Bouleternère
Bouleternère est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Bouleternère | |||||
![]() Vue générale de Bouleternère. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat |
Pascal Trafi 2020-2026 |
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Code postal | 66130 | ||||
Code commune | 66023 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouleternerois(e) | ||||
Population municipale |
943 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 39′ 02″ nord, 2° 35′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 160 m Max. 612 m |
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Superficie | 10,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Bouleternerois(e).
Géographie
Localisation
La commune de Bouleternère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 14 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 21 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Rodès (2,2 km), Saint-Michel-de-Llotes (3,0 km), Ille-sur-Têt (3,6 km), Casefabre (4,4 km), Vinça (4,8 km), Rigarda (5,1 km), Montalba-le-Château (5,6 km), Corbère (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Bouleternère fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minusule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[6].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 063 hectares. L'altitude varie entre 160 et 612 mètres[8].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
Hydrographie

À Boulternère, le canal de Corbère[10] (une partie du canal royal de Thuir), dont l'origine remonte au XIVe siècle et qui achemine l'eau de la Têt jusqu'à Perpignan, passe par le lieu dit Cantonada del Molí (Carrefour du Moulin). Sur cet emplacement ont existé un moulin à huile, qui fonctionna de 1794 à 1882, et un moulin à farine de 1856 à 1882. L'aménagement du carrefour actuel date de 1993.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eus », sur la commune d'Eus, mise en service en 1994[16]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 500,9 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 26 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[23] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[24].
Urbanisme
Typologie
Bouleternère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,5 %), cultures permanentes (28,5 %), forêts (21,1 %), zones urbanisées (2,9 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Bulaternera[31].
Les anciennes mentions du nom donnent Bula en 1008, Bula Superana en 1020, Bula de Confluenti en 1145, Bula de Terrenera en 1303[32], Bula Terrenera au XVe siècle, Bulaternera en 1632, Boula Terranera en 1770. Le nom Bula d'Avall, par opposition à Boule-d'Amont, a aussi existé jusqu'au XIVe siècle[33].
Bula vient du nom de la rivière Boulès qui sépare Boule d'Amont et Bouleternère. L'origine du nom est sans doute dans la racine pré-latine Bul-Vol, employée pour les torrents ravinés, aux berges escarpées ou éboulées[33].
Ternera est une contraction de l'expression catalane terra negra (terre noire). La plaine située à l'est du Boulès est en effet constituée de riches terres noires, très fertiles, tandis que le secteur situé à l'ouest vers Boule-d'Amont est constitué de terres blanches aux sols argilo-silicieux et beaucoup plus pauvres. On y trouve d'ailleurs un lieu-dit Terra alba (terre blanche). Le col voisin s'appelle également col de Ternère[33].
Prosper Mérimée, dans sa nouvelle La Vénus d'Ille, invente une fausse étymologie mi-grecque, mi-phénicienne. C'est M. Peyrehorade, découvreur de la statue qui donne le nom de ce récit, qui, à partir d'une inscription incomplète en latin (VENERI TVRBVL...) trouvée sur la Vénus, reconstitue cette toponymie fantaisiste. Mérimée, dans cette nouvelle, utilise le personnage de M. Peyrehorade pour critiquer les érudits locaux du XIXe siècle, souvent prompts à s'enflammer pour leurs découvertes et qui, par ignorance et fatuité, propagent une pseudo-science remplie d'erreurs et d'approximations. La toponymie est un domaine dans lequel ce manque de rigueur a été particulièrement actif.[réf. souhaitée]
Histoire
Le territoire de Bouleternère fait tout d'abord partie du comté de Roussillon, mais sa position stratégique lui vaut d'être rattaché au comté de Conflent vers l'an 878. Au Xe et XIe siècles, l'abbaye Saint-Michel de Cuxa possède de nombreux alleus à Bouleternère, mais la seigneurie elle-même est entre les mains des comtes de Cerdagne, puis dès 1117 des comtes de Barcelone. Elle revient au Roussillon lorsque Jacques II de Majorque l'inféode à Pierre de Fenouillet le . Lorsque ce dernier est fait vicomte d'Ille par le roi Sanche de Majorque le , la seigneurie de Bouleternère y est de fait intégrée[32].
À la fin du XVe siècle, Bouleternère obtient le titre de vila et siège au cort à Perpignan. En 1542, le dauphin de France, le futur Louis XI assiège Bouleternère, saccage la ville et tue les 3 consuls.[réf. nécessaire]
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Bouleternère est incluse dans le canton d'Ille au sein du district de Prades. Elle rejoint le canton de Vinça en 1801, qu'elle ne quitte plus par la suite[34],[8].
À compter des élections départementales de 2015, la commune de Bouleternère rejoint le nouveau canton du Canigou.
Liste des maires

Qualité de l'eau
L'eau du forage privé au lieu-dit Grabas à Bouleternère est classée en 2011[40] :
- bon état : nitrates, métaux, solvants chlorés ;
- état médiocre : pesticides, état chimique.
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2018, la commune comptait 943 habitants[Note 7], en augmentation de 4,08 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[44] | 1975[44] | 1982[44] | 1990[44] | 1999[44] | 2006[45] | 2009[46] | 2013[47] |
Rang de la commune dans le département | 59 | 73 | 78 | 86 | 86 | 87 | 87 | 88 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Le secteur du collège est Ille-sur-Têt[48].
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 17 et 18 janvier[49] ;
- Fête communale : 17 juillet[49] ;
- Foire : 2e mardi de septembre[49] ;
- Procession du jeudi saint organisée par la confrérie des pagesos, la plus vielle procession pieuse de France sans interruption depuis le XVIIe siècle (fresque de l'église). Cette procession aux flambeaux dans les ruelles antiques du village se déroule sous la direction du regidor qui change à tour de rôle parmi les vieilles familles du village : Llense, Glory, leveque, Reig, Darrey, Barboteu, Soler, Jacomy.
Sports
Bouleternère est un passage prévu lors de la 15e étape du Tour de France 2021 (Céret-Andorre-la-Vieille) à 35,3 km après le départ de Céret[50].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 685 €[51].
Entreprises et commerces
Ressources principales : agriculture fruitière.
Il a été installé un système de puisage des eaux potables en profondeur qui permet de desservir les villages environnants de même un système d'arrosage a été développé permettant de restreindre au maximum les réserves en eaux pour un arrosage en toute maîtrise.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- L'enceinte fortifiée du village comportait quatre tours et sept portes. Trois portes et deux tours ainsi qu'une grande partie des remparts existent encore à ce jour[52].
- Chapelle Sainte-Anne de Bouleternère : petite chapelle récemment restaurée en bordure de la RN 116, sur la droite, en direction de Font-Romeu.
- Église Saint-Nazaire de Barbadell : située dans les gorges du Boulés et rénovée actuellement par l'association Els Amics de Sant Nazari de Barbadell[52].
- Ancienne église Saint-Sulpice : église romane du XIe siècle, rebâtie sur une église existante du IXe siècle, aujourd'hui intégrée dans un clocher-donjon[52].
- Nouvelle église Saint-Sulpice, achevée en 1659 : On y trouve un portail en marbre surmonté d'une statue de Saint Sulpice et, à l'intérieur, deux retables du XVIIe siècle[52].
- Église Sainte-Marie de Bouleternère.
- Plusieurs portes de maison sont remarquables, bien restaurées et entretenues par les résidents.
Tous les bâtiments sont construits sur un massif de schistes, dont l'exploitation a été florissante au siècle dernier.
- Le dolmen du Coll de la Llosa est situé à la limite des communes de Bouleternère, Casefabre et Saint-Michel-de-Llotes.
- Tour ronde de remparts.
- Tour ronde de remparts.
- Portail de la nouvelle église.
- Ancienne Église Saint-Sulpice.
- Ancienne Église Saint-Sulpice.
- Église Saint-Nazaire de Barbadell.
- Église Saint-Nazaire de Barbadell.
- Église Sainte-Marie de Bouleternère
Personnalités liées à la commune

- Michel Pontich (1632-1699) : évêque de Gérone qui fit bâtir l'escalier baroque en marbre blanc de la cathédrale de Gérone[54], né à Bouleternère ;
- Ange Jean Michel Bonaventure de Dax d'Axat (1767-1847) : militaire et homme politique né à Bouleternère ;
- Édouard Rolland (1833-1919) : homme politique mort à Bouleternère ;
- Galdric Verdaguer (1842-1872) : protagoniste de la Commune de Paris ;
- Charles Rennie Mackintosh (1868-1928), architecte et aquarelliste britannique ;
- Louis Damien Sobraques (1891-1936)[pourquoi ?] : mariste martyr de la guerre d'Espagne.
Culture populaire
- Prosper Mérimée, inspecteur des monuments historiques cite Bouleternère dans le roman La Vénus d'Ille.
Héraldique
Blasonnement de la commune :
D'azur au lion d'argent tenant de sa dextre une fleur de lys d'or.

Voir aussi
Bibliographie
- Abbé Constant Paulet, Bouleternère
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Bouleternère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bouleternère et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bouleternère et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bouleternère et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bouleternère », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- patrimoine2corbere (consulté le 13 août 2021).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Bouleternère et Eus », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Bouleternère et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- MaireGenWeb, pour l'ensemble de la liste des maires à l'exception de 1815
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Bouleternère, le 1er juin 1815, 9 février 2014
- http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article24933, notice GASPARD Jules, Jean par André Balent, version mise en ligne le 10 mars 2009, dernière modification le 22 août 2014.
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- L'eau dans le bassin Rhône Méditerranée, Fiché état des eaux Bouleternère
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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- Jean Capeille, « Pontich (Michel) », dans Dictionnaire de biographies roussillonnaises, Perpignan, .
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