Randan

Randan est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Randan

Route menant à Maringues.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Plaine Limagne
Maire
Mandat
Sandrine Couturat
2020-2026
Code postal 63310
Code commune 63295
Démographie
Gentilé Randannais
Population
municipale
1 576 hab. (2018 )
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 01′ 07″ nord, 3° 21′ 20″ est
Altitude Min. 298 m
Max. 404 m
Superficie 15,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Maringues
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Randan
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Randan
Géolocalisation sur la carte : France
Randan
Géolocalisation sur la carte : France
Randan
Liens
Site web randan.fr

    Randan était un lieu de vacances de la famille royale de la Maison d'Orléans au début du XIXe siècle, grâce au château de Randan.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Randan est située au nord-est du département du Puy-de-Dôme[1], à 14 km au sud-ouest de Vichy et à 40 km au nord-est de Clermont-Ferrand ; à proximité de la forêt de Randan au nord et à l'est, célèbre par le château de Randan.

    Six communes sont limitrophes de Randan[2]. Un quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes) réunit Saint-Priest-Bramefant au nord-est, Mons au sud-est, Beaumont-lès-Randan au sud et Randan à l'ouest.

    Géologie et relief

    Le sous-sol de la commune, comme l'ensemble de la plaine de la Limagne, est composé de roches sédimentaires[3].

    Voies routières

    Carrefour entre les routes départementales 1093 et 59 en 2010.

    Le bourg est accessible par la route départementale 1093, historiquement route nationale 493, qui passe par le centre-ville. Vichy est à 16 kilomètres et Bellerive-sur-Allier à 12 km ; vers le sud-ouest, Pont-du-Château 29 km et Maringues 13 km.

    Vers l'ouest, la route départementale 59 continue vers Clermont-Ferrand (40 km), Riom (25 km), Ennezat (20 km) et Thuret (10 km), continuant sous le nom de RD 210, laquelle se termine sur la rue de Riom. La RD 223 continue vers Bas-et-Lezat et Aigueperse[2].

    Près de la forêt de Randan, la RD 59 continue vers Saint-Priest-Bramefant et Saint-Yorre. Il existe deux antennes, la RD 59a reliant la RD 94 au village de Lherat, et la RD 59b reliant le giratoire d'entrée nord de la commune aux RD 59 et 93. Elle croise la RD 107 desservant Beaumont-lès-Randan. La RD 93, sous le nom de rue des Potiers, continue à l'ouest en direction des Pioliers, lieu-dit de Villeneuve-les-Cerfs ; à l'est, elle continue vers Saint-Sylvestre-Pragoulin[2].

    Du centre-ville, la RD 94 relie la RD 1093 à Luzillat, avec un embranchement au sud, la RD 94a, menant vers la gare, ainsi qu'une RD 94d passant à proximité de l'étang de Nemours[2].

    Au sud, la RD 63 dessert les lieux-dits de Jussat et croise la RD 431[2].

    Transport ferroviaire

    La ligne de Vichy à Riom passe par la commune de Randan. Les départementales 94 et 63 la coupent à niveau. Il a existé une gare[4], aux environs du PK 380, mais elle est fermée aux voyageurs et actuellement vandalisée. Il existe un tunnel de 823 m de long[5].

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne 28 du réseau Transdôme (JozeMaringuesVichy)[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Randan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,9 %), forêts (38,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), zones urbanisées (4,4 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Logement

    En 2012, la commune comptait 747 logements, contre 714 en 2007. Parmi ces logements, 84,2 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 12,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,4 % des appartements[a 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 72,3 %, en hausse sensible par rapport à 2007 (70,2 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,1 % (contre 2,4 %)[a 2].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est soumise à plusieurs risques naturels et technologiques, dont le feu de forêt, le mouvement de terrain par tassements différentiels, les phénomènes liés à l'atmosphère ainsi que les phénomènes météorologiques, le risque sismique, ainsi que le transport de matières dangereuses[14].

    Des mouvements de terrain ayant affecté les sols de la commune, survenus entre le et le 30 septembre 2003, ont fait l'objet d'un arrêté de catastrophe naturelle le 25 août 2004, avec parution au Journal officiel le lendemain[3].

    Concernée par le risque sismique, de niveau modéré, le département a connu un séisme dont l'épicentre était localisé à Randan, le 25 mars 1957, avec une intensité maximale ressentie de VI en échelle MSK[3].

    La commune est également concernée par le risque transport de matières dangereuses, du fait de l'existence d'une voie ferrée[3].

    Toponymie

    On trouve la forme Randans dès 1393[15]. Celle-ci est officialisée en l'an II (1793) et en 1801, selon le Bulletin des lois, les deux graphies avec ou sans S sont admises pour désigner la commune[16].

    Histoire

    Existence d'un monastère « Monasterium Randanense » dès le VIe siècle, occupant l'emplacement du château actuel. Seigneurie des Polignac au XVe siècle. Érigé en duché au XVIe siècle puis en duché-pairie au XVIIe siècle. Le château fut transformé et embelli au XIXe siècle par Adélaïde d'Orléans, sœur de Louis-Philippe Ier ; il fut détruit par un incendie en 1925.

    Huit foires et un marché hebdomadaire furent créés aux XVe et XVIe siècles.

    En 1841, elle absorbe le village de Jussat, lequel comptait 234 habitants en 1793 et 285 en 1831, date du dernier recensement connu[16].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres, dont cinq adjoints et treize conseillers municipaux[R 1]. Sept d'entre eux sont élus au conseil communautaire de la communauté de communes des Coteaux de Randan[R 2].

    Le , le conseil municipal a élu Sandrine Couturat, maire de la commune, jusqu'alors première adjointe, et désigné quatre adjoints[17].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Jean-Jacques Mathillon[18] DVD Vice-président de la communauté de communes Plaine Limagne[19]
    En cours
    (au )
    Sandrine Couturat[17]    

    Rattachements administratifs et électoraux

    Ancienne commune du district de Riom qui deviendra l'actuel arrondissement de Riom en 1801, Randan était alors chef-lieu d'un canton jusqu'en mars 2015. À la suite du redécoupage des cantons du département, effectif depuis les élections départementales, la commune, tout comme son canton, est rattachée au canton de Maringues[20].

    Par ailleurs, elle relève de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, des tribunaux administratif, de grande instance et de commerce de Clermont-Ferrand, de la cour d'assises du Puy-de-Dôme, du tribunal d'instance de Riom[21].

    Intercommunalité

    Randan a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes des Coteaux de Randan. Celle-ci a fusionné le avec les communautés de communes Limagne Bords d'Allier et Nord Limagne[22], pour constituer la communauté de communes Plaine Limagne.

    Jumelages

    Randan est jumelée avec Agosta (Italie)[23].

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Randannais[24] ou, moins couramment, les Randanais.

    Évolution de la population

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 1 576 habitants[Note 2], en diminution de 0,32 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +2,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0791 0471 2231 3521 7452 0532 1492 0501 923
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8211 8031 7521 7901 7921 7671 8111 6941 700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6321 6151 8761 3721 3001 3031 3061 2531 275
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2751 2501 3441 4381 4291 3601 4621 5621 571
    2018 - - - - - - - -
    1 576--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,7 %)[a 3] est en effet supérieur au taux national (23,6 %) et au taux départemental (25,8 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,3 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    Répartition de la population de la commune par tranches d'âge en 2012
    Tranche d'âge 0 à 14 ans 15 à 29 ans 30 à 44 ans 45 à 59 ans 60 ans et plus
     % d'hommes 19,2 %15,7 %19,6 %19,4 %26,1 %
     % de femmes 16,9 %15 %17,6 %15,5 %34,9 %
    Pyramide des âges de Randan en 2012 en pourcentage[a 4]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ans ou +
    4,5 
    9,3 
    75 à 89 ans
    13,5 
    16 
    60 à 74 ans
    16,9 
    19,4 
    45 à 59 ans
    15,5 
    19,6 
    30 à 44 ans
    17,6 
    15,7 
    15 à 29 ans
    15 
    19,2 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du Puy-de-Dôme en 2012 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,3 
    6,9 
    75 à 89 ans
    10,8 
    15,7 
    60 à 74 ans
    16,2 
    20,8 
    45 à 59 ans
    20,3 
    19,8 
    30 à 44 ans
    18,2 
    19,2 
    15 à 29 ans
    17,7 
    17 
    0 à 14 ans
    15,5 

    Enseignement

    Randan dépend de l'académie de Clermont-Ferrand et gère une école maternelle et une école élémentaire publiques[29].

    Hors dérogations à la carte scolaire, les élèves poursuivent leur scolarité au collège de Maringues[30]. Les lycéens sont scolarisés à Thiers, au lycée Montdory, pour les filières générales ou STMG, ou au lycée Jean-Zay, pour la filière STI2D[31]. Néanmoins, la commune bénéficie d'une double sectorisation ; les lycéens peuvent être scolarisés à Cusset, au lycée de Presles[32] (renommé lycée Albert-Londres).

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les premiers week-ends d'avril, depuis 2003, se tient le Salon du livre et de la chanson de Randan, « La chanson des livres ». Il s'agit de l'unique salon du livre qui accueille des artistes chanteurs francophones ayant publié un ouvrage, ainsi que des journalistes musicaux, biographes[33]… L'association « Le livre et la chanson » est coprésidée par Edda Mathillon et Alain Manaranche.

    Santé

    La commune possède un pôle santé (comprenant entre autres un médecin et six infirmiers). Deux médecins, un dentiste, deux masseurs-kinésithérapeutes sont installés dans la commune[R 3].

    On trouve également une pharmacie et deux établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)[R 3].

    Sports

    Plusieurs associations sportives siègent à Randan : le club de football (Football Club Randannais), un club de judo (Judo Club Randan), ainsi qu'un club de tennis, comptant une cinquantaine de licenciés[R 4].

    Économie

    Emploi

    En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 919 personnes, parmi lesquelles on comptait 67,3 % d'actifs dont 58,1 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs[a 5].

    On comptait 469 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 540, l'indicateur de concentration d'emploi est de 86,8 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 6].

    459 des 540 personnes âgées de 15 ans ou plus (soit 84,9 %) sont des salariés[a 7]. 44,5 % des actifs travaillent dans une autre commune du département[a 8].

    Entreprises

    Au , Randan comptait 99 entreprises : 12 dans l'industrie, 20 dans la construction, 46 dans le commerce, les transports et les services divers et 21 dans le secteur administratif[a 9].

    En outre, elle comptait 104 établissements[a 10].

    Une entreprise de fabrication de cheminées et une autre de fabrication d'emballage bois sont installées sur la commune[R 5].

    Commerce

    La base permanente des équipements de 2014 recense neuf commerces : un supermarché, une épicerie, deux boulangeries, une boucherie-charcuterie, une librairie-papeterie-journaux, une droguerie-quincaillerie-bricolage, un fleuriste et une station-service[34].

    Tourisme

    Randan comptait un hôtel non classé de sept chambres au [a 11].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'église Sainte-Madeleine de Jussat, datant des XIe et XIIe siècles, a été inscrite aux monuments historiques le [35]. Elle est entourée d'un petit cimetière.
    • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste restaurée et agrandie entre 1843 et 1845, à partir d'un édifice des XVe et XVIe siècles[36].

    Patrimoine civil

    • Le Domaine royal de Randan, de la première moitié du XIXe siècle, est classé aux Monuments historiques le 21 février 2001. Il est la propriété de la commune et de la région[37]. Le parc, classé le même jour, a été préalablement inscrit aux Monuments historiques le 30 avril 1999[38].
    • L'auberge dite Tournebride, située 51 rue du Commerce, datant de la première moitié du XIXe siècle, a été achetée par Adélaïde d'Orléans. Elle accueille aujourd'hui une boutique[39].
    • Une maison qui fit office de presbytère, située 57 rue du Commerce, a été la propriété d'Adélaïde d'Orléans depuis 1835. Le presbytère est surélevé en 1896 par l'architecte vichyssois Antoine Percilly[40].
    • L'école de filles est bâtie entre 1822 et 1827 par Adélaïde d'Orléans. L'édifice devient un hospice en 1888[41].
    • La mairie est construite en 1826 après des problèmes de financement pour sa construction en 1820. La halle, servant pour les foires, est agrandie en 1846 par l'architecte Paschal Lepage, pour être achevée en 1865. Une marquise est ajoutée en 1902 par l'architecte vichyssois Antoine Percilly[42]. Une autre, située 11 place de la Mairie, est livrée en 1866[43].

    Monuments aux morts

    • Le monument aux morts, signé du sculpteur Benet et de la fonderie Durenne, date de 1921[44].
    • Le monument aux morts du souvenir français est érigé en 1901 ; il est restauré en 1937[45].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé de gueules et d'argent, enté d'argent à la fleur à quatre pétales de gueules feuillée de sinople en pointe, sur le tout un écu ovale de sable chargé de la lettre majuscule R d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Insee

    Dossier relatif à la commune

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
    4. POP T3 – Population par sexe et âge en 2012.
    5. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 – Emploi et activité.
    7. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
    8. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    9. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    10. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    11. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .

    Site de la mairie

    1. « Le conseil municipal » (consulté le ).
    2. « Elus communautaires » (consulté le ).
    3. « Services de santé » (consulté le ).
    4. « Associations Sportives » (consulté le ).
    5. « Entreprises » (consulté le ).

    Autres références

    1. « Randan », sur Lion 1906 (consulté le ).
    2. Carte de Randan sur Géoportail.
    3. « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    4. Gare de Randan sur massifcentralferroviaire.com.
    5. Fiche du tunnel de Randan [PDF], sur tunnels-ferroviaires.org.
    6. « Horaires TRANSDÔME 2017/2018 », Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Risques dans la commune sur prim.net.
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, t. 2 : Formations non-romanes (lire en ligne), p. 286.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. « Sandrine Couturat élue maire de Randan (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
    18. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    19. Site de la communauté de communes Plaine Limagne (consulté le 21 février 2017).
    20. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme, sur Légifrance.
    21. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
    22. « Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) – Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    23. « Jumelage », Mairie de Randan (consulté le ).
    24. Noms des habitants de Randan sur le site Habitants.fr de la SARL Patagos, consulté le 3 mars 2016.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Département du Puy-de-Dôme (63) », Insee (consulté le ).
    29. Annuaire des établissements scolaires de Randan sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
    30. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    31. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    32. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme - Communes limitrophes de l'Allier bénéficiant d'une double sectorisation pour le lycée » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    33. Site du salon du livre et de la chanson.
    34. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
    35. « Église de Jussat », notice no PA00092257, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA63000983, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Ancien domaine royal de Randan », notice no PA00092256, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Parc du domaine royal de Randan », notice no IA63000891, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Auberge (tournebride) », notice no IA63000994, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Maison, presbytère », notice no IA63000987, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Écoles en série (série de 2) », notice no IA63000993, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Mairie, halle », notice no IA63000991, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Mairie », notice no IA63000988, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA63000986, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Monument aux morts du Souvenir français », notice no IA63000985, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. .
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail du Puy-de-Dôme
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.