Le Loup de Wall Street

Le Loup de Wall Street (The Wolf of Wall Street) est un film américain réalisé par Martin Scorsese, sorti en 2013.

Pour les articles homonymes, voir The Wolf of Wall Street.

Le Loup de Wall Street
Logo français du film.
Titre original The Wolf of Wall Street
Réalisation Martin Scorsese
Scénario Terence Winter
Acteurs principaux
Sociétés de production Appian Way
EMJAG Productions
Red Granite Pictures
Sikelia Productions
Pays d’origine États-Unis
Genre Biopic
Durée 179 minutes
Sortie 2013


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Inspiré d'une histoire réelle, il raconte l'ascension vers la fortune d'un courtier en bourse, Jordan Belfort, interprété par Leonardo DiCaprio, et ses malversations au cœur des années 1980, le menant à la chute et à une forme de rédemption. Adaptation de l'autobiographie homonyme de Jordan Belfort (en), il s'agit du plus gros succès commercial de Martin Scorsese.

Synopsis

Logo original du film

Dans les années 1980, Jordan Belfort commence à travailler en tant que courtier en bourse, dans une entreprise nommée LF Rothschild, à Wall Street. Il rencontre Mark Hanna, qui le prend sous son aile. Ce dernier lui donne sa vision du métier. Le , alors que Jordan vient d'obtenir sa licence de courtier, l'entreprise fait faillite à la suite du krach boursier, et Jordan est licencié. Ce jour sera appelé le Lundi Noir. La femme de Jordan, Teresa, lui montre l'annonce d'une petite compagnie de courtage à Long Island, où on cherche à combler un poste de courtier. En arrivant, Jordan se rend compte que l'entreprise ne vend que des actions à trois sous, qui n'ont à ses yeux absolument aucune valeur. Il utilise alors dans cette entreprise tout le savoir qu'il a acquis à Wall Street et commence à bien gagner sa vie.

Jordan rencontre par la suite Donnie Azoff, un homme qui vit dans le même bâtiment que lui et qui travaille dans le secteur des meubles pour enfants. Tous deux deviennent alors associés et créent leur propre entreprise de courtage : Stratton Oakmont. L'entreprise se fait très vite remarquer par le FBI. En effet, Jordan et Donnie gagnent leur argent de façon illégale, en employant la méthode du pump and dump, ce qui est considéré comme une arnaque envers le client (délit de diffusion de fausse nouvelle). C'est l'agent Patrick Denham qui se charge de l'enquête. La création de cette entreprise marque le début de la débauche pour Jordan ; la drogue et les prostituées font partie de son quotidien.

Jordan rencontre ensuite Naomi Lapaglia, une magnifique jeune femme qui vient de Brooklyn. Il trompe sa femme avec elle et finit par demander le divorce pour pouvoir être avec Naomi, qu'il demande en mariage peu de temps après. Il lui offre comme cadeau de mariage un yacht qu'il baptise Naomi. Ils achètent par la suite une immense propriété à Long Island, où ils entretiennent une relation tumultueuse. De cette relation naît une fille, Skylar.

Jordan et Donnie introduisent en bourse la société de Steeve Madden, fabricant de chaussures, ce qui leur rapporte 22 millions de dollars en quelques heures, mais Jordan apprend qu'un agent du FBI le surveille de près et enquête sur lui. Après une rencontre avec ce dernier, Jordan décide de cacher son argent en Suisse. Pour ce faire, il est aidé par un banquier véreux, Jean-Jacques Saurel, qui lui conseille d'ouvrir un compte sous le nom d'une personne ayant un passeport européen. Jordan choisit la tante de Naomi, Emma.

Après avoir ouvert le compte, Jordan y cache plus de 20 millions de dollars. Un soir, Jordan et Donnie prennent du méthaqualone périmé depuis plusieurs années. Au même moment, Jordan reçoit un appel de Bo Dietl, son détective privé, qui lui demande de le rappeler d'une cabine téléphonique. Lorsque Jordan le rappelle, Dietl l'informe que le FBI a mis sur écoute tous les téléphones de sa maison et de son entreprise. Mais les cachets qu'il a ingurgités font effet à retardement, et Jordan se retrouve à devoir ramper jusqu'à sa voiture, et à se dépêcher lorsqu'il apprend que Donnie est au téléphone avec Saurel. Jordan et Donnie se disputent, mais Donnie manque de s'étouffer en mangeant ; l'intervention de Jordan le sauvera. Quelques heures plus tard, Jordan est arrêté, car, en conduisant sous l'effet de la drogue, il a causé des dégâts sur son chemin, mais il est finalement relâché, car rien ne prouve qu'il était le conducteur. Son avocat, Manny Riskin, et son père Max tentent de le convaincre de quitter Stratton et de payer une amende, ce qui pourrait lui éviter la prison et lui permettre de rester auprès de sa famille, qui vient de s'agrandir avec la naissance d'un garçon. Si Jordan accepte dans un premier temps, il revient sur sa décision et reprend sa vie de débauche. Mais quelque temps plus tard, alors qu'il est en Italie avec Donnie, sa femme et Naomi, il apprend par cette dernière qu'Emma est morte. Jordan doit alors se rendre en Suisse pour récupérer ses 20 millions de dollars. Or le bateau qui devait les y emmener est pris dans une grosse tempête et finit par couler au large de la Sardaigne.

Quelques années plus tard, Jordan est arrêté par Patrick Denham. Il peut échapper à une peine de vingt ans de prison s'il coopère avec le FBI, ce qui implique de trahir ses amis et collègues. Il explique alors cela à sa femme Naomi, et se montre optimiste sur leur avenir ensemble ; mais Naomi lui annonce sa ferme intention de divorcer et de réclamer la garde de leurs enfants. Jordan s'énerve, ne voulant pas abandonner ses enfants. Il finit par prendre de la drogue et gifle sa femme (qui lui criait qu'il ne reverrait plus ses enfants) avant de la frapper au ventre. Il tente aussi de récupérer leur fille Skylar, en vain. Sa femme le quitte et lui prend les enfants.

Jordan accepte alors le marché du FBI : il coopère avec eux et porte un micro. Il en informe Donnie en lui donnant un papier, mais ce papier sera récupéré plus tard par l'agent Denham, ce qui vaudra à Jordan de partir plus tôt que prévu en prison. Le FBI arrête certains employés de Stratton, et l'entreprise est fermée. Lors de son procès, Jordan est condamné à 36 mois de prison (il n'en fera que 22). À sa sortie de prison, il commence à donner des conférences où il enseigne les techniques de vente.

Fiche technique

Production déléguée : Alexandra Milchan et Irwin Winkler

Distribution

Sources et légende : Version française (V. F.) sur RS Doublage[7] ; Version québécoise (V. Q.) sur Doublage Québec[8]

Production

Genèse du projet

Le film s'inspire des mémoires de Jordan Belfort, dont l'autobiographie, commencée en prison, alors qu'il purge une peine pour escroquerie et criminalité financière, n’est pas encore publiée. Jordan Belfort est embauché comme assistant courtier chez LF Rothschild en 1987, à la grande époque des raids boursiers, des junk bonds et des salaires délirants comme ceux du trader Michael Milken, et découvre un monde où la consommation de cocaïne est une pratique courante. Il fonde sa propre entreprise de courtage, Stratton Oakmont, qui devient l’une des plus grosses sociétés de courtage de New York et emploie jusqu’à un millier de personnes.

Dès 2007, Martin Scorsese envisage de réaliser une adaptation cinématographique des mémoires de Jordan Belfort, le projet étant publié dans la Black List des meilleurs scénarios non-produits la même année. Mais il est récupéré par Ridley Scott en 2010. Le film devait alors être produit par la 20th Century Fox[9]. Finalement, le projet revient à Martin Scorsese en 2012 et est monté indépendamment, sans l'aide de la Fox[10]. Depuis le départ, le script de Terence Winter a été conservé. Ce dernier a notamment créé la série télévisée Boardwalk Empire avec Martin Scorsese.

Distribution des rôles

Leonardo DiCaprio et Martin Scorsese à l'avant-première française du film en décembre 2013.

Dès le début du projet en 2007, Leonardo DiCaprio est pressenti pour jouer le rôle du courtier Jordan Belfort. Il collabore ici avec Scorsese pour la 5e fois, après Gangs of New York (2002), Aviator (2004), Les Infiltrés (2006) et Shutter Island (2010).

Jonah Hill est Donnie Azoff, l’associé de Belfort[11]. Jean Dujardin incarne le banquier suisse Jean-Jacques Saurel[12]. En , Matthew McConaughey rejoint le casting, dans le rôle du mentor de Jordan Belfort, Mark Hanna[13].

Martin Scorsese voulait Gene Hackman pour prêter sa voix au narrateur[14]. Julie Andrews a quant à elle été envisagée pour le rôle de la mère de Jordan Belfort[15]. C'est finalement Christine Ebersole qui l'obtient.

Le véritable Jordan Belfort apparaît à la fin du film, tenant un rôle correspondant à sa nouvelle activité, celle d'un animateur de séminaires de motivation[16].

Tournage

Le tournage a débuté le à New York[17],[18]. L'équipe s'est également rendue à Closter dans le New Jersey[19] puis à Ardsley dans le comté de Westchester.

La fidèle monteuse de Martin Scorsese Thelma Schoonmaker a confirmé, avec regrets, que le film était tourné en numérique[20].

Diverses scènes, dont celle du port en Italie (Portofino) ou à Genève, n'ont pas été filmées sur place, mais ont en fait été traitées numériquement. Le dresseur du lion de la scène d'ouverture a été effacé[21].

On relève quelques faux raccords dans le film[22] :

  • Dans la scène où Jordan discute avec ses associés autour de sa table de billard, Donnie (défoncé aux cachets) fait tomber un verre que l'on entend se briser. Sur le plan large qui suit, le même verre réapparaît bien à sa place puis re-disparaît sur le plan au ralenti.
  • Lorsque Jordan et ses amis sont au restaurant, le stylo que doit lui vendre Brad est saisi sur deux plans différents.
  • Quand Jordan sort de la limousine et que Teresa se précipite sur lui, la voiture reste stationnée. Sur le plan large où Teresa continue de donner des coups à Jordan, le véhicule n'apparaît pas puis réapparaît garé puis démarrant sur le gros plan suivant. Dans cette même scène, la porte de la limousine est refermée sur plusieurs plans.
  • Lorsque Jordan et Naomi se trouvent dans la chambre de leur fille, la « Duchesse » affirme qu'elle ne porte pas de culotte. Peu après, quand Jordan fait signe à la caméra insérée dans l'ours en peluche posé sur l'étagère, Naomi a bien une culotte.
  • Le yacht que Jordan offre à Naomi n'est pas exactement le même que celui qui apparaît plus tard dans le film. Non seulement les fenêtres sont différentes mais il ne comporte pas de pont à sa première scène.
  • Lorsque Jordan fait une dernière fois l'amour avec Naomi, on peut vaguement apercevoir une chaussette dissimulant son entre-jambe au moment où il se retire. Quand Naomi lui affirme demander le divorce, peu après, Jordan apparaît avec son pantalon renfilé au changement de plan.
  • Lorsque Jordan s'apprête à prendre la fuite avec sa voiture en emmenant sa fille, il porte toujours son alliance à sa main gauche. Au moment où Naomi surgit avec une barre de fer pour briser la vitre de la portière, l'alliance ne figure plus sur la main mais, durant le bris de verre, un Jump cut fait réapparaître l'anneau à sa place sur le doigt de Jordan. De plus, on peut apercevoir la doublure de Leonardo DiCaprio au moment où Jordan recule avec la voiture en perçant la porte du garage.
  • Lorsque Jordan propose à chaque téléspectateur le test de la vente du stylo, dans la dernière scène du film, les plans de face montrent qu'il tient l'objet de sa main droite alors que dans les plans de dos, il le tient de sa main gauche.

Musique

The Wolf of Wall Street
Music from the motion picture

Bande originale de divers artistes
Sortie (téléchargement)
[23] (CD)
Durée 56:05[24]
Genre pop rock
Label Virgin[23]

La musique du film est principalement composée de morceaux non originaux. La bande originale est supervisée par Randall Poster[23]. Il explique en interview que le film contient soixante morceaux. L'album commercialisé n'en contient cependant que seize.

Liste des titres présents sur l'album

  1. Mercy, Mercy, Mercy! (Johnny « Guitar » Watson / Joe Zawinul) interprété par Julian Cannonball Adderley - 5:11
  2. Dust My Broom (Elmore James / Robert Johnson) interprété par Elmore James - 2:53
  3. Bang! Bang! (Joe Cuba / Jimmy Sabater) interprété par Joe Cuba - 4:06
  4. Movin' Out (Anthony's Song) (Billy Joel) interprété par Billy Joel - 3:29
  5. C'est si bon (Henri Betti / André Hornez) interprétée par Eartha Kitt - 2:58
  6. Goldfinger (John Barry / Leslie Bricusse / Anthony Newley) interprété par Sharon Jones et the Dap-Kings - 2:30
  7. Pretty Thing (Willie Dixon) interprété par Bo Diddley - 2:50
  8. Moonlight In Vermont (Live At the Pershing Lounge - 1958) (John Blackburn / Karl Suessdorf) interprété par Israel Crosby, Vernel Fournier et Ahmad Jamal - 3:10
  9. Smokestack Lightning (album version) (Chester Burnett) interprété par Howlin' Wolf - 3:07
  10. Hey Leroy, Your Mama's Callin' You (Jimmy Castor / John Pruitt) interprété par The Jimmy Castor Bunch - 2:26
  11. Double Dutch (Trevor Horn / Malcolm McLaren) interprété par Malcolm McLaren - 3:57
  12. Never Say Never (Benjamin Bossi / Larry Carter / Debora Iyall / Peter J. Woods / Frank Zincavage) interprété par Romeo Void - 5:54
  13. Meth Lab Zoso Sticker (Joie Calio / Phil Leavitt) interprété par 7horse - 3:43
  14. Road Runner (single version) (Bo Diddley) interprété par Bo Diddley - 2:47
  15. Mrs. Robinson (Paul Simon) interprété par The Lemonheads - 3:45
  16. Cast Your Fate To the Wind (Vince Guaraldi / Carol Rowe) interprété par Allen Toussaint - 3:19

Autres morceaux

Accueil

Critique

Le Loup de Wall Street
Score cumulé
SiteNote
Metacritic75/100[27]
Rotten Tomatoes75%[28]
Allociné[29]
Compilation des critiques
PériodiqueNote
Cahiers du cinéma
Chronic'art.com
Cinemateaser
Le Journal du dimanche
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Libération
Marianne
Télérama
Elle
Les Fiches du cinéma
La Croix
Le Nouvel Observateur
Charlie Hebdo

En France, le film totalise une note moyenne de 4,2 sur 5 pour 20 critiques[29]. Florence Maillard, des Cahiers du cinéma, donne la note maximale de 5 : « Ces trois heures épuisantes et profuses signent l’accomplissement de ce qui travaille en profondeur les derniers films de Scorsese depuis Les Infiltrés »[29]. Dans Cinemateaser, Renan Cros décrit « une œuvre étonnamment complète et complexe, tout autant une comédie hilarante et absurde qu’une fresque obsessionnelle et dramatique sur la quête impossible du plaisir »[29]. Dans Le Journal du dimanche, Barbara Théate écrit que c'est un « grand film étourdissant » dans lequel Martin Scorsese est « au sommet de son art »[29]. Alain Grasset du Parisien met quant à lui en lumière la performance de Leonardo DiCaprio qui est « extraordinaire dans la peau de ce personnage comique et dramatique »[29]. Frédéric Bonnaud des Inrockuptibles se demande ironiquement : « Depuis quand un film de Martin Scorsese n'avait-il donné un tel sentiment de liberté frondeuse, d'absolue maîtrise au service d'une expérience encore jamais tentée[29] ? » Dans Libération, Didier Péron écrit que le film est un « portrait scorsésien entropique de l’ascension et la chute d’une crapule séduisante guidée par le seul aveuglement de ses instincts avides »[29]. Nicolas Schaller dans le supplément TéléCinéObs du Nouvel Observateur, donne une note de 4 sur 5 et dit que « Scorsese se lâche. Son film est outrancier plutôt drôle, souvent jouissif »[29]. Certaines critiques sont beaucoup plus mitigées, à l'instar de celle d'Arnaud Schwartz dans La Croix, qui regrette la « surenchère à laquelle il [Martin Scorsese] s’astreint mène droit à l’ennui et finit même par nuire à une série de scènes dialoguées, à forte tonalité tarantinesque »[29]. Pascal Mérigeau du Nouvel Observateur déplore quant à lui que le film montre les « comportements d'une bande de crétins intéressés exclusivement par eux-mêmes » et que « le temps paraît long »[29]. Pour Jean-Baptiste Thoret de Charlie Hebdo « Le Loup de Wall Street, c'est Casino passé à la moulinette fadasse de la petite forme télévisuelle »[29].

Aux États-Unis, le film obtient une moyenne de 75/100 pour 47 critiques sur l'agrégateur Metacritic[27] et 75 % d'opinions favorables sur Rotten Tomatoes[28]. À la suite de nombreuses critiques négatives, Leonardo DiCaprio explique que le film ne fait pas l'apologie du comportement de Jordan Belfort : « Le film pourrait ne pas être compris par certains. J'espère que le public comprend que nous ne tolérons pas ce comportement, que nous le condamnons. Le livre était une mise en garde et si vous restez jusqu'à la fin du film, vous comprendrez ce que nous affirmons à propos de ces gens et de ce monde, car ce dernier est toxique. [...] Je pense que c'est incroyable que quelqu'un comme Martin Scorsese fasse encore des films qui sont vitaux, des films qui font parler, sujet à controverse, et pouvant attirer des gens de ma génération. Nous avons grandi en regardant ses films et il continue à faire des choses punk rock. C'est une incroyable réussite. [...] Ce film m'a passionné, tout comme Aviator. Travailler avec Marty à ce stade de sa carrière et faire un film qui comporte de nombreux risques... Les gens - peu importe leur attitude après avoir vu le film - devraient comprendre que c'est un film qui sort de l'ordinaire et très difficile à faire de nos jours ; ça n'arrive presque jamais. C'est respectable »[30].

Box-office

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
États-Unis 116 900 694 $[1],[31] 15
France 3 009 494 entrées[31] 15
Monde 392 000 694 $[1] -

Distinctions

Récompenses

Nominations

Analyse

Références à d'autres œuvres

  • Le détective privé de Jordan Belfort lui dit : « Il te prend pour ce putain de Gordon Gekko ». Gordon Gekko est le personnage principal du film Wall Street d'Oliver Stone, interprété par Michael Douglas.
  • Lorsque Jordan Belfort et ses employés scandent "Il est l'un des nôtres!", "One of us!", la scène évoque le banquet de mariage de Cléopatre et Hans dans La Monstrueuse Parade de Tod Browning.[réf. nécessaire]

Notes et références

  1. (en) « The Wolf of Wall Street », sur Box Office Mojo (consulté le )
  2. Le Loup de Wall Street : la durée officielle et de nouvelles affiches ! - AlloCiné.fr
  3. (en) Dates de sortie sur l’Internet Movie Database
  4. Une date de sortie pour The Wolf of Wall Street, sur commeaucinema.com, consulté le 1er mars 2013
  5. « The Wolf of Wall Street (2013) - IMDb » [vidéo], sur IMDb (consulté le ).
  6. Depuis Inception en juillet 2010, Damien Ferrette doublait Leonardo DiCaprio à la place de Damien Witecka. Warner Bros France et le directeur artistique Michel Derain avaient jugé la voix de Damien Witecka trop légère par rapport à la carrure actuelle de l'acteur. Danielle Perret et Metropolitan FilmExport ont fait le choix de ne pas suivre ce choix par Warner Bros., Sony et Michel Derain, en reprenant Damien Witecka.
  7. « Deuxième fiche du doublage français du film » sur RS Doublage, consulté le 9 décembre 2013
  8. « Fiche de doublage V. Q. du film » sur Doublage Québec, consultée le 26 janvier 2014
  9. Ridley Scott reprend le projet The Wolf of Wall Street - AlloCiné
  10. DiCaprio-Scorsese, cinquième ! (officiel) - AlloCiné
  11. The Wolf of Wall Street : Jonah Hill devant la caméra de Scorsese ? - AlloCiné
  12. Jean Dujardin chez Scorsese ! - AlloCiné
  13. Matthew McConaughey chez Scorsese ! - AlloCiné
  14. La voix de Gene Hackman dans le prochain Scorsese - AlloCiné
  15. (en) Julie Andrews May Join The Wolf Of Wall Street - WeGotThisCovered.com
  16. (en) « Every Cameo In The Wolf Of Wall Street », sur screenrant.com, (consulté le ).
  17. (en) Screenwriter Terence Winter Talks The Wolf of Wall Street - Afterthecut.com
  18. Sur le tournage de "The Wolf of Wall Street" avec DiCaprio - AlloCiné
  19. (en) Leo and crew converge on Closter for latest Martin Scorsese film - NorthJersey.com
  20. (en) Scorsese Goes Digital, Abandons Film - Empire.com
  21. « Le Loup de Wall Street » déshabillé de ses effets spéciaux - Le Monde, .
  22. « Les ERREURS dans LE LOUP DE WALL STREET - Faux raccord » sur YouTube.
  23. (en) Tim Appelo, « Scorsese's Music Man on Wolf of Wall Street Soundtrack Album: 'Marty is Fearless' », sur The Hollywood Reporter, (consulté le )
  24. (en) « Wolf of Wall Street », sur AllMusic (consulté le )
  25. (en) Musique sur l’Internet Movie Database
  26. (en) [vidéo] Bande-annonce sur YouTube
  27. (en) «  The Wolf of Wall Street », sur Metacritic.com, CNET Networks (consulté le )
  28. (en) « The Wolf of Wall Street (2013) », sur Rotten Tomatoes.com, Flixster Inc. (consulté le )
  29. B.B., « Critiques presse - Le Loup de Wall Street », sur AlloCiné.fr (consulté le )
  30. B.B., « Après les critiques, Leonardo DiCaprio prend la défense du Loup de Wall Street », sur AlloCiné.fr, (consulté le )
  31. « Le Loup de Wall Street », sur JP's Box Office (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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