Calce

Calce est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Calce

Le Mas de Las Fons.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Bruno Valiente
2020-2026
Code postal 66600
Code commune 66030
Démographie
Gentilé les Calcéens
Population
municipale
208 hab. (2018 )
Densité 8,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 45′ 35″ nord, 2° 45′ 16″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 330 m
Superficie 23,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Ribéral
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Calce
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Calce
Géolocalisation sur la carte : France
Calce
Géolocalisation sur la carte : France
Calce

    Ses habitants sont appelés les Calçois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Calce se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Saint-Estève[3], bureau centralisateur du canton du Ribéral dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cases-de-Pène (3,5 km), Baixas (4,6 km), Estagel (4,7 km), Tautavel (6,2 km), Montner (6,3 km), Espira-de-l'Agly (7,0 km), Corneilla-la-Rivière (7,1 km), Pézilla-la-Rivière (7,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Calce fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 377 hectares. L'altitude varie entre 54 et 330 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 606 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924[17]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : 0[23], d'une superficie de 29 495 ha, sont un site important pour pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l’'Aigle royal, le 'Grand-duc d’Europe, le 'Circaète Jean-le-Blanc, le 'Faucon pèlerin, le 'Busard cendré, l’'Aigle botté[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25] :

    • les « corniches de Notre-Dame de Pène et d'Estagel » (1 112 ha), couvrant 4 communes du département[26] ;
    • les « garrigues de Calce » (1 557 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
    • la « plaine viticole de Baixas » (1 939 ha), couvrant 5 communes du département[28].
    • la « vallée de l'Agly » (164 ha), couvrant 5 communes du département[29] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Calce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[30],[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,9 %), cultures permanentes (38,4 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 114.

    Parmi ces logements, 86,8 % étaient des résidences principales et 13,2 % des logements vacants. Il n’y avait pas de résidences secondaires.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 82,5 %[36].

    Voies de communication et transports

    La ligne 18 du réseau urbain Sankéo relie la commune à la commune voisine de Baixas, permettant des correspondances vers Perpignan notamment.

    Toponymie

    Le nom de la commune est Calce, en catalan comme en français[37].

    Les anciennes formes du nom sont Calcenum (843) et Calcia (1312)[38].

    Le nom de Calce semble procéder d'un terme désignant la chaux, exploitée depuis toujours dans les environs par combustion de la roche calcaire.

    Histoire

    Deux lieux historiques se partagent le territoire de Calce

    L'un concerne le village lui-même, dont le témoin primitif est la chapelle préromane, en ruines, de Saint-Paul-le-Vieux ; première mention du territoire de Calce en 843, comme jouxtant celui de Baixas.

    L'autre est le château des Fonts, à 3 km environ du village, siège d'une seigneurie, dont le site est mentionné en 898 et 915. Une chapelle romane inscrite à l'inventaire des Monuments historiques y attend sa restauration.

    En 1072, un acte juridique nomme la « villa » Calce : ce terme peut laisser supposer que Calce était habité. Les mentions de Calce sont plus nombreuses à partir du XIIIe siècle, et le château du village date de cette époque.

    D'autres lieux-dits sont également d'intérêt historique :

    • la Padrere, carrière de marbre exploitée au Moyen Âge, qui se niche aujourd'hui à proximité d'une usine aux allures futuristes ;
    • à Cavanach enfin (vallée de l'Agly), une grange appartenait à l'abbaye de Jau, abbaye à vocation hospitalière située au col de Jau, dite aussi de Clariana.

    Rappelons enfin que de nombreux toponymes, dont celui de Cavanach, témoignent d'une origine beaucoup plus ancienne que le Xe siècle. La plaine de Cavanach était traversée par la voie romaine du Fenouillèdes, qui franchissait l'Agly au gué de Sainte-Colombe (village disparu, situé à l'aplomb de l'ermitage N-D de Cases de Pene).

    Les Fonts et le mas de la Dona étaient situés sur un chemin de transhumance, un cami ramader, très fréquenté dès le haut Moyen Âge, qui dirigeait les troupeaux de la Salanque au Conflent (vallée de Molitg).

    Citons rapidement quelques grandes familles qui se succédèrent comme seigneurs tutélaires de Calce au fil des siècles[39].

    La famille de So

    Tire son nom du lieu de SO dans le Donnezan, qu'elle avait reçu des mains de Jacques le conquérant en 1266. Le château de SO, aujourd'hui Usson, se dresse aujourd'hui encore fièrement au-dessus de ce village. À la suite d'un choix politique difficile entre roi d'Aragon et roi de Majorque, Calce sera vendu à la famille VERNYOLA, qui le gardera de 1370 à 1432.

    La famille du Vivier

    À la mort sans héritier direct du dernier Vernyola, c'est un gendre qui en héritera, Pierre du Vivier. Cette famille assurera la tutelle du village de 1432 à 1665, et réunira sous son nom les fiefs de Calce, Maureillas et de Saint-Martin-du-Fenouillar.

    La famille d'Oms

    Très ancienne famille catalane, alliée avec la famille del Vivier par mariage depuis 1630. C'est un cousin de la dernière héritière du Vivier, Thadée d'Oms, qui est déclaré héritier de Calce, après accord en 1665.

    Antoine Thadée Pierre d'Oms, seigneur de Château Roussillon, Calce et Maureillas sera Viguier du Roussillon et du Vallespir en 1751.

    Joseph Marie Augustin d'Oms meurt lors d'un duel à Perpignan, le 13 septembre 1789, pour soutenir l'honneur de sa compagne illégitime : Anne Antoinette, sa fille bâtarde d'une liaison tenue secrète, meurt en 1863 ; ses héritiers partageront le principal des propriétés de Calce entre 44 acquéreurs du village : la petite propriété rurale de Calce est née de ce démantèlement.

    La famille des Fonts

    L'abbaye de Lagrasse gardera la suzeraineté de la seigneurie des Fonts de 1119 jusqu'à la Révolution.

    Les titulaires en seront la famille des Fonts de 1270 à 1396, puis la famille de Pobols, originaire du Termenès, et plus précisément du château de Segure (près de Tuchan), dont les ruines demeurent bien visibles au sommet de cet ancien volcan.

    Par stratégie maritale, cette seigneurie retombera entre les mains de la famille d'Oms, à savoir en 1777 Antoine Thadée d'Oms, le viguier du Roussillon.

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Calce est incluse dans le canton de Pézilla puis, dès 1801, dans le canton de Rivesaltes[40]. Elle est ensuite rattachée en 1985 au canton de Saint-Estève, qu'elle ne quitte plus par la suite[8].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune de Calce rejoint le nouveau canton du Ribéral.

    Administration municipale

    Sceau de la mairie de Calce en 1815.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
     ? 1815 Gil Deluncle[41]    
    1815  ? Pierre Deluncle Vidal[41]    
             
     ? 2001 Georges Gauby    
    mars 2001 mars 2014 Paul Schramm[42] DVG  
    mars 2014 En cours Bruno Valiente[43]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1424 1470 1515 1709 1720 1730 1755
    29 f30 f12 f9 f8 f11 f16 f24 f29 f
    1767 1774 1789 1790 - - - - -
    128 H24 f26 f150 H-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1365 : dont 11 f pour Las Fonts ;
    • 1378 : dont 12 f pour Las Fonts ;
    • 1424 : pour Las Fonts seulement.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

    En 2018, la commune comptait 208 habitants[Note 8], en diminution de 3,7 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    153163203260233240260273259
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    230249226268284301265247263
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    242247253250203201176126131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    150135116124161185214219209
    2018 - - - - - - - -
    208--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 144 153 163 147 144 140 140 143
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : 1er septembre[51] ;
    • Fête communale : 25 janvier[51].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 94 et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 19 918  contre 27 105  en 2010[52].

    Emploi

    En 2013, le nombre total d’emploi au lieu de travail était de 183. Entre 2008 et 2013, la variation de l'emploi total (taux annuel moyen ) a été de + 1,2 %. En 2013, le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,4 % contre un taux de chômage de 7,1 %[36].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de quarante dont quinze dans l’agriculture-sylviculture-pêche, deux dans l'industrie, deux dans la construction, vingt dans le commerce-transports-services divers et un était relatif au secteur administratif.

    Cette même année, huit entreprises ont été créées dont sept par des Auto-entrepreneurs[36].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Héraldique

    Blason
    De gueules au croissant versé d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Calce », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Calce et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Calce et Saint-Estève », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Calce », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Sandre - fiche Y06-0400
    11. Sandre - fiche Y0470520
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    14. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    17. « Station Météo-France Perpignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Calce et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Calce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR9110111 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Calce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « corniches de Notre-Dame de Pène et d'Estagel » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « garrigues de Calce » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    29. « ZNIEFF la « vallée de l'Agly » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    43. « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
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