Rodès

Rodès [ʁodɛs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Rodez ou Rhodes.

Rodès

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes de Roussillon Conflent
Maire
Mandat
Marc Bianchini
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66165
Démographie
Population
municipale
624 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 39′ 29″ nord, 2° 33′ 44″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 771 m
Superficie 18,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Rodès
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Rodès
Géolocalisation sur la carte : France
Rodès
Géolocalisation sur la carte : France
Rodès

    Ses habitants sont appelés les Rodésiens.

    Géographie

    Vue générale du village de Rodès.

    Localisation

    La commune de Rodès se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 28 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 12 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 22 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Bouleternère (2,2 km), Vinça (3,0 km), Rigarda (4,3 km), Montalba-le-Château (4,3 km), Ille-sur-Têt (5,0 km), Saint-Michel-de-Llotes (5,1 km), Joch (5,3 km), Finestret (6,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Rodès fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 811 hectares. L'altitude varie entre 172 et 771 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    La Têt traverse la commune en son milieu, en provenance à l'ouest du lac de Vinça et poursuivant son cours en direction de l'est vers Ille-sur-Têt[7].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[11] :

    • les « fenouillèdes », d'une superficie de 479 ha, un site qui renferme des mares temporaires dont l'état de conservation est encore excellent[12] ;
    • les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales », d'une superficie de 2 437 ha, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire[13] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[14] : le « plateau de Rodès et de Montalba » (2 677 ha), couvrant 5 communes du département[15] et la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » (554 ha), couvrant 10 communes du département[16] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[14] :

    • le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[17] ;
    • le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Rodès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,4 %), forêts (19,3 %), cultures permanentes (3,1 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 7] (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée en son milieu par la route nationale N116, en provenance à l'est d'Ille-sur-Têt et se poursuivant à l'ouest en direction de Vinça[7].

    Les lignes 513 (Rodès - Ille-sur-Têt) et 520 (Prades - Gare de Perpignan) du réseau régional liO assurent la desserte de la commune.

    Toponymie

    Le nom de la commune est Rodès, en français comme en catalan[25].

    Politique et administration

    Canton

    En 1793, la commune voisine de Bouleternère est incluse dans le canton d'Ille au sein du district de Prades. Elle rejoint le canton de Vinça en 1801, qu'elle ne quitte plus par la suite[26],[8]

    À compter des élections départementales de 2015, la commune de Rodès rejoint le nouveau canton du Canigou.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1793 Joseph Cornet    
    1793 1793 Michel Roger    
    1793 1806 Joseph Cornet    
    1806 1813 François Puell    
    1813 1820 François Molins    
    1820 1829 Côme Decandy    
    1829 1831 Isidore Bollo    
    1831 1831 Bonaventure Roger    
    1831 1848 Joseph Cornet    
    1848 1849 Joseph Tixeire    
    1849 1852 François Glory    
    1852 1854 Etienne Domenech    
    1854 1859 François Glory    
    1859 1870 Joseph Cornet de Bosch    
    1870 1872 Sylvestre Saleta    
    1872 1874 Bonaventure Molins    
    1874 1878 Isidore Tixeire    
    1878 1879 Michel Roger    
    1879 1884 Jules Tixeire    
    1884 1908 Jacques Catala    
    1908 1914 Bonaventure Glory    
    1914 1919 Julien Garrigue    
    1919 1925 Joseph-Jean Cornet    
    1925 1935 Michel Puig    
    1935 1941 Gustave Rouit    
    1942 1944 Antoine Andrieu    
    1944 1951 Jean Sarda    
    1951 1953 Jean Casteil    
    1953 1959 Martin Christau    
    1959 1965 Albert Gaspard    
    1965 1972 François Glory    
    1972 1989 Robert Jacquemin    
    1989 2008 Georges Adroguer    
    2008 (décès)[27] Marie-Christine Grau[28]    
    2019 En cours      

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1359 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720
    55 f60 f55 f29 f27 f28 f22 f55 f61 f
    1767 1774 1789 - - - - - -
    495 H107 f112 f------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1359 : dont 2 f pour Croses et 8 f pour Ropidera ;
    • 1378 : dont 1 f pour Ropidera ;
    • 1515 : dont 1 f pour Ropidera ;
    • 1553 : dont 2 f pour Ropidera.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 624 habitants[Note 8], en diminution de 1,27 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    494535560683739752731712683
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    699640630619588551502429402
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    404403322403517452418354373
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    393401340347407509586597626
    2017 2018 - - - - - - -
    619624-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[32] 1975[32] 1982[32] 1990[32] 1999[32] 2006[33] 2009[34] 2013[35]
    Rang de la commune dans le département 95 109 103 107 106 102 102 103
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Le secteur du collège est Ille-sur-Têt[36].

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 863 [38].

    Entreprises et commerces

    L'ancienne carrière de granite.

    L'importante carrière de granite de Rodès a été exploitée jusque dans les années 1930. De par sa situation, elle constituait une des exploitations de ce minéral les plus proches de Perpignan. Le gisement fournissait essentiellement des pavés et des bordures de trottoir expédiés non seulement dans tout le département, mais aussi vers d'autres centres urbains, tels que Toulouse, Marseille ou même Paris[39].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Héraldique

    Blason
    De gueules au château de sable, ouvert et ajouré du champ, hersé d'or et à la roue du même brochant en pointe.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Olivier Passarius (dir.), Aymat Catafau (dir.), Michel Martzluff (dir.) et al., Archéologie d'une montagne brûlée, Canet, Trabucaire, , 504 p. (ISBN 978-2849741016)
    • (en) Peter McPhee, « On Rural Politics in Nineteenth-Century France : The Example of Rodès, 1789-1851 », Comparative Studies in Society and History, vol. 23, no 2, , p. 248-277

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Rodès », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Rodès et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Rodès et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Rodès et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Rodès », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rodès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « site Natura 2000 FR9101490 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « site Natura 2000 FR9102010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rodès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « plateau de Rodès et de Montalba » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    26. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    27. Laura Meunier, « Rodès : Marie-Christine Grau, maire et épicière, s'est éteinte à l'âge 62 ans », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
    28. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. Inspection académique des Pyrénées-Orientales, « Circonscription de Prades » [archive du ], (consulté le ).
    37. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    38. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. Michel Martzluff, Les hommes du granite dans les Pyrénées nord-catalanes : Conflent-Cerdanya-Andorra, vol. 63, Prades, Terra nostra, , 128 p. (notice BnF no FRBNF34995765), p. 14.
    • Portail des communes de France
    • Portail des pays catalans
    • Portail des Pyrénées
    • Portail des Pyrénées-Orientales
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.