Veyre-Monton

Veyre-Monton (Vaira e Monton en occitan[1]) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Pour les articles homonymes, voir Veyre.

Veyre-Monton

Vue générale de la ville au premier plan.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Communauté de communes Mond'Arverne Communauté
(siège)
Maire
Mandat
Gilles Pétel
2020-2026
Code postal 63960
Code commune 63455
Démographie
Population
municipale
3 566 hab. (2018 )
Densité 294 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 40″ nord, 3° 09′ 30″ est
Altitude Min. 347 m
Max. 621 m
Superficie 12,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Veyre-Monton
(ville-centre)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Martres-de-Veyre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Veyre-Monton
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Veyre-Monton
Géolocalisation sur la carte : France
Veyre-Monton
Géolocalisation sur la carte : France
Veyre-Monton
Liens
Site web mairie-veyremonton.fr
    Canon prussien sur le puy de la Vierge, à Monton.

    La ville dispose de nombreux commerces et équipements scolaires et sportifs, dont un supermarché, une boulangerie, une amicale laïque, avec des activités pour enfants (gymnastique, cirque, danse ou hip-hop), une école maternelle et élémentaire, un stade avec un parc, un gymnase, des lieux touristiques (comme les grottes de Monton ou la Vierge de Monton).

    La commune se compose de trois parties distinctes :

    • Veyre : en contrebas du puy de Monton, Veyre est surtout composé de lotissements, de maisonnettes et de petits commerces ;
    • Monton : situé sur le puy de Monton, au pied de la Vierge, le centre historique du village se compose d'anciennes maisons, petites impasses et rues. On y trouve la mairie, une bibliothèque, l'école, ainsi que l'église, la Vierge et le cimetière.
    • Soulasse : situé sur le puy de Corent, c'est un ancien village vigneron qui dispose actuellement d'une salle des fêtes et d'une église.

    Géographie

    Localisation

    Veyre-Monton se situe dans l'ancienne région Auvergne (Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2016), dans le Puy-de-Dôme, à 13,5 kilomètres au sud de Clermont-Ferrand[2], à 6,6 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Vic-le-Comte[3] et à deux kilomètres au sud-est du bureau centralisateur du nouveau canton auquel est rattachée la commune, Les Martres-de-Veyre[4].

    Six communes sont limitrophes[5] :

    Communes limitrophes de Veyre-Monton
    Le Crest Orcet Les Martres-de-Veyre
    Tallende
    La Sauvetat Corent

    La commune est composée de trois villages : Monton (à l'ouest), Soulasse (au sud-est) et Veyre[VMP 1].

    Elle a également été le siège de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté jusqu'en 2016, laquelle a fusionné avec les communautés de communes des Cheires et Allier Comté Communauté à la suite de l'adoption du schéma départemental de coopération intercommunale en [6]. Ces trois structures intercommunales du sud de l'agglomération clermontoise, membres du pôle d'équilibre territorial et rural du pays du Grand Clermont, rassemblent une population de plus de 40 000 habitants, dont Veyre-Monton est l'une des villes principales se situant dans l'espace périurbain[VMP 2].

    Géologie

    La commune est constituée de quatre grandes formations géologiques. Le territoire communal repose en grande partie sur des formations d'argile sableuse et kaolinique[VMP 3].

    Le puy de Monton repose sur une formation volcanique particulière ; le neck « correspond à un fragment de coulées boueuses en provenance des Monts Dore » ; le site du puy de Marmant a servi comme carrière pour les constructions, jusqu'en 1985. Le plateau de Corent est issu d'une formation basaltique[VMP 3].

    Relief

    La commune s'étend sur 1 211 hectares ; son altitude varie entre 347 mètres (selon l'IGN[7]) ou 351 mètres, « au niveau de la vallée de la Veyre[VMP 3] », et 621 mètres, au puy de Corent, au sud-est de la commune, près du village de Soulasse[VMP 3].

    Veyre-Monton est entourée de champs et de petites collines. L'esplanade en haut du puy de Monton offre une vue étendue sur le puy de Sancy, la chaîne des Puys, Clermont-Ferrand et la plaine de la Limagne, ainsi que sur les monts du Forez.

    Elle se situe dans le val d'Allier, « dans une zone de buttes et plateaux, en rive gauche de l'Allier[VMP 3] ».

    Le puy de Monton est « limité au sud par une falaise en arc de cercle ». Celui de Marmant est « une ancienne cheminée volcanique dégagée par l'érosion », tandis que celui de Corent, à cheval avec une commune voisine, est « associé à une coulée basaltique ». Le puy de Tobize prolonge le village de Monton[VMP 3].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière de la Veyre, affluent rive gauche de l'Allier, « dans une vallée à fond plat, à pente très faible, facilitant ainsi un cours méandreux[VMP 3] ».

    La partie nord de la commune est traversée par le bassin versant de l'Auzon, coulant sur la commune limitrophe d'Orcet[VMP 3].

    Climat

    Les relevés météorologiques proviennent de la station la plus proche, à Aulnat, près de Clermont-Ferrand :

    Relevés météorologiques de la station de Clermont-Ferrand (1981-2010, sauf ensoleillement 1991-2010)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,3 2,7 4,7 8,7 11,9 14 13,7 10,6 7,9 3,3 0,8 6,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,2 13,1 15,7 19,9 23,4 26,5 26,1 22,3 17,6 11,3 8 16,8
    Ensoleillement (h) 88,9 108,4 161,4 173,5 197,9 225,2 249,2 234,8 185,4 135,1 84 69,2 1 913
    Précipitations (mm) 26,7 21,8 25,8 53,4 76,8 72,9 54,9 61,9 65,6 49 39,5 30,6 578,9
    Source : Météo-France[8]

    Voies de communication et transports

    La commune bénéficie d'une bonne accessibilité routière et se place en deuxième position de la communauté de communes en termes d'utilisation des transports en commun[VMP 4].

    Voies routières

    La D 978 vers Clermont-Ferrand (à gauche) et la D 8 vers les Martres-de-Veyre (à droite).

    La commune de Veyre-Monton est accessible par l'autoroute A75, par les sorties 5 (depuis Clermont-Ferrand) ou 6 (depuis Issoire), à l'ouest de la commune[VMP 4]. Cependant ces deux échangeurs se situent sur une commune limitrophe, respectivement au Crest et à la Sauvetat ; une aire de service porte son nom sur l'autoroute en direction d'Issoire, peu avant la sortie 6[5].

    En outre, elle est desservie par la route départementale 978, portion de la route nationale 9 historique, reliant le sud de l'agglomération clermontoise (Pérignat-lès-Sarliève, puis en dehors des limites de la métropole dont Le Cendre en est membre, Orcet), à La Sauvetat et à Champeix. Elle est aussi l'origine de la route départementale 225 menant aux Martres-de-Veyre et à Vic-le-Comte[5].

    La commune est également traversée par les routes départementales 8 (liaison des Martres-de-Veyre à Tallende), 74 (vers Saint-Sandoux), 753 (reliant le village de Soulasse aux Martres-de-Veyre), 786 (reliant le Crest à Corent par les villages de Monton et de Soulasse) et 787 (reliant Monton au lieu-dit des Quatre Routes, sur la RD 225)[5].

    La commune gère environ 28 kilomètres de voies. Les rues des villages de Monton et de Soulasse, étroites et sinueuses, ne favorisent pas la circulation des véhicules[VMP 4].

    Transport ferroviaire

    Aucune ligne ferroviaire ne traverse la commune. La gare la plus proche est située aux Martres-de-Veyre (à cinq minutes de Veyre-Monton), sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac, où circulent des TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant les gares de Clermont-Ferrand à Vic-le-Comte, voire Issoire, ou au-delà.

    Transports en commun

    La ville est desservie par trois lignes du réseau départemental Transdôme[VM 1] :

    Urbanisme

    Typologie

    Veyre-Monton est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Veyre-Monton, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[15] et 10 701 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), zones urbanisées (20,4 %), cultures permanentes (7,3 %), forêts (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Morphologie urbaine

    Autour des centres urbains, « de larges plaques urbaines se sont développées en tache d'huile », « dont le développement est contraint par les éléments physiques et naturels présents sur le territoire[VMP 1] ».

    Située dans la deuxième couronne de l'agglomération clermontoise, la commune subit « une forte pression urbaine depuis les années 1970[VMP 5] ».

    Les bourgs, anciens, présentent un urbanisme groupé, avec des voies étroites et des bâtiments à trois étages. À la fin du XXe siècle, l'urbanisation gagne les pentes, comme à Corent, ou créent un lien avec la commune voisine des Martres-de-Veyre[VMP 5].

    Veyre

    Traversée par la route de Clermont à Issoire, Veyre s'est « installée au niveau d'un franchissement de la rivière », depuis un pont du XIIIe siècle[VMP 5].

    Monton

    Le village de Monton, d'origine médiévale, est implanté au sud du puy du même nom. Il « correspond au site de l'ancien village ». Le village évolue au cours du XVIIIe siècle, avec le transfert du cimetière en 1703, le comblement des fossés, l'ouverture du fort du XVe siècle vers l'extérieur, la reconstruction de l'église en 1771, puis la construction du presbytère en 1868. Face à l'accroissement de l'urbanisation, le fort n'était plus visible ; le quartier a été remis en valeur à la suite d'un plan d'aménagement du bourg en 1998. En outre, la démolition de bâtiments a laissé place à des espaces publics, notamment de stationnement[VMP 5].

    Soulasse

    Au sud-est de la commune, cette ancienne seigneurie a été rattachée à Monton au XIVe siècle. Le village comprend une fontaine ; il s'est « développé de manière concentrique au départ de trois voies »[VMP 5].

    Hameaux isolés

    La commune compte plusieurs hameaux isolés :

    • Saint-Alyre, où l'existence d'une église est attestée depuis le Xe siècle. Son occupation est très ancienne, aussi le site doit être préservé notamment « pour des raisons historiques »[VMP 5] ;
    • Pont Henry, à proximité d'un échangeur routier, sur l'ancienne route de Clermont à Issoire, existant depuis le XVIIIe siècle[VMP 5].

    Logement

    Avec l'augmentation de la population (et du nombre de ménages), de nouveaux logements ont été construits sur la commune. Entre 1968 et 1999, le nombre de logements a triplé et concerne en majorité des résidences principales (1 353 contre 443). En revanche, le nombre de résidences secondaires chute[VMP 6].

    En 2012, le parc de logements de la commune est déséquilibré : sur les 1 574 logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[a 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,9 %, en baisse par rapport à 2007 (89,3 %). La part de logements HLM loués vides était de 1,4 % (contre 0,3 %)[a 2].

    Le schéma de cohérence territoriale du Grand Clermont prévoit, pour la communauté de communes Gergovie Val d'Allier, la construction de 1 760 logements, dont 1 031 dans les territoires périurbains, dans le but d'économiser l'espace. Le plan d'occupation des sols de 2011 comptait encore 249 735 m2 d'espaces vides. Le SCOT prescrivant une limite de 700 m2 par construction, la commune peut encore construire jusqu'à 356 logements. Avec une moyenne de 2,3 habitants par logement, la commune pourrait dépasser 4 000 habitants en 2020[VMP 5].

    Planification de l'aménagement

    Le plan local d'urbanisme a été approuvé par une délibération du conseil municipal du [VM 2]. Il succède au plan d'occupation des sols[VMP 2].

    Projets d'aménagement

    • La zone d'aménagement concerté des Chardonnets, à l'est de la D 978[VMP 5].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est soumise à plusieurs risques naturels[VMP 7] :

    • feu de forêt ;
    • inondation : « de type torrentiel, avec une intensité d'aléa forte » ; un plan de prévention du risque inondation concernant les bassins de la Veyre et de la Monne a été approuvé le sur les communes traversées par la rivière Veyre ;
    • mouvement de terrain : la commune a connu plusieurs glissements de terrain ;
    • risque sismique : la commune est classée dans la zone de sismicité modérée (niveau 3). Le dernier séisme ressenti dans la commune s'est déroulé le (épicentre localisé à Randan, au nord-est du département), avec une intensité ressentie de 3 dans la commune ;

    ainsi que par deux risques technologiques[VMP 7] :

    • transport de matières dangereuses (autoroute) ;
    • présence d'une canalisation de gaz à haute tension.

    La commune a élaboré un DICRIM[VM 3].

    Elle a connu plusieurs inondations de la Veyre, en 1755, 1759, 1760, 1943, 1976, 1992, 1994 et 2003. La crue de l'Allier pouvant « empêcher l'écoulement de l'eau », la Veyre peut se retrouver inondée. Le ruissellement peut aussi provoquer des inondations, touchant trois établissements recevant du public[VM 3].

    Le secteur de Monton est le plus touché par des glissements de terrain, notamment le long de la route départementale 786. Le site des grottes de Monton est fermé périodiquement pour cette raison et pour les chutes de pierres[VM 3]. En , l'érosion, causée par le détachement de la paroi d'une des grottes, a entraîné sa fermeture dans l'attente d'investigations, par arrêté municipal[VM 4].

    Histoire

    Préhistoire

    En 2005, des fouilles archéologiques ont permis de confirmer l'occupation du site pendant les périodes Cardial ou Épicardial[22].

    En 2019, il a été mis à jour par les services de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) une série de menhirs en basalte (cairn et statue-menhir)[23].

    Antiquité

    Le territoire communal est habité depuis l'Antiquité, entre les puys de Corent et de Monton[VMP 8].

    Moyen Âge

    Le village de Monton, situé à l'ouest de la commune, « s'est développé sur une plate-forme naturelle, jusqu'à la falaise sur laquelle viendront butter les remparts du fort villageois » ; de nombreux vestiges témoignent de la vie du village (dont les tours). Il abritait un « centre politique et administratif » « géré par des consuls depuis le XIIe siècle, siège d'une châtellenie, d'une prévôté puis d'un bailliage seigneurial de 1343 à la Révolution ». Elle fut pourvue d'un « important système défensif pendant la guerre de Cent Ans »[VMP 8].

    La seigneurie de Monton a appartenu à « six nobles familles du XIe siècle à la Révolution » : les Monton (1020-1314), les rois de France et les dauphins du Viennois (jusqu'en 1343) puis les Roger de Beaufort-Canilhac (jusqu'en 1511)[VMP 8].

    Le village de Soulasse est « accroché au plateau de Corent » ; seule la structuration interne témoigne du passé médiéval du village[VMP 8].

    Époque moderne

    Le village de Veyre « s'est développé de part et d'autre d'un pont datant du XIIIe siècle » (reconstruit au XVIIIe siècle). Traversé par la route de Paris au Languedoc, il se développe au XVIIIe siècle avec des auberges ou des commerces[VMP 8].

    Autres événements

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Veyre-Monton est le siège de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé par un arrêté préfectoral du [24] et prenant effet le , regroupant 27 communes en 2021, et membre d'autres groupements intercommunaux[25]. De 2000 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté dont elle était également le siège[26].

    Au niveau administratif, Veyre-Monton dépendait du district de Clermont-Ferrand puis de l'arrondissement de Clermont-Ferrand depuis 1801. Elle était chef-lieu de canton, de 1793 (Monton, puis Veyre et enfin Veyre-Monton en 1801)[27] à  ; à la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton des Martres-de-Veyre[28].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Martres-de-Veyre pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[29], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Veyre-Monton, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[31], pour un mandat de six ans renouvelable[32]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 27[33]. Les vingt-sept conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 46,72 %, se répartissant en : vingt-deux sièges issus de la liste de Gilles Pétel et cinq sièges issus de la liste de Michel Fleury[34].

    Les cinq sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté se répartissent en : quatre sièges issus de la liste de Gilles Pétel et un siège issu de la liste de Michel Fleury[34].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1815 Jean-Baptiste Marnat-Courbayre   Notaire
    septembre 1815 août 1839
    (décès)
    Gabriel Tixier   Propriétaire
    1839 1847
    (démission)
    Pierre Luzuy
    Neveu du précédent
      Propriétaire
    janvier 1848 septembre 1870 Pierre Tixier
    Neveu de Gabriel Tixier
      Propriétaire
    1870 1874 Bonnet Pommerol    
    mars 1874 1879
    (démission)
    Léon Tixier
    Neveu de Pierre Tixier
    Droite Propriétaire
    Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1870-1880)
    1879 Zacharie Valleix    

    (démission)
    Jean-Baptiste Chaufrut    
    Paul Charbonnier    

    (décès)
    Gabriel Rallier    
    [Note 3] Pierre Mandonnet[Note 4]   Cultivateur
    André Moulin    

    (démission)
    Jeannette Terrolle    
    Jean Beaulieu    

    (démission)
    Albert Fath    
    Guy Malgat    
    Pierre Chabrillat UDF-PR Expert forestier
    Conseiller général du canton de Veyre-Monton (1985-1998)
    Yves Fafournoux[36] DVG Technicien PTT
    Président de Gergovie Val d'Allier Communauté (2001-2017)[37]
    En cours
    (au 27 mai 2020)
    Gilles Pétel PS Professeur des universités
    6e vice-président de Mond'Arverne Communauté (depuis 2020)

    Autres élections

    Scrutin[38] 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e % 4e %
    Régionales 2010 PS 31,05 UMP 26,35 PCF-PG 13,89 LV 13,44 PS-PCF-PG-LV 61,88 UMP 38,12 pas de 3e ni de 4e
    Présidentielle 2012 PS 32,23 UMP 24,92 FN 13,91 FG 12,72 PS 56,33 UMP 43,67 pas de 3e ni de 4e
    Législatives 2012 PS 49,55 UMP 24,50 FN 9,77 FG 6,70 tour unique
    Municipales 2014 PS-PCF 60,35 DVD 39,64 pas de 3e ni de 4e tour unique
    Européennes 2014 UMP 21,08 PS 20,20 FN 17,43 UDI-MODEM 14,22 tour unique
    Départementales 2015 PS-DVG 35,88 UMP-DVD 33,00 FN 20,72 EÉLV 10,40 PS-DVG 51,35 UMP-DVD 48,65 pas de 3e ni de 4e
    Régionales 2015 LR-UDI-MODEM 36,92 PS 27,62 FN 16,75 PCF 8,34 LR-UDI-MODEM 44,46 PS-PCF-EÉLV 41,74 FN 13,80 pas de 4e
    Présidentielle 2017 EM 31,66 LFI 19,89 LR 18,90 FN 14,17 EM 76 FN 24 pas de 3e ni de 4e
    Législatives 2017 MODEM 39,76 LFI 13,68 LR 11,58 PS 10,11 MODEM 58,28 LR 41,72 pas de 3e ni de 4e
    Européennes 2019 LREM-MODEM 25,76 RN 15,96 EÉLV 13,30 LR 11,91 tour unique
    Municipales 2020 PS-DVG 63,06 DVD 36,93 pas de 3e ni de 4e tour unique
    Départementales 2021 PS-UGE 58,84 DVG 22,17 RN 18,99 pas de 4e PS-UGE 67,22 DVG 32,78 pas de 3e ni de 4e
    Régionales 2021 LR-UDI 47,37 PS-PRG 14,78 ÉCO 12,20 MR-LREM-MODEM 9,44 LR-UDI 58,82 ÉCO-PS-PCF-LFI-PRG 33,57 RN 7,61 pas de 4e

    Aux élections municipales de 2014, deux listes se sont présentées : « Un choix de vie pour Veyre-Monton », conduite par le maire sortant Yves Fafournoux, et « Alternative citoyenne », menée par Pierre Chabrillat[39]. La première liste remporte l'élection avec 60,35 % des voix. Le taux de participation était de 70,36 %[40].

    Équipements et services publics

    Politique environnementale

    La communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté a élaboré un agenda 21[VM 5].

    L'assainissement collectif relève de la compétence du syndicat mixte des vallées de la Veyre et de l'Auzon depuis 2014. Les eaux usées sont recueillies à la station d'épuration des Martres-de-Veyre[VM 6].

    Enseignement

    Veyre-Monton dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

    Les élèves commencent leur scolarité dans l'école maternelle publique ou l'école élémentaire publique Jean-Moulin[41].

    Ils poursuivent leur scolarité au collège Jean-Rostand des Martres-de-Veyre[42], puis au lycée René-Descartes de Cournon-d'Auvergne, pour les filières générales et STMG ou au lycée La-Fayette de Clermont-Ferrand, pour la filière STI2D[43].

    Le diagnostic du plan local d'urbanisme mentionne aussi une école élémentaire privée, avec dix élèves scolarisés[VMP 9].

    Instances judiciaires

    Veyre-Monton dépend de la cour d'appel de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[44].

    Population et société

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

    En 2018, la commune comptait 3 566 habitants[Note 5], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +2,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 2282 7143 3993 1763 2623 0582 9872 8622 793
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7152 6872 6562 0251 9111 8331 8251 8071 837
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6191 5151 3901 0921 1911 013943765826
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9921 1871 6522 5723 3813 4433 3493 3353 464
    2017 2018 - - - - - - -
    3 5423 566-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    À la fin du XIXe siècle, la commune comptait 1 825 habitants. Cette population va diminuer de manière importante « en raison de la crise du phylloxéra, des guerres mondiales et du dynamisme industriel de Clermont-Ferrand[VMP 10] ». Elle va augmenter grâce à un solde migratoire positif et élevé entre les années 1968 et 1990 (+ 4,0 % entre 1968 et 1975, + 6,1 % entre 1975 et 1982 puis + 2,9 % entre 1982 et 1990), mais aussi avec un solde naturel positif, où le taux de natalité est supérieur au taux de mortalité entre les périodes 1968-1975 et 2007-2012[a 3].

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à soixante ans (27,5 %)[a 4] est en effet supérieur au taux national (23,6 %) et au taux départemental (25,8 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Toutefois, le taux (50,9 %) est inférieur au taux national (51,6 %).

    Pyramides des âges en 2012 en pourcentage
    Commune de Veyre-Monton[a 5]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,7 
    5,2 
    75 à 89 ans
    7,1 
    20,9 
    60 à 74 ans
    20,7 
    25,1 
    45 à 59 ans
    23,9 
    20,2 
    30 à 44 ans
    20,1 
    11,3 
    15 à 29 ans
    10,9 
    17,1 
    0 à 14 ans
    16,6 
    Département du Puy-de-Dôme[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,3 
    6,9 
    75 à 89 ans
    10,8 
    15,7 
    60 à 74 ans
    16,2 
    20,8 
    45 à 59 ans
    20,3 
    19,8 
    30 à 44 ans
    18,2 
    19,2 
    15 à 29 ans
    17,7 
    17 
    0 à 14 ans
    15,5 

    Caractéristiques de la population

    La commune connaît un fort taux de motorisation : presque tous les ménages possèdent une voiture, dont près des deux tiers en possèdent deux, ce qui peut expliquer le faible ratio d'emplois dans la population active[VMP 4].

    Par ailleurs, la population des quinze ans ou plus est majoritairement composée de retraités (32,3 %) ; suivent les professions intermédiaires (16,3 %) et les employés (11,9 %)[a 6].

    La commune compte 1 476 ménages (pour 3 432 habitants), dont 22,2 % sont des ménages d'une personne, 1,4 % sans famille et 76,4 % de ménages avec famille[a 7].

    Santé

    La commune possède quatre médecins généralistes, quatre infirmières, un chirurgien-dentiste, une pharmacie et deux kinésithérapeutes[VMP 9].

    Sports

    Le complexe sportif de la commune comprend une salle de sports, trois terrains de football, deux terrains de tennis, un terrain de boules, ainsi qu'un parcours de santé[VMP 9].

    Économie

    La commune possède une zone d'activités, celle du Pra de Serre, l'une des sept entretenues et gérées par la communauté de communes Gergovie Val d'Allier. À vocation industrielle, artisanale et commerciale, cette zone, créée en 1988, en bordure de la route départementale 978, s'étend sur 80 700 m2. Il est prévu son agrandissement sur 180 000 m2[VMP 5].

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 40 863 , ce qui plaçait Veyre-Monton au 2 093e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[49].

    Emploi

    En 2012, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 2 288 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,6 % d'actifs dont 68,9 % ayant un emploi et 3,7 % de chômeurs[a 8].

    On comptait 714 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 586, l'indicateur de concentration d'emploi est de 45 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 9]. Ce faible taux est traduit par « des migrations alternantes très importantes, principalement vers l'agglomération de Clermont-Ferrand[VMP 4] ».

    1 375 des 1 586 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 86,7 %) sont des salariés[a 10]. 84,5 % des actifs travaillent dans une autre commune du département[a 11].

    Entreprises

    Au , Veyre-Monton comptait 175 entreprises : 9 dans l'industrie, 37 dans la construction, 105 dans le commerce, les transports et les services divers et 24 dans le secteur administratif[a 12].

    En outre, elle comptait 195 établissements[a 13].

    Agriculture et viticulture

    Le chanvre était cultivé dans la plaine du village de Monton ; « connu pour ses toiles, il a connu jusqu'à 72 métiers à balanciers et à peignes[VMP 8] ».

    La vigne se développa sur les coteaux de la Limagne ; elle connut un essor jusqu'à l'épidémie de phylloxéra à la fin du XIXe siècle[VMP 8].

    La commune se situe « dans la région agricole de la Limagne viticole », dans trois aires d'appellation d'origine contrôlée : aires géographiques de l'AOC Bleu d'Auvergne (production de lait, transformation et affinage), AOC Cantal et Saint-nectaire, AOC Côtes-d'auvergne, ainsi que dans l'aire de production des IGP Veau du Limousin, Volailles d'Auvergne, Porcs d'Auvergne et l'IGP viticole Puy de Dôme[VMP 9].

    Le recensement agricole fait état d'une importante diminution du nombre d'exploitations agricoles : en 2010, il en existait encore dix-neuf, contre 21 en 2000 et 36 en 1988. La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 581 hectares en 2010, dont 562 ha sont allouées aux terres labourables et 5 ha aux cultures permanentes[50].

    Commerce et services

    La base permanente des équipements de 2014 recensait quatorze commerces : un supermarché, deux épiceries, deux boulangeries, deux boucheries-charcuteries, deux librairies-papeteries ou marchands de journaux, un magasin de vêtements, un magasin de meubles, un fleuriste et deux stations-service[51].

    Tourisme

    Au , la commune ne comptait aucun hôtel[a 14], camping[a 15] ou autre hébergement collectif[a 16].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Veyre-Monton ne compte aucun édifice protégé aux monuments historiques[VMP 11]. En 2019, une équipe de l’Inrap a pu fouiller une série d’alignements de menhirs au voisinage de l'autoroute A75[52].

    Patrimoine religieux

    • Église Sainte-Anne de Monton. Un document du cartulaire de Sauxillanges daté entre 1028 et 1049 prescrivait la construction d'une église en 1030. Des travaux d'agrandissement de l'église, réclamés par les habitants de Monton, furent engagés dans la seconde moitié du XVIIIe siècle (début des travaux en 1779, fin en 1789, fermée durant la période révolutionnaire). L'église a été rénovée en 2007[VMP 11].
    • Église de Saint-Alyre, attestée depuis le Xe siècle[VMP 11].
    • Église de Soulasse, du XIe siècle, dédiée à saint Agricol et à saint Vidal ; un autre édifice plus moderne a été construit au XIXe siècle[VMP 11].
    • Église de Veyre, construite en 1859, avec un presbytère en 1871[VMP 11].

    Autres monuments

    Équipements culturels

    La commune possède une salle de concert associative (Le Club 22), une salle des fêtes, une école intercommunale de musique (plus de deux cents élèves)[VMP 9].

    Patrimoine naturel

    Le Plan Vert du Grand Clermont, élaboré en 2005, offre plusieurs enjeux à Veyre-Monton : préservation des espaces naturels majeurs comme la vallée de la Veyre et le puy de Corent, revitaliser la filière viticole (plusieurs secteurs peuvent accueillir des zones AOVDQS)[VMP 2].

    La réserve naturelle régionale du Puy de Marmant a été créée en 1985, comme réserve naturelle volontaire, sur le territoire de la commune. S'étendant sur trois hectares, c'est la seule du pays du Grand Clermont. Elle devient réserve naturelle régionale à la suite de la révision des zones naturels par la DREAL Auvergne en 2009-2010[VMP 12] et a été classée en 2015[VM 7].

    La commune compte une zone Natura 2000 Vallées et coteaux xérothermiques des Couzes et des Limagnes ») et sept ZNIEFF[VMP 12] :

    • puy de Marmant (type 1, 16 hectares, « haut lieu géologique » du fait, notamment, de « la diversité de son substrat géologique » et du couvert végétal — le périmètre a été modifié afin de tenir compte des constructions) ;
    • puy de Corent (type 1, quatre communes) ;
    • puy de Tobize (deuxième génération, quatre communes, autour d'un secteur urbanisé, avec la présence d'une zone d'activités) ;
    • roselière du Crest (deuxième génération, en grande partie sur la commune du Crest et à proximité de la D 213) ;
    • butte de Jonchère (limitée par l'autoroute, cette butte « très rocheuse » a été identifiée « pour la présence de pelouses à orpins », « valeur écologique forte ») ;
    • Notre Dame de Monton (deuxième génération, présence d'une espèce protégée : la Bufonia paniculata) ;
    • coteaux de Limagne occidentale.

    La grotte de Monton est un site inscrit[VMP 12].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Nommé par le préfet.
    4. Président de la délégation spéciale du au .
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Insee

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. POP T2M – Indicateurs démographiques.
    4. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
    5. POP T3 – Population par sexe et âge en 2012.
    6. POP T5 – Population de 15 ans ou plus selon la catégorie socioprofessionnelle.
    7. FAM T1 – Ménages selon leur composition.
    8. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    9. EMP T5 – Emploi et activité.
    10. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
    11. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    12. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    13. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    14. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
    15. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
    16. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .

    Site de la mairie

    • Rapport de présentation du plan local d'urbanisme, édité par SCP DESCOEUR F et C (tome 1 (diagnostic) [PDF]) :
    1. « Introduction » / « Présentation du territoire », p. 7-9.
    2. « Introduction » / « Les directives et les textes », p. 15-21.
    3. « Section 1. État initial de l'environnement » / « 1. Les éléments physiques », p. 23-53.
    4. « Section 2. Environnement urbain » / « 1. Les voies de communication », p. 108-116.
    5. « Section 2. Environnement urbain » / « 2. L'organisation du territoire », p. 117-137.
    6. « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « Habitat », p. 169-176.
    7. « Section 1. État initial de l'environnement » / « 3. Les risques naturels, technologiques et les nuisances », p. 54-70.
    8. « Introduction » / « Présentation du territoire » / « Historique », p. 10-14.
    9. « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « La vocation économique », p. 177.
    10. « Section 3. Les ressources humaines et économiques » / « Démographie », p. 164-168.
    11. « Section 2. Environnement urbain » / « 3. Le patrimoine bâti », p. 138-162.
    12. « Section 1. État initial de l'environnement » / « 4. Les milieux naturels », p. 71-106.
    • Autres références :
    1. « Transport et plan » (consulté le ).
    2. « Urbanisme » (consulté le ).
    3. « DICRIM » [PDF], (consulté le ).
    4. « Fermeture des grottes de Monton » (consulté le ).
    5. « Agenda 21 » (consulté le ).
    6. « Assainissement » (consulté le ).
    7. « Réserve régionale du Puy de Marmant » (consulté le ).

    Autres sources

    1. (oc) « Vaira e Monton: una descobèrta arqueologica extraordinària : An trobat un trentenat de menirs, una estatua antropomòrfa e una sepultura de l’epòca preïstorica », Jornalet, Barcelone, Associacion entara Difusion d'Occitània en Catalonha (ADÒC), (ISSN 2385-4510, OCLC 1090728591, lire en ligne).
    2. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906 (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Vic-le-Comte », sur Lion 1906 (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Veyre-Monton et Martres-de-Veyre », sur Lion 1906 (consulté le ).
    5. Carte de Veyre-Monton sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 29 octobre 2016).
    6. « Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 56 (55 sur PDF).
    7. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
    8. « Données climatiques de la station de Clermont-Ferrand », sur Météo-France (consulté le ).
    9. « Anzat-le-Luguet – Issoire – Clermont-Ferrand » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    10. « Clermont-Ferrand - Veyre-Monton – Authezat » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    11. « Clermont-Ferrand - Saint-Saturnin - Champeix » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Veyre-Monton », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Rapport d'activité 2006 de l'Inrap [PDF], p. 112.
    23. « Actualité | Les mégalithes de Veyre-Monton (Puy-de-Dôme) : alignements de menhirs, tombe, cairn et statue », sur Inrap, (consulté le ).
    24. Direction des collectivités territoriales et de l'environnement – Bureau du contrôle de légalité – Intercommunalité, « Arrêté prononçant la fusion des communautés de communes : « Allier Comté Communauté », « Gergovie Val d'Allier Communauté » et « Les Cheires » à compter du  » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-059, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 85-95.
    25. « CC Mond'Arverne Communauté (No SIREN : 200069177) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    26. « CC Gergovie Val d'Allier Communauté (No SIREN : 246300933) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Décret no 2014-210 du portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
    29. « Commune de Veyre-Monton (63455) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    30. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
    31. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
    32. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
    33. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    35. Historique des conseils municipaux, sur mairie-veyremonton.fr
    36. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme, 9 avril 2014 (consulté le 23 juin 2014).
    37. « Les instances communautaires », Communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté (consulté le ).
    38. « Résultats élections départementales 2021 Veyre-Monton », sur 20minutes.fr (consulté le ).
    39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014. Veyre-Monton. Candidatures du 1er tour », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    40. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014. Veyre-Monton. Résultats du 1er tour », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    41. « Puy-de-Dôme (63), Veyre-Monton, écoles », Annuaire, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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    43. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 17.
    44. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
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    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Département du Puy-de-Dôme (63) », Insee.
    49. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 », sur insee.fr (consulté le ). Base « Arrondissement municipal, commune pour la France métropolitaine », fichier « RFDM2010COM ».
    50. « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Veyre-Monton commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
    51. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
    52. « LES MÉGALITHES DE VEYRE-MONTON (PUY-DE-DÔME) : ALIGNEMENTS DE MENHIRS, TOMBE, CAIRN ET STATUE », INRAP, (lire en ligne).
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