Aubière

Aubière (en occitan : Aubèira) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Aubière

Campus universitaire des Cézeaux.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
Sylvain Casildas
2020-2026
Code postal 63170
Code commune 63014
Démographie
Gentilé Aubiérois[1]
Population
municipale
10 745 hab. (2018 )
Densité 1 405 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 06″ nord, 3° 06′ 42″ est
Altitude Min. 343 m
Max. 467 m
Superficie 7,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-Ferrand
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Aubière
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Aubière
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Aubière
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Aubière
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Aubière
Liens
Site web ville-aubiere.fr

    Intégrée dans l'unité urbaine et l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, la ville, peuplée de 10 745 habitants en 2018, abrite notamment le campus des Cézeaux, un grand nombre d'équipements sportifs ainsi qu'une vaste zone commerciale.

    Géographie

    Localisation

    Aubière se situe dans l'agglomération sud de Clermont-Ferrand, au cœur du Puy-de-Dôme, à 3,7 km au sud-est du chef-lieu du département Clermont-Ferrand[2],[3].

    Elle jouxte les communes de Clermont-Ferrand, de Beaumont, de Romagnat, de Pérignat-lès-Sarliève et de Cournon-d'Auvergne[4].

    Géologie et relief

    La commune s'étend sur 768 hectares ; son altitude varie entre 343 et 467 mètres[5]. Cette altitude maximale correspond au sommet du Puy, où le chemin des Gravins franchit le col du Puy, au sud de la commune[4].

    Hydrographie

    L'Artière à 200 m de la place des Ramacles.

    La commune est traversée par l'Artière, affluent de l'Allier, un cours d'eau l'irriguant d'est en ouest.

    Néanmoins, cette rivière, qui coule en grande partie en souterrain, « partiellement canalisée[AUB 1] », peut entrer en crue à tout moment. La qualité de l'eau s'altère dès la confluence avec un de ses affluents, la Gazelle, provenant de Romagnat. Celle-ci est aussi due à l'urbanisation autour de la place des Ramacles et de la ZAC des Sauzes[AUB 1].

    Climat

    Relevés météorologiques de la station de Clermont-Ferrand (1981-2010, sauf ensoleillement 1991-2010)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,3 2,7 4,7 8,7 11,9 14 13,7 10,6 7,9 3,3 0,8 6,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,2 13,1 15,7 19,9 23,4 26,5 26,1 22,3 17,6 11,3 8 16,8
    Ensoleillement (h) 88,9 108,4 161,4 173,5 197,9 225,2 249,2 234,8 185,4 135,1 84 69,2 1 913
    Précipitations (mm) 26,7 21,8 25,8 53,4 76,8 72,9 54,9 61,9 65,6 49 39,5 30,6 578,9
    Source : Météo-France[6]

    Urbanisme

    Typologie

    Aubière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[10] et 268 696 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

    Aubière fait également partie du bassin de vie et de la zone d'emploi de Clermont-Ferrand[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (67,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (31,4 %), zones urbanisées (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), terres arables (11,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,7 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Morphologie urbaine

    Entrée sud d'Aubière.

    L'urbanisation est limitée au sud du centre-ville par le puy d'Aubière, espace naturel de 1,1 km2, et au nord par le plateau des Cézeaux[AUB 1].

    Celle-ci est plus importante dans la zone commerciale bordant les routes métropolitaines 2009 et 212.

    Toutefois, les entrées de ville sont peu attrayantes, notamment l'entrée sud de l'agglomération par l'avenue du Roussillon[AUB 1].

    Logement

    L'offre en petits logements est très concentrée sur le secteur d'Aubière[18].

    En 2013, la commune comptait 5 296 logements, contre 5 226 en 2008. Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 53,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 45 % des appartements[INS 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 51,4 %, soit autant qu'en 2008. La part de logements HLM loués vides était de 9,1 % (contre 6,8 %)[INS 2].

    Planification de l'aménagement

    Le plan local d'urbanisme (PLU) a été approuvé par délibération du conseil municipal du et révisé le [AUB 2].

    Depuis le , Clermont Auvergne Métropole est compétente en matière d'élaboration des plans locaux d'urbanisme. Les PLU des communes de la métropole sont valables jusqu'à l'approbation d'un plan local d'urbanisme métropolitain (PLUM) qui sera effectif en 2022[19].

    Réseau routier

    La ville d'Aubière est desservie par l'autoroute A75 reliant Clermont-Ferrand à Béziers, qui traverse l'est de son territoire. Deux échangeurs la desservent :

    • l'échangeur no 1, débouchant sur la route métropolitaine 765 (M 765) desservant le parc technologique de la Pardieu et sa zone commerciale, ainsi que Cournon-d'Auvergne et Billom ;
    • l'échangeur no 2, desservant le sud de l'agglomération, débouche sur un grand giratoire où partent les routes métropolitaines 2009 (l'ancienne route nationale 9) par l'avenue du Roussillon, et 978 (desservant Pérignat-lès-Sarliève), ainsi que la route départementale 2089 (en direction de Bordeaux, La Bourboule, Mont-Dore, Romagnat et Beaumont).

    La route métropolitaine (M) 2009, ancienne route nationale 9, traverse l'agglomération clermontoise du nord au sud. Elle passe sur le territoire de la commune comme un axe urbain à deux fois deux voies, nommée avenue du Roussillon, et desservant la zone commerciale Plein Sud. Après l'échangeur de Pérignat-lès-Sarliève, elle se raccorde à l'autoroute. À hauteur du Pont d'Aubière, la M 2099 se raccorde au centre de Clermont-Ferrand, en longeant la frontière communale[4] et croise la ligne de tramway à la station Margeride.

    C'est dans cette commune que débute la M 212, desservant la zone commerciale et industrielle des Ribes, nommée avenue de Cournon (appelée localement « kilomètre lancé »[réf. souhaitée]). La M 765, ou avenue Ernest-Cristal, longe la frontière administrative avec Clermont-Ferrand en desservant le parc technologique de la Pardieu et d'autres zones commerciales.

    Autour du centre-ville, la M 21 relie la zone commerciale Plein Sud à Romagnat. Le territoire communal est également desservi par les routes métropolitaines 69a (rue Pasteur), 777 (vers Beaumont), 779b et 805 (avenue Jean-Noëllet)[4].

    La commune a instauré une zone de rencontre dans le centre historique en [20].

    Néanmoins, les entrées d'agglomération sont saturées, car fréquentées par des usagers se rendant à leur travail ou dans une zone commerciale[AUB 1].

    Aménagements cyclables

    Les aménagements cyclables sont rares, comme sur l'avenue de la Margeride[AUB 1] (route métropolitaine 2099), ou autour du parc de l'Europe[AUB 1].

    Transport ferroviaire

    Les gares les plus proches sont situées sur la commune limitrophe de Clermont-Ferrand : la gare principale, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes et grandes lignes vers Paris, ainsi que la gare de Clermont-La Pardieu (pour la desserte régionale, essentiellement vers le sud de l'Auvergne).

    Transports en commun

    La commune est desservie par le tramway, ainsi que des bus du réseau T2C.

    Depuis le , la commune d'Aubière est desservie par trois arrêts du tramway (Cézeaux Pellez, Campus et Margeride), exploité par T2C, afin de desservir le campus des Cézeaux. En outre, elle est desservie par quatre lignes de bus.

    La ligne 3 relie le nord de Clermont-Ferrand (stade Gabriel-Montpied ou quartier des Vignes) à la place des Ramacles et à Romagnat. Venant du centre-ville de Clermont-Ferrand, cette ligne plonge vers le sud après avoir traversé le quartier Saint-Jacques. Certaines courses sont prolongées à Romagnat. Cette ligne est la seule, avec le tramway, à circuler les dimanches et les jours fériés, les trois autres lignes suivantes ne circulant que du lundi au samedi.

    La ligne 12 relie la place Delille (arrêt Delille Montlosier) au quartier Chambon. Cette ligne dessert aussi le centre-ville et se termine au droit de la zone commerciale Plein Sud.

    La ligne 13, venant des hauts de Chamalières, dessert le quartier Chambon, terminus partiel (certains bus continuent, aux heures de pointe, jusqu'au terminus des Horts à Pérignat-lès-Sarliève).

    La ligne 21, venant de Cébazat, se termine au quartier Chambon ; certaines courses sont prolongées jusqu'à la zone commerciale du kilomètre lancé et la zone industrielle des Ribes.

    Risques naturels et technologiques

    Aubière est soumise aux risques naturels de feu de forêt, d'inondation, de mouvement de terrain, de phénomènes liés à l'atmosphère et météorologique, ainsi que de séisme, ainsi qu'aux risques technologiques de transport de matières dangereuses. Elle a élaboré un DICRIM[21].

    Le risque d'inondation (et de crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau) concerne le bassin de la rivière Artière. Un plan de prévention des risques naturels (PPRn) inondation sur le bassin de l'Artière, concernant cinq communes, a été prescrit par un arrêté du 27 décembre 1999 et approuvé le 6 mars 2002[22],[23]. Un PPRNPi étendu à l'agglomération clermontoise a été prescrit le 24 juillet 2014[21].

    La commune est également exposée au risque mouvement de terrain (par affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[22] ou par tassements différentiels[21]).

    Treize arrêtés de catastrophe naturelle ont également été reconnus, depuis les tempêtes de 1982 jusqu'aux inondations et coulées de boue survenues en 2000[21],[24].

    La commune est soumise au risque de transport de matières dangereuses, sur l'autoroute A75 et les axes structurants (avenue de Cournon, contournement sud, etc.)[24]. Il existe aussi des conduites de gaz naturel[22].

    Toponymie

    Les habitants de la commune sont appelés les Aubiérois et les Aubiéroises.

    La commune s'appelait Aubieres sous l'an II. Le Bulletin des lois modifie son nom : Aubière et Pérignat, nom proche de la municipalité de 1793 (Aubieres et Perrignat). Elle retrouve sa dénomination actuelle après la scission de Pérignat-lès-Sarliève en 1873[25].

    Histoire

    Les premières traces de la commune remontent au XIIe siècle, où elle se développa dans l'enceinte du château[AUB 1]. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, Aubière abritait une forte activité viticole qui a cessé à la suite de l'épidémie de phylloxéra. Témoins de cette activité, la plupart des maisons du bourg sont pourvues d'un cuvage, et de nombreuses caves construites sur les flancs nord et sud de la vallée de l'Artière qui traverse le bourg. Il ne reste aujourd'hui qu'un seul viticulteur installé sur la commune d'Aubière.

    La particularité de ces caves est qu'elles sont construites en hauteur, en raison de la présence d'une nappe phréatique causant une trop forte humidité en sous-sol. Une légende urbaine veut donc, que l'on parle alors de « monter à la cave » plutôt que de « descendre à la cave ».

    Le Musée de la vigne et du vin conserve les outils traditionnels utilisés pour la viticulture et des documents d'archives. La portée de ce musée ne se limite pas à la commune d'Aubière, mais s'étend aux vins d'Auvergne.

    L'expansion urbaine se confirme dans les années 1960 ; dans les années 1970 sont construits les premiers bâtiments du campus des Cézeaux et les zones commerciales en bordure de la nationale 9[AUB 1].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Aubière est membre de la métropole Clermont Auvergne Métropole[15], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le (en tant que communauté d'agglomération Clermont Communauté, devenue communauté urbaine le et métropole depuis le ) dont le siège est à Clermont-Ferrand. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].

    Sur le plan administratif, elle a d'abord été rattachée au district de Clermont-Ferrand en 1793, devenu l'arrondissement de Clermont-Ferrand en 1801[25], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[15]. Elle était membre du canton d'Aubieres sous l'an II puis en 1801 du canton de Clermont-Ferrand-Sud ; elle redevient chef-lieu de canton[25] par un décret de 1982.

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubière pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal d'Aubière, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[28], pour un mandat de six ans renouvelable[29]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 33[30]. Les trente-trois conseillers municipaux sont élus au second tour avec un taux de participation de 50,25 %[31], se répartissant en : vingt-cinq élus issus de la liste de Sylvain Casildas et huit élus issus de la liste de Florent Guitton[31].

    Les trois sièges attribués à la commune au sein du conseil métropolitain de Clermont Auvergne Métropole sont répartis comme suit : deux élus issus de la liste de Sylvain Casildas et un élu issu de la liste de Florent Guitton[31].

    Le conseil municipal, réuni le pour élire le nouveau maire, Sylvain Casildas, a désigné sept adjoints[32].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1812 Guillaume Girard - Notaire
    1812 1827 Louis Voiret - Médecin
    1827 1848 Jean Foulhouze - Notaire
    1848 1854 Michel Noëllet dit Lacourtière - Agriculteur
    1854 1855 François Casière - Agriculteur
    1855 1867 Pierre Henri Daumas-Foulhouze - Notaire
    1867 1870 Martin Gioux-Chatagnier - Agriculteur
    1870 1874 Michel Roche-Chaduc - Agriculteur
    1874 1876 François Cassière-Noëllet - Agriculteur
    1876 1896 Michel Roche-Chaduc - Agriculteur
    1896 1900 Michel Bourcheix - Agriculteur
    1900 1912 Francisque Noellet-Roche - Agriculteur
    1912 1929 Jean Noellet-Degironde - -
    1929 1935 Jean Carsac - -
    1935   Eugène Martin - -
    1947 1965 Ernest Cristal - -
    Georges Digue PS puis DVG Médecin
    Jean Drouin   Imprimeur
    Hubert Tarrérias UDF puis UMP Pharmacien
    Christian Sinsard[33] PCF puis DVG Cadre de la Sécurité sociale
    En cours
    (au )
    Sylvain Casildas[32] DVD 14e vice-président de Clermont Auvergne Métropole chargé des zones d'activités économiques (depuis 2020)[34]

    Élections nationales

    Aux élections élections présidentielles de 2002, le président sortant Jacques Chirac (UMP) a recueilli 88,95 % des suffrages exprimés, contre 11,05 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) ; au premier tour, Lionel Jospin (PS) arrivait en deuxième position avec 18,77 % des voix (Chirac atteignait alors 20,23 %)[MIN 1]. En 2007, c'est Ségolène Royal (PS) qui obtient le plus de voix dans la commune (53,03 %) alors que Nicolas Sarkozy remportait l'élection au niveau national (au premier tour, François Bayrou recueillait même 23,97 % des suffrages)[MIN 2]. En 2012, François Hollande recueille 59,86 % des suffrages[MIN 3]. Le taux de participation dépasse 80 % pour ces trois élections au second tour (respectivement 80,77 %[MIN 1], 84,75 %[MIN 2] et 80,91 %[MIN 3]).

    Aux élections législatives de 2002, dans la 2e circonscription du Puy-de-Dôme, le député Alain Néri a recueilli 52,67 % des suffrages exprimés[MIN 4]  celui-ci est élu dans la circonscription[MIN 5]  ; Paul Suss est battu avec 47,33 % des voix. En 2007, Alain Néri est réélu avec 57,42 % des voix[MIN 6], y compris dans la circonscription[MIN 7]. Le redécoupage des circonscriptions législatives de 2010 affecte la commune qui se retrouve dans la 4e circonscription : Jean-Paul Bacquet recueille 42,69 % des suffrages exprimés[MIN 8] et est élu au premier tour en 2012[MIN 9]. Les taux de participation sont globalement moyens (respectivement 61,85 %[MIN 4], 60,36 %[MIN 6] et 56,57 %[MIN 8]).

    Aux élections européennes de 2004, Catherine Guy-Quint recueillait 35,97 % des voix et Brice Hortefeux 21,38 %[MIN 10]. En 2009, Jean-Pierre Audy obtient 26,80 % et Henri Weber 20,33 %[MIN 11]. En 2014, la liste UMP menée par Brice Hortefeux a recueilli 22,54 % des voix, suivie par la liste UG avec 16,24 %, puis la liste FN avec 14,49 %[MIN 12]. Le taux de participation est inférieur à 50 % pour les 3 élections (47,75 % en 2004[MIN 10], 42,23 % en 2009[MIN 11] et 45,95 % en 2014[MIN 12]).

    Élections locales

    Aux élections régionales de 2004, Pierre-Joël Bonté a recueilli 54,25 % des suffrages exprimés tandis que le président sortant Valéry Giscard d'Estaing n'obtient que 45,75 % des voix ; le premier est élu ; le taux de participation s'élevait à 68,94 %[MIN 13]. En 2010, René Souchon obtient 63,12 % des voix (il est élu dans la région), mais seulement 52,15 % des électeurs ont voté[MIN 14]. En décembre 2015, les listes de Laurent Wauquiez et de Jean-Jack Queyranne sont arrivées à égalité avec 43,91 % des suffrages exprimés chacune ; 61,85 % des électeurs ont voté[MIN 15].

    Aux élections cantonales de 2008 : Laurence Mioche obtient 52,20 % des voix[MIN 16]  elle est élue dans le canton[MIN 17]  et Hubert Tarrérias 47,80 % ; 66,15 % des électeurs ont voté[MIN 16]. Ces élections deviennent départementales où en 2015, le binôme Pierre Riol - Éléonore Szczepaniak a recueilli 51,20 % des voix[MIN 18], élu dans le canton[MIN 19]. 51,28 % des électeurs ont voté[MIN 18], taux légèrement supérieur à la moyenne du canton[MIN 19].

    Aux élections municipales de 2008, Christian Sinsard, de la liste « La gauche unie »[MIN 20],[Note 3], sort vainqueur d'une triangulaire avec 49,22 % des suffrages exprimés et 22 sièges gagnés au conseil municipal[MIN 21]. Pierre-Jean Bargnoux (« Pour Aubière aujourd'hui »[MIN 20]) et Jérôme Girard-Liovingut (liste « Un seul parti pris Aubier »[MIN 20]) sont battus avec respectivement 6 et 1 sièges[MIN 21]. 63,80 % des électeurs ont voté[MIN 21]. En 2014, Christian Sinsard (liste « Aubière, un bilan, un projet, une équipe »[MIN 22]) est réélu au second tour avec 43,42 % des voix et 21 sièges[MIN 23] ; Sylvan Casildas (UMP, « Ensemble pour l'avenir d'Aubière »[MIN 22]) et Nicole Lozano (DVG, « Nouvelle donne pour Aubière »[MIN 22]) sont battus (respectivement 6 et 2 sièges[MIN 23]). 64,43 % des électeurs ont voté[MIN 23]. Un nouveau maire est élu en 2020.

    Jumelages

    Au , il existe trois projets de coopération décentralisée avec Aubière[35].

    Elle est jumelée avec Grevenmacher (Luxembourg), depuis 1980[AUB 3], et Sperlonga (Italie) depuis 1987, dans la thématique de la culture, du tourisme et du patrimoine.

    Par ailleurs, elle mène des actions de coopération décentralisée dans le domaine de l'éducation, de l'enseignement et de la formation avec Rollo (Burkina Faso) depuis 2009.

    Équipements et services publics

    Eau, assainissement et déchets

    Les compétences « assainissement collectif »[36] et « assainissement non collectif »[37] sont assurées par Clermont Auvergne Métropole sur le territoire communal.

    La gestion des déchets est assurée par la métropole. La déchèterie la plus proche est à Romagnat[AUB 4].

    Espaces publics

    Parc Franck-Bayle.

    Depuis 2009, la commune d'Aubière a amélioré les pratiques d'entretien des espaces verts, en acquérant du matériel électrique pour réduire la pollution, des broyeurs de végétaux, ou encore des fleurs moins consommatrices d'eau et d'une durée de vie plus élevée par rapport à des fleurs traditionnelles[AUB 1].

    En , la commune a initié un Agenda 21[AUB 1].

    Enseignement

    Aubière dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère les deux écoles maternelle et élémentaire publiques Beaudonnat et Vercingétorix[38].

    Le conseil départemental du Puy-de-Dôme gère de son côté le collège public Joliot-Curie[38]. Tous les élèves sont scolarisés par défaut dans ce collège, conformément à la carte scolaire en vigueur dans le département, à l'exception des habitants du quartier du Mirondet fréquentant le collège de Beaumont[39].

    Le groupe scolaire Saint-Joseph, composé de l'école élémentaire et du collège, est un établissement d’enseignement privé[38].

    Les lycéens se rendent à Clermont-Ferrand, au lycée Jeanne-d'Arc ou à lycée Blaise-Pascal pour les filières générales. Les premières et terminales STI2D sont scolarisés aux lycées Lafayette ou Roger-Claustres à Clermont-Ferrand et les STMG au lycée Sidoine-Apollinaire[40].

    Le campus des Cézeaux abrite plusieurs composantes de l'université Blaise-Pascal, dont l'unité de formation et de recherche (UFR) Sciences et Technologies (ST), comptant 4 313 étudiants en 2014-2015[41], Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS, 1 149 étudiants[41])[42], l'institut français de mécanique avancée (IFMA) ou l'institut supérieur d'informatique, de modélisation et de leurs applications (ISIMA) ; l'institut universitaire de technologie de Clermont-Ferrand dépendant de l'université d'Auvergne.

    Santé

    L'hôpital le plus proche est le CHU Gabriel-Montpied, dans le quartier Saint-Jacques, au sud de Clermont-Ferrand, non loin d'Aubière.

    Justice, sécurité, secours et défense

    Aubière dépend du conseil de prud'hommes, des tribunaux judiciaire, de commerce, paritaire des baux ruraux et pour enfants de Clermont-Ferrand, de la cour d'appel de Riom et de la cour d'assises du Puy-de-Dôme[43].

    Population et société

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

    En 2018, la commune comptait 10 745 habitants[Note 4], en augmentation de 10,58 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +2,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Néanmoins, en 2006, Aubière comptait 10 065 habitants et bénéficiait d'une enquête par sondage. La population 2012 étant passée sous les 10 000 habitants, le décret no 2015-379 du place Aubière avec les communes recensées en 2007[46].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4912 9483 1063 4873 5133 7533 7753 5823 780
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 8393 9553 9203 7673 2603 3523 2893 2653 248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0322 8602 8613 2683 4063 4743 4334 0634 725
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6 8207 8449 1908 6749 1069 89810 06510 0849 536
    2017 2018 - - - - - - -
    10 06110 745-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les ménages

    La commune comptait, en 2013, 4 780 ménages totalisant 9 002 habitants. 47,6 % des ménages ne comptent qu'une personne. Cette part est en hausse par rapport à 2008[INS 3].

    Parmi les 2 418 ménages avec famille, 37,2 % étaient des couples avec enfants, 12,2 % des familles monoparentales et 50,6 % des couples sans enfant[INS 4].

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à soixante ans (23,4 %)[INS 5] est en effet inférieur au taux national (24 %) et au taux départemental (26,2 %). Celui d'un âge inférieur à trente ans (42,3 %) est supérieur aux taux national et départemental (respectivement 36,5 % et 34,5 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Toutefois, le taux (50,7 %), est inférieur au taux national (51,6 %).

    Pyramides des âges en 2013 en pourcentage
    Commune d'Aubière[INS 6]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ans ou +
    1,3 
    6,2 
    75 à 89 ans
    9,8 
    14,3 
    60 à 74 ans
    14,6 
    17,2 
    45 à 59 ans
    20,8 
    15,4 
    30 à 44 ans
    15 
    33,9 
    15 à 29 ans
    26,2 
    12,3 
    0 à 14 ans
    12,3 
    Département du Puy-de-Dôme[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,5 
    7 
    75 à 89 ans
    10,6 
    16 
    60 à 74 ans
    16,6 
    20,8 
    45 à 59 ans
    20,1 
    19,5 
    30 à 44 ans
    18,1 
    19 
    15 à 29 ans
    17,5 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,6 

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fête de la Rosière a lieu au printemps. C'est à cette occasion qu'est élue la rosière.
    • Chaque année en septembre (ou fin août comme en 2016), Aubière organise la Foire de la Saint-Loup. Il s'agit d'un grand vide-grenier[AUB 6].

    Sports

    Le stadium Jean-Pellez en janvier 2011 lors du Perche Élite Tour.

    Aubière compte un club de football aux couleurs jaune et bleu de la ville, qui joue et s'entraîne au stade Beaudonnat, ainsi qu'une Amicale laïque (basket, tennis, handball…) des associations de danse, un gymnase pour la pratique du judo/karaté, un club d'athlétisme.

    Depuis 2002, le stadium Jean-Pellez accueille des compétitions d'athlétisme.

    Médias

    Les kiosques proposent La Montagne (éditions de Clermont-Ferrand).

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 28 663 , ce qui plaçait Aubière au 18 330e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[49].

    Emploi

    En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 6 853 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,9 % d'actifs dont 55,7 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs[INS 7].

    On comptait 9 068 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 3 849, l'indicateur de concentration d'emploi est de 235,6 %, ce qui signifie que la commune offre plus de deux emplois par habitant actif[INS 8].

    Sur les 9 117 emplois, la commune compte plus d'employés (2 616, 26,7 %) que de cadres ou professions intellectuelles supérieures (2 544, 27,9 %) ou de professions intermédiaires (2 379, 26,1 %) ou encore d'ouvriers (1 262, 13,8 %)[INS 9].

    3 508 des 3 849 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 91,1 %) sont des salariés[INS 10]. Plus d'un quart des actifs (26,6 %) travaillent dans la commune de résidence[INS 11].

    Entreprises

    La commune abrite le siège social de seize grandes entreprises, réalisant plus de dix millions d'euros de chiffre d'affaires[50].

    Agriculture

    L'agriculture représente une part marginale dans l'économie de la commune. En 2013, elle ne comptait que trois agriculteurs exploitants (contre aucun en 2008)[INS 12] et douze emplois, soit 0,1 %[INS 12].

    Le recensement agricole de 2010 faisait état de sept exploitations agricoles, contre huit en 2000 et onze en 1988[51].

    La superficie agricole utilisée sur ces exploitations est de 69 hectares en 2010. Ces exploitations sont individuelles ; il n'existe aucun GAEC[51].

    On trouve sur le territoire de la commune de nombreux jardins potagers privés, toutefois la pression démographique et foncière voit peu à peu se réduire la superficie de ces terrains.

    Industrie

    L'industrie représente 619 emplois sur la commune (soit 6,8 %)[INS 13]

    Commerce et services

    Le commerce représente la majorité des emplois dans la commune : 5 712 emplois (62,7 %) en 2013[INS 13].

    La zone commerciale Plein Sud, à l'est du centre-ville, et bordée par les routes départementales 21 et 2009, comprend soixante boutiques, dont l'hypermarché Auchan[52].

    Au sud de ce centre commercial, un fast-food à l'enseigne Burger King est implanté depuis 2017, à côté de Auchan Drive. Son installation était sujette à polémique. Le chantier, dont le permis de construire a été déposé en 2012[53], a été arrêté en 2016 en raison de sa non-conformité au code de l'urbanisme, le maire invoquant les conditions de circulation autour du restaurant, notamment concernant le drive[54]. Il ouvre finalement au public le 5 décembre 2017[55].

    Tourisme

    Au , la commune comptait sept hôtels, totalisant 377 chambres : un hôtel trois étoiles, trois classés deux étoiles, deux classés une étoile et un autre non classé[INS 14].

    Il n'existe aucun camping[INS 15], résidence de tourisme, village vacances ou autre hébergement collectif dans la commune[INS 16].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monument

    Menhir de La Pardieu.
    • Le menhir du Pont d'Aubière, dressé allée Bourbaki, au lieu-dit des Sauzes, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques le [56].
    • Caves sur les coteaux dominant la ville. Elles ont été construites entre le XVIe siècle et la fin du XIXe et témoignent du passé viticole de la commune ; certaines sont encore utilisées pour l'affinage du fromage ou la conservation du vin. On dénombre environ 900 caves, accessibles par 180 entrées différentes[AUB 7].

    Personnalités liées à la commune

    • Christian Forestier (né à Aubière le 8 décembre 1944),ancien élève de l'école primaire Vercingétorix , président de l'université de Saint-Étienne, recteur des académies de Reims, Dijon, Créteil et Versailles, directeur des enseignements secondaires puis des enseignements supérieurs au ministère de l'Éducation nationale, directeur de cabinet de Jack Lang, administrateur général du CNAM, aujourd'hui président de la Fondation Santé des Étudiants de France et des ESPÉ de Versailles et Guyane et aussi président du comité d'organisation des concours « Un des meilleurs ouvriers de France ». Christian Forestier est commandeur de la Légion d'honneur et des palmes académiques. Il est le fils de Denise Geilhes née à Aubière (1922-1998) et de Auguste Forestier (1919-2015).
    • André Chassaigne (1950-), député de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme depuis 2002[57], a passé son enfance à Aubière.
    • Renaud Lavillenie, champion olympique de la perche et détenteur du record du monde à 6,16 m le , s'entraîne au stadium Jean-Pellez à Aubière.
    • Anna Livebardon (1910-2001), poétesse qui a reçu le Prix Auguste-Capdeville de l'Académie Française en 1982, est née à Aubière.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la fasce d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Au 1er tour des municipales de 2008, la liste de Christian Sinsard était de nuance communiste et s'appelait « Un souffle nouveau »[MIN 20]. Monique Guyot-Berini ayant été éliminée au 1er tour, la liste est renommée « La gauche unie », de nuance Union de la gauche[MIN 20].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Insee

    Dossier local établi par l'Insee :

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. FAM T1 – Ménages selon leur composition.
    4. FAM T3 – Composition des familles.
    5. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
    6. POP T3 – Population par sexe et âge en 2013.
    7. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    8. EMP T5 – Emploi et activité.
    9. EMP T7 – Emplois selon la catégorie socioprofessionnelle en 2013.
    10. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
    11. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    12. EMP T3 – Population de 15 à 64 ans selon la catégorie socioprofessionnelle.
    13. EMP T8 – Emplois selon le secteur d'activité.
    14. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
    15. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
    16. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .

    Ministère de l'Intérieur

    1. « Résultats de l'élection présidentielle de 2002 », (consulté le ).
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    6. « Résultats des élections législatives de 2007 » (consulté le ).
    7. « Résultats des élections législatives de 2007 - 2e circonscription du Puy-de-Dôme » (consulté le ).
    8. « Résultats des élections législatives de 2012 » (consulté le ).
    9. « Résultats des élections législatives de 2012 - 4e circonscription du Puy-de-Dôme » (consulté le ).
    10. « Résultats des élections européennes de 2004 ».
    11. « Résultats des élections européennes de 2009 ».
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    13. « Résultats des élections régionales de 2004 ».
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    19. « Résultats des élections départementales 2015 - canton d'Aubière », sur le site Élections (consulté le ).
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    Site de la mairie

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    2. « Plan Local d'Urbanisme » (consulté le ).
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    4. « Déchetterie » (consulté le ).
    5. « Les espaces verts » (consulté le ).
    6. « Foire de la Saint-Loup » (consulté le ).
    7. « Le site des caves » (consulté le ).

    Autres références

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    2. « Aubière », sur Lion 1906.
    3. « Orthodromie entre Aubière et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906.
    4. Carte d'Aubière sur Géoportail.
    5. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
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    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    54. Alexandre Chatenet, « Les travaux du Burger King à Aubière suspendus », sur La Montagne, (consulté le ).
    55. « Le Burger King d'Aubière est officiellement ouvert », sur La Montagne, (consulté le ).
    56. Notice no PA00091873, base Mérimée, ministère français de la Culture. Seul monument d'Aubière faisant l'objet d'une protection.
    57. « M. André Chassaigne », Assemblée nationale (consulté le ).
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