Trévillach

Trévillach est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Trévillach

Le village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Claude Sire
2020-2026
Code postal 66130
Code commune 66215
Démographie
Gentilé Trévillaquois(es)
Population
municipale
159 hab. (2018 )
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 42′ 34″ nord, 2° 31′ 51″ est
Altitude Min. 346 m
Max. 800 m
Superficie 17,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Agly
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Trévillach
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Trévillach
Géolocalisation sur la carte : France
Trévillach
Géolocalisation sur la carte : France
Trévillach
Liens
Site web http://www.trevillach.fr/

    Ses habitants sont appelés les Trévillaquois et Trévillaquoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Trévillach se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 13 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 29 km de Rivesaltes[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Montalba-le-Château (2,8 km), Tarerach (3,1 km), Trilla (3,6 km), Caramany (4,4 km), Pézilla-de-Conflent (5,2 km), Campoussy (5,9 km), Ansignan (5,9 km), Arboussols (6,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Trévillach fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[6].

    Situation de la commune

    Géologie et relief

    Trévillach possède une superficie de 1 724 ha et son altitude varie de 346 à 800 mètres[8]. Le point le plus élevé de la commune se situe au Sarrat d'Espinets, au nord-ouest du village qui est situé quant à lui au pied du petit sommet du Cascailla (665 m)[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    Plusieurs cours d'au parcourent le territoire de la commune[7] :

    • La Desix constitue la limite occidentale de la commune, avec Campoussy, Sournia et Prats-de-Sournia. Celle-ci se dirige du sud vers le nord.
    • Plusieurs de ses affluents de la rive droite traversent cette même partie occidentale de la commune, dont notamment le Rau de Rapane qui descend du col des Auzines jusqu'aux environs des ruines de Roquevert.
    • La Riberette prend sa source sur la commune et y reçoit divers affluents, avant de se diriger vers l'est puis vers le sud en direction de la Têt.

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales »[11], d'une superficie de 2 437 ha, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire[12].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[13] : les « garrigues de Sournia et grotte du Desix » (731 ha), couvrant 4 communes du département[14] et le « massif du Sarrat d'Espinets » (1 772 ha), couvrant 6 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[13] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Trévillach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (86,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), forêts (3,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune de Trévillach est traversée par la route départementale D2, en provenance à l'est de Montalba-le-Château et en direction vers l'ouest de Campoussy. Depuis le Col des Auzines démarre vers le sud la route départementale D13, en direction de Tarerach. De nombreuses routes communales rejoignent ces deux axes[7].

    La ligne 511 du réseau régional liO relie la commune à Ille-sur-Têt depuis Rabouillet.

    Toponymie

    Formes du nom

    La première mention de Trévillac remonte à 1026, comme indication d'une des limites de l'alleu de Sequera (Séquières)[23]. Le lieu est alors désigné sous le nom de Trivilano. On trouve à la même époque Trivilanum, puis au XIVe et XVe siècles Trivilacho, suivis au XVIIe siècle de la forme occitane Trevilhac[24].

    En occitan le nom de la commune est Trevilhach, et en catalan Trevillach, avec le h final si l'on souhaite respecter les graphies traditionnelles, ou sans, Trevilhac (occitan) et Trevillac (catalan), pour se conformer aux normes orthographiques modernes[24].

    Étymologie

    L'origine du nom de Trévillac suit le modèle courant des noms de domaines gallo-romains, suivis d'un suffixe adjectival, soit -anum, soit -acum. Ceci explique que le nom présente dans son histoire des formes en -an et en -ac. Bien que le -ac désigne souvent une influence gauloise, l'absence de vestiges gallo-romains dans les environs laisserait cependant plutôt supposer un nom de domaine carolingien, par la suite calqué sur les noms des environs. Quant au nom de la personne ayant donné son nom au domaine, ce pourrait être Trebillaco, dérivé de Trebellius et présent ailleurs dans le sud de la France (par exemple, Travaillan dans le Vaucluse)[24].

    Histoire

    Plusieurs grottes prouvent l'occupation du territoire de Trévillach durant la préhistoire, tandis qu'un dolmen et un oppidum attestent de même pour la période protohistorique[23]. Par contre, aucun ne vestige ne concerne l'Antiquité[24].

    Durant le Moyen Âge, Trévillach est rattaché à la baronnie de Rabouillet, elle-même détenue par les seigneurs de Peyrepertuse[23]. L'église Saint-Martin était quant à elle inféodée au diocèse d'Alet[25].

    En 1790, Trévillach devient une commune. La population est alors de 290 habitants[25].

    En 1906, le village n'échappe pas à la querelle des inventaires et le maire est suspendu de ses fonctions. Il lui est reproché d'avoir participé aux manifestations contre l'autorité[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    mars 2001 mars 2008 Yves Bourreil    
    mars 2008, réélue en 2014[27] En cours Marie-Thérèse Pignol[28]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1693 1709 1720 1774 1788 1789
    55 f50 f50 f59 f247 H55 f
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 159 habitants[Note 7], en augmentation de 13,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    290289319318338365327321305
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    314278292286291287241243223
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    219203205180169181179158143
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1491391371099276107111134
    2017 2018 - - - - - - -
    157159-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[32] 1975[32] 1982[32] 1990[32] 1999[32] 2006[33] 2009[34] 2013[35]
    Rang de la commune dans le département 158 143 179 172 188 173 172 165
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : [36] ;
    • Fête communale : [36].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 640 [37].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • L'église Saint-Martin à Trévillach datant du XIIe siècle, remaniée postérieurement. Clocher mur des XVIIe et XVIIIe siècles.
    • Église Saint-Vincent de Séquières (ruines).
    • Tour de Roquevert à Roquevert, datant du XIe siècle (en ruine).
    • Ancien pont médiéval.
    • Grange fortifiée et sa chapelle romane à Séquerre, datant du XIe siècle.

    Héraldique

    Blason
    De sinople à deux besants d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Trévillach », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Trévillach et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Trévillach et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Trévillach et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Trévillach », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    10. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Trévillach », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « site Natura 2000 FR9102010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Trévillach », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF les « garrigues de Sournia et grotte du Desix » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « massif du Sarrat d'Espinets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    23. Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
    24. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    25. Fabricio Cárdenas, 66 petites histoires du Pays Catalan, Perpignan, Ultima Necat, coll. « Les vieux papiers », , 141 p. (ISBN 978-2-36771-006-8, notice BnF no FRBNF43886275).
    26. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    27. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    36. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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