Grand-Fort-Philippe

Grand-Fort-Philippe (Groot-Filipsfort en néerlandais) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Grand-Fort-Philippe

La mairie, construite en 1898, place Joseph Leprêtre.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Sony Clinquart
2021-2026
Code postal 59153
Code commune 59272
Démographie
Gentilé Grand-Fort-Philippois
Population
municipale
5 121 hab. (2018 )
Densité 1 636 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 59′ 55″ nord, 2° 06′ 36″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 10 m
Superficie 3,13 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Dunkerque
(banlieue)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grande-Synthe
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Grand-Fort-Philippe
Géolocalisation sur la carte : Nord
Grand-Fort-Philippe
Géolocalisation sur la carte : France
Grand-Fort-Philippe
Géolocalisation sur la carte : France
Grand-Fort-Philippe
Liens
Site web www.grandfortphilippe.fr/

    Géographie

    Situation

    Grand-Fort-Philippe se situe dans le département du Nord à la limite avec le Pas-de-Calais. La commune est située au bord de la mer du Nord et à l'embouchure de l'Aa. Grand-Fort-Philippe est distante de 23 km de Dunkerque et de 20 km de Calais. Les autres villes importantes à proximité sont Saint-Omer36 km) et Boulogne-sur-Mer53 km). Lille est à 93 km et Paris à 311 km.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communications

    L'autoroute A16 se trouve à environ km. La gare de Gravelines est située à 3,5 km, la gare TGV la plus proche se trouvant à Dunkerque. La ville est desservie par la ligne A de DK'Bus Marine, le service d'autobus de la Communauté urbaine de Dunkerque (bus toutes les 30 minutes en temps normal).

    Communes limitrophes

    Environnement

    Vasières de Grand-Fort-Philippe.

    La commune est située dans un environnement à hauts enjeux patrimoniaux, avec notamment l'Aa, élément important de la trame bleue et de la trame verte et bleue régionales, son estuaire, ses vasières et la réserve naturelle du Platier d'Oye.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 742 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Calais-Marck », sur la commune de Marck, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 722,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Grand-Fort-Philippe est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dunkerque, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[17] et 166 021 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    La commune, bordée par la mer du Nord, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (54,4 %), terres arables (16,3 %), zones humides intérieures (16 %), prairies (10 %), zones humides côtières (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    La commune de Grand-Fort-Philippe doit son nom au fort qui avait été construit au XVIe siècle par les troupes espagnoles. Un hameau de pêcheurs, baptisé simplement « Fort-Philippe » voit par la suite le jour (voir ci-dessous). Le préfixe « Grand » est apparu au XIXe siècle, pour différencier le village du hameau naissant sur l'autre rive du chenal de l'Aa, alentour de la Ville des Smogglers, qui lui prit le nom de « Petit-Fort-Philippe ». Toutefois, avant l'indépendance de la commune, d'autres appellations furent utilisées pour différencier les deux hameaux, comme « Fort-Philippe-Sud / Nord » ; « Fort-Philippe-Plage »...

    Histoire

    Malgré sa jeunesse communale, l'emplacement de cette petite ville a été très vite occupé, dès lors que les terres ont avancé vers la mer. C'est en 1635/38 que les Espagnols creusent un canal allant de Gravelines vers la mer du Nord. Et, à l'emplacement dit de la « Flaque aux Espagnols », ils construisent à l'ouest un ouvrage fortifié en forme de corne et à l'est un petit bastion, pour protéger l'écluse, l'ensemble prenant le nom de « Fort Saint-Philippe ». Pendant l'hiver 1638, les Français détruisent l'écluse de la mer et la défense du chenal est abandonnée par les forces militaires. La protection naturelle de la digue contre les hautes marées à l'ouest et l'avancée des dunes permet l'apparition de quelques chaumières agricoles. Le fort Philippe est devenu français le , par la signature du traité des Pyrénées, entre la France et l'Espagne.

    En 1740, Louis XV décide de reprendre les travaux de creusement du canal. L'ensablement progressif à l'est provoque le départ de quelques marins pêcheurs « des Huttes », pour s'installer à l'ouest de « l'Habe » (comprendre : havre). C'est ainsi que naissent « les Huttes du Fort- Philippe ». Tout au long du XVIIIe siècle, la population croît régulièrement, pour arriver en 1785 à 20 chefs de famille pratiquant la pêche : Agez, Creton, Daubercourt, Dollet (ou Daullé), Dubois, Fournier, Lamour, Lefebvre, Lemaire, Noyel, Plachot, Potier, Wadoux.

    Au début du XIXe siècle, le problème de l'éducation est posé et Marc Finot ouvre une classe qui est officialisée en 1811. Le revenu des terres étant supprimé en 1864, l'école devient payante. Sur une initiative des maîtres de pêche, une collecte est organisée en pour acquérir une maison permettant l'agrandissement de l'école. C'est aussi, à la suite d'une souscription des Fort-Philippois et grâce à la ténacité du Chanoine Jacques Masselis, que la première pierre de l'église est posée le et ouverte au culte deux ans plus tard. Les marins en feront don à la ville en 1865. La population se multiplie par 6 en 75 ans malgré deux épidémies de choléra en 1849 et 1866 qui donneront respectivement 59 et 75 décès.

    L'autonomie de Grand-Fort-Philippe est réclamée à trois reprises en 1848 et 1862, mais c'est celle du qui est acceptée par approbation du conseil municipal de Gravelines, alors dirigé par le maire Demarle-Fétel, et par décret en date du , et mis en application le . Le , le conseil municipal, qui a été élu le 13, se réunit pour l'élection du premier maire de la commune ; c'est Charles Eugène Carney qui est désigné, alors que Joseph Leprêtre (1816 - 1900) est élu Adjoint au Maire. Joseph Leprêtre, chevalier de la légion d'honneur, est pilote du port de Gravelines et patron du canot de sauvetage (133 personnes et 3 équipages lui doivent la vie). La place de l’hôtel de ville porte le nom de celui qui sera maire de 1894 à 1900[27].

    Pour ces premiers élus tout est à faire. Les ressources municipales sont les taxes récoltées sur les entrées des marchandises dans le village (octroi), mais le problème le plus grave reste l'insalubrité. En effet, Grand-Fort-Philippe n'a échappé à aucune épidémies de choléra (en 1892 il y a encore 35 décès sur les 80 cas), et il faut attendre 2 à 3 années pour voir l'ouverture de travaux d'assainissement.

    C'est à cette époque que l'identité locale de Grand-Fort-Philippe se forge à partir de son patois d'abord, un patois d'origine picarde mâtiné de termes maritimes, qui permet de se différencier des gens "del ville" (de Gravelines, ville flamande) mais aussi de ses coutumes et de ses pratiques alimentaires tournées vers la conservation du poisson.

    Pour pallier l'effectif grandissant de l'école publique, l'abbé Haan, curé de la paroisse, convainc quelques personnes charitables d'acheter l'ancienne salle de bal pour en faire deux salles de classes. En septembre 1889, l'école St Paul ouvre ses portes avec à sa direction les Sœurs de Saint Paul de Chartres.

    Période contemporaine

    Toutes les municipalités qui vont se succéder pendant la première moitié du XXe siècle auront comme objectifs de développer la production de pêche, l'éducation des jeunes Philippois et l'assainissement des rues, malgré les différents malheurs qui s'abattent sur ce bourg : 1888 et 1895, années noires pour les pêcheurs, la Grande Guerre qui fait 138 soldats morts pour la France et la crise des années 1930 qui élimine l'activité maritime des Islandais.

    13 janvier 1911 Lors d'une terrible tempête de nombreux bateaux de pêche sont en mer. 17 hommes seront sauvés par un pêcheur, le patron Wallecome, et le canot de la Société Centrale de Sauvetage des Naufragés commandé par Alfred Brunet[28] . Cette tempête qui laissera de nombreux orphelins sera appelé Janvier noir par le journal Le Grand Echo du Nord de la France.

    Après ces trop nombreux naufrages la population des pêcheurs des Fort Philippe est frappée de plein fouet par le manque de bateau pour survivre. Certains quitteront la côte pour aller travailler dans les mines. Cette multitude de naufrages créera un mouvement de solidarité envers la population. Le département du Nord montrera  sa générosité en allouant 5 000 francs à la commune.[29]

    Première guerre mondiale

    Pendant la première guerre mondiale, Grand-Fort-Philippe est à l'arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser vers les monts des Flandres. En 1916 et 1917, le village placé sous l'autorité du commandement d'étapes (service de l'armée de terre organisant le stationnement et le passage de troupes) de Gravelines, de même que Bourbourg-ville et Bourbourg-Campagne, Saint-Pierre-Brouck, Loon-Plage, Grande Synthe, etc. est le lieu de passage et de cantonnement de troupes, soldats français et belges, de répartition entre les communes concernées de travailleurs agricoles (136 à 143 selon les moemnts), de décision de fermetures temporaires d'établissements, notamment les cabarets ayant servi à boire aux soldats en dehors des heures règlementaires, etc.[30].

    Seconde guerre mondiale

    Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est prise par les Allemands, après une journée de résistance au lieu-dit « Le Cochon Noir ». Grand-Fort-Philippe est libérée le par les troupes canadiennes. Les gens du Grand-Fort ont toujours fait face avec courage et solidarité à toutes ces tourmentes.

    Politique et administration

    La ville est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

    Élection présidentielle de 2007

    Élection présidentielle de 2007 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Olivier Besancenot 251 7,02 Nouveau Parti Anticapitaliste
    Marie-George Buffet 56 1,57 Parti Communiste Français
    Gérard Schivardi 14 0,39 Parti Ouvrier Indépendant
    François Bayrou 359 10,04 Mouvement Démocrate
    José Bové 24 0,67 Les Verts
    Dominique Voynet 44 1,23 Ecologiste
    Philippe De Villiers 86 2,41 Mouvement pour la France
    Ségolène Royal 866 24,22 Parti Socialiste
    Frédéric Nihous 231 6,46 Chasse, Pêche, nature et traditions
    Jean-Marie Le Pen 756 21,15 Front National
    Arlette Laguiller 91 2,55 Lutte Ouvrière
    Nicolas Sarkozy 797 22,29 Union pour un Mouvement Populaire
    Élection présidentielle de 2007 (2nd tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Nicolas Sarkozy 1655 47,49 Union pour un Mouvement Populaire
    Ségolène Royal 1830 52,51 Parti Socialiste

    Élections législatives de 2007

    Élections législatives de 2007 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Gilles Willeman 74 3,01 Communiste
    Léon Panier 701 28,53 Divers Gauche
    Maurice Hernoult 30 1,22 Ecologiste
    Martine Beuraert 35 1,42 Les Verts
    Christian Hutin 629 25,60 Parti Socialiste
    Roger Cuvelier 20 0,81 Extrême droite
    Sylvain Madacsi 41 1,67 Ligue communiste révolutionnaire
    Patrick Lebrun 104 4,23 Chasse, Pêche, Nature et Traditions
    Laure Bourel 34 1,38 Lutte ouvrière
    Pilar Surgers 57 2,32 Mouvement Démocrate
    Yannick Le Floc'h 141 5,74 Front National
    Jacqueline Gabant 566 23,04 Union pour un Mouvement Populaire
    Jeannine Gall 8 0,33 Divers
    Élections législatives de 2007 (2nd tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Christian Hutin 1295 57,79 Parti Socialiste
    Jacqueline Gabant 946 42,21 Union pour un Mouvement Populaire

    Élections municipales de 2008

    Élections municipales de 2008 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Joël Demazières 1787 56,32 Divers Gauche
    Yves Leprêtre 1396 43,68 Parti Socialiste

    Élections européennes de 2009

    Candidats (ou liste) Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Thierry Grégoire 37 2,61 Divers Droite
    Bernard Frau 42 2,96 Divers
    Jacky Hénin 83 5,85 Parti Communiste Français
    Hélène Flautre 92 6,48 Europe Écologie Les Verts
    Louis Daniel Gourmelen 0 0,00 Extrême gauche
    Marine Le Pen 203 14,31 Front National
    Gilles Pargneaux 368 25,93 Parti Socialiste
    Frédéric Nihous 127 8,95 Divers Droite
    Virginie Verhassel 0 0,00 Divers Gauche
    Martine Audo 0 0,00 Divers
    Christine Poupin 107 7,54 Nouveau Parti anticapitaliste
    Dominique Riquet 221 15,57 Union pour un Mouvement Populaire
    Éric Pecqueur 40 2,82 Lutte Ouvrière
    Dominique Fachon 0 0,00 Divers Droite
    Carl Lang 20 1,41 Extrême Droite
    Jean-Michel Vernochet 0 0,00 Divers
    Jacques Borie 1 0,07 Divers
    Corinne Lepage 78 5,50 Mouvement Démocrate

    Élection présidentielle de 2012

    Élection présidentielle de 2012 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Eva Joly 26 0,78 Europe Écologie Les Verts
    Marine Le Pen 1039 31,08 Front National
    Nicolas Sarkozy 567 16,96 Union pour un Mouvement Populaire
    Jean-Luc Mélenchon 288 8,62 Front de Gauche, Parti Communiste Français
    Philippe Poutou 41 1,23 Nouveau Parti Anticapitaliste
    Nathalie Arthaud 25 0,75 Lutte ouvrière
    Jacques Cheminade 14 0,42 Solidarité et Progrès
    François Bayrou 152 4,55 Mouvement Démocrate
    Nicolas Dupont-Aignan 55 1,65 Debout La France
    François Hollande 1136 33,98 Parti Socialiste
    Élection présidentielle de 2012 (2nd tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Nicolas Sarkozy 1244 40,13 Union pour un Mouvement Populaire
    François Hollande 1856 59,87 Parti Socialiste

    Élections législatives de 2012

    Élections législatives de 2012 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Jean-Pierre Decool 378 17,30 Union pour un Mouvement Populaire
    Martine Beuraert 22 1,01 Mouvement Démocrate
    José Szymaniak 27 1,24 Europe Écologie Les Verts
    Delphine Castelli 89 4,07 Front de Gauche
    David Haillant 23 1,05 Extrême Gauche
    Jean Schepman 1153 52,77 Parti Socialiste
    Claire Raimbault 11 0,50 Extrême Gauche
    Jean-François Vendeville 482 22,06 Front National
    Élections législatives de 2012 (2nd tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Jean-Pierre Decool 650 31,85 Union pour un Mouvement Populaire
    Jean Schepman 1391 68,15 Parti Socialiste

    Élections municipales de 2014

    Élections municipales de 2014 (1er tour)
    Liste Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    VivrEnsembre 1097 38,68 Divers Gauche
    Grand-Fort Autrement 1134 37,92 Divers Gauche
    Un nouveau cap pour Grand-Fort-Philippe 759 25,38 Divers Gauche
    Élections municipales de 2014 (2nd tour)
    Listes Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    VivrEnsemble 1318 41,34 Divers Gauche
    Grand-Fort Autrement 1287 40,37 Divers Gauche
    Un nouveau cap pour Grand-Fort-Philippe 583 18,28 Divers Gauche

    Élections européennes de 2014

    Élections européennes (tour unique)
    Listes Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Lutte Ouvrière faire entendre le camp des travailleurs 43 2,75 Lutte Ouvrière
    Liste Europe Écologie 52 3,33 Europe Écologie Les Verts
    Féministes pour une Europe Solidaire 0 0,00 Divers
    Radicalement Citoyen 0 0,00 Divers
    Citoyen du vote blanc 12 0,77 Divers
    Pour une Europe des travailleurs et des peuples,

    envoyons valser l'austérité et le gouvernement

    7 0,45 Nouveau Parti Anticapitaliste
    Europe Décroissance Nord-Ouest 0 0,00 Divers
    UPR Nord-Ouest 6 0,38 Union populaire républicaine
    Non à l'austérité, pour l'Humain d'Abord,

    liste du Front de Gauche

    92 5,89 Front de Gauche
    Nous Citoyens 9 0,58 Nous Citoyens
    UDI MODEM Les Européens, liste soutenue par

    François

    77 4,93 Union des Démocrates et Indépendants,

    Mouvement Démocrate

    Choisir notre Europe 234 14,99 Parti Socialiste, Parti Socialiste Européen,

    Parti Radical de Gauche

    Nouvelle Donne 27 1,73 Nouvelle Donne
    Espéranto, langue commune et équitable pour l'Europe 1 0,06 Espéranto
    Pour la France, agir en Europe. Avec Jérome Lavrilleux 161 10,31 Union pour un Mouvement Populaire
    Liste Bleu Marine, OUI à la France, NON à Bruxelles 754 48,30 Front National, Rassemblement Bleu Marine
    Europe Citoyenne 3 0,19 Divers
    Parti Fédéraliste Européen 3 0,19 Parti Fédéraliste Européen
    Debout La France ! Ni Système, ni Extrême !

    Avec Nicolas Dupont-Aignan

    65 4,16 Debout La France
    Communistes 0 0,00 Extrême Gauche
    Les pirates pour une Europe des Citoyens 4 0,26 Parti Pirate
    Force Vie Nord-Ouest 11 0,70 Divers Droite
    Grands groupes politiques Nombre de listes Effectifs en

    nombres de voix

    Effectifs en %Exprimés
    Droite - Centre 5 323 20,68
    Extrême droite 1 754 48,30
    Extrême gauche 4 142 9,09
    Gauche 3 313 20,05
    Divers 9 29 1,85

    Élections départementales de 2015

    Élections départementales de 2015 (1er tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    François Rosseel et

    Sophie Coudevylle

    230 12,27 Union pour un Mouvement Populaire
    Bertrand Ringot et

    Isabelle Fernandez

    878 46,83 Parti Socialiste, Parti Radical de Gauche
    Chantal Denis et

    Laurent Renaudin

    706 37,65 Front National
    Najate Belkala et

    Dany Wallyn

    61 3,25 Parti Communiste Français, Front de Gauche,

    Europe Écologie Les Verts, Divers Gauche

    Élections départementales de 2015 (2nd tour)
    Candidats Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Bertrand Ringot et

    Isabelle Fernandez

    1054 57,07 Parti Socialiste
    Chantal Denis et

    Laurent Renaudin

    793 42,93 Front National

    Élections régionales de 2015

    Élections régionales de 2015 (1er tour)
    Tête de liste Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Marine Le Pen 1247 55,35 Front National
    Pierre de Saintignon 468 20,77 Parti Socialiste
    Xavier Bertrand 288 12,78 Les Républicains
    Fabien Roussel 72 3,20 Front de Gauche
    Sandrine Rousseau 59 2,62 Europe Écologie Les Verts
    Eric Pecqeur 53 2,35 Lutte Ouvrière
    Jean-Philippe Tanguy 36 1,60 Debout La France
    Sylvain Blondel 21 0,93 Nous Citoyens
    Eric Mascaro 9 0,40 Union populaire républicaine
    Élections régionales de 2015 (2nd tour)
    Tête de liste Nombre de voix %Exprimés Parti Politique
    Xavier Bertrand 1295 54,41 Les Républicains
    Marine Le Pen 1095 45,59 Front National

    Source : interieur.gouv.fr[31]

    Liste des maires

    Mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1884 1892 Charles-Eugène Carney    
    1892 1894 Léon Corne    
    1894 1900 Joseph Leprêtre    Pilote du port de Gravelines, Patron du canot de sauvetage
    1900 1908 Jules-Eugène Merlin-Muchery    
    1908 1917 Jules-Pierre-Édouard Merlen-Lavallée    
    1917 1925 Eugène Dumon    
    1925 1935 Mary-Léon Marchal    
    1935 1941 Jules Talleux    
    1941 1944 Jules Merlen    
    1944 1959 Henri Bodot SFIO  
    1959 1965 Henri Hayotte SFIO  
    1965 1983 Pierre Pleuvret RI Expert Comptable
    1983 2008 Yves Leprêtre PS Vice-président de la Communauté urbaine de Dunkerque de 1989 à 2008.
    2008 2014 Joël Demazières DVG  
    2014 2020 Sony Clinquart
    Réélu pour le mandat 2020-2026[32]
    DVG Cadre du secteur privé
    Vice-président de la Communauté urbaine de Dunkerque [33].
    2020 2021 Vacant
    Suite a l'annulation de l'election municipale de 2020, le nouveau scrutin aura lieu le 24 Janvier 2021
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1886. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 5 121 habitants[Note 7], en diminution de 2,75 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    2 6412 8423 0293 2593 5023 5503 3873 5353 688
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    3 7303 7924 1404 6624 7125 8806 6116 4776 078
    2006 2011 2016 2018 - - - - -
    5 5825 3775 0815 121-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Grand-Fort-Philippe en 2007 en pourcentage[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,5 
    3,3 
    75 à 89 ans
    7,6 
    12,2 
    60 à 74 ans
    14,7 
    24,5 
    45 à 59 ans
    23,0 
    20,4 
    30 à 44 ans
    17,9 
    21,4 
    15 à 29 ans
    19,4 
    18,2 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[39].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Enseignement

    Il y a à Grand-Fort-Philippe:

    • 2 écoles maternelles publiques;
    • 1 école primaire publique (Georges Manier)
    • 1 collège (Jean Monnet)
    • 1 école maternelle et primaire privée (Saint-Paul), affiliée au réseau Janssoone

    Sports

    Le ministère des sports a décompté 17 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le calvaire des marins
    La maison du sauvetage
    • Église Notre-Dame de Grâce, construite en 1860
    • Maison du sauvetage, construite en 1937
    • Musée de la mer
    • Le calvaire des marins, une plaque commémorative y est apposée, voici le texte de celle-ci : « Le son Eminence Le Cardinal Liénart Évêque de Lille a inauguré et béni solennellement ce Calvaire des Marins et cette Grotte de N.D. de LOURDES érigés par souscription publique par la piété des habitants de Grand-Fort-Philippe en souvenir de leurs morts et en reconnaissance de la protection de leur patronne Notre Dame de Grâce durant la guerre 1939-1944. Passants respectez ce monument. Ne le dégradez pas. Architectes M.M. Delcourt Bruyant Entrepreneurs M.M. A Cuisiniers Fils».

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Wadoux : Fils de Joseph Wadoux, islandais, et de Eugénie-Marie Gaffet, né en 1925. Ancien Officier de la marine marchande, ancien inspecteur de la marine et écrivain, auteur du Guide Vagnon de la mer destiné aux plaisanciers désirant passer le "permis mer" mais aussi d'ouvrages dont " Sur les bords de l'Aa" écrit en français (sur la page de gauche) et en patois de Grand-Fort-Philippe (sur la page de droite) et qui constitue, à l'heure actuelle, le seul livre en patois (picard) de Grand-Fort actuellement publié.

    Il a écrit également "Sur la côte du Nord" (édition Self-édit Lorient 1997), "Du moussaillon au commandant" (Self-edit, Lorient et éditions du plaisancier, 1997), "Avant d'être matelot" (Self-edit, Lorient, 1998)

    • Auguste Finot, dit Gut Finot (1920-2013): Ancien résistant, Auguste Finot est principalement connu pour ses chansons en patois local, variante du picard.

    Il raconte divers événements qui font la particularité de Grand-Fort-Philippe, tels que :.

    • Un Pont : l'histoire d'un pont qui devait être construit en Grand-Fort et Petit-Fort-Philippe et qui finalement n'a jamais vu le jour
    • Les Surnoms : Toute famille originaire de Grand-Fort a un surnom... Il s'agit dans cette chanson de l'histoire d'un nouveau facteur qui arrive dans la ville et qui n'arrive pas à reconnaître les personnes à cause des surnoms.

    Traditions locales

    La fête de la Matelote à Grand-Fort-Philippe (géants la Matelote, Fiu, Gut et Soeur) *
    Domaine Pratiques festives
    Lieu d'inventaire Grand-Fort-Philippe
    * Descriptif officiel Ministère de la Culture (France)
    • Le carnaval, qui a lieu le jour du Mardi Gras, existe dans le cadre du Carnaval de Dunkerque. Il est basé sur les mêmes principes, à l'exception près qu'à la fin de la bande, on ne jette pas de harengs, mais on brûle un géant confectionné par la municipalité. Autour de cette date, plusieurs bals sont organisés à la salle des fêtes.
    • Comme beaucoup de villes et villages du Nord de la France, Grand-Fort-Philippe possède ses géants: La Matelote (1995), Fiu (2003), Gut (2009), Sœur (2013) et Bergur le Géant musicien de l'Harmonie Sainte-Cécile.

    La première représente une femme de pêcheur du siècle dernier, en costume traditionnel. Elle a "épousé" l'Islandais, de Gravelines, en 2000. Ils ont quatre enfants: Fiu (matelot), Nette (vérotière), Gut (marin à Seafrance) et Sœur (plaisancière). Bergur est le neveu islandais de la Matelote, fils du frère décédé en mer il y a très longtemps. Musicien de formation, il intègre l'harmonie fin 2013. Les géants de Grand-Fort-Philippe sortent traditionnellement dans la commune le premier dimanche d'avril. La fête de la Matelote est inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel en France depuis 2013[41].

    • La célébration du est un des évènements majeurs à Grand-Fort-Philippe. À l'issue de la messe, une procession part en direction du calvaire des marins, où le curé prononce sa bénédiction, devant une foule immense massée sur les deux rives du chenal. Les bateaux pavoisés sortent du port avec en tête la vedette de sauvetage de la SNSM, "La Philippoise", pour jeter à la mer une gerbe de fleurs, en mémoire de tous les marins disparus. L'église et les maisons sont pour l'occasion parées d'attributs maritimes (filets de pêche...) et religieux (représentations de la Sainte-Vierge...).
    • La ducasse est également une fête traditionnelle du Nord de la France. À Grand-Fort-Philippe, elle a lieu la dernière semaine d'août (du samedi au mercredi, avec possibilité de raccroc jusqu'au dimanche), et symbolise le retour des pêcheurs à Islande.
    • Aux alentours du est célébrée la fête séculaire de la Saint-Martin. Les enfants défilent dans les rues, munis de lanternes, à la recherche de l'âne de Saint-Martin. Un concours de betteraves sculptées est organisé.
    • Un marché hebdomadaire a lieu le lundi matin.

    Spécialité culinaire

    Grand-Fort-Philippe est célèbre pour son « cululutte », grosse brioche truffée de raisins, à manger avec une sauce aromatisée au rhum. Il doit son nom à Ernest Clercq, surnommé « Lulutte », ouvrier-boulanger qui l'inventa vers 1900. L'histoire dit que les marins allaient dans une boulangerie, et criaient « Un Cul, Lulutte » pour demander cette brioche ayant une forme très ronde, inventée par le boulanger surnommé Lulutte. L'expression est devenu un mot, par l'association des mots cul et Lulutte.

    Cette brioche servait autrefois aux marins pécheurs de la ville, ils prenaient des cululuttes en mer qu'ils plongeaient dans du rhum ou du vin chaud avant de les manger, pour se réchauffer longtemps lors des grosses tempêtes en mer.

    Héraldique

    Les armes de Grand-Fort-Philippe se blasonnent ainsi : D'or au lion de sable, à la bordure de gueules, orné d'une ancre de sable, la trabe et le stangue du même et la gumène d'argent.

    Annexes

    Bibliographie

    • Georges Somers, Les Encerclés de Grand-Fort-Philippe, Mai-. Sous-titré : 1940 Bataille de Gravelines " Au Cochon Noir", Terre d'Enfer, Grand-Fort-Philippe (Nord) du au , 1943. (épuisé)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Calais-Marck - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Grand-Fort-Philippe et Marck », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Calais-Marck - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Grand-Fort-Philippe et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dunkerque », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Philippe Boutelier, « Pierre Joseph Leprêtre », sur https://www.sauveteurdudunkerquois.fr/.
    28. Philippe Boutelier, « Naufrage de l'Alexandre », sur https://www.sauveteurdudunkerquois.fr.
    29. Philippe Boutelier, « Janvier noir à Grand-Fort-Philippe », sur https://www.sauveteurdudunkerquois.fr.
    30. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Accueil », sur http://www.interieur.gouv.fr/Accueil (consulté le ).
    32. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
    33. http://www.communaute-urbaine-dunkerque.fr/fr/informations/actualites/index.html?tx_ttnews%5Btt_news%5D=8459&cHash=1102a7e96660527988a1f81b4a8a9b3a
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Évolution et structure de la population à Grand-Fort-Philippe en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « Recensement des équipements sportifs, espace et sites de pratiques - détail par communes - », sur Site ministériel du recensement des équipements sportifs (consulté le ).
    41. « La fête de la Matelote à Grand-Fort-Philippe ».
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