Saint-Fulgent

Saint-Fulgent est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Ses habitants sont appelés les Fulgentais.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Fulgent (homonymie).

Saint-Fulgent

Gravure de la 1ère bataille de Saint-Fulgent (22 septembre 1793).

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Luc Gautron
2020-2026
Code postal 85250
Code commune 85215
Démographie
Gentilé Fulgentais
Population
municipale
3 803 hab. (2018 )
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 14″ nord, 1° 10′ 36″ ouest
Altitude 88 m
Min. 46 m
Max. 106 m
Superficie 36,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Fulgent
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Fulgent
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Montaigu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Saint-Fulgent
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Saint-Fulgent
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Fulgent
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Fulgent
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Le territoire municipal de Saint-Fulgent s’étend sur 3 683 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 88 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 46 et 106 mètres[1],[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Fulgent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Fulgent, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 792 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Fulgent, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), zones urbanisées (5,1 %), prairies (5 %), forêts (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), cultures permanentes (0,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Saint-Fulgent tient son nom du latin « Fulgentius », qui signifierait lumineux, ainsi appelé vers l’an 1000.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Fulgent-les-Bois[13].

    Histoire

    Saint-Fulgent est habitée dès 10 000 av. J.-C., mais on n'a des traces datées qu’à partir de 5 000 av. J.-C., grâce à la présence de dolmens et d’outils.
    Vers 1 700 av. J.-C., les Celtes, devenant Gaulois, vont s’implanter dans le secteur. Le territoire de la commune appartient à la tribu des Pictons. Pendant la conquête romaine de la Gaule, vers 52 av. J.C., ils vont s’allier aux Romains.
    Ce bourg se serait appelé d’abord Saint-Jean voire Saint-Jean-du-Désert.

    Au VIe siècle, la présence d’un ermite permet de rassembler la population autour du prieuré Saint-Jouin, mais la fondation réelle du bourg de Saint-Fulgent ne se fait qu’au XIe siècle, après avoir essuyé de nombreuses invasions.

    Dès le Moyen Âge, le trafic s’y découvre avec des halles et une « cohue », des foires et des marchés, à l’ombre du prieuré bénédictin et de son église, sous la protection de seigneurs locaux soumis aux mouvances puissantes de Tiffauges et de Montaigu.
    Cela correspond à la construction de l’église Saint-Jouin qui voit le jour, et c’est «une des plus belles églises romanes du Haut-Poitou fondée sur l’ancienne église».[réf. nécessaire]

    A l’époque féodale, on s’active également aux champs. Les espaces de cultures sont gagnés sur les bois, clôturés par des haies de protection donnant ce paysage caractéristique du bocage vendéen, et laissant certains noms aux villages tels que : le Plessis (pré clôturé), les Landes (terres cultivées)…

    Les axes de circulation sont ouverts : la Grand’Route du Roi va permettre un commerce prospère aux XVIIe et XVIIIe siècles.
    Ainsi, Saint-Fulgent s’équipe d’un bureau de poste et devient réputé pour ses maîtres verriers, présents également au Parc Soubise et à Vouvant.

    Et sur « Le Grand Chemin », l’ancêtre de la RN 137, c’est déjà un défilé de notables, de marchands, de militaires, de chemineaux de toutes conditions, aux accoutrements, aux montures et aux convois les plus divers, tandis que s’inscrivent, comme de « Grandes Heures », des noms, des dates, des évènements…

    Après les temps calamiteux et les coteries de la guerre de Cent Ans, qui déciment la population, vient le temps de la Réforme protestante (XVIe siècle). Une minorité protestante influente, dominée par l’imposante figure du seigneur de Puy-Greffier, alors à son apogée, implante sa religion à Saint-Fulgent. Les luttes fratricides prennent par excès un tour très violent. L’église est incendiée, les bandes armées des deux partis rançonnent la contrée.

    Un siècle plus tard, brutalement, Louis XIV fait démolir le temple et le dernier pasteur part en exil. On détruit également le cimetière protestant.

    Vers 1750, commencent d’importants travaux sur le « Grand Chemin » : son tracé est amélioré et redressé. La Poste aux Lettres fonctionne depuis plus d’un demi-siècle. Saint-Fulgent est noté comme « Passage et Logement de guerres. »

    Pendant la guerre de Vendée Saint-Fulgent, en pleine zone insurgée, est le théâtre de deux batailles (en 1793 et 1794). La plus grande eut lieu le 22 septembre 1793 (bataille de Saint-Fulgent), dans le bourg, depuis 5 heures du soir jusqu’à une heure avancée de la nuit (à savoir 8 heures de combat). Excitées par un fifre, les troupes vendéennes de Charette et de Lescure, auxquelles s’associe le général Royrand (né en 1726 à la Petite Roussière de Saint-Fulgent) s’en prennent à l’armée républicaine de Mieszkowski et l’écrasent. Quelques jours plus tard et les Vendéens partis, Kléber est à Saint-Fulgent.

    Les massacres, notamment aux Charmilles (jardin de l’actuelle mairie), les destructions et ravages des maisons commises par les troupes républicaines se perpétuent jusqu’en 1797, date de la prise du pouvoir par Bonaparte. La « Grande Route » est dans un état lamentable. Le bilan de la guerre sera lourd. La population, qui a diminué d’un tiers, compte ses morts et ses ruines. L’église est à moitié dévastée, le château inhabitable.

    Il ne reste d’avant la Révolution que deux fermes en état de fonctionnement : l’Oiselière et la Roussière. La reconstruction de la ville est entreprise avec des matériaux de récupération. Les propriétés bourgeoises sont rétablies, ainsi que la poste aux chevaux. Le tracé des rues reste inchangé, mis à part quelques élargissements de voirie.

    Les travaux de réfection débutent en 1808. Cette même année, très exactement, le 8 août 1808, au soir de leur journée vendéenne, Napoléon et Joséphine s’arrêtent dans le bourg : le temps pour l’Empereur de s’informer sur le combat de 1793 et les dommages de guerre, et pour l’Impératrice, de recevoir les hommages et les fleurs de « Madame l’Adjointe », une créole comme elle. Cet arrêt n’est qu’une simple pause ; la ville reçut en effet une allocation de 3 000 francs pour les réparations à faire à l’église et une autre somme de 4 000 francs le 27 août de la même année.

    Dès 1846, la décision est prise de doter Saint-Fulgent d’une nouvelle église en l’agrandissant. L'ancienne sera donc détruite en 1856, et la reconstruction engagée dès l’année suivante pour se terminer vers 1893. Cette nouvelle église se veut un symbole de solidité et de discrétion, mais n’a pas le charme de l’église romane, que certains Fulgentais auraient souhaité conserver aux dépens de la décision du maire Alexis des Nouhes.

    Au début du XXe siècle, la circulation s’intensifie. Saint-Fulgent s’habitue à voir circuler journellement le train au ras des maisons, un « petit tortillard ». Dépassé par l'automobile, il a disparu dans les années 1940.

    Traversée par une artère importante du réseau routier national (la RN 137), la ville de Saint-Fulgent se développe grâce à cette situation géographique privilégiée. Des entreprises d'envergure nationale s'y sont installées dans différents secteurs d’activité : agro-alimentaire, travaux publics, transports frigorifiques. Cependant, la ville connaît également à la fin du XXe siècle la fermeture d'usines de chaussures et de confection.

    La déviation du centre bourg ouverte en juin 1989 améliore la qualité de vie des Fulgentais. Les flux de circulation de la RN 137 sont ainsi détournés pour le confort des habitants et des conducteurs. Quant à l’église de Saint-Fulgent, sa dernière rénovation remonte à 1995.

    Forte d’une activité économique assez privilégiée, siège de la Communauté de communes du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts, Saint-Fulgent dépasse en 2015 les 3 700 habitants. Son dynamisme s’exprime en outre dans une vie associative très dense autour des activités sportives et culturelles.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur semé d'étoiles d'or au lion léopardé du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1947 Ferdinand Chatry   Maire par intérim
    1947 1965 Bernard Fonteneau    
    mars 1965 mars 1983 Marcel Arrivé[15]   Industriel
    Réélu en 1971 et 1977
    mars 1983 mars 2001 Marie-Thérèse Algudo UDF-CDS Secrétaire CRAMA[16]
    Conseillère générale du canton de Saint-Fulgent (1992 → 1998)
    Suppléante du député Bruno Retailleau (1994 → 1997)
    Réélue en 1989 et 1995
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Gréau DVD Cadre d'entreprise
    Paul Boudaud[17] DVD Cadre administratif hospitalier à la retraite
    En cours Jean-Luc Gautron[18]   Informaticien à la retraite
    2e vice-président du Pays de Saint-Fulgent - Les Essarts (2020 → )

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 3 803 habitants[Note 3], en augmentation de 1,98 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    1 6258571 4441 3451 6221 8221 8301 8221 836
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 9482 0091 9772 0162 0702 1532 2172 2032 165
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 1772 0841 8951 9081 9101 9691 9101 9662 090
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    2 2582 5992 7772 9323 0773 2343 5483 7763 803
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 18,4 %, 30 à 44 ans = 21,5 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 18,6 %) ;
    • 50,7 % de femmes (0 à 14 ans = 19,9 %, 15 à 29 ans = 18,2 %, 30 à 44 ans = 18,4 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 25,4 %).
    Pyramide des âges à Saint-Fulgent en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,6 
    6,8 
    75 à 89 ans
    10,6 
    11,5 
    60 à 74 ans
    13,2 
    20,9 
    45 à 59 ans
    18,1 
    21,5 
    30 à 44 ans
    18,4 
    18,4 
    15 à 29 ans
    18,2 
    20,6 
    0 à 14 ans
    19,9 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    7,3 
    75 à 89 ans
    10,6 
    14,9 
    60 à 74 ans
    15,7 
    20,9 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,4 
    30 à 44 ans
    19,3 
    17,3 
    15 à 29 ans
    15,5 
    18,9 
    0 à 14 ans
    17,4 

    Lieux et monuments

    • Le château de Saint-Fulgent, château de style Renaissance, privé.
    • Les ruines du château du Puy-Greffier : ancien château médiéval, détruit presque entièrement car ses ruines étaient dangereuses. Il n'en reste plus qu'un muret.
    • Église Saint-Fulgent.

    Visiteurs célèbres

    • Agrippa d'Aubigné, écrivain calviniste né en Deux-Sèvres et ami d'Henri IV.
    • Henri de Navarre, futur Henri IV, en 1588
    • Le jeune comte d’Artois, futur roi Charles X, passe le 22 mai 1777, en visite dans le Poitou. Il a une escorte de sept carrosses et cinquante cavaliers suisses : il s’arrête le temps d’un dîner au château, reconstruit de fraîche date par M. Fortin, le nouveau seigneur.
    • Le 8 août 1808, Napoléon et Joséphine s’arrêtent dans le bourg.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Commune 11542 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Saint-Fulgent », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Saint-Fulgent », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Fulgent », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Mairie de Saint-Fulgent, Saint-Fulgent magazine, Saint-Fulgent, Mairie de Saint-Fulgent, coll. « no 128 », , 47 p..
    15. « Marcel Arrivé, capitaine d'industrie vendéen », Ouest-France, (lire en ligne).
    16. Caisse régionale d'assurance maladie d'Aquitaine
    17. « Paul Boudaud, nouveau maire et six adjoints désignés », Ouest-France, .
    18. « Jean-Luc Gautron, nouveau maire de la commune », Ouest-France, .
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le )
    23. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le ).
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