Essarts en Bocage

Essarts en Bocage est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire. Ses habitants sont appelés les Essartois.

Pour les articles homonymes, voir Les Essarts.

Essarts en Bocage
De haut en bas, de gauche à droite : les vestiges du château des Essarts ; l’Atelier des artistes, à Sainte-Florence ; l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Boulogne ; l’église Saint-Pierre des Essarts ; le château de l’Hébergement-Hydreau, à l’Oie ; les latrines de l’ancienne école de Sainte-Florence ; et, le moulin de l’Ansonnière, aux Essarts.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Fulgent - Les Essarts
Maire
Mandat
Freddy Riffaud
2020-2026
Code postal 85140
Code commune 85084
Démographie
Gentilé Essartois
Population
municipale
9 053 hab. (2018)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 28″ nord, 1° 13′ 37″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 116 m
Superficie 100,59 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Essarts en Bocage
(ville isolée)
Aire d'attraction Essarts en Bocage
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Chantonnay
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Essarts en Bocage
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Essarts en Bocage
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Essarts en Bocage
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Essarts en Bocage
Liens
Site web Site officiel

    Un arrêté préfectoral du permet la création de cette commune nouvelle par fusion de Boulogne, des Essarts, de L'Oie et de Sainte-Florence à compter du . 2e commune la plus étendue de la Vendée avec 9 962 hectares de superficie, elle occupe le 10e rang départemental au regard de la population avec 9 053 habitants (recensement de 2018).

    Géographie

    Localisation

    La commune d’Essarts en Bocage est située dans le Grand Ouest français, au sud de la région Pays de la Loire et au nord-est du département de la Vendée. Elle est localisée dans le Bas Bocage vendéen.

    À vol d’oiseau[alpha 1], la commune se trouve à 353 kilomètres de Paris[Lion 2]. À mi-chemin entre La Roche-sur-Yon (19 kilomètres[Lion 3]), la préfecture de la Vendée, et Les Herbiers (20 kilomètres[Lion 4]), la troisième ville départementale en nombre d'habitants, Essarts en Bocage est également à équidistance des Sables-d’Olonne (53 kilomètres[Lion 5]) et de Fontenay-le-Comte (47 kilomètres[Lion 6]), les sous-préfectures du département.

    Les communes limitrophes d’Essarts en Bocage.

    Du point de vue régional, la commune se situe à 55 kilomètres de la préfecture, Nantes (Loire-Atlantique)[Lion 7], à 42 de Cholet (Maine-et-Loire)[Lion 8], et, à 57 de Bressuire (Deux-Sèvres), en Poitou-Charentes[Lion 9].

    Enfin, elle se situe à 44 kilomètres de Longeville-sur-Mer[Lion 10] et à 69 de La Barre-de-Monts[Lion 11], stations balnéaires de la Côte de Lumière (le littoral vendéen).

    Communes limitrophes

    La commune d’Essarts en Bocage est limitrophe de huit communes : cinq de sa propre communauté de communes, celle du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts, deux autres de celle du Pays-des-Herbiers, et enfin d’une commune de La Roche-sur-Yon-Agglomération (communauté d’agglomération).

    Alors qu’au nord-ouest elle borde uniquement Chauché, la commune est frontalière de Chauché, de Saint-André-Goule-d’Oie et de Vendrennes, du nord au nord-est. En outre, au sud, Essarts en Bocage jouxte les communes de Saint-Martin-des-Noyers et de Sainte-Cécile. À l’est, le territoire communal touche celui de Vendrennes et de Mouchamps. Enfin, à l’ouest, elle est voisine de Dompierre-sur-Yon et de La Merlatière.

    Les anciennes communes formant le territoire d’Essarts en Bocage.

    Territoire municipal

    Le territoire municipal d’Essarts en Bocage est constitué de quatre communes qui ont fusionné au  :

    En vertu du Code général des collectivités territoriales (CGCT), Essarts en Bocage, en tant que commune nouvelle, peut disposer de communes déléguées, reprenant les limites territoriales des anciennes communes ; leur institution étant automatique, des délibérations concordantes des conseils municipaux pour empêcher leur création doivent être faites avant la fusion[CGCT 1]. Le , les conseils municipaux de chaque commune ont séparément décidé de la mise en place de quatre communes déléguées au sein du futur territoire[Off. 1],[Off. 2],[Off. 3]. L’article 8 de l’arrêté no 15-DRCTAJ/2-517 du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle d’Essarts en Bocage officialise les communes déléguées[1]. La création d’une commune déléguée induit la mise en place d’un poste de maire délégué et d’une mairie annexe, apte à livrer des actes d’état-civil dans le territoire de la commune déléguée[CGCT 2].

    Toutefois, la suppression d’une commune déléguée peut-être décidée à l’occasion d’un conseil municipal de la commune nouvelle. En outre, malgré le maintien de la dénomination de « commune », seule la commune nouvelle dispose du statut de collectivité territoriale[CGCT 1].

    Le projet de commune nouvelle est l’un des plus aboutis du département de la Vendée[3],[4]. Le comité de pilotage a par ailleurs été invité à participer à Paris à une rencontre nationale des communes nouvelles, organisée par l’Association des maires de France, en [5],[Bull. 1]. Au , elle fait partie des huit entités créées sous le régime de la commune nouvelle dans le département de la Vendée.

    Carte géologique du Massif armoricain.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 9 962 hectares ; son altitude varie de 48 à 116 mètres[alpha 2]. Le point culminant est localisé au Petit-Beauregard, aux Essarts, à 116 mètres d’altitude[7].

    Essarts en Bocage, située dans un Bas Bocage schisteux, appartient au domaine sud du Massif armoricain[8]. Au sud des Essarts, le territoire est marqué par le synclinorium de Chantonnay, qui accidente le Bas Bocage[9]. En outre, des Essarts à la forêt de Mervent, on décèle un espace granitique, marqué dans les sous-sols par des lagunes houillères de périodes différentes[10]. Par Saint-Pompain, la bande granitique rejoint l’anticlinal de Montalembert, dans le seuil du Poitou ; il constitue un trait d’union entre le Massif central et le Massif armoricain[11].

    Cours d’eau et bassins versants d’Essarts en Bocage.
    • Bassin de Grand-Lieu
    • Bassin de la Petite Maine
    • Bassin du Petit Lay

    Hydrographie

    La commune d’Essarts en Bocage se situe dans trois bassins versants. Le premier, celui de la Sèvre Nantaise (sous-bassin versant de la Petite Maine), recouvre l’ensemble des anciennes communes sur près de 4 817 hectares cumulés[12], soit un peu moins de la moitié du territoire municipal. Parmi les affluents de la rivière, on compte la Petite Maine[Sandre 1], et le Roulin[Sandre 2], présents uniquement sur la commune déléguée des Essarts.

    Le deuxième, celui de Grand-Lieu, à l’ouest, recouvre une grande partie de Boulogne et une petite portion du territoire essartais[13]. La Boulogne traverse le long de la frontière ouest et sud du futur territoire, à proximité de Dompierre, de La Merlatière et de Saint-Martin[Sandre 3]. Le Mortemer, son affluent, sépare en partie les Essarts de Boulogne[Sandre 4].

    Enfin, à l’est, entre les communes déléguées des Essarts, de Sainte-Florence et de l’Oie, le territoire appartient au bassin versant du Lay (sous-bassin versant du Petit Lay)[14]. Le Petit Lay, dans le nord du département admet des affluents qui traversent ces communes déléguées : le Parc (ou la Riamberge)[Sandre 5], frontière naturelle avec Mouchamps, et son affluent, le Douet des Rivières[Sandre 6].

    Climat

    La situation géographique d’Essarts en Bocage se rapproche d’un climat océanique à influence continentale. Les territoires appartenant au Bocage admettent plus de jours de gel que la côte du département, ils sont moins soumis à l’ensoleillement et observent davantage de précipitations[15].

    Les données météorologiques ci-dessous sont issues de la station de La Roche-sur-Yon-Les Ajoncs.

    Relevé météorologique de La Roche-sur-Yon (période 1981-2010)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,2 4 5,5 9,1 11,8 13,7 13,4 11,1 9 5,2 2,9 7,5
    Température moyenne (°C) 5,6 5,9 8,3 10,2 14 17,1 19,1 19 16,5 13,2 8,6 5,9 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 8,5 9,5 12,5 14,9 18,8 22,4 24,5 24,6 21,8 17,3 12 8,9 16,3
    Ensoleillement (h) 72,1 100,6 147,5 174,3 208,3 227,3 240,4 234 198,3 130,3 87,1 69,4 1 889,6
    Précipitations (mm) 103,5 66 70,5 67,9 64,5 44,5 51,3 46,1 73 107,6 103,5 102,5 900,9
    Source : site Climat-Vendée[16]

    Voies de communication et transports

    Les principaux axes routiers d’Essarts en Bocage.

    Voies de communication

    La position géographique, la présence de plusieurs bourgs et l’importance de la superficie latitudinale du territoire municipal d’Essarts en Bocage font de la commune un centre d’axes routiers majeurs[17]. Le réseau est marqué par deux carrefours importants : l’échangeur autoroutier des Essarts et les Quatre Chemins de l’Oie.

    Essarts en Bocage est traversée par deux autoroutes[18] :

    L’échangeur des Essarts entre l’A 87 et l’A 83 (depuis les Essarts).

    Les deux axes sont par ailleurs exploités par les Autoroutes du Sud de la France (ASF)[19].

    En outre, plusieurs départementales pénétrent à Essarts en Bocage[20] :

    Les Quatre Chemins de l’Oie, à Sainte-Florence, carrefour entre la D 160 et la D 137.
    L’ancienne gare des Essarts.

    Transports

    À la fin du XIXe siècle, le territoire est traversé par plusieurs lignes de train, administrées par la Compagnie des tramways de la Vendée (TV), filiale de l’Administration des chemins de fer de l’État, selon la convention du [Leg. 1],[21] : la ligne 1 (de La Roche-sur-Yon aux Herbiers) passait par les gares des Essarts, de Sainte-Florence-de-l’Oie, et des Quatre-Chemins-de-l’Oie ; et la ligne 2 part de la gare des Quatre-Chemins-de-l’Oie, puis, de celle de Chantonnay au début du XXe siècle[Leg. 2], en direction de Montaigu. Après avoir été confiées au à la Compagnie de chemins de fer départementaux (CFD), les lignes et les gares des anciennes communes formant Essarts en Bocage finissent d’être utilisées dix ans plus tard, en 1949.

    Actuellement, les gares les plus proches de la commune sont celles de Fougeré, au sud (vers Bressuire ou La Roche-sur-Yon), sur la ligne des Sables-d’Olonne à Tours, et de L’Herbergement-Les Brouzils (vers La Roche-sur-Yon ou Montaigu), sur la ligne de Nantes-Orléans à Saintes[22].

    La ligne 110 du réseau de transport Cap Vendée, exploitée par la société Sovetours, dessert les communes déléguées des Essarts et de Sainte-Florence[23]. En outre, le conseil départemental possède un maillage de 6 500 points d’arrêts permettant les transports scolaires vers les collèges depuis toutes les communes du département[24]. La communauté de communes du Pays-des-Essarts (CCPE) gère ces transports scolaires[Off. 4].

    Urbanisme

    Typologie

    Essarts en Bocage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[25],[26],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Essarts en Bocage, une unité urbaine monocommunale[28] de 8 931 habitants en 2017, constituant une ville isolée[29],[30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Essarts en Bocage, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

    Le bâti (en rouge) et les principales agglomérations (entourées en bleu) d’Essarts en Bocage.

    Morphologie urbaine

    Pour l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), dans le zonage des unités urbaines de 2010, seuls Les Essarts admettaient une agglomération urbaine sur son territoire en tant que « ville isolée »[Insee 1], tandis que Boulogne, L’Oie et Sainte-Florence étaient considérées comme des « communes rurales »[Insee 2],[Insee 3],[Insee 4], leurs surfaces agglomérées contigües n’atteignant pas les 2 000 habitants.

    La commune nouvelle d’Essarts en Bocage est donc structurée autour de plusieurs agglomérations rurales et urbaine[33] :

    • la majeure partie du bourg de Boulogne à l’est du territoire ;
    • une partie du bourg de La Merlatière, au Pont, au sud du territoire de Boulogne ;
    • le bourg des Essarts ;
    • l’agglomération constituée autour de la Belle Entrée, de la Véronnière, de la Thibaudière et du Bois Jaulin (aux Essarts) ;
    • le bourg de Sainte-Florence, à l’est du territoire ;
    • le bourg de l’Oie.

    En outre, le territoire est émaillé par plusieurs dizaines de hameaux, répartis autour d’axes routiers secondaires.

    Logement

    Indicateurs sur le logement en 2012
    Boulogne L’Oie Les Essarts Sainte-Florence Vendée
    Part des résidences principales (en %) 91,1 90,3 92,5 93,5 70,3
    Part des logements vacants (en %) 5,5 6,7 4,9 4,9 5,1
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 81,7 77,8 71,0 74,7 72,2
    Source : Institut national de la statistique et des études économiques[Insee 5],[Insee 6],[Insee 7],[Insee 8],[Insee 9]

    Histoire

    Paysage remembré du Bas Bocage vendéen, aux Essarts.

    Toponymie

    Le toponyme est constitué à partir d’un toponyme ancien, Les Essarts, qui provient de la commune déléguée chef-lieu et éponyme, accompagné d’une terminologie construite avec la préposition en et le nom bocage, référence au Bocage vendéen, une région naturelle à laquelle le territoire municipal appartient[alpha 3].

    Selon le tome II du Gallia Christiana (1720), qui concerne la province ecclésiastique de Bordeaux, une première mention du toponyme Les Essarts remonterait à 1099 : la paroisse des Essarts y est citée en latin sous les noms de De Exarsis et d’ecclesia de Exartis[35]. Aussi, une carte de 1203 la signale en tant qu’Eisartis[36]. Dans le Grand Gaultier, au début du XVIe siècle, la dénomination paroissiale se transforme en De Essartis[37]. En langue vulgaire, des archives compilées par Benjamin Fillon citent une charte de 1200 transcrivant l’appellation d’Essar alors que le pouillé de dom Fonteneau évoque Les Essars, en 1222[36]. Néanmoins, l’écriture se formalise au cours de l’Époque moderne, et, dans le pouillé d’Alliot, en 1648, on parle bientôt de la cure des Essarts[37].

    Dans la toponymie française, Essart évoque des traces de déboisements de par son étymologie : issu du verbe latin exsarire sarcler », en français), il signifie littéralement « lieu défriché »[38]. Pour le géographe Marcel Gautier, le nom de la commune vendéenne serait une réminiscence d’un déboisage opéré durant le Moyen Âge, une époque connaissant une franche recomposition de l’espace à la suite des invasions et en raison de fondations de monastères[39].

    Avant d’avoir été officialisé par l’arrêté de création de la commune nouvelle du [1], le nom de la commune nouvelle est préalablement proposé et accepté séparément par chaque conseil municipal des communes devant fusionner, le [40],[41].

    Politique et administration

    Administration municipale

    L’hôtel de ville, aux Essarts, en 2015.

    Selon l’article L-2113-7 du Code général des collectivités territoriales, modifié par loi no 2015-292 du [Leg. 3], le conseil municipal de la commune nouvelle peut se composer provisoirement de l’ensemble des anciens conseillers municipaux s’ils en formulent le souhait avant la création. À défaut, il comporte les maires, adjoints et conseillers municipaux des communes souhaitant fusionner, répartis proportionnellement à la population des précédentes collectivités[CGCT 5]. L’article 4 de l’arrêté de création stipule que le conseil municipal de la commune nouvelle se compose de l’ensemble des élus municipaux des anciennes communes (74 membres)[1].

    Au , les conseils municipaux se composent :

    • du maire (Freddy Riffaud) et 28 autres membres pour Les Essarts, dont 8 adjoints[Off. 5] ;
    • du maire (Freddy Piveteau) et 14 autres membres pour Sainte-Florence, dont 3 adjoints[Off. 6] ;
    • du maire (Jean-Octave Audrin) et 14 autres membres pour L’Oie, dont 3 adjoints[Off. 7] ;
    • du maire (Jean-Pierre Mallard) et 14 autres membres pour Boulogne, dont 3 adjoints[Off. 8].

    Néanmoins, la population de la commune étant comprise entre 5 000 et 10 000 habitants, le conseil municipal devrait être composé de 33 membres à l’issue des élections municipales de 2020[CGCT 6],[CGCT 7].

    L’hôtel de ville est une ancienne maison privée acquise en 1899, rénovée et agrandie au début des années 2000, située au 51, rue Georges-Clemenceau, dans le bourg des Essarts[1],[Off. 9].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    [42] En cours Freddy Riffaud DVD Administrateur réseau
    3e vice-président de la CC du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts
    Maire délégué des Essarts (depuis 2016)
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communes déléguées

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Les Essarts
    (siège)
    8508456,545 395 (2015)95
    Boulogne8503012,44859 (2015)69
    L’Oie8516514,301 235 (2015)86
    Sainte-Florence8521217,311 230 (2015)71

    Instances judiciaires et administratives

    Administrativement, la commune d’Essarts en Bocage dépend de l’arrondissement de La Roche-sur-Yon puisque le périmètre de la commune nouvelle est compris dans l’ancien canton des Essarts.

    Historiquement, du début de la Révolution à 1801, la commune de Boulogne appartenait au canton de Belleville, dans le district de La Roche-sur-Yon[Cass. 1], celle des Essarts à celui des Essarts et celle de Sainte-Florence-de-l’Oie à celui de Mouchamp, dans le district de Montaigu[Cass. 2],[Cass. 3]. En 1801, un découpage territorial redéfinit les contours des cantons vendéens ; celui des Essarts regroupe dès lors notamment les communes de Boulogne, des Essarts et de Sainte-Florence-de-l’Oie, dans l’arrondissement de Montaigu[Leg. 4]. Puis, par le décret impérial du 5 prairial an XII, le canton est transféré dans le périmètre de l’arrondissement de Napoléon, devenu par la suite, alternativement, Bourbon-Vendée[43], puis Napoléon-Vendée et enfin La Roche-sur-Yon. En 1895, la scission de la commune de Sainte-Florence-de-l’Oie en deux communes distinctes — Sainte-Florence et L’Oie — n’entraîne ni la redéfinition du périmètre cantonal ni celle des contours de l’arrondissement[Leg. 5].

    Les anciennes communes formant le périmètre municipal étaient rattachées à la communauté de communes du Pays-des-Essarts à partir du  ; le siège social de l’établissement public se situait aux Essarts[Banatic 1]. Elle est créée par l’arrêté préfectoral no 93DRCL2-263 du dans la continuité du syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) du canton des Essarts[Off. 10], fondé dans les années 1960. Néanmoins, la communauté de communes n’atteignant pas le seuil des 15 000 habitants requis par la loi NOTRE[Leg. 6], avec seulement 13 101 résidents[Insee 11], un nouveau découpage du périmètre de l’espace communautaire doit être opéré avant la fin de l’année 2016[Bull. 2]. Un arrêté préfectoral du attribue 14 sièges à la commune d’Essarts en Bocage sur les 29 du conseil communautaire de la communauté de communes du Pays-des-Essarts à compter du [44].

    Les anciennes communes relèvent du tribunal d’instance, de grande instance, de commerce, du tribunal pour enfants, du tribunal paritaire des baux ruraux, et du conseil de prud’hommes de La Roche-sur-Yon. Aussi, elles dépendent du tribunal des affaires de sécurité sociale et de la cour d’assises de la Vendée, également situés à La Roche-sur-Yon. Elles sont rattachées à la cour d’appel de Poitiers, ainsi qu’au tribunal administratif et à la cour administrative d’appel de Nantes[Gv. 1],[Gv. 2],[Gv. 3],[Gv. 4].

    Représentations électorales

    Le canton de Chantonnay, en 2015.

    Dans le cadre des élections départementales, la circonscription électorale englobant la totalité des anciennes communes formant la commune nouvelle est le canton de Chantonnay depuis le redécoupage cantonal mis en place par le décret no 2014-169 du dans la Vendée[Leg. 7]. Néanmoins, de 1833 à 2015, la circonscription d’élection du conseiller général lors des élections cantonales était le canton des Essarts, qui regroupait 8 puis 9 communes : Boulogne, Dompierre-sur-Yon, Les Essarts (chef-lieu), La Ferrière, La Merlatière, L’Oie (à partir de 1895), Sainte-Cécile, Sainte-Florence (Sainte-Florence-de-l’Oie avant 1895) et Saint-Martin-des-Noyers.

    Sous la Ve République, à l’occasion des élections législatives, l’actuel espace municipal dépendait de 1958 à 1986 de la quatrième circonscription départementale, puis, à partir de 1988, de la première en tant que partie du territoire de l’ancien canton des Essarts[Leg. 8], [Leg. 9].

    Alors qu’aux élections régionales et sénatoriales Essarts en Bocage est située dans la section départementale de la Vendée, aux européennes, elle appartient à la circonscription de l’Ouest en tant que territoire compris dans la région Pays de la Loire[Leg. 10].

    Politique environnementale

    Au palmarès 2013 du Concours des villes et villages fleuris, Les Essarts obtiennent deux fleurs tandis que Boulogne en obtient une[45].

    Eau et assainissement

    Concernant la gestion de l’eau et l’assainissement, la communauté de communes du Pays-des-Essarts est compétente en la matière[Off. 4].

    Le traitement, de l’adduction et de la distribution de l’eau au sein de la commune est pris en charge par le syndicat d’adduction d’eau potable des Deux Maines[Banatic 2]. L’hydraulique est géré par le syndicat du bassin versant de Grand-Lieu pour Boulogne et les Essarts[Banatic 3], et par le syndicat mixte du bassin des Maines vendéennes pour Les Essarts[Banatic 4].

    Pour les communes de L’Oie et de Sainte-Florence, la compétence d’assainissement collectif est dévolue au syndicat intercommunal à vocation unique (SIVU) d’assainissement de L’Oie et de Sainte-Florence[Banatic 5], qui dispose d’une station d’épuration à L’Oie[Off. 11]. Ce dernier est dissout avant la création de la commune nouvelle, le , par un arrêté préfectoral du 23 décembre[46].

    Traitement des déchets

    Depuis , la gestion des déchets est confiée au syndicat de collecte des ordures ménagères (SCOM) de l’Est vendéen, duquel la communauté de communes du Pays-des-Essarts est membre[Off. 12],[Banatic 6]. Depuis 2012, le SCOM se charge hebdomadairement de la levée des ordures ménagères[Off. 13], et toutes les deux semaines, les emballages recyclables sont collectés dans chaque commune[Off. 14]. S’agissant des papiers et des verres, des points de tri émaillent le territoire de l’intercommunalité[Off. 14]. En outre, alors qu’il est possible aux habitants du syndicat mixte de se doter d’un composteur[Off. 15], le territoire communal est doté d’une déchetterie, située aux Essarts[Off. 16].

    Jumelages

    Le comité d’échanges et de jumelage d'Essarts en Bocage. Créé le , il était composé à l’origine des communes du canton (aujourd’hui disparu), sauf celle de Boulogne, Les Essarts, L’Oie, Sainte-Florence. L’ensemble territorial est jumelé au à[Off. 17] :

    Population et société

    Gentilés

    La commune d’Essarts en Bocage étant une fusion de plusieurs autres communes, elle admet en son sein plusieurs gentilés : les Boulonnais sont les habitants de Boulogne[Hab. 1] ; les Essartais sont ceux des Essarts[Hab. 2] ; les Oyens sont ceux de l’Oie[Hab. 3] ; les Florentins sont ceux de Sainte-Florence[Hab. 4]. Toutefois, la création de la commune nouvelle a été l’occasion d’instituer un nouveau gentilé : les Essartois[Bull. 3].

    Démographie

    En 2012, les communes formant la commune nouvelle comptaient 8 358 habitants[alpha 4]. L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans les anciennes communes à partir de 1800[alpha 5]. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[alpha 6].

    Évolution de la population  [modifier]
    2014 2015 2016 2017 2018
    8 6078 7198 8048 9319 053
    (Sources : Insee à partir de 2014[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le collège Georges-Clemenceau, ouvert à la rentrée 2015.

    Essarts en Bocage se trouve dans l’académie de Nantes, sous la direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) de la Vendée[48].

    La commune nouvelle accueille un peu plus de 1 200 élèves en primaire sur son territoire. Alors que les Essarts admettent une école maternelle et élémentaire publique (Gaston-Chaissac, 331 élèves) et une autre privée (Notre-Dame, 454 élèves)[Gv. 5], les autres communes déléguées ne disposent que d’écoles privées : celle des Tilleuls à Boulogne (105 élèves)[Gv. 6], Saint-Joseph à l’Oie (159 élèves)[Gv. 7] et celle de Sainte-Florence (158 élèves)[Gv. 8].

    Aussi, Essarts en Bocage possède deux collèges : le collège public Georges-Clemenceau[49] et le collège privé Saint-Pierre[Gv. 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les communes déléguées comptent trois monuments répertoriés à l’Inventaire des monuments historiques (deux pour les Essarts[Gv. 9] et un pour Sainte-Florence[Gv. 10]), mais ni lieux et ni monuments répertoriés à l’Inventaire général du patrimoine culturel. Aussi, elles admettent deux objets répertoriés à l’Inventaire des monuments historiques pour la commune des Essarts[Gv. 11].

    À Boulogne[Off. 18] :

    • le château de la Bralière ;
    • le logis de la Macairière ;
    • l’église Notre-Dame-de-l’Assomption.

    Aux Essarts[Off. 19] :

    À l’Oie[Off. 7] :

    • l’église Saint-Joseph (XIXe siècle) ;
    • les ruines du château féodal de l’Hébergement-Hydreau ;
    • le monument commémoratif des guerres de Vendée au Bois Roland ;
    • le moulin de la Rivière.

    À Sainte-Florence[Off. 20] :

    • les vestiges d’un gisement de bronze ;
    • l’église Sainte-Florence (XIXe siècle) ;
    • le manoir du Grand-Logis (XVIe siècle) ;
    • l’espace Gaston-Chaissac, qui abrite une muséographie.

    Personnalités liées à la commune

    Logotype

    La commune d’Essarts-en-Bocage s’est dotée d’un logotype.

    Présenté à l’occasion d’une réunion extraordinaire des conseils municipaux, le , le logotype s’articule autour d’un e au centre, auquel sont adjointes 4 formes, représentant les communes déléguées[50].

    Slogan

    Les artisans de la commune nouvelle ont formulé le slogan Une réponse aux besoins de notre temps[51].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Notes

    1. Pour la commune nouvelle d’Essarts en Bocage, on s’attache à présenter exclusivement les coordonnées géographiques de la commune déléguée des Essarts, désignée chef-lieu[Lion 1],[1].
    2. L’altitude de la commune nouvelle est établie à partir des bornes minimale et maximale des anciennes communes[6] : de 64 à 93 mètres à Boulogne ; de 55 à 116 mètres aux Essarts ; de 48 à 110 mètres à l’Oie ; de 48 à 107 mètres à Sainte-Florence.
    3. Conformément aux articles L-2111-1 et L-2113-6 du Code général des collectivités territoriales[CGCT 3],[CGCT 4], la commune dispose d’une dénomination officielle, établie par l’autorité préfectorale et reprise par le Code officiel géographique : « Essarts en Bocage »[Insee 10]. Néanmoins, le respect de la typographie française au sujet des collectivités territoriales implique le recours aux capitales aux substantifs dans la dénomination, dont les différentes composantes sont reliées par des traits d’union[34], ce qui donne la graphie « Essarts-en-Bocage » pour la commune nouvelle.
    4. Cette population légale, obtenue par l’addition de celles de Boulogne (800 habitants[Insee 5]), des Essarts (5 172 habitants[Insee 7]), de L’Oie (1 174 habitants[Insee 6]) et de Sainte-Florence (1 212 habitants[Insee 8]), est officialisée par l’article 3 de l’arrêté no 15-DRCTAJ/2-517 du 5 octobre 2015[1].
    5. Les périmètres municipaux des communes ne sont toutefois pas les mêmes depuis 1800. Ainsi, n’existaient que Boulogne, Les Essarts et Sainte-Florence-de-l’Oie au premier recensement de la population, en 1800[Cass. 1],[Cass. 2],[Cass. 3]. La loi no 29381 du 7 mars 1895 scelle la scission de cette dernière en deux communes distinctes : Sainte-Florence et L’Oie[Leg. 5]. Ainsi, à compter de 1896, des recensements sont mis en place dans la nouvelle commune[Cass. 4].
    6. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V sur les opérations de recensement, afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises[Leg. 11]. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au et correspond au recensement de l’année 2006.

    Sources

    1. « Loi du 9 avril 1898 ayant pour objet d’autoriser l’administration des chemins de fer de l’État à se charger de la construction et de l’exploitation d’un réseau de tramways dans le département de la Vendée », Journal officiel, .
    2. « Décret no 46620 du 7 avril 1905 déclarant d’utilité publique, dans le département de la Vendée, l’établissement d’une ligne de tramway entre Chantonnay et les Quatre-Chemins-de-l’Oie », Journal officiel, (lire en ligne).
    3. « Loi no 2015-292 du 16 mars 2015 relative à l’amélioration du régime de la commune nouvelle, pour des communes fortes et vivantes », Journal officiel, (lire en ligne).
    4. « Arrêté no 1017 du 9 brumaire an X portant réduction des justices de paix du département de la Vendée », Bulletin des lois, (lire en ligne).
    5. « Loi no 29381 du 7 mars 1895 qui érige en commune distincte la section de l’Oie dépendant de la commune de Sainte-Florence-de-l’Oie, canton des Essarts, arrondissement de La Roche-sur-Yon (Vendée) », Bulletin des lois, (lire en ligne).
    6. « Loi no 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République », Journal officiel, (lire en ligne).
    7. « Décret no 2014-169 du 17 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Vendée », Journal officiel, (lire en ligne).
    8. « Ordonnance no 58-945 du 13 octobre 1958 relative à l’élection des députés à l’Assemblée nationale », Journal officiel, (lire en ligne).
    9. « Loi no 86-1197 du 24 novembre 1986 relative à la délimitation des circonscriptions pour l’élection des députés », Journal officiel, (lire en ligne).
    10. « Loi no 2003-327 du 11 avril 2003 relative à l’élection des conseillers régionaux et des représentants au Parlement européen ainsi qu’à l’aide publique aux partis politiques », Journal officiel, (lire en ligne).
    11. « Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité », Journal officiel, (lire en ligne).
    1. Article L-2113-10 [lire en ligne].
    2. Article L-2113-11 [lire en ligne].
    3. Article L-2111-1 [lire en ligne].
    4. Article L-2113-6 [lire en ligne].
    5. Article L-2113-7 [lire en ligne].
    6. Article L-2113-8 [lire en ligne].
    7. Article L-2121-2 [lire en ligne].
    • Sites officiels gouvernementaux
      Référence notée « Gv. » dans le texte
    1. Liste des juridictions compétentes aux Essarts sur le site du ministère de la Justice [lire en ligne].
    2. Liste des juridictions compétentes à L’Oie sur le site du ministère de la Justice [lire en ligne].
    3. Liste des juridictions compétentes à Boulogne sur le site du ministère de la Justice [lire en ligne].
    4. Liste des juridictions compétentes à Sainte-Florence sur le site du ministère de la Justice [lire en ligne].
    5. Liste des établissements scolaires des Essarts sur le site du ministère de l’Éducation nationale [lire en ligne].
    6. Liste des établissements scolaires de Boulogne sur le site du ministère de l’Éducation nationale [lire en ligne].
    7. Liste des établissements scolaires de L’Oie sur le site du ministère de l’Éducation nationale [lire en ligne].
    8. Liste des établissements scolaires de Sainte-Florence sur le site du ministère de l’Éducation nationale [lire en ligne].
    9. Liste des monuments historiques de la commune des Essarts dans la base Mérimée du ministère de la Culture et de la Communication [lire en ligne].
    10. Liste des monuments historiques de la commune de Sainte-Florence dans la base Mérimée du ministère de la Culture et de la Communication [lire en ligne].
    11. Liste des objets historiques de la commune des Essarts dans la base Palissy du ministère de la Culture et de la Communication [lire en ligne].
    1. Fiche des zonages des Essarts [lire en ligne].
    2. Fiche des zonages de Boulogne [lire en ligne].
    3. Fiche des zonages de L’Oie [lire en ligne].
    4. Fiche des zonages de Sainte-Florence [lire en ligne].
    5. « Commune de Boulogne (85030) : dossier complet » [lire en ligne].
    6. « Commune de L’Oie (85165) : dossier complet » [lire en ligne].
    7. « Commune des Essarts (85084) : dossier complet » [lire en ligne].
    8. « Commune de Sainte-Florence (85212) : dossier complet » [lire en ligne].
    9. « Département de la Vendée (85) : dossier complet » [lire en ligne].
    10. Code officiel géographique, « Commune d’Essarts en Bocage (85084) » [lire en ligne].
    11. « EPCI de la CC du Pays-des-Essarts (248500571) » [lire en ligne].
    • Service d’administration nationale des données et référentiels sur l’eau (http://www.sandre.eaufrance.fr/)
      Référence notée « Sandre » dans le texte
    1. Fiche cours d’eau de la Petite Maine (M74-0310), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    2. Fiche cours d’eau du Roulin (M7424500), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    3. Fiche cours d’eau de Boulogne (M8--0260), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    4. Fiche cours d’eau du Mortemer (M8105100), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    5. Fiche cours d’eau du Parc (N3114600), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    6. Fiche cours d’eau du Douet des Rivières (N3115150), mis à jour le 2 août 2012 [lire en ligne].
    1. « CC du Pays-des-Essarts », [lire en ligne].
    2. « Syndicat d’A.E.P. des Deux Maines », 3 juillet 2015 [lire en ligne].
    3. « Syndicat du bassin versant de Grandlieu », 3 juillet 2015 [lire en ligne].
    4. « Syndicat mixte du bassin des Maines vendéennes », 3 juillet 2015 [lire en ligne].
    5. « SIVU des communes de L’Oie et de Sainte-Florence », [lire en ligne].
    6. « Syndicat de collecte des ordures ménagères (SCOM) de l’Est vendéen », [lire en ligne].
    • Sites officiels des communes déléguées et des intercommunalités
      Référence notée « Off. » dans le texte
    1. « Compte-rendu de conseil » sur le site de la commune de Boulogne [lire en ligne].
    2. « Compte-rendu du conseil municipal du 25 juin 2015 à 20 h 00 » sur le site de la commune des Essarts [lire en ligne].
    3. « Compte-rendu du conseil municipal du 25 juin 2015 » sur le site de la commune de Sainte-Florence [lire en ligne].
    4. « Les compétences de la communauté de communes » sur le site de la communauté de communes du Pays-des-Essarts [lire en ligne].
    5. « Le conseil municipal » sur le site de la commune des Essarts [lire en ligne].
    6. « Composition du conseil » sur le site de la commune de Sainte-Florence [lire en ligne].
    7. « L’Oie » sur le site de la communauté de communes du Pays-des-Essarts [lire en ligne].
    8. « L’équipe municipale » sur le site de la commune de Boulogne [lire en ligne].
    9. Ville des Essarts, Guide : Itinéraire, patrimoine, (lire en ligne).
    10. Statuts de la communauté de communes du Pays-des-Essarts, , 6 p. (lire en ligne [PDF]), p. 1.
    11. « Intercommunalité » sur le site de la commune de Sainte-Florence [lire en ligne].
    12. « Qui sommes-nous ? » sur le site du SCOM de l’Est vendéen [lire en ligne].
    13. « Les ordures ménagères » sur le site du SCOM de l’Est vendéen [lire en ligne].
    14. « Emballages, verre, papier » sur le site du SCOM de l’Est vendéen [lire en ligne].
    15. « Le compostage » sur le site du SCOM de l’Est vendéen [lire en ligne].
    16. « Les déchetteries » sur le site de la communauté de communes du Pays-des-Essarts [lire en ligne].
    17. « Le CEJ (comité d’échanges et de jumelage) » sur le site de la communauté de communes du Pays-des-Essarts [lire en ligne].
    18. « Histoire de la commune » sur le site de la commune de Boulogne [lire en ligne].
    19. « Les Essarts : son histoire et son patrimoine » sur le site de la commune des Essarts [lire en ligne].
    20. « Présentation » sur le site de la commune de Sainte-Florence [lire en ligne].
    • Bulletins municipaux et intercommunaux
      Référence notée « Bull. » dans le texte
    1. « Projet de commune nouvelle : se projeter et renforcer l’identité de notre territoire », Lettre Infos, (lire en ligne [PDF]).
    2. Jean-Paul Croué, « Le mot du président », Le Journal d’infos du Pays-des-Essarts, no 21, , p. 2 (lire en ligne [PDF]).
    3. « Essarts-en-Bocage : un nouveau nom pour les habitants », Lettre Infos, , p. 3 (lire en ligne [PDF]).

    Références

    1. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Boulogne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Les Essarts », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sainte-Florence », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Oie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    • Lion 1906 (http://www.lion1906.com/), site de Lionnel Delvarre, mis à jour le 6 juin 2010
      Référence notée « Lion » dans le texte
    1. Fiche des Essarts [lire en ligne].
    2. « Orthodromie entre “Paris” et “Essarts” » [lire en ligne].
    3. « Orthodromie entre “Roche-sur-Yon” et “Essarts” » [lire en ligne].
    4. « Orthodromie entre “Herbiers” et “Essarts” » [lire en ligne].
    5. « Orthodromie entre “Sables-d’Olonne” et “Essarts” » [lire en ligne].
    6. « Orthodromie entre “Fontenay-le-Comte” et “Essarts” » [lire en ligne].
    7. « Orthodromie entre “Nantes” et “Essarts” » [lire en ligne].
    8. « Orthodromie entre “Cholet” et “Essarts” » [lire en ligne].
    9. « Orthodromie entre “Bressuire” et “Essarts” » [lire en ligne].
    10. « Orthodromie entre “Longeville-sur-Mer” et “Essarts” » [lire en ligne].
    11. « Orthodromie entre “Barre-de-Monts” et “Essarts” » [lire en ligne].
    1. Fiche de Boulogne [lire en ligne].
    2. Fiche des Essarts [lire en ligne].
    3. Fiche de L’Oie [lire en ligne].
    4. Fiche de Sainte-Florence [lire en ligne].
    • Autres références
    1. « Arrêté no 15-DRCTAJ/2-517 du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle “Essarts en Bocage” », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 68, (lire en ligne [PDF]).
    2. « Commune 31740 », « Commune 21926 », « Commune 7624 » et « Commune 12150 », Géofla, version 2.1, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2015 [lire en ligne].
    3. Philippe Ecalle, « “La commune nouvelle ne sera qu’une étape” », Ouest-France, (lire en ligne).
    4. Stéphanie Hourdeau, « Et si on créait une commune nouvelle ? », Le Journal du Pays yonnais, (lire en ligne).
    5. Elsa Dimicoli, « Plus de 500 participants à la Rencontre nationale des communes nouvelles », Maire Info, (lire en ligne).
    6. « Boulogne », « Les Essarts », « L’Oie » et « Sainte-Florence », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    7. Plan IGN (SCAN 1000) du Petit-Beauregard, , sur le Géoportail [lire en ligne].
    8. Renard 2005, p. 30.
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    12. « Structures administratives du bassin » sur le site du syndicat mixte de l’établissement territorial du bassin de la Sèvre Nantaise [lire en ligne].
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    14. « SAGE Lay » sur SIGES Pays de la Loire [lire en ligne].
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    40. « Commune nouvelle : les élus municipaux ont voté “oui” », Ouest-France, (lire en ligne).
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    42. « Essarts-en-Bocage, un mois avant sa création », Ouest-France, (lire en ligne).
    43. Cavoleau et La Fontenelle de Vaudoré 1844, p. 736-737.
    44. « Arrêté no 15-DRCTAJ/3-608 portant établissement du nombre et répartition des délégués des communes membres de la communauté de communes du Pays-des-Essarts à compter du  », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 84, (lire en ligne [PDF]).
    45. « Concours régional des villes et villages fleuris des Pays de la Loire : palmarès 2013 », 2014 [lire en ligne].
    46. « Arrêté no 2015-DRCTAJ/3-639 mettant fin à l’exercice des compétences du syndicat intercommunal à vocation unique des communes de L’Oie et de Sainte-Florence », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 85, (lire en ligne).
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. DSDEN de l’académie de Nantes sur le site du rectorat [lire en ligne].
    49. Julie L’Hostis, « Rentrée historique pour les collèges de Vendée », Ouest-France, (lire en ligne).
    50. « Le choix du nom... », 18 juin 2015, sur le site Commune nouvelle du Pays-des-Essarts [lire en ligne].
    51. « La commune nouvelle : une réponse aux besoins de notre temps », 18 juin 2015, sur le site Commune nouvelle du Pays-des-Essarts [lire en ligne].

    Annexes

    Revues

    • Georges Plaisance, « La toponymie des défrichements et des déboisements », Revue géographique de l’Est, Nancy, Association des géographes de l’Est, t. 2, no 3, , p. 221-232 (ISSN 0035-3213, lire en ligne)
    • Jean-Marie Bourdeau, « La géologie du Massif vendéen d’après M.. G. Mathieu », Annales de géographie, Paris, Armand Colin, no 272, , p. 173-177 (lire en ligne)

    Ouvrages et rapports

    • Observatoire économique, social et territorial de la Vendée, Désenclavement routier vendéen et développement économique, La Roche-sur-Yon, , 156 p. (lire en ligne)
    • Jean Renard, La Vendée : Un demi-siècle d’observation d’un géographe, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Espace et territoires », , 308 p. (ISBN 2-7535-0075-4)
    • Marcel Gautier, La Vendée (Bas-Poitou) : Esquisse géographique, La Roche-sur-Yon, H. Potier, , 184 p. (notice BnF no FRBNF34198734, lire en ligne)
    • Eugène Aillery, Pouillé de l’évêché de Luçon, Fontenay-le-Comte, Robuchon, , 211 p. (notice BnF no FRBNF30006044, lire en ligne)
    • Jean-Alexandre Cavoleau et Armand-Désiré de La Fontenelle de Vaudoré (éditeur scientifique), Statistique ou Description générale du département de la Vendée, Fontenay-le-Comte, Robuchon, , 944 p. (notice BnF no FRBNF30209336, lire en ligne)

    Articles connexes

    Lien externe

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