Millas
Millas (prononcé [mijas] ) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Millassois.
Pour les articles homonymes, voir Millas (plat).
Millas | |||||
![]() Vue générale de Millas | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat |
Jacques Garsau 2020-2026 |
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Code postal | 66170 | ||||
Code commune | 66108 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Millassois(e) | ||||
Population municipale |
4 266 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 223 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 41′ 33″ nord, 2° 41′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 500 m |
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Superficie | 19,12 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Millas (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Vallée de la Têt | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
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Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Localisation
La commune de Millas se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[2].
Elle se situe à 16 km à vol d'oiseau de Perpignan[3], préfecture du département, à 24 km de Prades[4], sous-préfecture, et à 8 km du Le Soler[5], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Têt dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Millas[2].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Saint-Féliu-d'Amont (2,3 km), Néfiach (2,4 km), Corneilla-la-Rivière (2,9 km), Saint-Féliu-d'Avall (3,7 km), Corbère-les-Cabanes (4,1 km), Camélas (4,5 km), Corbère (5,1 km), Pézilla-la-Rivière (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Millas fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[7].
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Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 912 ha. Son altitude varie de 89 m à 500 m[9].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].
Hydrographie
La commune de Millas est traversée en son milieu et d'ouest en est par la Têt[8]. Ce fleuve connaît souvent des crues spectaculaires plutôt au printemps mais aussi parfois en hiver, tel l'épisode de novembre 1892 lors duquel le fleuve atteint le niveau de 4,20 mètres à Millas après avoir reçu le Boulès[11].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thuir », sur la commune de Thuir, mise en service en 1993[17]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 576,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 16 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[21], à 15,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[24] : le « massif de Força-Réal » (633 ha), couvrant 3 communes du département[25] et la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » (554 ha), couvrant 10 communes du département[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[24] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[27].
Urbanisme
Typologie
Millas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Millas, une unité urbaine monocommunale[31] de 4 279 habitants en 2017, constituant une ville isolée[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones urbanisées (10,6 %), terres arables (3,8 %), prairies (1,7 %), forêts (1,3 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
- Par la route : route nationale 116, route du vin en Roussillon, et les anciennes : route nationale 612 (Col de la Bataille (D 612), route nationale 614 (D 614),
- Par l'avion : aéroport de Perpignan-Rivesaltes.
La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Millas, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.
La ligne 510 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan, la ligne 512 relie également la commune à la gare de Perpignan depuis Corbère, la ligne 520 relie la commune à la gare de Perpignan depuis Prades, et la ligne 544 relie la commune à Saint-Cyprien.
Toponymie
- Formes du nom
Le nom officiel de la commune est Millas, francisation du nom catalan Millars [miˈʎas][37] ; en français le nom de la commune est prononcé [mijas].
Le nom de Millas apparaît pour la première fois en 898 sous la forme Millares dans un texte mentionnant une prise d’eau et un canal desservant Millas et les deux Saint-Féliu. Daté de 953, un autre document laisse apparaître le nom latinisé de Miliaso comme l'autre nom d'un lieu originellement connu sous le nom de Puliano (in Puliano que alium nomen vocant Miliaso). Au Xe siècle, on trouve aussi les formes Miliare et Villa Miliarii. Au XIe siècle, on rencontre les formes Miliaros, Milars et Milliars, suivies entre les XIIe et XIVe siècles des formes Miliariis et Millars[38]. À partir du XVe siècle apparaît la forme Millas.
Étant donné que localement le r n'est pas prononcé (ce qui est fréquent en catalan dans les finales en -r ou en -rs, sans être systématique[39]), cette lettre a eu tendance à être supprimée dans la forme écrite, et ce même avant la francisation du nom[38]. Aujourd'hui Millars est le nom catalan et Millas le nom officiel selon le COG[37] ; en français les deux formes se rencontrent[40],[41],[42], avec la deuxième dominante.
- Étymologie
Le nom de Puliano renvoie sans doute à un domaine de l'époque romaine construit avec le nom de son propriétaire, Paulius, suivi du suffixe -anum[38].
Le nom de Millas paraît avoir deux explications possibles. D’une part, la forme millarium aurait pu renvoyer à l'existence d’une borne milliaire au bord d'une voie romaine. Mais cette origine est peu probable car elle aurait abouti à Milla plutôt que Millas. L'hypothèse la plus vraisemblable est donc celle d'un lieu où l'on cultivait du mil (mill en catalan). De nombreux noms des pays catalans sont construits avec le nom d'une plante ou d'une culture suivi du suffixe collectif -aris, indiquant que la dite plante se trouve en grand nombre dans ce lieu. De plus, le terme latin miliarus désignait déjà le millet commun[38]. Cette deuxième interprétation est, sans doute, la plus plausible si l'on en croit le blason de la ville qui représente une plante semblable à un épi de millet.
Par ailleurs, il y a trois autres toponymes du même nom : Millars, hameau de la commune de Madremanya près de Gérone, Millars, commune du Pays Valencien (Millares en castillan), et le riu Millars, cours d'eau près de Castelló de la Plana (río Mijares en castillan).
Histoire
Le territoire de Millas a été habité dès l'époque néolithique.
Le village originel date du premier âge du fer comme en témoignent les traces archéologiques d'un cimetière de la civilisation des champs d'urnes situé dans la partie occidentale de la commune.
Le , un accident entre un autocar scolaire et une rame automotrice TER à un passage à niveau automatique situé sur la route de Thuir provoque six morts et une vingtaine de blessés parmi les collégiens présents dans l'autocar[43].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[44],[45].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes de Roussillon Conflent et du canton de la Vallée de la Têt (avant le redécoupage départemental de 2014, Millas était le chef lieu de l'ex-canton de Millas).
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2018, la commune comptait 4 266 habitants[Note 10], en augmentation de 4,64 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[52] | 1975[52] | 1982[52] | 1990[52] | 1999[52] | 2006[53] | 2009[54] | 2013[55] |
Rang de la commune dans le département | 21 | 22 | 24 | 26 | 27 | 27 | 26 | 25 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Millas fait partie de l'académie de Montpellier.
La commune possède une école maternelle (rue de la Fontaine), une école élémentaire (avenue de la gare), et un collège Christian-Bourquin (impasse du Capitoul), inauguré en 2015[56] il est nommé ainsi en l'honneur de Christian Bourquin (1954-2014), ancien président de la région Languedoc-Roussillon.
Manifestations culturelles et festivités
Fête patronale et communale : 10 et [57], marché le mardi, féria de Millas : la ville est membre du l'Union des villes taurines françaises.
Il est présent une médiathèque, un comité des fêtes, ainsi que de nombreuses associations.
Sports
- Club de rugby à XV : Union Sportive Millas évolue dans le Championnat Honneur pendant la saison 2013-2014. Il a été sacré champion de France Honneur en 1987, ainsi que champion de France de Fédérale 3 en 1993.
- Club de Boxe Française : club qui présente les plus beaux palmarès, multiple champion de France, du monde, d'Europe.
Économie
La viticulture (cave coopérative, la vigne) ainsi que l'agriculture et arboriculture ont encore une place importante mais tendent à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération perpignanaise puisque étant dans son aire urbaine[58].
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 069 €[59].
Entreprises et commerces
Millas possède deux zones d'activités économiques.
Culture locale et patrimoine
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Monument et lieux touristiques
- Église Sainte-Eulalie et Sainte-Julie de Millas, église romane. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1965[60]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[60].
- Chapelle Notre-Dame-des-Douleurs de Millas.
Personnalités liées à la commune
- Augustin Pons (1774-1854) : militaire puis maire de Perpignan né à Millas ;
- Gaudérique Roget (1846-1917) : général de brigade, né à Millas ;
- Maurice Gravas[Note 11] (1885-1914) : joueur de rugby à XV (deuxième ligne) né à Millas, champion de France de rugby à XV en 1914 avec l'USAP ; Mort pour la France lors de la Première Guerre mondiale.
- Christian Bourquin (1954-2014) : député-maire de Millas, conseiller général du canton de Millas, président du conseil général des Pyrénées-Orientales et de la Région Languedoc-Roussillon, sénateur des Pyrénées-Orientales ;
- Louis Aliot (1969-) : vice président du Front national, il achète une maison avec Marine Le Pen à Millas en 2010[61],[62].
- Jean-Michel Parent (1971), joueur français de rugby à XV, est né à Millas.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Millas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Beau-fils de François Beffara.
- Fille de François Beffara et épouse de Christian Bourquin.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- État civil complet : Maurice Félix Joseph Gravas
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- « Métadonnées de la commune de Millas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Millas et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Millas et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Millas et Le Soler », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Millas », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Inondations en novembre 1892, 2 mars 2014
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Millas et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Millas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif de Força-Réal » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Millas », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, Montagnes médiévales : XXXIVe Congrès de la SHMES, Chambéry, 23-25 mai 2003, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Histoire ancienne et médiévale », , 444 p. (ISBN 2-85944-513-7, lire en ligne), p. 205 :
« […] De la même manière, durant la même décennie en Roussillon, aux gardes des cols d'Estagel – garda dels ports d'Estagell et de tots sos termes – de Tautavel et de Millars – garda de les coses vedades en lo pas de Milars e en los termes de Millars226 – […] 226. « Garde des produits interdits sur le passage de Millars et sur les territoires communaux de Millars » »
. - « Porte Nord, dite de Millars », Guide du Routard, (consulté le ).
- Mairie de Millas, « Mairie de Millas » (consulté le ).
- « DIRECT. Collision entre un TER et un autocar scolaire près de Perpignan : au moins quatre enfants tués et 19 blessés, dont sept en urgence absolue », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le ).
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- Liste des maires sur MairesGenWeb
- Réélection 2014 : [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- L'Indépendant, « Le collège Christian-Bourquin inauguré avec la jeunesse », sur lindependant.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- http://www.mairie-millas.fr/page_millas.php?id_rubrique=4
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », Insee (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Sainte-Eulalie et Sainte-Julie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Marine Le Pen achète à Millas : "Cela relève de ma vie privée" - Blog de l'Indépendant pour Millas, 13 septembre 2010
- Virginie Le Guay, « La nouvelle garde rapprochée de Marine Le Pen », Paris Match, semaine du 2 au 8 novembre 2017, page 36.
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5755
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