Chronologie de l'Algérie
Cette page présente une chronologie de l'Algérie :
Ère antique
Avant J.-C.
XIe siècle av. J.-C. : extension des phéniciens dans la région[1].
950 av. J.-C. : début du calendrier berbère par la victoire du roi Sheshonq Ier[2].
IVe siècle av. J.-C. : royaumes des Massyles et des Massaesyles[1].
Vers 300 av. J.-C. : construction du Medracen[1].
Fin du IIIe siècle av. J.-C. : règne de Syphax dans le royaume des Massaesyles[1].
203 av. J.-C. - 148 av. J.-C. : règne de Massinissa[1], unification de la Numidie[3].
148 av. J.-C. - 118 av. J.-C. : règne de Micipsa en Numidie[4].
111 av. J.-C. - 104 av. J.-C. : guerre de Jugurtha[1], contre Rome[5].
27 av. J.-C. : rattachement de la Numide à l'Afrique proconsulaire[6].
25av. J.-C. - 24 : règne de Juba II en Maurétanie[6].
Après J.-C.
17 - 24 : révolte de Tacfarinas[6].
40 - 42 : annexion de la Maurétanie par Rome[6].
100 : fondation de Timgad et de Djemila[6].
IIe siècle et IIIe siècle : révoltes en Maurétanie[6].
372 - 375 : révolte de Firmus[7].
380 : le christianisme devient la religion officielle de l'Empire romain[7].
Ve siècle et VIe siècle : pouvoir vandale en Afrique du Nord[7].
Ve siècle : royaume berbère dans les Aurès[7].
533 : début de la reconquête byzantine[7].
VIe siècle : organisation d’États berbères[8], lutte des Byzantins contre ces royaumes[7].
Ère des dynasties arabo-berbères
Du VIIe au Xe siècle
647 : premiers raids arabo-musulmans sur le Maghreb[9].
693 - 696: édification de la mosquée de Sidi Okba[9].
fin VIIe siècle - début VIIIe siècle : révolte berbère conduite par la reine Kahena[7].
739 : révolte kharidjite de Maysra à l'ouest jusqu'au Chelif[9].
761 : fondation de la ville de Tahert[10].
767 : expédition vers l’est d'Abou Qurra du royaume sufrite de Tlemcen, uni aux kharidjites de Tahert et du djebel Nefoussa, ils cernent le gouverneur abbasside dans la forteresse de Tobna[11].
777 : début du règne de la dynastie des Rostémides[9].
894 : arrivée de Ubayd Allah al-Mahdi en Petite Kabylie[9].
902 : fondation de la ville d'Oran par les Andalous[12].
909 : fin du règne de la dynastie des Rostémides, après la prise de leur capitale Tahert par les Kutamas[13].
909 : début du règne de la dynastie des Fatimides[9].
935 : début de la construction d'Achir[14].
943 - 947 : révolte kharidjite anti-fatimide d’Abu Yazid[9].
960 : fondation d'Alger par le ziride Bologhine ibn Ziri[9].
Du XIe au XVe siècle
1007 : fondation de la Kalâa des Béni Hammad[9].
1012 : fondation d'El Atteuf, la plus ancienne ville du Mzab[9].
1015 : début du règne de la dynastie des Hammadides[9].
1051 : arrivée des premiers Hilaliens, Arabes bédouins[9].
1056 : début du règne de la dynastie des Almoravides[15].
1064 : fondation de la ville de Béjaïa par les Hammadides[16]
1075 : prise de Tlemcen par les Almoravides[17].
1090 : transfert de la capitale hammadide à Béjaïa[9].
1130 : début du règne de la dynastie des Almohades[15].
1152 : prise de Béjaïa par les Almohades et fin du règne de la dynastie des Hammadides[15].
1184 : attaques des Beni Ghania sur les villes du Maghreb central[18].
1229 : début du règne de la dynastie des Hafsides[15].
1235 : début du règne de la dynastie des Zianides fondée par Yaghmoracen Ibn Zian[19]
1284 : établissement dans le Constantinois d'un royaume hafside ayant pour capitale Béjaïa et rival de celui de Tunis[20]
1299 - 1307 : siège de Tlemcen par les Mérinides[15].
1318 - 1337 : siège de Béjaïa et de Constantine par les Zianides[21]
1337 - 1348 : occupation de Tlemcen par les Mérinides[15].
1347 - 1348 : extension des Mérinides jusqu'à Tunis[15].
1352 - 1358 : deuxième occupation de Tlemcen par les Mérinides[15].
Période ottomane
Offensive espagnole et époque des beylerbeys
1505 : occupation de Mers el-Kébir par les Espagnols[22]
1509 : occupation d'Oran par les Espagnols[15].
1510 : occupation de Béjaïa et du Peñón d'Alger par les Espagnols[23].
1511 : soumission des villes de Mostaganem, Ténès, Cherchell et Dellys à l'Espagne[22].
1514 : installation des frères Barberousse à Jijel[23].
1516 : les habitants d'Alger font appel aux frères Barberousse[23], qui mettent en échec une expédition espagnole[22].
1517 : expédition d'Arudj Barberousse contre Tlemcen ; Khayr ad-Din Barberousse devient maître d'Alger[23] ; prise des villes de Ténès, Miliana et Médéa par Arudj[22].
1518 : prise de Tlemcen[22] et mort d'Arudj Barberousse à El Malah ; allégeance de Khayr ad-Din Barberousse à la Sublime Porte[23] et l'Algérie devient ottomane l'année suivante[22].
1521 : prise de Collo par Khayr ad-Din[22].
1522 : prise d'Annaba et de Constantine[22] par Khayr ad-Din.
1525 : reprise d'Alger par Khayr ad-Din[22].
1529 : prise du Peñón d'Alger[22] par Khayr ad-Din.
1541 : succession de Hassan Agha à Khayr ad-Din Barberousse, victoire sur Charles Quint et extension de la régence d'Alger jusqu’à Biskra[22].
1543 : occupation de Tlemcen par les Espagnols[22].
1544 : Hassan Pacha désigné beylerbey[24] ; sous son règne, la Régence connait le découpage administratif de son territoire en Beyliks[25].
1545 : victoire ottomane sur les Espagnols à Mostaganem[24].
1547 : réoccupation de Tlemcen par les Espagnols[24].
1550 : Hassan Pacha repousse les attaques marocaines sur Tlemcen et Mostagnem ; prise définitive de Tlemcen [24].
1552 - 1556 : extension de la régence d'Alger jusqu’à Ouargla et Touggourt sous le beylerbey Salah Raïs[24].
1553 : révolte des Béni Abbès, alliés des ottomans par le passé[24].
1555 : libération de Béjaïa[24].
1558 : nouvelle victoire ottomane sur les Espagnoles à Mostaganem[24].
1559 : répression de la révolte des Béni Abbès, Ahmed Amokrane reconnait la tutelle turque[24].
1561 : répression de la révolte des janissaires[26].
1563 : établissement du beylik de l'Ouest, avec Mazouna comme capitale[27].
1567 : révolte et installation d'un bey à Constantine[26],[28].
1568 - 1571 : arrivée des immigrés andalous[26].
1580 - 1582 : révolte des corsaires[26].
1587 : fin de l'époque des beylerbey et avènement des pachas triennaux[26].
Époque des pachas et des aghas
1589 - 1595 : expéditions en Kabylie[26].
1599 - 1603 : révolte populaire contre l’impôt[29].
1609 - 1610 : afflux d'un grand nombre d'andalous fuiyant la reconquista[29].
1614 : accord de délimitation de la frontière algéro-tunisienne[29].
1622 : expédition hollandaise contre Alger[29].
1626 - 1633 : insurrection militaire et expulsion des Kouloughlis et des Maures de la milice par les janissaires[30].
1637 - 1639 : destruction des bastions de France[30].
1638 : insurrection dans le Nord constantinois[30].
1648 : résistance à une attaque marocaine dans le beylicat de l'Ouest[30]
1654 : expédition française contre Alger[30].
1659 : fin de l'époque des pachas triennaux et avènement du gouvernement des aghas ; le Sultan reconnait l'autorité du diwan de choisir le gouvernement et de mener la politique étrangère[30].
1659 - 1671 : quatre aghas se succèdent à la gouvernance de la régence[31].
1671 : assassinat du denier agha, Ali Agha et avènement du pouvoir des deys[32].
Époque des deys
1671 - 1682 : avènement du premier dey, Hadj Mohamed Trick ; attaque espagnole contre Tlemcen, attaque marocaine repoussée et attaque française contre Alger[32].
1682 - 1688 : bombardements français sur Alger[32].
1688 - 1695 : gouvernance du dey Hadj Chabane, qui attaque Tunis et repousse les attaques marocaines[33].
1700 - 1705 : gouvernance du dey Hadj Mustapha ; victoires sur les marocains et les tunisiens ; épidémie de peste à Alger et ses environs qui fait des dizaines de milliers de morts[33].
1708 : libération de Mers el-Kébir et d'Oran de l'occupation espagnole[33].
1732 : réoccupation de Mers el-Kébir et d'Oran par les Espagnols[33].
1732 - 1745 : gouvernance d'Ibrahim dey ; dégradation des relations avec les consuls d'Europe[33].
1745 - 1748 : gouvernance du dey Ibrahim Bouschouk ; révolte des Kouloughlis à Tlemcen, soulèvements populaires[34].
1766 - 1791 : gouvernance du dey Mohamed Ibn Othmane, remarquable organisateur[34],[35].
1771 - 1792 : gouvernance de Salah Bey à Constantine , le plus célèbre bey de la province réputé pour son administration[36].
1792 : libération d'Oran par le bey Mohamed el Kebir et rétablissement de l'ordre grâce à une réduction importante de l'impôt [34].
1798 - 1808 : luttes contre les confréries religieuses Derkaoua et Tidjaniya[34].
1809 - 1815 : répressions contre les tribus dissidentes en Oranie et dans l'Algérois[37].
1818 - 1830 : gouvernance du dernier dey, Hussein Dey ; expéditions dans le Mzab et le Souf ; révoltes en Oranie et dans le Constantinois[37].
1826 - 1837 : gouvernance du dernier bey de Constantine, Ahmed Bey[38].
Période de la colonisation française
Conquête et résistance
1830 (14 juin) : débarquement français à Sidi-Fredj[37].
1830 (5 juillet) : convention entre les français et le dey d'Alger qui livre la ville[39].
1832 : occupation d'Annaba[40].
1833 : occupation de Béjaïa[40].
1834 : signature d'un traité reconnaissant la souveraineté de l'émir Abd el-Kader[39] ; désignation d'un gouverneur général des « possessions françaises dans le nord de l'Afrique »[39].
1835 : victoire d'Abd el-Kader à la Macta[39].
1836 : occupation de Tlemcen[40].
1837 : Traité de la Tafna et prise de Constantine[39].
1839 : regroupement territoriale des 2/3 de l'Algérie du Nord par l'émir Abd el-Kader[41].
1841 : nomination du Bugeaud, gouverneur général de l'Algérie ; fin de « l'occupation restreinte » et guerre totale[39] ; occupation de Mascara, Saïda et Boghar[41].
1843 : prise de la Smala et massacre des populations voisines[39].
1845 : soulèvements dans le Dahra, l'Ouarsenis, la vallée du Chelif et en Kabylie à l'appel de Boumâaza[42] ; enfumades du Dahra[41] ; signature du traité franco-marocain interdisant à l'émir le repli au Maroc[41].
1846 : ordonnance foncière pour l'annexion des terres agricoles dans le Sahel algérois et la Mitidja[43].
1847 : redditions de Boumâaza, Abd el-Kader et Ahmed Bey[43],[42].
1848 : proclamation de l'Algérie comme partie intégrante de la France[42].
1849 : siège sanglant de Zaatcha[42].
1850 : soulèvements dans les Aurès et le Ziban[42].
1851 : soulèvement de Bou Baghla en Kabylie[42].
1852 : prise de Laghouat, révolte à Touggourt[44].
1864 : insurrections des Ouled Sidi Cheikh et des Flittas dans la région de Relizane[44],[42].
1865 : le sénatus-consulte du [45],[46].
1867 - 1868 : famines sévères dans le pays[42].
1870 : Décret Crémieux accordant la nationalité française aux juifs d'Algérie[42].
1871 : révolte des Mokrani ; confiscation des centaines de milliers d'hectares des meilleurs terres agricoles en Kabylie[42].
1876 : soulèvement d'El Amri à Biskra[47].
1879 : insurrection dans les Aurès[47].
1881 : instauration du code de l'indigénat, établissant une juridiction d'exception pour les musulmans d'Algérie ; nouvelle insurrection des Ouled Sidi Cheikh à l'appel de Cheikh Bouamama[42],[47].
1882 : occupation du Mzab[47].
1889 : loi de naturalisation automatique à leur majorité des enfants nés en Algérie de parents étrangers d'origine européenne[48].
1898 : émeutes antijuives à Alger pour l'abrogation du décret Crémieux[48].
1902 : aménagement du Sahara en Territoires du Sud[49].
Mouvement national
1907 : fondation de l’hebdomadaire Jeune Algérien Islah et du journal Lutte sociale[49].
1910 : grève des dockers à Skikda, au cours de laquelle apparaît un drapeau vert frappé d'un croissant et d'une étoile[49].
1911 : décrets instituant le service militaire obligatoire pour les Algériens musulmans ; « exode de Tlemcen » : des familles musulmanes quittent l'Algérie pour échapper à la conscription[48].
1912 : présentation d'un manifeste du mouvement des Jeunes Algériens au gouvernement français[50].
1914 : soulèvement dans les monts des Beni-Chougrane[50].
1916 : constitution d'un comité musulman à Berlin pour l'indépendance de l'Algérie et la Tunisie ; soulèvement dans les Aurès[50].
1919 : élargissement du corps électoral des indigènes algériens à 420 000 personnes[48],[50].
1920 : grande famine dans le pays[48].
1922 : victoire de l'émir Khaled aux élections départementales partielles d'Alger[48] ; il présente au président français les revendications des Algériens[50].
1925 : fondation du journal Al Mountaquid (« la critique ») par Abdelhamid Ben Badis[48].
1926 : fondation de l'Étoile nord-africaine (ENA), qui réclame l'indépendance de l'Afrique du Nord[51].
1927 : création de la Fédération des élus indigènes d'Algérie[51].
1928 : mise en place de mesures visant à freiner l’émigration vers la France[51].
1929 : dissolution de l'ENA[51].
1931 : constitution de l'Association des oulémas musulmans algériens[51].
1933 : reconstitution de l'ENA, avec à sa tête Messali Hadj[51].
1935 : décret « Régnier » réprimant les manifestations contre la souveraineté française[52].
1936 : fondation du Congrès musulman algérien, né d'une fédération entre les élus, les oulémas et les communistes[51] ; constitution du Parti communiste algérien (PCA)[52].
1937 : dissolution de l'ENA ; constitution du Parti du peuple algérien (PPA)[51].
1938 : constitution de l'Union populaire algérienne[52].
1939 : dissolution des formations démocratiques en Algérie, arrestation des principaux dirigeants nationalistes algériens[51].
1942 : débarquement des alliés sur les côtes algériennes[53].
1943 : présentation du « Manifeste algérien »[51].
1944 : ordonnance élargissant le droit de vote (toujours dans un collège distinct de celui des Français d'Algérie) à tous les Musulmans algériens âgés de 21 ans et plus[54] ; abolition du code de l'indigénat ; constitution des Amis du manifeste et de la liberté (AML)[53].
1945 : manifestations algériennes contre la colonisation ; massacres de Sétif et Guelma[53],[55].
1946 : constitution de l'Union démocratique du manifeste algérien (UDMA) et du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD)[54].
1947 : adoption du statut de l'Algérie par le Conseil des ministres, refusé par les députés Algériens ; création de l'Organisation spéciale (OS) prônant la lutte armée ; victoire du MTLD de Messali Hadj au deuxième collège dans les grandes villes algériennes[54].
1950 : démantèlement de l'OS[54].
1954 (mars-avril) : naissance du Comité révolutionnaire d'unité et d'action (CRUA) qui prépare l'insurrection en Algérie[54].
Guerre de Liberation Nationale
: début de la guerre d'Algérie[56].
: soulèvement et massacres dans le Constantinois[56].
: l’Assemblée nationale accorde des pouvoirs spéciaux pour l'Algérie[56].
: congrès de la Soummam du FLN[56].
1957 (janvier - novembre) : la bataille d'Alger[56].
: proclamation du Gouvernement provisoire de la République algérienne [56].
: discours de Gaulle pour l’autodétermination de l'Algérie[56].
1960 (janvier) : semaine des barricades à Alger[56].
1960 (décembre) : manifestations algériennes en faveur de l'indépendance[56].
1961 (janvier) : création de l'Organisation armée secrète[56].
: signature des accords d'Évian[56].
: proclamation du référendum d'autodétermination de l'Algérie : plus de 99 % des voix pour l'indépendance du pays[56].
1962 (été) : massacre des harkis[56].
Indépendance
: mise en échec du Gouvernement provisoire de la République algérienne par l'Armée de libération nationale (ALN), Ahmed Ben Bella est à la tête du gouvernement[57].
: adoption de la Constitution et instauration d’un régime de parti unique[57].
: coup d'État qui va placer Houari Boumédiène à la tête du pouvoir[57].
1966 (mai) : nationalisation des mines et des compagnies d’assurances étrangères[57].
: nationalisation des hydrocarbures[57].
: élection de Chadli Bendjedid président de la république[57].
1980 (avril) : Printemps berbère pour la reconnaissance de la culture berbère[57].
1988 (octobre) : émeutes dans le pays qui font plusieurs centaines de victimes[57].
: adoption d'une nouvelle constitution instituant le multipartisme[57].
: large victoire du Front islamique du salut (FIS) aux élections municipales et wilayales[57].
1991 : début des affrontements entre forces de l’ordre et militants du FIS[57].
: large victoire du Front islamique du salut (FIS) aux élections législatives.
: démission de Bendjedid et annulation du second tour des élections législatives ; instauration de l'état d'urgence ; dissolution du FIS ; assassinat de Mohamed Boudiaf[57].
: prorogation de l’état d'urgence[57].
1994 : apparition du Groupe islamique armé (GIA)[57].
: élection du général Liamine Zéroual, président de la république[57].
: première élection d'Abdelaziz Bouteflika, président de la république[57].
: le tamazight reconnu langue nationale[57].
: manifestations nationales contre le 5e mandat de Abdelaziz Bouteflika. Les manifestations durent plusieurs semaines et se déroulent tous les vendredi.
: retrait de la candidature de Abdelaziz Bouteflika aux élections du 18 avril 2019 et annulations des élections.
Références
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- Chitour 2004, p. 183.
- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 13.
- Chitour 2004, p. 185.
- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 14.
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- Meynier 2010, p. 29.
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- Jolly 2008, p. 48.
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- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 22.
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- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 309.
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- http://akadem.org/medias/documents/Doc3_SenatusConsulte1865.pdf
- « Sénatus-consulte du 14 juillet 1865 sur l’état des personnes et la naturalisation en d’Algérie – La Revue des Droits de l'Homme », sur La Revue des Droits de l'Homme (consulté le ).
- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 322.
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- Stora 2004, p. 116.
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- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun 2000, p. 326.
- Stora 2004, p. 117.
- Stora 2004, p. 85.
- Stora 2005, p. 121.
- Algérie : chronologie historique par Olivier Pironet, 2006, sur le site du Monde diplomatique.
Annexes
Articles connexes
- Histoire de l'Algérie
- Liste des états algériens
- Algérie
- Numidie | Maghreb central | Régence d'Alger | Algérie française
- Chronologie d'Alger (en)
Liens externes
Bibliographie
- Gilbert Meynier, L’Algérie, cœur du Maghreb classique : De l’ouverture islamo-arabe au repli (698-1518), Paris, La Découverte, , 358 p. (ISBN 978-2-7071-5231-2)
- Jean Jolly, L'Afrique et son environnement européen et asiatique, Editions L'Harmattan, coll. « History », , 167 p. (ISBN 978-2-296-05773-9 et 2-296-05773-X, lire en ligne)
- Gilbert Meynier, L’Algérie des origines : de la préhistoire à l’avènement de l’Islam, Paris, La Découverte, , 235 p. (ISBN 978-2-7071-5088-2)
- Benjamin Stora, Les mots de la Guerre d'Algérie, Toulouse, Presses Univ. du Mirail, coll. « Les mots de », , 127 p. (ISBN 2-85816-777-X, lire en ligne)
- Benjamin Stora, Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954), Éditions le Sureau, coll. « Repères », (ISBN 978-2-7071-4466-9)
- Chems Eddine Chitour, Algérie : le passé revisité, Casbah Editions, , 318 p. (ISBN 978-9961-64-496-6)
- Collectif coordonné par Hassan Ramaoun, L'Algérie : histoire, société et culture, Alger, Casbah Editions, , 351 p. (ISBN 9961-64-189-2)
- Mahfoud Kaddache, L'Algérie durant la période ottomane., Alger, Alger : O.P.U., , 239 p. (notice BnF no FRBNF35498970)
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