Ansignan
Ansignan (en occitan Ansinhan ou Ancinhan) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Ansignan Ansinhan | |||||
![]() La rue principale du village. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Agly-Fenouillèdes | ||||
Maire Mandat |
Jean-Philippe Struillou 2020-2026 |
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Code postal | 66220 | ||||
Code commune | 66006 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ansignanais(es) | ||||
Population municipale |
168 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 45′ 43″ nord, 2° 30′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 583 m |
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Superficie | 7,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | La Vallée de l'Agly | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Ansignanais.
Géographie
Localisation
La commune d'Ansignan se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[2].
Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Perpignan[3], préfecture du département, à 18 km de Prades[4], sous-préfecture, et à 29 km de Rivesaltes[5], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[2].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Trilla (2,4 km), Saint-Arnac (2,4 km), Felluns (2,6 km), Pézilla-de-Conflent (3,7 km), Lansac (3,7 km), Lesquerde (4,6 km), Saint-Martin (4,8 km), Prats-de-Sournia (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Ansignan fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[7].
- Situation de la commune (en vert) relativement au département.
- Situation d'Ansignan.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 784 hectares. L'altitude varie entre 155 et 583 mètres[9]. Le centre du village est à une altitude de 245 m[10].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[11].
Hydrographie
Le village est situé sur une colline, dominant la vallée de l'Agly. La Desix, venue de Sournia, en est un affluent. C'est au confluent de ces deux cours d'eau que naît le barrage sur l'Agly.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sournia », sur la commune de Sournia, mise en service en 1967[17]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 735,6 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 32 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[21], à 15,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[24] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[25].
Urbanisme
Typologie
Ansignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[27],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29],[30].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,5 %), cultures permanentes (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), eaux continentales[Note 7] (1,2 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
L'essentiel des zones urbanisées est situé entre la rive droite de l'Agly et la rive gauche de la Désix[8].
Logement
Ansignan comprend en 2009 157 logements, parmi lesquels 55,4 % sont des résidences principales, 41,3 % sont des résidences secondaires et 3,3 % sont vacants. 73,3 % des ménages sont propriétaires de leur logement[32].
Voies de communication et transports
Accès par :
- Saint-Paul-de-Fenouillet en suivant la D 619 ;
- Estagel en suivant la D 9 qui traverse Latour-de-France, Planèzes et Rasiguères ;
- Ille-sur-Têt en suivant la D 2 puis la D 21 traversant Bélesta et Caramany.
Toponymie

- Formes du nom
Les anciennes mentions du nom donnent Villa Ansiniano (1012), Anciyas (1395) et Ansinhan (XVIIe siècle)[10]. La forme Ansignan apparaît au XVIIIe siècle[33].
Le nom de la commune est Ansinhan en occitan et Ansinyà en catalan[33].
- Étymologie
Le nom d'Ansignan vient probablement du propriétaire d'un domaine romain, Ancinius ou Ansinius, suivi du suffixe -anum[33].
Histoire

La présence du pont-aqueduc, dont les fondations pourraient dater du IIIe siècle apr. J.-C. (220-270), permet de supposer une présence romaine. Plusieurs monnaies anciennes ont été retrouvées, datant notamment de la Narbonne pré-romaine, ainsi qu'un denier de 46 av. J.-C.[10].
L'église pré-romane, située au lieu-dit « le Moulin » (près du confluent de l'Agly et de la Désix), marque l'ancien emplacement du village. Sa construction date des alentours du IXe siècle ou du Xe siècle. Elle est dédiée à Saint-Nazaire et Saint-Celse. Les habitants se sont déplacés sur la colline, à quelques centaines de mètres, pour éviter semble-t-il les crues répétées de la rivière proche. Une porte fortifiée romane, marque d'une ancienne fortification, situe la naissance du nouveau village autour du XIIIe siècle.
Du XIVe siècle jusqu'à la Révolution, la famille du Vivier possède la majeure partie du territoire. Après Antoine du Vivier, Pierre du Vivier est seigneur d'Ansignan en 1503. Puis en 1750, c'est au tour du sieur de Roquefort du Vivier, doyen du chapitre de Saint-Paul-de-Fenouillet.
Politique et administration

Canton
En 1790, la commune d'Ansignan est rattachée au canton de Saint-Paul, renommé plus tard canton de Saint-Paul-de-Fenouillet, qu'elle ne quitte plus par la suite[34],[9].
À compter des élections départementales de 2015, la commune d'Ansignan rejoint le nouveau canton de la Vallée de l'Agly.
Administration municipale
L'équipe municipale comprend en 2014 onze élus : sept hommes (le maire, deux adjoints et quatre conseillers municipaux) et quatre femmes (quatre conseillères municipales)[35].
Liste des maires

Politique environnementale
La commune pratique le tri sélectif des déchets. La déchèterie la plus proche est située à Lesquerde[40].
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].
En 2018, la commune comptait 168 habitants[Note 8], en diminution de 15,15 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
La première moitié du XIXe siècle est marquée par une augmentation de la population, avec un maximum de 317 habitants en 1831. En 1901, le village compte encore 300 habitants. Pour l'essentiel des habitants, le travail de la terre est la principale activité.
Le XXe siècle voit un lent déclin démographique. On ne compte plus que 225 habitants en 1962, et la population de la commune paraît durablement établie en dessous de la barre des 200 habitants. Mais elle n'a pas connu le déclin catastrophique atteint par les autres communes du Fenouillèdes.
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 120 | 130 | 134 | 133 | 137 | 150 | 148 | 145 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Ansignan dispose d'une école maternelle et élémentaire publique, pour un effectif de 24 élèves[49].
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Les services de santé ainsi que la pharmacie les plus proches sont situés à Saint-Paul-de-Fenouillet[51].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 17 187 €[53]. En 2011, ce revenu est de 18 526 €[54].
Emploi
L'effectif total de l'emploi sur Ansignan en 2009 est de 30 personnes, parmi lesquelles 61,8 % sont salariées. L'effectif total a diminué de 4,3 % de 1999 à 2009[32].
En 2009, le taux d'activité des 15-64 ans est de 62,2 % et le taux de chômage de 17,4 %. La commune comprend au 13 demandeurs d'emploi toutes catégories confondues, parmi lesquels figurent 11 demandeurs d'emploi de catégorie A[32].
Entreprises et commerces
On trouve à Ansignan en 2009 20 établissements actifs, parmi lesquels 40 % sont du secteur de l'agriculture, 15 % du secteur de la construction, 30 % du secteur du commerce et 15 % du secteur de l'administration publique, de l'enseignement, de la santé et de l'action sociale[32].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques

On trouve sur la commune de nombreux vestiges anciens[10].
- Le dolmen de la Rouyre ;
- Le pont-aqueduc d'Ansignan : d'origine romaine et médiévale, qui enjambe l'Agly, au nord du village ;
- Ruines de l'ancienne église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, préromane ;
- Ruines de l'ancien pont médiéval, situé près de l'église préromane ;
- Ruines du château des Albas (XIe et XIIe siècles) et de son église (XIIIe siècle) : placé au sommet d'un rocher dominant la rivière et aujourd'hui réduit à une tour, sa fonction d'origine est inconnue, étant situé trop bas pour communiquer avec les tours à signaux du Fenouillèdes, par exemple[55] ;
- L'église paroissiale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse du XVIIe siècle, contenant une chaire de la même époque et diverses statues du XVIIIe siècle[50].
Équipements culturels
La commune possède une ludothèque associative. La bibliothèque est ouverte tous les jours (horaire d'ouverture du secrétariat de mairie) et se situe à la Mairie.
Héraldique
![]() |
Les armes peuvent se blasonner ainsi : De gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or (croix occitane); au chef d'or chargé d'un aqueduc d'argent de neuf arches de sable, surmonté de l'inscription « Centre du Fenouillèdes » en lettres du même[56]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ansignan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Ansignan sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel de la commune d'Ansignan
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- « Métadonnées de la commune d'Ansignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ansignan et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ansignan », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Carte IGN sous Géoportail.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ansignan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sournia - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ansignan et Sournia », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sournia - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ansignan et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ansignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Fiche Insee 2009
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Site de la mairie, section L'équipe municipale
- MairesGenWeb
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Ansignan, 18 juin 1815, 11 janvier 2014
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- Site de la mairie, section Urbanisme et environnement
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ministère de l'Éducation nationale, École élémentaire d'Ansignan
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Site de la mairie, section Services
- Site de la mairie, section Vie associative
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Annie de Pous, Le Pays et la Vicomté féodale de Fenollède : du VIIIe au XIVe siècle, Paris, Roudil, coll. « La Grande et la petite histoire des communes françaises », , 167 p. (notice BnF no FRBNF35318016).
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=1036
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