Nous Citoyens

Nous Citoyens est un parti politique français fondé en 2013 par l'entrepreneur Denis Payre.

Nous Citoyens – France

Logotype officiel.
Présentation
Président Thierry Alquier
Fondation
Scission dans Génération citoyens (2015)
Siège 8 rue Foury 92310 Sèvres[NC 1]
Fondateur Denis Payre
Positionnement Attrape-tout[1],[2]
Droite[3],[4]
Idéologie Social-libéralisme[5]
Libéralisme économique[3]
Adhérents 12 000 revendiqués ()[6]
Couleurs Bleu et rouge
Site web nouscitoyens.fr

Ce parti estime que la classe politique, du fait de sa « professionnalisation », n'est pas capable de réformer le pays. Il prône une politique social-libérale et ne prend pas position sur la plupart des sujets de société. Alors qu’il considère l'axe gauche-droite dépassé, il est classé « divers droite » par le ministère de l'Intérieur.

Historique

Denis Payre lors du meeting de lancement de la campagne des européennes de 2014.

Création

Denis Payre fonde Nous Citoyens le [NC 1]. Le nom est choisi en réponse à l'anaphore « Moi président de la République » de François Hollande[7],[8]. Le mouvement est officiellement lancé le [9],[10]. Le , sur France 2, Denis Payre donne la réplique à Arnaud Montebourg, dans l'émission Des paroles et des actes[11],[12] et Nous Citoyens présente ses propositions à la presse le suivant[12].

Élections municipales de 2014

Nous Citoyens a labellisé 33 listes candidates aux élections municipales de mars 2014. Pour cela, les listes se sont engagées à respecter la charte rédigée par Nous Citoyens[13]. Cette charte impose des critères de transparence, de bonne gestion, de bonne gouvernance et de non-cumul des mandats[14],[15].

En , Nous Citoyens revendique 8 200 adhérents[16], ce qui le situerait alors parmi les « dix premiers mouvements politiques français »[17].

Élections européennes de 2014

Le , Nous Citoyens propose à ses adhérents de se porter candidats pour figurer sur la liste de candidature aux élections européennes. Une sélection est ensuite opérée parmi les postulants[18].

Le , Nous Citoyens organise son premier meeting à Paris, qui rassemble 800 personnes[14]. À cette occasion, Nous Citoyens communique sa sélection de têtes de liste. Certaines listes sont communes avec l'association Européens Solidaires[19].

Nous Citoyens fait partie des 13 partis ou coalitions qui ont été testés lors des sondages précédant l'élection.

Le , ses listes obtiennent 1,41 % des suffrages exprimés, se positionnant comme la 9e force politique française pour cette élection avec 266 468 voix[20],[21].

Élections consulaires de 2014

Le mouvement présente deux listes aux élections consulaires de 2014[NC 2], obtenant les résultats suivants, sans toutefois obtenir de siège[22]:

  • Liste Indépendante des Français de Casablanca (circonscription électorale Maroc, 6e circonscription) : 8,8 %
  • Union Citoyenne (circonscription électorale Arabie saoudite, 2e circonscription avec le Koweït) : 20,7 %

Élections locales de 2015

Le mouvement a présenté 20 binômes en France métropolitaine, qui ont obtenu des scores compris entre 2,51 % et 15,97 %, avec un score global de 5,4 % sur l'ensemble des cantons où le parti présentait des candidats. Seuls les candidats du canton de Saint-Maur 1 (Val de Marne) se sont qualifiés pour le second tour[NC 3]. Pour les élections régionales de , Nous Citoyens présente des listes dans trois régions : en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Île-de-France et en Auvergne-Rhône-Alpes[réf. nécessaire].

Changement de gouvernance

Jean-Marie Cavada, président de Nous Citoyens jusqu'en juin 2015.

En , Jean-Marie Cavada, député européen réélu en 2014 sous l'étiquette UDI/MoDem, remplace Denis Payre à la présidence de Nous Citoyens. Jean-Marie Cavada démissionne de la vice-présidence de l'UDI et du Nouveau Centre[2],[NC 4].

Denis Payre devient vice-président du mouvement, tout en menant en parallèle des projets d'entreprenariat social. À l'occasion de cette annonce, le mouvement revendique 12 000 adhérents[6].

Le , Jean-Marie Cavada annonce sa démission de Nous Citoyens, justifiée par des divergences de points de vue sur la gouvernance et le financement du mouvement[23] et en estimant que le parti « n'est pas assez ouvert sur la démocratie », regrettant qu'« il n'y ait pas eu un seul congrès et aucune élection interne depuis son lancement »[24]. Dès lors, une véritable scission se fait au sein du parti.

Jean-Marie Cavada, deux vice-présidentes Isabelle Bordry et Pascale Lucianni, les délégués régionaux de Bretagne, Aquitaine, Bourgogne, PACA dont Franck Chauvet membre du COMEX, Languedoc-Roussillon, Picardie, Haute-Normandie, Corse, Poitou-Charente, Champagne-Ardenne, Île-de-France ouest et Paris-Est démissionnent et fondent en le mouvement Génération Citoyens[25].

À la suite de la démission de Jean-Marie Cavada, Denis Payre reprend la présidence de à [26]. À l'occasion de la première élection à la présidence du mouvement, le candidat Jean-Pierre Gorges présenté et soutenu par Denis Payre se retire, expliquant son choix dans une vidéo[27].

En janvier 2016, Nicolas Doucerain est élu Président après une campagne nationale de terrain menée pendant plusieurs mois auprès des adhérents d'une dizaine de villes face à deux autres candidats (Anne Lebreton et Gérard Touati). Un nouvel élan souhaite être insufflé au mouvement avec même la proposition d'une VIe république.[réf. nécessaire] Une refonte des statuts est alors opérée. On peut noter que six personnes, appelés membres fondateurs (alors que deux de ces personnes viennent tout juste de rejoindre l'équipe dirigeante), ont la capacité de destituer à tout moment le président et les membres élus en assemblée générale[26].

Élections de 2017

Appelés à se prononcer en vue de l'élection présidentielle de 2017, les adhérents de Nous Citoyens décident de ne soutenir aucune candidature et appellent à l’unité citoyenne[28],[29]. Cependant, quelques membres de la direction rejoindront En marche d'Emmanuel Macron contre l'avis de la majorité de leurs membres[30].

Georges Obninsky et Alexia Germont (en 2019).

Lors des élections législatives de 2017, Nous Citoyens s'allie à Territoires en Mouvement de Jean-Christophe Fromentin[31],[32], avec des résultats très faibles[33].

Nous Citoyens – France

La dissolution de Nous Citoyens est décidée avec l'idée de créer une nouvelle organisation, Nous Citoyens – France, le . Les adhérents élisent à sa tête Thierry de Bénazé.

Le , Alexia Germont est élue présidente et Georges Obninsky vice-président ; Thierry de Benazé est désigné par le conseil d'administration deuxième vice-président.

Actuellement (en août 2020), l'association est dirigée par Thierry de Bénazé[34].

Fondements idéologiques

Programme

Le projet du parti est élaboré depuis fin 2013 par les adhérents sur une plate-forme collaborative en ligne[NC 5].

Nous Citoyens considère que la classe politique actuelle n'est pas capable de mener les réformes qu'il estime nécessaires pour redresser la situation du pays[35]. Son discours porte notamment sur la nature de la classe politique française, avec des propositions d'ordre institutionnel[36]. Il veut « en finir avec les professionnels de la politique ». En effet, d'après Denis Payre, les personnalités politiques « privilégient leur réélection plutôt que l'intérêt général » et « ne connaissent pas le monde de l'entreprise ». C'est pourquoi Nous Citoyens milite pour que les élus soient issus de la société civile, avec trois mandats exécutifs maximum pour une même personne au cours de sa vie, tandis que l'exercice d'une même fonction de parlementaire ou de responsable d'un exécutif local serait limité à deux mandats consécutifs. Les fonctionnaires devraient démissionner quand ils sont élus à une fonction exécutive. Les députés seraient rémunérés sur la base de leur présence effective en assemblée et soumis à une fiscalité standard, tout en bénéficiant des indemnités chômage et d'une retraite normale[37],[38].

Nous Citoyens dénonce le modèle français, qualifié de « dépassé », car l'État y est « omniprésent et inefficace ». Les trois principaux problèmes seraient le niveau des dépenses publiques, des prélèvements obligatoires et de la dette publique[NC 6]. Un plan d'économies de 200 milliards d'euros sur cinq ans serait nécessaire afin que les dépenses publiques françaises soient dans la moyenne de l'Union européenne et que le budget soit à l'équilibre[39].

Le mouvement souhaite réformer sans remettre en cause le « modèle social humaniste » de la France[35]. Nous Citoyens préconise de lutter contre la pauvreté et l'exclusion en s'appuyant sur la société civile et notamment en contractualisant certains services avec les acteurs de l'économie sociale et solidaire[40].

En matière d'emploi, Nous Citoyens propose d'alléger les cotisations sociales sur les bas salaires, de favoriser l'apprentissage, d'alléger et dépénaliser le droit du travail, d'instaurer un contrat de travail unique avec plus de liberté de négociation, d'augmenter de 50 % les indemnités de rupture tout en supprimant le motif de licenciement, de créer un « chèque syndical » pour les salariés, de refondre le dialogue social en y associant des représentants des exclus, de remonter les seuils sociaux, de faire entrer des salariés aux conseils d'administration des entreprises, de rendre obligatoire une formation qualifiante après six mois de chomâge, ou encore de relancer l'entrepreneuriat et l'innovation, au travers d'une refonte de la fiscalité[41],[42],[43].

Nous Citoyens propose une augmentation des heures et des salaires des professeurs et l'autonomie des directeurs[12] ainsi que le développement d'écoles associatives sur le modèle des charters schools américaines. Le parti préconise aussi de renforcer les liens entre l'école et l'entreprise (intervention de professionnels dans les écoles, stages de professeurs en entreprise)[44].

Classification sur l'échiquier politique

Nous Citoyens se définit comme européen, humaniste et républicain[NC 7]. Le mouvement ne se veut ni de droite, ni de gauche[1] et considère ces notions comme dépassées[45],[46]. Ainsi, le parti désirait être classé comme « divers » dans la nomenclature du ministère de l'Intérieur. Mais le ministère, « après analyse », attribue la nuance « divers droite » aux listes Nous Citoyens[47]. Pour Le Monde, le parti est « proche des idées de la droite classique : moins de fiscalité, moins de dépenses publiques et incitations à l'entrepreneuriat »[12].

Lors des municipales de 2014, Le Parisien note que le parti fédère des « déçus de droite »[48] et l'AFP indique qu'à Paris certaines listes sont conduites par « des UDI déçus de l'accord UMP-centre »[49]. Après sa nomination comme président du parti, Jean-Marie Cavada indique que les adhérents viennent principalement de la droite, du centre et des sociaux-démocrates[2]. On peut également noter, parmi les soutiens du mouvement, des personnalités comme Kouider Oukbi, précédemment élu sur une liste divers gauche[50], ou Jean-Luc Trotignon, précédemment élu du Parti socialiste, ou encore Thierry Sagnier, qui avait soutenu Olivier Falorni aux législatives de 2012 et qui souhaitait la candidature de Maxime Bono aux municipales à La Rochelle en 2014[51].

Toutefois, certains candidats, comme Franck Chauvet, s'affichent dès 2015 « en dehors des partis traditionnels » et proposent une alternative « qui s’appuie sur la société civile »[52].

Si le parti ne revendique aucune idéologie[53],[15], pour certains observateurs politiques comme Libération il est d'inspiration social-libérale[5], voire « très « libéral[e] » » d'après Le Monde[12] ou « clairement libéral[e] » d'après Le Parisien[18]. Pour Bruno de la Palme, journaliste économique au Figaro, Nous Citoyens représente un « libéralisme populaire et citoyen »[14]. D'après Contrepoints, « un grand nombre des propositions de fond [de Nous Citoyens] semblent d'inspiration clairement libérale »[36], à l'exception de celles sur l'Union européenne[54]. Nous Citoyens ne se réfère pas au terme libéral, affirmant défendre « un État fort, et non pas faible comme actuellement, parce que plus concentré sur la régulation au lieu de se disperser dans l'exécution de trop nombreuses tâches »[NC 7]. Toutefois, selon l'hebdomadaire Challenges, Denis Payre « se dit plutôt social-libéral »[1]. Sur la question des prélèvements obligatoires, un des déterminants d'une politique libérale[55], la volonté du mouvement est de les ramener « au niveau de la moyenne européenne (de 46 % du PIB à 40 %) »[56],[57].

Élus et personnalités

Conseillers régionaux

Conseillers municipaux et adjoints au maire

Lors des élections municipales de 2014, les listes labellisées par Nous Citoyens obtiennent 58 élus dans 18 communes[NC 8]. Parmi ces 58 conseillers municipaux, 3 femmes ont été désignées adjointes au maire par leurs pairs :

D'autres membres de Nous Citoyens ont été élus lors des municipales de 2014, hors listes labellisées :

Organisation

Entre et , le parti est présidé par Jean-Marie Cavada, qui est assisté par cinq vice-présidents :

  • Isabelle Bordry : entrepreneur et ancienne directrice générale de Yahoo! France. Démissionnaire en , vice-présidente de Génération Citoyens
  • Eric Delannoy : co-fondateur du cabinet de conseil Weave
  • Thibaut Guilluy : entrepreneur social
  • Thomas Houdaille : ancien directeur général de Beijaflore et secrétaire général du think tank EuropaNova, démissionnaire en .
  • Denis Payre

Le comité directeur est composé du président, des cinq vice-présidents, de cinq délégués régionaux et trois représentants maximum du collège des élus[26], dont Pascale Luciani-Boyer, Franck Chauvet et Sabine Thillaye.

Les six membres fondateurs ont la capacité de destituer à tout moment et à leur majorité simple le président et les membres élus en assemblée générale[26].

En , Nous Citoyens décide d'élire son prochain président. Trois candidats se présentent : Nicolas Doucerain, Anne Lebreton et Gérard Touati. Nicolas Doucerain, entrepreneur et fondateur du mouvement « Entreprendre pour la France » est élu au premier tour, le , avec 59,5 %[66].

En , Nous Citoyens est l'un des initiateurs de la « primaire des Français » (avec Bleu-Blanc-Zèbres, Cap21, Génération Citoyens, le Pacte civique et la transition) destiné à porter à la présidence de la République un candidat issu de la société civile. Cette initiative prend fin à la suite du ralliement de Corinne Lepage et Jean-Marie Cavada à Emmanuel Macron[67] sans préavis avec leurs partenaires.

Le , à la suite de divergences de vue sur les suites à donner à mouvement, l'ensemble de la direction démissionne et une assemblée générale extraordinaire est annoncée afin de demander aux membres vers quelle orientation ils veulent voir évoluer Nous citoyens[68].

Le est annoncée par voie internet la décision de rester indépendant et de n'afficher aucun soutien aux prétendants à la candidature de la présidence de la République[69]. Les soutiens à E. Macron et J.P. Gorges sont rejetés à 32,5 % et 15,1 % et à 52,4 % pour garder une indépendance[68].

À partir du , dans l’attente de la désignation d’une nouvelle équipe par une assemblée générale, la gouvernance est assurée par une équipe de trois personnes : Marion Maxant, Frédéric Amblard et Bernard Chenevez[réf. nécessaire].

En 2019, le mouvement prend un autre tournant avec le retour de certains anciens membres dirigeants comme Alexia Germont et Franck Chauvet. Le , Alexia Germont est élue présidente et Georges Obninsky vice-président[réf. nécessaire].

Soutiens

Les personnalités suivantes font partie du comité de soutien de Nous Citoyens[NC 11] :

Notes et références

Références d'origine Nous Citoyens

Références médias

  1. Gilles Fontaine, « Municipales : comment l'homme d'affaires Denis Payre mène campagne », challenges.fr, (lire en ligne)
  2. Jean-Marie Cavada. « Hors des partis », Le Télégramme, 2 octobre 2014
  3. Laurent de Boissieu, « Nous Citoyens », sur france-politique.fr (consulté le ).
  4. « Nous Citoyens renonce en Bourgogne-Franche Comté », sur ouest-france.fr, (consulté le ) : « Le parti désirait être classé comme « divers » dans la nomenclature du ministère de l'Intérieur. Mais le ministère, « après analyse », attribue la nuance « divers droite » aux listes Nous Citoyens. ».
  5. « Nouvelle Donne et Nous Citoyens prêts à renvoyer l’appareil politique », Libération, (lire en ligne).
  6. Jean-Baptiste Garat, « Payre appelle Cavada à la tête de Nous citoyens », Le Figaro, (lire en ligne).
  7. François Krug, « « Nous citoyens » : l’ancien exilé fiscal veut créer le parti de la société civile », Rue89, (lire en ligne)
  8. Christine Kerdellant, « Moi, Président? Non, Nous Citoyens ! », L'Express, vol. 1, (lire en ligne)
  9. Lea Pfeiffer, « « Nous citoyens », le parti politique du serial entrepreneur Denis Payre », Economie Matin.fr, (lire en ligne)
  10. Article non signé, « « Moi président et Nous citoyens » », La Tribune, , p. 3 (lire en ligne)
  11. « Page de l'émission "Des paroles et des actes" du 28 novembre 2013 », sur francetvinfo.fr
  12. « Denis Payre, blond en affaires, bleu en politique », Le Monde, (lire en ligne).
  13. Denis Payre, l'entrepreneur devenu chef de parti, Paris Match, 9 mars 2014
  14. « Les citoyens débarquent en politique ! », Le Figaro, (lire en ligne).
  15. « Municipales à Paris : des listes «Nous citoyens» dans cinq arrondissements », Le Parisien, (lire en ligne).
  16. Frank Viart, « Bertrand Lescure conduira la liste "Nous Citoyens" aux élections européennes dans le Sud-Est », Le Progrès, (lire en ligne)
  17. « Page de l'émission "Salut Les Terriens!" du 15 mars 2014 », sur canalplus.fr
  18. Henri Vernet, « Nouveau parti recrute candidats aux européennes », Le Parisien, (lire en ligne)
  19. « Les Européens Solidaires font liste commune avec Nous Citoyens », sur europeenssolidaires.org.
  20. « Résultats Élections Européennes 2014 », France Politique, 26 mai 2014
  21. « Européennes : les scores des petites listes », Les Échos, 25 mai 2014
  22. « Résultats des élections des conseillers consulaires - Communiqué de Fleur Pellerin (24-25 mai 2014) », sur diplomatie.gouv.fr
  23. « Jean-Marie Cavada quitte Nous Citoyens pour créer une nouvelle structure », Le Figaro, (lire en ligne).
  24. Tristan Quinault Maupoil, « Jean-Marie Cavada quitte Nous Citoyens pour créer une nouvelle structure », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
  25. « Pascale LUCIANI BOYER et Isabelle BORDRY disent tout sur la crise de Nouscitoyens », sur Le cercle des liberaux (consulté le )
  26. Voir les statuts sur nouscitoyens.fr.
  27. « Retrait de candidature de Jean-Pierre Gorges aux élections de Nous Citoyens », (consulté le )
  28. « Nous Citoyens dit non à Emmanuel Macron et appelle à l’unité citoyenne ! », Nous citoyens, (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Alternative citoyenne: », Nous citoyens blog, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Nous sommes des Citoyens - Pourquoi une partie de la direction de Nous Citoyens rejoint En Marche », Le Huffington Post, (lire en ligne, consulté le ).
  31. Jérôme Cordelier, « Jean-Christophe Fromantin : "Emmanuel Macron est un syndic de faillite" », Le Point, (lire en ligne, consulté le ).
  32. « 577 – LES INDÉPENDANTS | Jean-Christophe Fromantin », sur www.fromantin.com (consulté le ).
  33. « Bilan législatives 2017 : Nous Citoyens et 577 », Nous citoyens, (lire en ligne, consulté le ).
  34. « L'équipe dirigeante », sur nouscitoyens.fr (consulté le ).
  35. Denis Payre, « La France, un surdoué qui s'ignore », Le Monde, (lire en ligne)
  36. Élections européennes : 4 questions à Denis Payre, Contrepoints, 15 mai 2014
  37. Marie Bellan, « Denis Payre, le fondateur de Business Objects, se lance en politique », Les Échos, (lire en ligne)
  38. « Les six propositions de Nous Citoyens pour renouveler la vie politique », Le Figaro, (lire en ligne).
  39. « Monsieur François Fillon, encore un petit effort ! », Les Échos, 2 octobre 2014.
  40. « Denis Payre : « Nous Citoyens humanistes, républicains et européens » », sur unidivers.fr.
  41. Le parti «Nous citoyens» veut créer 2 millions d'emplois en France, Le Figaro, 5 octobre 2014
  42. « Quand les citoyens planchent sur l'emploi »
  43. « Relever les seuils sociaux créerait jusqu'à 100 000 emplois par an », Le Figaro, (lire en ligne).
  44. « Le français et les maths plébiscités », Le Journal du dimanche, 30 novembre 2013.
  45. Hervé Favre, « Denis Payre : «Droite et gauche, même responsabilité» », La Voix du Nord, (lire en ligne)
  46. François d'Estais, « Rencontre avec Denis Payre, président de Nous Citoyens », lecarnetpolitique.com, (lire en ligne)
  47. Koenig : pour en finir avec la droite et la gauche, Le Point, 25 mai 2014
  48. « Des déçus de droite se fédèrent autour de Nous citoyens », Le Parisien, (lire en ligne).
  49. Municipales: hors des grands partis, des listes "citoyennes" et diverses, L'Express, par AFP, 25 février 2014
  50. « Liste « Prendre Parti Grignois » pour les Municipales 2008 à Grigny (91) », Le Figaro, (lire en ligne).
  51. « Municipale à La Rochelle : qui est Thierry Sagnier ? », Sud Ouest, 7 mars 2014.
  52. « Départementales 2015. Franck Chauvet veut "réformer avec les citoyens" à Hyères », sur Var-Matin, (consulté le )
  53. Les nouveaux partis bouleversent le jeu politique, Paris Match, 2 décembre 2013
  54. Élections européennes : « Nous Citoyens », un vote libéral ?, Contrepoints, 22 mai 2014.
  55. Une solution libérale pour faire sauter les verrous
  56. Réponse d'Isabelle Bordry sur le site questionnezvoscandidats.org
  57. « Budget 2015 en déficit : Valls et Hollande ne maîtrisent rien. Mais il n'est pas trop tard ».
  58. Philippe Martinat, « Teaki, une Polynésienne à la mode de Bretagne », Le Parisien, (lire en ligne)
  59. « Page de Teaki Dupont sur le site de la Région Bretagne », sur bretagne.fr
  60. Pascale Égré et Vincent Mongaillard, « Municipales : les surprises des urnes ! », Le Parisien, (lire en ligne)
  61. « Municipales à Plœmeur. Le nouveau maire et ses adjoints installés », Ouest-France, (lire en ligne)
  62. « Conseil Municipal », sur noisyleroi.fr
  63. Élections municipales de 2014 à Paris
  64. « Composition du Conseil municipal de Carcassonne », sur carcassonne.fr
  65. « Composition du Conseil municipal de Saint-Maur-des-Fossés », sur saint-maur.com
  66. Emmanuel Galiero, « Nous citoyens : Nicolas Doucerain succède à Denis Payre à la présidence », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
  67. Le Point, magazine, « Présidentielle : Lepage et Cavada rallient Macron », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
  68. « Communiqué Nous Citoyens », Nous citoyens, (lire en ligne, consulté le )
  69. « Résultat du vote de l’assemblée générale extraordinaire : 18-20 décembre », Nous citoyens, (lire en ligne, consulté le )

Annexes

Article connexe

Lien externe

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