Pézilla-la-Rivière

Pézilla-la-Rivière est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Pézilla-la-Rivière

Mairie de Pézilla-la-Rivière

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Jean-Paul Billés
2020-2026
Code postal 66370
Code commune 66140
Démographie
Gentilé Pézillanais
Population
municipale
3 737 hab. (2018 )
Densité 239 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 41′ 46″ nord, 2° 46′ 17″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 243 m
Superficie 15,62 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Perpignan
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Ribéral
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pézilla-la-Rivière
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Pézilla-la-Rivière
Géolocalisation sur la carte : France
Pézilla-la-Rivière
Géolocalisation sur la carte : France
Pézilla-la-Rivière

    Ses habitants sont appelés les Pézillanais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Pézilla-la-Rivière se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 10 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Saint-Estève[3], bureau centralisateur du canton du Ribéral dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Le Soler (2,4 km), Villeneuve-la-Rivière (2,7 km), Saint-Féliu-d'Avall (3,0 km), Corneilla-la-Rivière (3,3 km), Saint-Féliu-d'Amont (4,0 km), Baho (4,3 km), Toulouges (5,7 km), Millas (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Pézilla-la-Rivière fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 645 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thuir », sur la commune de Thuir, mise en service en 1993[14]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 576,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 10 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21] : la « plaine viticole de Baixas » (1 939 ha), couvrant 5 communes du département[22] et la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » (554 ha), couvrant 10 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Pézilla-la-Rivière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Perpignan, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[27] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,8 %), zones agricoles hétérogènes (37,8 %), zones urbanisées (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 14 (Pézilla-la-Rivière - Perpignan Catalogne) du réseau urbain Sankéo dessert la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Pesillà de la Ribera[33].

    Histoire

    Par décret du , Corneilla-la-Rivière et Saint-Féliu-d'Avall perdent plusieurs portions de territoire, rattachées à Pézilla-la-Rivière[34].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Pezilla-La-Riviere.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Ferdinand José[35]    
     ? René Foixet    
    [36] En cours
    (au 30 mai 2020)
    Jean-Paul Billès[37],[38],[39] DVD Ingénieur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La commune est jumelée avec les localités suivantes[40] :

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1709 1720
    105 f122 f58 f58 f58 f68 f48 f222 f135 f
    1730 1755 1765 1767 1774 1789 1790 - -
    170 f207 f900 H1 110 H170 f210 f828 H--
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2018, la commune comptait 3 737 habitants[Note 7], en augmentation de 10,76 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8901 0351 1141 2081 2911 3311 3781 3881 458
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5201 5021 5211 5231 6601 5461 8021 8121 806
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8381 8431 8361 7601 7221 7771 8131 8321 937
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 0912 1592 0582 2002 3492 7542 9573 1453 418
    2018 - - - - - - - -
    3 737--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[45] 1975[45] 1982[45] 1990[45] 1999[45] 2006[46] 2009[47] 2013[48]
    Rang de la commune dans le département 22 31 32 32 30 31 31 32
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Pézilla-la-Rivière dispose sur son territoire d'une école maternelle (126 élèves en 2015)[49] et d'une école élémentaire (216 élèves en 2015)[50].

    Les écoles

    Depuis 2017 il existe également une école immersive en catalan de l'association La Bressola.[réf. nécessaire]

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fêtes communales : et 1er août[51] ;
    • Foire : dernier dimanche d'août[51].

    Santé

    Médecins, infirmières, dentistes.

    Sports

    La commune regroupe une salle de sports municipale, des courts de tennis, deux terrains de rugby et trois de football, un city stade, et un terrain de basket.[réf. nécessaire]

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 131 [52].

    Entreprises et commerces

    Épiceries, bars, tabac-presse, boulangeries-pâtisseries, auto-école, coiffeurs, boucher-charcutier, restaurant.

    Garagiste, carreleur, électricien, maçon, plâtrier.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    La porte fortifiée

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Napoléon Sébastien Sarda Garriga (1808-1877) : administrateur colonial né à Pézilla-la-Rivière ;
    • Vincent Malègue (1830-1915) : viticulteur et hybrideur à Pézilla-la-Rivière, a créé plusieurs portes-greffe ( notamment le 4453 encore en usage) et quelques producteurs directs[53] ;
    • Paul Bergue ou Pau Berga (1866-1948), poète et philologue ;
    • Paul Porical (1911-1977) : joueur de rugby à XV né à Pézilla-la-Rivière ;
    • Gérald Porical (1950-) : joueur de rugby à XV né à Pézilla-la-Rivière, fils de Paul Porical ;
    • Jérôme Porical (1985-) : joueur de rugby à XV né à Perpignan mais originaire de Pézilla-la-Rivière, fils de Gérald Porical ;
    • Aurélie Bailon : joueuse de rugby à XV. Elle a commencé sa carrière à Villelongue puis muté à Perpignan, elle évolue maintenant à Montpellier. Elle compte 47 sélections en équipe de France à XV.

    Équipements culturels

    La médiathèque

    Héraldique

    Blason
    D'azur à une croix pattée alésée d'or, cantonnée de quatre fleurs de lys du même, et à une bordure d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Pézilla-la-Rivière », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Pézilla-la-Rivière et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Pézilla-la-Rivière et Saint-Estève », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Pézilla-la-Rivière », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Thuir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Pézilla-la-Rivière et Thuir », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Thuir - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Pézilla-la-Rivière et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pézilla-la-Rivière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF la « plaine viticole de Baixas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « vallée de la Têt de Vinça à Perpignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    33. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    34. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    35. Fernande Garrigue nous a quitté, L'Indépendant, article du 27 janvier 2016.
    36. « Le 18 mars 1989, Jean-Paul Billès était élu maire de la commune, après un mandat d’adjoint avec son prédécesseur René Foixet. »
    37. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    38. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
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    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    45. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    48. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    49. Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section École maternelle publique Marie Méliès de Pézilla-la-Rivière
    50. Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section École élémentaire publique de Pézilla-la-Rivière
    51. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    52. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    53. Pierre Galet, Cépages et vignobles de France, Les vignes américaines, 1988
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