Ille-sur-Têt
Ille-sur-Têt [ij syʁ tɛt] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Ille (homonymie).
Ille-sur-Têt | |||||
L'église Saint-Étienne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Roussillon Conflent (siège) |
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Maire Mandat |
Willy Burghoffer 2020-2026 |
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Code postal | 66130 | ||||
Code commune | 66088 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Illois, Illoises | ||||
Population municipale |
5 436 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 172 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 40′ 18″ nord, 2° 37′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 446 m |
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Superficie | 31,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Ille-sur-Têt (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de la Têt | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | ille-sur-tet.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Illois.
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Illa ['iʎə] ou (improprement) Illa de Tet[1].
Au IXe siècle, le nom est attesté sous la forme Yla[2]. En 1793, le nom de la commune est Ille et devient officiellement Ille-sur-Têt le [3],[4].
L'origine du nom pourrait être le latin insula « île », avec un sens dérivé de « terres destinées à l'arrosage, situées près de la rivière »[5]. Il peut aussi s'agir d'un composé il-ia, sur la base du mot aquitain ili « ville »[2] ou de la racine du mot ibère apparenté ilti, iltiŕ « ville »[6].
Géographie
Localisation
La commune d'Ille-sur-Têt se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[7].
Elle se situe à 23 km à vol d'oiseau de Perpignan[8], préfecture du département, à 17 km de Prades[9], sous-préfecture, et à 14 km du Le Soler[10], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Têt dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[7]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[7].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[11] : Saint-Michel-de-Llotes (2,4 km), Bouleternère (3,6 km), Corbère (3,8 km), Néfiach (4,6 km), Corbère-les-Cabanes (4,7 km), Rodès (5,0 km), Bélesta (5,3 km), Montalba-le-Château (5,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Ille-sur-Têt fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[12].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 167 hectares. L'altitude varie entre 110 et 446 mètres[3].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[14].
Le village est également géologiquement caractérisé par l'existence sur son territoire de cheminées de fées qui ont été nommées Orgues d'Ille-sur-Têt.
Hydrographie
La commune est traversée par la Têt (au nord), ainsi que par son affluent le Boulès (au sud).
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[17]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thuir », sur la commune de Thuir, mise en service en 1993[20]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[21],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 576,3 mm pour la période 1981-2010[22]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 23 km[23], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[24], à 15,7 °C pour 1981-2010[25], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[26].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[27] : le « plateau de Rodès et de Montalba » (2 677 ha), couvrant 5 communes du département[28] et la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » (554 ha), couvrant 10 communes du département[29] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[27] :
Urbanisme
Typologie
Ille-sur-Têt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ille-sur-Têt, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[35] et 7 597 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[36],[37].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[38],[39].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,9 %), cultures permanentes (38,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), forêts (4,9 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (0,5 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route nationale 116 traverse la commune d'est en ouest. Celle-ci est aussi un des points d’accès à la région des Fenouillèdes (vers Montalba-le-Château ou Bélesta).
La commune compte une gare sur son territoire, la gare d'Ille-sur-Têt, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.
De nombreuses lignes du réseau régional liO desservent la commune : la 511 (Rabouillet - Ille-sur-Têt), 512 (Corbère - Perpignan), 513 (Rodès - Ille-sur-Têt), 520 (Prades - Perpignan).
Histoire
Dans le cadre de la guerre des faucheurs, 5 000 soldats espagnols dirigés par Juan de Garay Otañez, avec de la cavalerie et quatre pièces d'artillerie provenant de Perpignan, ont attaqué la cité du 23 au . Ils ont été repoussés par les 600 Français de George Stuart, 9e Seigneur d'Aubigny. La résistance de la population et la menace de l'arrivée des renforts français ont découragé les espagnols qui ont levé le siège.
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune d'Ille est choisie pour être le chef-lieu du canton d'Ille. Celui-ci est supprimé en 1801 et Ille est alors rattachée au canton de Vinça qu'elle ne quitte plus par la suite[3],[4].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de la Vallée de la Têt.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[41],[42].
Liste des maires
Politique de développement durable
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[48].
Ville fleurie : deux fleurs attribuées par le Conseil national des Villes et Villages fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[49].
Population et société
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2018, la commune comptait 5 436 habitants[Note 8], en augmentation de 0,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[54] | 1975[54] | 1982[54] | 1990[54] | 1999[54] | 2006[55] | 2009[56] | 2013[57] |
Rang de la commune dans le département | 7 | 8 | 11 | 16 | 18 | 17 | 18 | 18 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Ille-sur-Têt dispose de deux écoles maternelles publiques (98 et 99 élèves en 2013)[58],[59], de deux écoles primaires publiques (238 et 142 élèves en 2013)[60],[61] et d'un collège public[62],[63].
Manifestations culturelles et festivités
Sports
- Ille-sur-Têt compte un club de rugby à XIII : Ille XIII.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 452 €[66].
Entreprises et commerces
Les cycles Caminade est une entreprise siègeant sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- L'église Saint-Étienne ( Classé MH (1998)) ;
- L'église Sainte-Marie-la-Rodona Classé MH (1986) : église romane ;
- L'église des Carmes ( Classé MH (1984)) ;
- L'Hospici d'Illa ou hospice Saint-Jacques ( Classé MH (1987)) ;
- Église de l'Hôpital Saint-Jacques dit aussi Hospici d'Illa d'Ille-sur-Têt.
- Le monastère Saint-Clément de Reglella ( Inscrit MH (1993, Chapelle et vestiges de l'ancien monastère)) : monastère en ruines de style roman située au lieu-dit Reglella ;
- L'église Saint-Sauveur de Casesnoves ( Inscrit MH (1955)) ;
- L'hôtel d'Ardena ( Inscrit MH (1984)), hôtel particulier du XVIIe siècle ;
- Une croix de cimetière du XVIe siècle ( Classé MH (1892)) ;
- Le site des Orgues d'Ille-sur-Têt.
- L'ermitage Saint-Maurice de Greulera Inscrit MH (1927).
- Ancienne église Sainte-Croix d'Ille-sur-Têt.
- Ancienne église Sainte-Marie d'Ille-sur-Têt.
- Chapelle d'Ille-sur-Têt.
- Chapelle Notre-Dame de Greolera.
- Église Saint-Sauveur de Casesnoves
- L'église Saint-Sauveur
- Église Saint-Clément de Reglella
- Église Sainte-Marie-la-Rodona
- Église Saint-Étienne d'Ille-sur-Têt
- L'église des Carmes
- Ermitage Saint-Maurice de Greulera
- Église de l'Hôpital Saint-Jacques dit aussi Hospici d'Illa d'Ille-sur-Têt
- Ancienne église Sainte-Croix d'Ille-sur-Têt
- Ancienne église Sainte-Marie d'Ille-sur-Têt. L'église a été transformée en maison
- Les Orgues
Personnalités liées à la commune
- Joseph d'Albert (1722-1790) : conseiller au Parlement de Paris, né et mort à Ille-sur-Têt ;
- François-Étienne Montégut (1758-1827) : homme politique né à Ille-sur-Têt ;
- Amédée Artus (1815-1892) : chef d'orchestre et compositeur mort à Ille-sur-Têt ;
- Jean Bardou (1799-1852) : industriel né à Ille-sur-Têt ;
- Charles Dupuy (1851-1923) : homme politique, fait citoyen d'honneur de la ville en 1893[67] et mort à Ille-sur-Têt ;
- Renée Vidal (1861-1911) : chanteuse d'opéra ayant vécu et morte à Ille-sur-Têt ;
- Étienne Alart (1883-?) : militant anarchiste et antimilitariste né à Ille-sur-Têt ;
- Joseph-Sébastien Pons (1886-1962) : poète né et mort à Ille-sur-Têt ;
- Simona Gay (1898-1969) : poétesse, aquarelliste, sœur de Joseph-Sébastien Pons, née et morte à Ille-sur-Têt ;
- Xavier de Gaulle (1887-1955) : résistant, ayant travaillé à Ille-sur-Têt ;
- Pierre Fouché (1891-1967) : linguiste, né et mort à Ille-sur-Têt ;
- René Barande (1892-1976) : graveur sur bois, spécialisé dans l'ex-libris, né à Ille-sur-Têt ;
- Jean Galia (1905-1949) : joueur de rugby à XV et de rugby à XIII né à Ille-sur-Têt ;
- Louis Amade (1915-1992) : parolier et préfet, né à Ille-sur-Têt ;
- Vincent Mestres (1932-) : joueur de rugby à XIII et de rugby à XV, champion de France de rugby à XV en 1955 avec l'USAP, troisième ligne aile, né à Ille-sur-Têt ;
- Gérard LLaury (1935-) : joueur de rugby à XV, champion de France de rugby à XV en 1955 avec l'USAP, troisième ligne centre, né à Ille-sur-Têt ;
- Paul Blanc (1937-) : homme politique, né à Ille-sur-Têt ;
- Paul Loridant (1948-2020) : homme politique, né à Ille-sur-Têt.
Culture populaire
- La nouvelle de Prosper Mérimée, La Vénus d'Ille, se déroule à Ille-sur-Têt.
Voir aussi
Bibliographie
- Émile Delonca et Léon Delonca, Un village en Roussillon : Illa, terra de Rosselló, Perpignan, Impr. du Midi, , 436 p. (notice BnF no FRBNF32012190)
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., p. 360.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ille-sur-Têt », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
- (es) Xaverio Ballester, « Las adfinitas de las lenguas aquitana e ibérica », Palaeohispanica, Revista sobre lengua y culturas de la Hispania antigua (Saragosse), (ISSN 1578-5386).
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- Stephan Georg, « Distance entre Ille-sur-Têt et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- « Communes les plus proches d'Ille-sur-Têt », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Liste des maires d'Ille-sur-Têt sur le site MairesGenWeb
- http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article87878, notice JUSTAFRÉ Lucie, Marie, Marguerite, dite Lucette [plus connue depuis les années 1950 sous le nom de PLA-JUSTAFRÉ Lucette]. par André Balent, version mise en ligne le 5 juillet 2010, dernière modification le 29 décembre 2017.
- Décès d'Henri Demay
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- Réélection en 2020 : « Ille-sur-Têt : William Burghoffer réélu », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Ille-sur-Têt, consultée le 26 octobre 2017
- « Ille-sur-Têt », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique Henri Wallon d'Ille-sur-Têt
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique Louis Torcatis d'Ille-sur-Têt
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école primaire publique Louis Pasteur d'Ille-sur-Têt
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école primaire publique Paul Langevin d'Ille-sur-Têt
- Inspection académique des Pyrénées-Orientales, « Circonscription de Prades », (consulté le ).
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, collège Pierre Fouché d'Ille-sur-Têt
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Office de tourisme d'Ille-sur-Têt, section Animations
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Fabricio Cardenas, « Un ministre à Ille-sur-Têt en 1893 », sur Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, (consulté le ).
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