00117415, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « 21 photos de la maison Hennebique » (consulté le )
- Jean-Pierre Lyonnet et Christine Desmoulin, Villas modernes, éditions alternatives, [lire en ligne]
- Collection Technique Cimbéton, « Cahier des modules de conférence pour les écoles d'architecture : Conférences : Béton, Architecture, Performances et Applications » [PDF], sur spipfactory.com (consulté le ).
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- Revue Le Béton armé, « Le Béton Armé - table des matières du N°1 au N°378 », sur lib.ugent.be, juin 1898 à août 1939 (consulté le ).
- Revue Le Béton Armé, « Le Béton armé : exemplaires en ligne », sur lib.ugent.be, juin 1898 à août 1939 (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
- Gwenaël Delhumeau, L'Invention du béton armé. Hennebique 1890-1914, Paris, Norma éditions, , 344 p. (ISBN 2-909283-46-1), « Du "système" au matériau ».
- Gwenaël Delhumeau, Le Béton en représentation, la mémoire photographique de l'entreprise Hennebique 1889-1930, Paris, Institut français d'architecture/ Hazan, , 190 p. (ISBN 2-85025-329-4).
- J. Martinez, Étude sur la construction en béton de ciment armé système Hennebique, A. Dumesnil, , 59 p..
- « La maison Hennebique » in l'Architecture moderne, mars 1914.
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Musée d'Orsay
- (de + en) Artists of the World Online
- (en) Grove Art Online
- (en + nl) RKDartists
- (en) Union List of Artist Names
- Biographie de François Hennebique sur fr.structurae.de.
- Site de Neuville-Saint-Vaast, village natal de François Hennebique.
- Notice biographique, présentation des archives et inventaire (en cours) dans ArchiWebture, base de données du Centre d'archives de l'Institut français d'architecture (Cité de l'architecture et du patrimoine), qui conserve les archives du Bureau central Hennebique.
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