Cheikh Bouamama

Cheikh Bouamama (en arabe : الشيخ بوعمامة) ou Boumama (بوعمامة), ou Bou Hamama, de son nom complet Mohammed ben Larbi ben Cheikh ben Horma ben Mohammed ben Brahim ben Attaj ben Sidi Cheikh Abdelkader (محمد بن العربي بن الشيخ بن الحرمة بن إبراهيم), est né en 1833[1] à Ksar Hammam Fougani de Figuig au Maroc[2],[3] et mort le 7 octobre 1908 à El Aïoun Sidi Mellouk, dans la région d'Oujda au Maroc, près de la frontière algérienne[4]. Il est de la famille des Ouled Sidi Taj appartenant à la tribu des Ouled Sidi Sheikh Gharaba relevant du Maroc selon le traité de Lalla Maghnia[5],[6],[7].

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Cheikh Bouamama

Statue de Cheikh Bouamama à El Bayadh

Nom de naissance محمد بن العربي بن الشيخ بن الحرمة بن إبراهيم
Naissance 1833
Figuig, Maroc
Décès 17 octobre 1908 (à 75 ans)
El Aïoun Sidi Mellouk, Maroc
Commandement Homme d'Etat
Militaire
Conflits Conquête de l'Algérie
Faits d'armes Bataille de Sfissifa
Bataille de Ksar Chellala
Autres fonctions Chef des tribus d'Ouled Sidi Cheikh

Qualifié de « marocain qui représente l'Algérie qui résiste » par Patrick de Gmeline[8], en Algérie il est considéré, comme à la fois un résistant algérien[6],[9],[10],[11], une figure historique[12],[13], un combattant reconnu et un personnage mystique[14]. Il appartenait à la branche des Ouled Sidi Cheikh[15]. Installé à Ksour Moghrar Foukani, dans l'actuelle Wilaya de Naâma, depuis 1873, il passe à la révolte[15].

Réussissant à mettre un terme aux divergences tribales de son époque, il constitua sa base militaire à Moghrar Tahtani (au sud de Aïn Sefra) et à Abiodh Sidi Cheikh (190 km au nord-est de Moghrar) d'où il dirigea la résistance contre la colonisation de l'Algérie par l'armée française de 1881 à 1908, participant à de nombreuses batailles et causant d'importantes pertes à ses adversaires[16].

Étymologie

Cheikh Bouamama, a été surnommé « Bouamama », car durant toute sa vie il a porté sur la tête un turban, عمامة (« 'amâma »). Ce dernier évoque la piété et l'attachement à la religion musulmane.

Biographie

Ville de Figuig, lieu de naissance de Bouamama.

Cheikh Bouamama est issu de la famille des Ouled Sidi Taj[17]; sa famille vit à Figuig[6] où son père, Cheikh Larbi ben El Horma, pratiquait le commerce des burnous et des bijoux entre la région de Figuig et Moghrar Tahtani[18].

Contexte et remarque historique

  • Le soulèvement des Ouled Chikh a entrainé seulement 6 000 nomades sahariens, le Tell algérien est resté calme.
  • En 1871, la Kabylie, l'Algérois et le Constantinois ont fait drainer un million de personnes dans le mouvement de révolte.[réf. nécessaire]
  • En 1864, la révolte du Tell, de l'Oranie et de l'Algérois a fait 60 000 hommes révoltés.
  • L'armée française s'est déployée plus au nord Algérien qu'ailleurs au Maghreb (Tunisie et Maroc)[19].
  • En 1845, le Traité de Lalla Maghnia, imposé par l'armée française, sépare la tribu des Ouled Chikh en deux, une partie se retrouve du côté marocain (les Ghraba à laquelle appartient Bouamama) et l'autre du côté algérien de la frontière (les Chraga)[20],[21].
  • Les historiens ou militaires français nomment la révolte de Cheikh Bouamama « L'insurrection algérienne »[19].
  • Lors de la révolte de Cheikh Bouamama, une grande famine s'empare du pays, surtout dans la région oranaise et le Tell[22].

Les conditions préliminaires à la résistance de Cheikh Bouamama

Depuis la résistance des Ouled Sidi Cheikh, la région du sud oranais dispose d'une autonomie relative dans la gestion de ses affaires internes. Du fait de la faible concentration de colons dans cette région où l'armée française ne dispose que d'un seul poste à Abiodh Sidi Cheikh – fraction des Cheraga. Suite aux batailles contre l'armée française, la famille des Ouled Sidi Cheikh s'est dispersée. Certains de ses membres sont contraints à l'exil au Maroc alors que pour d'autres, c'est l'exode vers les régions de l'extrême sud où ils s'établissent dans la région de Goléa.

La trêve observée par les habitants de la région dans la résistance qu'ils avaient déclenchée en 1864 ne dure pas longtemps. La branche des Ghraba des Ouled Sidi Cheikh émerge sur la scène à travers la lutte menée par Cheikh Si Mâamar Ibn Cheikh Tayeb, chef de la branche des ghraba contre l'armée et les colons français, à partir du mois d'avril 1875. Toutefois, ce dernier est contraint de se retirer et est assigné à résidence.

Mais à partir de 1880, une autre personnalité de la même tribu émerge, Cheikh Bouamama qui continue la lutte contre les colonisateurs français et s'oppose à leur expansion dans les régions sahariennes.

Les causes de la résistance du Cheikh Bouamama

Le refus de l'occupation française par le peuple algérien constitue le facteur le plus important ayant poussé Cheikh Bouamama à préparer et organiser l'action de résistance armée. Mais il existe d'autres facteurs qui ont contribué à accélérer le déclenchement de la révolte.

Les causes directes

L'assassinat le 22 avril 1881 d'un officier français, le lieutenant Wayne Bruner qui occupe le poste de chef du bureau arabe de la région d'El Bayadh, ainsi que quatre de ses gardes parmi les spahis. Cet officier essayait de mettre un terme à l'activité du Cheikh Bouamama.[pas clair]

Les causes indirectes

De par son statut d'homme de religion et chef de zaouia, Cheikh Bouamama est imprégné de l'idée de la lutte contre les colonisateurs chrétiens conquérants.

L'apparition d'idées réformistes comme l'appel de Djemâl ad-Dîn al-Afghâni et du Sultan Abdul Hamid II à la mise en place d'une alliance islamique dans le cadre du califat islamique en tant que base de changement de la situation des musulmans et en vue de chasser les colonisateurs, ainsi que le rôle joué par les prédicateurs de la tariqa Sanousiyya dans la sensibilisation des populations des régions du Sahara contre la pénétration du colonialisme, vont aussi dans ce sens.

Causes conjoncturelles

La misère due à la politique menée par l'administration française, notamment l'interdiction faite à certaines tribus de se déplacer entre 1879 et 1881, en particulier celles d'Aflou, d'El Bayadh ainsi que les tribus nomades des monts des Ksour, provoque un mécontentement sérieux. Cette interdiction a entraîné la mort d'une grande partie du cheptel, le pourcentage de pertes ayant atteint pour la seule région d'Aflou environ 80 %, soit trois cents bêtes dont 37 % pour l'année 1879-1880 et 43 % pour l'année 1880-1881[réf. nécessaire].

Cette dégradation de la situation économique dans la région du sud oranais contribue à l'embrasement de la lutte et au déclenchement de la résistance.

La volonté manifestée par les autorités françaises d'établir un poste militaire d'observation à Ksar Tiout après l'échec de la délégation officielle dans l'étude du projet d'extension de la voie ferrée à travers le Sahara, du sud ouest vers le département d'Oran en 1879 est aussi une source de mécontentement des populations.

Les étapes de la résistance

Première étape

Cheikh Bouamama ne déclare la lutte contre le colonialisme français, dans la région du sud oranais qu'après avoir préparé toutes les tribus sahariennes par le biais des disciples de la confrérie répartis à travers la région notamment les tribus des Trafi, des Rézaynia, d'El Ahrar, Frenda et Tiaret. Cette propagande trouve un large écho auprès des tribus de Ammour, Hamiane et Châamba. Cheikh Bouamama réussit à rassembler environ deux mille trois cents soldats, cavaliers et fantassins. Le premier affrontement militaire entre Cheikh Bouamama et les troupes françaises a lieu le 27 avril 1881 au lieu-dit Sfissifa au sud de Aïn Sefra, et s'achève par la défaite de l'armée française et la mort au champ d'honneur de certains hommes de Cheikh Bouamama parmi lesquels le chef des Maâlif et le chef des Rézaynia.

Compte tenu de la gravité de la situation afin de réprimer la révolte, les autorités françaises s'empressent d'envoyer dans cette région des renforts supplémentaires composés de :

  • deux bataillons dirigés par le caïd Kaddour Ould Adda ;
  • le bataillon de Tiaret dirigé par El Hadj Kaddour al Sahraoui ;
  • une caravane de deux mille cinq cents chameliers accompagnée de six cents algériens. (?)

Ces troupes sont commandées par le général Colineau D'Annecy[Qui ?], commandant du secteur militaire de Mascara.

Le deuxième affrontement militaire entre Algériens et Français a lieu le 19 mai 1881 au lieu-dit El Mouilek, situé près de Ksar Chellala dans les monts Ksours.

Selon les rapports français, cette bataille a occasionné des pertes pour les deux parties, celles des Français étant estimées à soixante tués et vingt-deux blessés.

Après cette bataille, Cheikh Bouamama se dirige vers Labiod Sidi Cheikh ; ce qui aide les insurgés au cours de cette période à couper les fils du télégraphe reliant Frenda à El Bayadh et à attaquer les centres de la société franco-algérienne des alliés (?), tuant de nombreux employés espagnols de cette société, ce qui amène les autorités françaises à prendre certaines mesures pour protéger leurs intérêts, notamment en rassemblant quatre colonnes :

  • la compagnie de Ras El Ma confiée au colonel Janine ;
  • la compagnie Békhither sous le commandement du colonel Zouini ;
  • la compagnie de Tiaret confiée au colonel Brounoussiart ;
  • la compagnie d’El Bayadh dirigée par le colonel Tadieu puis par le colonel Négrier.

Les autorités françaises engagent des mouvements rapides consistant à envoyer des troupes vers le sud ouest de l'Algérie en vue d’encercler l’insurrection, pour ensuite se propager dans la région et étendre son influence sur tous les ksours de l’ouest oranais.

Le colonel Négrier est chargé de rétablir l'ordre. Le 15 août 1881 il fait bombarder le mausolée de Sidi Cheikh et profane sa tombe. Des exécutions sommaires ont lieu sur les populations isolées des plaines et collines dans la région d’El Bayadh ou de Chellala Dahrania.

Entre septembre et octobre 1881, les troupes françaises commandées par le général Coligneau et le général Louis sont attaquées près de Aïn Sefra.

Le général Louis fait détruire les deux ksours que possède Cheikh Bouamama, à savoir le ksar supérieur de Meghrar et le ksar inférieur de Meghrar ainsi que la zaouia de Cheikh Bouamama.

Pendant cette période, Cheikh Si Slimane Benhamza, chef des Ouled Sidi Cheikh el ghraba (ceux de l’ouest) se rallie à la révolte de Bouamama, à la tête de trois cents cavaliers. Il se dirige avec ses troupes vers le nord ouest de Ain Sefra et de là vers la région des Bekakra afin de faire pression sur les tribus insurgées.

Compte tenu de l’accroissement numérique des troupes coloniales qui reçoivent des renforts de toutes les régions, la pression s’accroît sur Cheikh Bouamama qui est contraint de se retirer en direction de la région de Figuig au Maroc, où son activité diminue et ses partisans se dispersent.

Certains parmi eux rejoignent Si Kaddour Benhamza, chef des Ouled Sidi Cheikh chraga (ceux de l’est), tandis que d’autres rejoignent les rangs de Cheikh Si Slimane Benhamza, chef des Ouled Sidi Cheikh el ghraba (ceux de l’ouest) ; le reste des combattants s’établit à Figuig et ses environs.

Le 16 avril 1882, les troupes d’occupation pourchassent Cheikh Bouamama sur le sol marocain mais il réagit par une contre-attaque sur le chott de Tighri qui occasionne des pertes humaines considérables.

Deuxième étape

En juillet 1883, Cheikh Bouamama s'établit dans son village natal, El-Hammam El-Fougani, près de Figuig, afin d’entreprendre la réorganisation de ses troupes.

Inquiètes de cette activité intense, les autorités coloniales adressent un télégramme signé par le général Soucié, chef du 19e bataillon, au gouvernement de Paris, l’appelant à exercer des pressions sur le Sultan du Maroc afin qu’il chasse Cheikh Bouamama du territoire marocain car il constitue un danger pour les intérêts de la France dans la région[réf. nécessaire].

Cheik Bouamama doit quitter la région vers la fin de l’année 1883 pour se réfugier dans le Touat et demander la protection des habitants de l’oasis de Deldoul. Il y demeure jusqu’en 1894 et fonde une zaouïa où il entreprend de dispenser un enseignement religieux afin de poursuivre son combat et stopper l’expansion française dans le sud ouest[réf. nécessaire]. Il adresse des messages à l’ensemble des chefs des tribus sahariennes, notamment les touaregs qui lui proposent de venir s’installer chez eux afin de pouvoir s’entraider dans la lutte. D’autre part, certaines tribus[Qui ?] installées aux frontières algéro-marocaines se rallient à lui.

Les autorités françaises tentent d’étouffer la révolte et d'en limiter l'extension dans le sud par la création de centres commerciaux dans le territoire du Touat et de Tadikalt.

Troisième étape

Alors que Cheikh Bouamama a réussi à rallier de nombreux partisans et gagner la confiance des populations des régions sahariennes, les autorités coloniales tentent de le rallier à leur cause. Des contacts sont pris par le biais de la Délégation Française à Tanger en 1892 afin de négocier avec lui la question de l’aman (la paix négociée) mais ne débouchent sur aucun résultat.

Les rapports d’amitié qui existent entre Cheikh Bouamama et les autorités marocaines suscitent l’inquiétude des autorités françaises, notamment après qu’il a été reconnu comme chef des tribus des Ouled Sidi Cheikh ayant sous son autorité toutes les régions sahariennes. Les Français tentent une nouvelle fois de gagner son amitié afin de faciliter leur d’expansion et d’étendre leur influence sur les régions sahariennes. Pour cela, le gouverneur général Édouard Laferrière décide le 16 octobre 1899 d’accorder l’aman total sans conditions.

Au début du XXe siècle, Cheikh Bouamama revient au Maroc et s’installe dans la région d’Oujda.

Conséquences de la résistance de Cheikh Bouamama

  1. L’insurrection de Cheikh Bouamama constitue un défi important face à la politique de la IIIe République visant le parachèvement des opérations d’occupation totale de l’Algérie et du Sahara, et parvient à retarder et entraver les projets français dans le sud-ouest.
  2. La révolte de Cheikh Bouamama représente la phase finale de la résistance nationale contre le colonialisme français à travers les résistances populaires basées essentiellement sur la religion en tant que facteur mobilisateur des Algériens dans la lutte contre l’occupant.
  3. La révolte de Cheikh Bouamama est l’une des résistances populaires les plus violentes au cours du XIXe siècle après la résistance de l’Emir Abdelkader.
  4. La révolte de Cheikh Bouamama dévoile la faiblesse des Français face à la résistance, ce qui les amènent à rechercher des solutions politiques afin de mettre fin à la révolte en particulier après la deuxième étape 1883-1892, lorsque se pose la question de l’aman (trêve) recherchée par les autorités françaises auprès de Bouamama qui la rejette dans un premier temps à travers les correspondances et les pourparlers entrepris par la France.
  5. Les pertes humaines et matérielles sont parmi les conséquences les plus notables de la révolte.
  6. La révolte a accéléré l’achèvement des projets français de construction d'une voie ferrée dans la région reliant le nord au sud.
  7. Même si, en raison des entraves rencontrées et plus précisément les difficultés à unifier les deux branches des Ouled Sidi Cheikh ainsi que les pressions exercées par le sultan marocain Abd al-Aziz sur la révolte et son confinement aux frontières, la résistance de Cheikh Bouamama n’a pas pu réaliser son objectif qui était de chasser les Français de la région, elle a cependant démontré ses capacités de résistance par le ralentissement momentané de l’expansion française dans cette région.

Cheikh Bouamama dans la culture populaire

Le film L'Épopée de Cheïkh Bouamama a été réalisé en 1984 par Benamar Bakhti, avec l'acteur Athmane Ariouat dans le rôle-titre[23]. Le Château de Bouamama est le nom donné à une formation rocheuse aux environs de Béchar.

Notes et références

  1. L'Algérie: histoire, société et culture, Hassan Remaoun, p. 215 livre en ligne
  2. « Biographie de Cheikh Bouamama », sur vitaminedz.com (consulté le ).
  3. F. Gourgeot, Situation politique de l'Algérie.
  4. L'Algérie belle et rebelle : de Jugurtha à novembre : poèmes, Boualem Bessaïh, Abdelaziz Bouteflika, Éditions ANEP, 2004, p. 100livre en ligne
  5. F. Gourgeot, L'odyssée d'une tribu saharienne : Les Djeramna (1881-1929), (lire en ligne), p. 28.
  6. Revue historique francophone Zamane, Adnan Sebti, article en ligne
  7. L'Afrique française: bulletin mensuel du Comité l'Afrique française et du Comité du Maroc, 1895, Page 22
  8. Krause, Peter, 1979-, Rebel power : why national movements compete, fight, and win (ISBN 978-1-5017-1267-8, 1-5017-1267-5 et 978-1-5017-1266-1, OCLC 961457756, lire en ligne).
  9. Sivers, Peter von, « Alms and Arms: The Combative Saintliness of the Awlad Sidi Shaykh in Algerian Sahara, Sixteenth to Nineteenth Centuries, Maghreb Review, 8 (5–6) », .
  10. Sivers, Peter von (2012), Algeria, Islamicus, (lire en ligne).
  11. Shillington, Kevin., Encyclopedia of African history, Fitzroy Dearborn, (ISBN 1-57958-245-1, 978-1-57958-245-6 et 1-57958-453-5, OCLC 56033052, lire en ligne).
  12. AHMED AGHROUT, « Algeria: Conquest and Resistance, 1831-1879 », dans Encyclopedia of African History (lire en ligne).
  13. L'Intérieur du Maghreb (XVe-XIXe siècle), Jacques Berque, p. 495livre en ligne
  14. L’Expédition Wimpffen à l'Oued Guir en 1870, par Michel Lihoreau, p. 69.
  15. « http://www.algerie-monde.com/dossiers-algerie/cheikh-bouamama.html »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  16. www, benisnassen et com, Lalla Maghnia, (lire en ligne)
  17. admin site arc, « Cheikh Bouamama », sur www.arcencieldz.org (consulté le )
  18. La Question du Sud-ouest, par Camille Sabatier, p. 70.
  19. L'Islam et les Musulmans en France, Mohammed Telhine (lire en ligne)
  20. Les Déportés maghrébins en Nouvelle-Calédonie et la culture du palmier, Mélica Ouennoughi, p. 103.
  21. La Question du Sud-ouest, Par Camille Sabatier, p. 70-71.
  22. De l'émir Abdelkader à l'imam Chamyl : le héros des Tchétchènes et du Caucase, par Boualem Bessaïh, p. 380.

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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