Culture de la Côte d'Ivoire

La Côte d'Ivoire possède une culture diversifiée, qui renvoie d'abord aux pratiques culturelles observables de ses 24 000 000 d'habitants (estimation 2018).

Le Palais de la culture. d'Abidjan, vu du Plateau.

Langues et peuples

Langues

La langue officielle est le français, dans sa variante français de Côte d'Ivoire. Mais les Ivoiriens sont généralement multilingues. Les langues locales les plus parlées sont : (langue mandingue) (70 %), sénoufo (langue gour), baoulé (langue akan), bété (langue krou/kru).

Population

Il existe plusieurs Groupes ethniques en Côte d'Ivoire dont les quatre plus importants sont :

Traditions

Religion(s)

Il existe quelques foyers de judaïsme (100 personnes ), de bouddhisme (10 000), de bahaïsme (1 000), de sikhisme (200 ?)[réf. nécessaire] et d'hindouisme en Côte d'Ivoire (en).

Symboles

Folklore et mythologie

Pratiques

Les pratiques sociales, rituels et événements festifs relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Fêtes

Vie sociale

Groupes humains

Famille

Noms

  • Anthroponymes akan (en)

Société

Arts de la table

Boissons

Dèguè (lait fermenté avec granulés de mil).
  • Jus de côcôta (du fruit côcôta ou encore Wenda au Burkina Faso)
  • Bissap (d'origine mandingue)
  • Gnamankoudji, jus de gingembre (d'origine mandingue)
  • Nyamanku (en), jus de gingembre
  • Dègué (d'origine mandingue)
  • Baka bouillie de riz (d'origine mandingue)
  • Bouillie de mil (d'origine mandingue)
  • Jus de baobab (d'origine sénégalaise)
  • Tomydji, infusion de tamarin
  • Akpè
  • Tchapalo, bière de maïs épicée
  • Kindjouss, jus de canne
  • Bandji ou vin de palme
  • Koutoukou (Bandji et jus d'ananas distillés)
  • Jus de passion, extrait du fruit de la passion
  • Groto (du jus fait sur du bois dans une boite)
  • jus de ronier(le fruit du ronier)

Activités physiques

De nombreuses disciplines sportives sont pratiquées dans le pays. Des possibilités diverses de pratique du golf existent avec les terrains de golf d’Abidjan, de Yamoussoukro et de San-Pédro qui offrent quatre parcours de 9 à 18 trous. Chaque année un open international doté du prix Félix Houphouët-Boigny est organisé et enregistre des participants de notoriété.

Les plans d’eau lagunaires et la mer offrent aussi de véritables possibilités sportives dont notamment la pêche sportive, la plongée et la chasse sous-marine, le surf, la voile, la planche à voile, le canoë-kayak ou encore le beach-volley. L’équitation ainsi que les sports mécaniques (rallye du Bandama, moto-cross) sont également pratiqués dans le pays. Le handball, le basket-ball, le volley-ball, le rugby, l'athlétisme et le tennis figurent parmi les disciplines sportives également pratiquées en Côte d’Ivoire.

Cependant, le football reste le sport roi en Côte d’Ivoire. Il attire de nombreuses foules et déchaîne des passions. Ce sport populaire jusque dans les contrées les plus profondes du pays est largement pratiqué. Chaque ville et même chaque quartier organise ses propres tournois de maracana (Il faut souligner au passage que la Côte d'Ivoire a une équipe nationale de Maracana qui a été championne à la Coupe d'Afrique des Nations de Maracana en 2012 et 2013). La Fédération ivoirienne de football organise et encadre la discipline dominée à l'échelon national par les équipes de l'Africa Sports National et l'ASEC Mimosas dans le temps. Mais depuis deux ans, le Séwé Sport de San Pédro règne sur le championnat national. De nombreux footballeurs évoluent hors du pays dans des formations sportives prestigieuses. Ils sont pour la plupart, sélectionnés dans l'équipe nationale  les Éléphants  lors des compétitions sportives internationales. Autrefois emmenés par des joueurs comme Ben Badi, Gadji Celi et Alain Gouaméné, les Éléphants connaissent également un franc succès avec la génération Didier Drogba qui a notamment été la première à avoir été qualifiée pour la Coupe du monde de football de la FIFA en 2006.

Jeux populaires

  • Divertissement en Côte d'Ivoire
  • Jeux en Côte d'Ivoire : Awalé, Yoté
  • Football, Basket-ball, Volley-ball
  • Plongée, pêche,
  • Athlétisme
  • Cyclisme

Sports

Arts martiaux

Médias

Le paysage médiatique est animé par les organes audiovisuels, la presse écrite, les organes de régulation de la profession, en l'occurrence la Commission nationale de la presse remplacée en 2004 par le conseil national de la presse (CNP) et le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) et un organe d'autorégulation : l'Observatoire de la liberté de la presse, l'éthique et de la déontologie (OLPED). Depuis 1991, les médias en Côte d’Ivoire sont régis par la loi[4],[5],[6]. La Radiodiffusion-Télévision ivoirienne (RTI) est l'organisme de diffusion radiophonique et audiovisuel de l'État ivoirien. Elle est financée par la redevance, la publicité et des subventions. Elle comporte trois chaînes de télévision et deux stations de radio : La Première, généraliste ; RTI 2, thématique consacrée au divertissement en majorité et émettant dans un rayon limité à 200 km autour d'Abidjan et la troisième chaîne RTI 3 (Février 2020) consacrée au sport et à la musique ; Radio Côte d'Ivoire, généraliste ; Fréquence 2, chaîne de divertissement ; Radio Jam, première radio privée du pays ; Africahit Music TV.

À la faveur de la libéralisation du paysage audiovisuel, la Côte d'Ivoire s'est enrichi de deux nouvelles chaînes de télévision privées NCI[7] et Life TV.

En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe la Côte d'Ivoire au 86e rang sur 180 pays[8]. À l'issue de crise politico-militaire, la liberté de la presse se porte mieux et on observe une véritable diversité, même s'il n'y a pas de réelle indépendance des médias à l’égard des partis et des hommes politiques[9].

Presse écrite

  • Principaux journaux ivoiriens

Des journaux de diverses audiences paraissent également principalement à Abidjan. Hormis les journaux du Groupe Fraternité Matin (Presse d'État, 25 000 exemplaires, quotidien), la quinzaine d'autres titres est détenue par des entreprises privées.

Radio

Télévision

Internet (.ci)

Littérature

Ancien avion présidentiel reconverti en bibliothèque à Abidjan.

La Côte d’Ivoire présente une littérature abondante, riche de sa diversité de style et de ses proverbes, soutenue par des infrastructures éditoriales relativement solides et des auteurs de différentes notoriétés. Les plus célèbres de ces auteurs sont Bernard Dadié, journaliste, conteur, dramaturge, romancier et poète qui domine la littérature ivoirienne dès les années trente, Aké Loba (L'Étudiant noir, 1960) et Ahmadou Kourouma (Les Soleils des indépendances, 1968) qui a obtenu le Prix du Livre Inter en 1998 pour son ouvrage devenu un grand classique du continent africain En attendant le vote des bêtes sauvages[10]. À ceux-ci s'ajoute une deuxième génération d'auteurs de plus en plus lus dont Véronique Tadjo, Tanella Boni, Isaie Biton Koulibaly, Maurice Bandaman, Camara Nangala...Une troisième génération se signale déjà avec des auteurs tels que Sylvain Kean Zoh (La voie de ma rue, 2002) et (Le printemps de la fleur fanée, 2009) ou Josué Guébo (L'or n'a jamais été un métal, 2009) et (Mon pays, ce soir, 2011).

Écrivains ivoiriens

Galerie

Prix littéraires

Artisanats

Les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

L'art ivoirien se caractérise par de nombreux objets usuels ou culturels (ustensiles, statues, masques…) réalisés dans diverses matières et dans diverses parties du pays par chacun des groupes culturels qui témoigne de son art de vivre par ses réalisations. Ainsi, des matériaux tels le bois ou le bronze, le raphia ou le rotin ou encore le bambou permettent la réalisation de vanneries, sculptures, meubles d’art, statues et masques.

Arts graphiques

Design

Textiles

Cuir

Papier

Bois

Statues et masques

Masque baoulé.

Les civilisations africaines, en particulier celle de la Côte d’Ivoire, ont toujours accordé la primauté à la fonction sur la forme. La beauté n’est jamais recherchée pour elle-même. Elle est atteinte lorsqu’il existe un accord fondamental entre la pensée religieuse et l’objet chargé de l’exprimer ou de la servir (ustensiles, statues, masques, etc.). Ce que les collectionneurs appellent « l’art africain », ce sont en fait des objets usuels ou culturels qui, désacralisés ou inutilisés aujourd’hui, sont vendus comme pièces de collections.

La principale différence entre statue et masque réside dans le fait que la première reste immobile pendant les cérémonies, tandis que le second participe à toutes les phases du rite puisque attaché autour du visage d’un participant, souvent un initié, dont l’incognito est préservé. La statuaire en pays Baoulé (avec le siège Baoulé du chef) et Sénoufo (représentant le premier couple) est la plus célèbre. Les masques Dans, Baoulés, Gouro, Guérés, Bétés… sont les plus côtés chez les connaisseurs.

Métal

Poterie, céramique, faïence

Verrerie d'art

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie

Espace

Arts visuels

Bande dessinée

Le neuvième art ivoirien est caractérisé par plusieurs genres : réaliste, semi-réaliste, humoristique, science-fiction, etc. L'humour est le plus prisé par les Ivoiriens. Les thèmes abordés par les auteurs ont trait à leur vécu quotidien. Les faits comme le chômage, le banditisme, la pauvreté, le système D (débrouillardise), l’infidélité sont traités sur un ton léger. Les auteurs qui animent cet univers culturel ivoirien sont nombreux : Gilbert G. Groud, Marguerite Abouet (scénariste), Benjamin Kouadio, Lassane Zohoré, Lacombe, Bertin Amanvi, Hilary Simplice, Kan Souffle, Jess Sah Bi, Atsin Désiré... Les personnages ivoiriens de bande dessinée sont Cauphy Gombo, John Koutoukou, Tommy Lapoasse, Zézé, Dago, Sergent Deutogo, Jo Bleck, Les sorcières, Petit Papou... Le journal satirique Gbich est pour beaucoup dans la vulgarisation de ce médium qu'est la bande dessinée en Côte d'Ivoire.

Peinture

Arts du spectacle

  • Conteurs ivoiriens
  • Humoristes ivoiriens

Musiques

Instruments de musique

Joueurs de balafon lors d'une fête.

Ils sont associés aux différentes formes de cultes. Les tam-tams, dont la base rythmique est souvent soutenue par des calebasses recouvertes de perles ou de cauris, sont les plus célèbres. Ils émettent un son grave et vibrant. Le balafon (ou Xylophone) particulièrement utilisé dans le Nord du pays, est aussi apprécié par les Baoulés, les Dans et les Guérés.

Musiques traditionnelles

Musiques modernes

Faya Flow est le plus grand concours de hip hop de Côte d'Ivoire. Il est organisé depuis 2005 par l’association Jeunesse Active de la Culture Hip hop (JACH, lu « jack »). Consacrant l’usage de la parole, du corps, et de la scène ; notamment à travers les chants et textes poétiques, la danse et la chorégraphie, ce concours révèle le potentiel artistique des talents en herbe qui sont par la suite récompensés et encouragés.

Danse(s)

Danseuses à Jacqueville lors du Festival des 3A (Alladian, Ahïzi et Akouri).

La plupart des danses ont des significations religieuses. La région de l’Ouest est une des plus riches de Côte d’Ivoire en ce qui concerne les danses traditionnelles. Environ 300 font partie des traditions. Parmi les plus connues : le temate de Facobly (hommage des jeunes filles aux esprits favorables à une abondante récolte de riz), la danse des échassiers de Gouessesso et Danane (imagination chorégraphique et adresse gymnique de jeunes gens masqués sur des échasses de m de haut), la danse Gouah (geste collectif de gratitude des jeunes initiés à l’adresse des Dieux bienfaisants Chez les Agni et les Abrons, chaque cérémonie donne l’occasion de se parer de bijoux, de lunettes et de colliers en or.

Théâtre

Le genre théâtral est dominé par le groupe panafricain Ki-Yi Mbock de Werewere Liking et de nombreux humoristes dont Digbeu Cravate, Zoumana, Adjé Daniel, Gbi de Fer, Jimmy Danger, Doh Kanon, Adrienne Koutouan, Marie Louise Asseu, Adama Dahico, Bamba Bakary et le duo Zongo et Tao qui, tous, se produisent à la fois dans les salles de spectacles, à la télévision et dans des films.

Sylvie Ndomé Ngilla fait un diagnostic positif pour tout le théâtre africain francophone dans son ouvrage Nouvelles dramaturgies africaines francophones du chaos (2014)[27].

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation

Cinéma

Depuis 2004, le numérique permet au cinéma ivoirien de réaliser des films comme Coupé-décalé de Fadiga de Milano, Le Bijou du sergent Digbeu[28] de Alex Kouassi, Signature de Alain Guikou, Un homme pour deux sœurs de Marie-Louise Asseu.

Pour la seconde fois en 30 ans, un film ivoirien, Run, est présenté au festival de Cannes 2014 ; le ministre de la Culture et celui de la Communication assistent à la première projection du film, le 17 mai[29].

Autres

Patrimoine

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 15 janvier 2016).

Musées et autres institutions

Liste du Patrimoine mondial

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12 janvier 2016) : Liste du patrimoine mondial en Côte d'Ivoire.

Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité une liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en Côte d'Ivoire :

  • 2008 : le Gbofe d’Afounkaha, la musique des trompes traversières de la communauté Tagbana[30],
  • 2012 : les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Mali, du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire[31],
  • 2017 : le Zaouli, musique et danse populaires des communautés gouro de Côte d'Ivoire[32].

Notes et références

  1. « Un droit fondamental : la liberté d'expression et ses limites », sur La Dépêche d'Abidjan (consulté le ).
  2. « Tout ce qu’il faut savoir sur les droits humains en Côte d'Ivoire », sur Amnesty.org (consulté le ).
  3. (en) « Framework adopted by Ghana police set to improve relationship with the media - IFEX », sur IFEX, (consulté le ).
  4. Loi no 91-1033 du portant régime juridique de la presse, Journal Officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  5. loi no 91-1034 du portant statut des journalistes professionnels, Journal officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  6. loi no 91-1001 du fixant le régime de la communication audiovisuelle, Journal Officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  7. www.nci.ci
  8. Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 .
  9. Reporters sans frontières : Côte d'Ivoire.
  10. Littérature africaine
  11. http://www.africa24tv.com/fr/cote-divoire-lindustrie-de-la-mode-impacte-faiblement-leconomie
  12. « Top10 de la Mode Ivoirienne », sur Facebook.com (consulté le ).
  13. http://news.abidjan.net/v/7294.html
  14. http://www.memoiredafrique.com/fr/index.php
  15. L’Haridon, Nolwenn; Polet, Jean, « Les statuettes funéraires en terre cuite de la Côte de l’Or témoign... », sur Revues.org, Journal des africanistes, Société des africanistes, (ISBN 2-908948-19-2, ISSN 0399-0346, consulté le ), p. 65–86.
  16. http://www.somogy.fr/livre/terres-cuites-africaines?ean=9782757204061
  17. http://www.african-concept.com/artisanat-d-afrique.html
  18. http://www.barbier-mueller.ch/IMG/pdf/dossier_presse_terres_cuites.pdf
  19. https://oukassa-w-3tto.squarespace.com/lorfverie/
  20. http://afrikhepri.org/38044-2/
  21. « Histoires de perles », sur Afrik.com, (consulté le ).
  22. Jean Serjanian, « Aboudia, espoir de la peinture ivoirienne », sur Francetvinfo.fr, Franceinfo, (consulté le ).
  23. « Peinture : l’Ivoirien Ouattara Watts, au-delà de Basquiat – Jeune Afrique », Jeune Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
  24. http://www.cameroun-plus.com/file/index.php?p_nid=62821
  25. http://abidjan.net/QUI/categorie.asp?id=40
  26. « La musique traditionnelle en Côte d’Ivoire », sur Music In Africa, (consulté le ).
  27. http://conservancy.umn.edu/bitstream/handle/11299/171460/NdomeNgilla_umn_0130E_15693.pdf;sequence=1
  28. Marcel Appena, « Actualités-culture, Digbeu Cravate, acteur principal du film Le Bijou du sergent Digbeu : Nous tirons à boulets rouges sur les policiers… », sur Le matin d'Abidjan.com, (consulté le )
  29. « La Côte d'Ivoire revient au festival de Cannes », Le Figaro, encart « Culture », , p. 35.
  30. « UNESCO - Le Gbofe d’Afounkaha, la musique des trompes traversières de la communauté Tagbana », sur Unesco.org (consulté le ).
  31. « UNESCO - Les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Mali, du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire », sur Unesco.org (consulté le ).
  32. « UNESCO - Le Zaouli, musique et danse populaires des communautés gouro de Côte d'Ivoire », sur Unesco.org (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

  • Philippe Delanne (dir.) et Viviane Froger-Fortaillier (photos), Ivoiriennes aujourd'hui, Sépia, Paris, 192 p. (ISBN 978-2842801243)
  • Philippe Delanne (dir.) et Viviane Froger-Fortaillier (photos) Arts au féminin en Côte d'Ivoire, Le Cherche Midi, Paris, 2009, 262 p. (ISBN 978-2-7491-1527-6)
  • Bohumil Théophile Holas, Industries et cultures en Côte d'Ivoire, Centre des sciences humaines, Abidjan, 1965, 117 p.
  • B. Holas, Arts traditionnels de la Côte d'Ivoire, CEDA, 1967, 160 p.
  • Aka Martin Kouadio, Masques et parures : études sur le corps orné en Côte d'Ivoire, Université d'Aix-Marseille, Aix-en-Provence, 1994, 2 vol., 324 p. + 198 p. (thèse de doctorat de lettres)
  • Ramsès L. Boa Thiémélé, L'Ivoirité entre culture et politique, L'Harmattan, Paris, 2003, 263 p. (ISBN 2-7475-3618-1)

Filmographie

  • La Fête de l'igname à Adahou : Côte d'Ivoire, film documentaire d'Idriss Diabate, ministère de la Coopération, CCF, Rennes Saint-Jacques, 1994, 19 min (VHS)

Liens externes

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