Bonneville (Haute-Savoie)

Bonneville est une commune française, située dans le département de la Haute-Savoie, dont elle est l'une des trois sous-préfectures, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève.

Pour les articles homonymes, voir Bonneville.

Bonneville

Fontaine et hôtel de ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
(sous-préfecture)
Arrondissement Bonneville
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes Faucigny-Glières
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Valli (LR)
2020-2026
Code postal 74130
Code commune 74042
Démographie
Gentilé Bonnevillois
Population
municipale
12 557 hab. (2018 )
Densité 463 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 47″ nord, 6° 24′ 05″ est
Altitude Min. 428 m
Max. 1 877 m
Superficie 27,15 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Cluses
(ville-centre)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonneville
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Bonneville
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Bonneville
Géolocalisation sur la carte : France
Bonneville
Géolocalisation sur la carte : France
Bonneville
Liens
Site web bonneville.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le Faucigny, au confluent de l'Arve et du Borne, et aux pieds du Môle et de la Pointe d'Andey. Bonneville est située au cœur de la vallée de l'Arve.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Géologie et relief, hydrographie

    La superficie de la commune est de 2 715 hectares ; son altitude varie entre 428 et 1 877 mètres[1].

    Climat

    Le climat y est de type montagnard en raison de la présence du Massif alpin.

    VilleEnsoleillementPluieNeigeOrageBrouillard
    Paris1 797 h/an642 mm/an15 j/an19 j/an13 j/an
    Nice2 694 h/an767 mm/an1 j/an31 j/an1 j/an
    Strasbourg1 637 h/an610 mm/an30 j/an29 j/an65 j/an
    Bonneville… h/an… mm/an… j/an… j/an… j/an
    Moyenne nationale1 973 h/an770 mm/an14 j/an22 j/an40 j/an

    Voici un aperçu dans le tableau ci-dessous pour l'année 2012 :

    Mois J F M A M J J A S O N D Année
    Températures (sous abri, normales) °C 2 4 8 13 17 20 22 21 18 14 9 3 12.5
    Précipitations (hauteur moyenne en mm)
    Source : Météo France et Météociel[2]

    Voies routières

    Pistes cyclables

    Une piste cyclable relie Bonneville à Marignier, côté amont de l'Arve et doit rallier Cluses par les bords d'Arve. Côté aval, Bonneville rejoint Nangy, le long de l'Arve. Un nouveau tronçon existe le long des quais du parquet depuis novembre 2011 et un autre a été inauguré en 2018 le long du Boulevard des Allobroges, puis du quai du parquet pour aller du centre-ville au centre nautique Guy Châtel.

    Depuis août 2019, une structure " L'échappée " permet la location de vélos classiques ou électriques à la semaine ou au mois [3].

    Transport ferroviaire

    La gare de Bonneville, fait à présent partie du Pôle d'échange multimodal, comprenant une gare routière pour les bus, une consigne à vélo et deux bornes de charge pour les voitures électriques. Ce pôle est situé sur la ligne de La Roche-sur-Foron à Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, est desservie par des trains SNCF TER Rhône-Alpes[4], et depuis décembre 2019 par le Léman Express, le plus grand réseau ferroviaire transfrontalier[5].

    Transports en commun

    Le réseau Proxim'iTi dessert la commune avec de nombreuses lignes régulières, mais aussi du transport à la demande. Les lignes Cars Région Haute-Savoie sont également présentes dans la commune.

    Stationnement

    1 800 places sont disponibles, toutes situées en zone bleue ou payantes (sur le seul parking de l'hôtel de ville). De nouveaux parkings sont disponibles dans les cours de récréation des anciennes écoles du centre-ville. Un parking relais P+R est aussi disponible en périphérie.

    Urbanisme

    Typologie

    Bonneville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cluses, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[9] et 90 111 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), zones urbanisées (14,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), terres arables (5,3 %), prairies (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %), zones humides intérieures (0,4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 235, alors qu'il était de 4 183 en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 89,7 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 38,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 60,5 % des appartements[I 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 45,7 %, en légère hausse par rapport à 1999 (43,2 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était en baisse : 21,7 % contre 26,6 % en 1999[I 3].

    Projets d'aménagements

    En 2012, la mairie prévoyait l'ouverture d'une piscine intercommunale en janvier 2013[15] :

    • réaménagement complet de la place de l'Hôtel-de-Ville (début en juin 2012 pour une durée estimée de 15 mois),
    • restructuration des rues du centre-ville,
    • pistes cyclables,
    • crématorium,
    • extension et rénovation de l'école de Pontchy dont les travaux ont débuté en juin 2012,
    • requalification du site de l'hôpital,
    • doublement du pont de Borne avec le lancement des travaux à l'automne 2012,
    • pôle multimodal à la gare ferroviaire.
    • en cours de construction ecoquartier des sires du Faucigny, ensemble composé de logements, commerces (magasin fresh biofrais), complexe cinéma 3 salles avec brasserie.

    Toponymie

    Du francoprovencal bôna + vèla, « bon village ». En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Bonavèla (graphie de Conflans) ou Bônavela (ORB)[16].

    Histoire

    Le comte Pierre II de Savoie décide dans la première moitié du XIIIe siècle de construire une fortification sur la colline, la Bona Villa. En 1262, il fait construire la ville neuve de Tucinge ou Toisinge[17].

    Sa fille Béatrice de Faucigny (1234-1310) en fait sa résidence et dote en 1262 le bourg adjacent de franchises et de privilèges. En 1283[18], elle donne à la ville neuve le nom de Bonneville. En 1289, elle lui attribue une nouvelle charte[19]. En 1296, elle devient le siège d'une chatellenie[20] et devient progressivement la capitale administrative de la baronnie du Faucigny en 1310, remplaçant la cité de Cluses. Ce changement politique et stratégique entraînera un conflit entre les deux cités, notamment avec une attaque de Cluses en 1355.

    En 1401, le bourg de Bonneville est presque entièrement détruit par une inondation extraordinaire de l'Arve, ne subsiste alors que quelques maisons[21]. Quelques années plus tard, la ville médiévale est frappée par de violents incendies en 1442, en 1618 et le 17 juillet 1737[22]. Les deux tours subsistantes du château sont réédifiées en pierre et le château est transformée en prison au XVIIIe siècle. Sous la Révolution française, la commune s'appelait Mont-Molez ou Mont-Mole. Entre 1798 et 1813 elle était située dans le département du Léman.

    Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 172 pour Bonneville, 114 pour La Côte-d'Hyot[25],[26]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[27].

    Le 6 août 1961, la commune de Pontchy y est rattachée, puis la commune de La Côte-d'Hyot fusionne avec Bonneville le 16 décembre 1964.

    Sur le territoire de la commune, on trouvait également la maison forte des Tours ; son mobilier nous est connu par l'inventaire qui est dressé en 1439 au décès du noble Robert de Montvuagnard[28].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Le maire de Bonneville, Stéphane Valli, succède à Martial Saddier depuis le 22 décembre 2015, celui-ci ayant remis sa démission, qui fut acceptée le mardi 15 décembre par le préfet du département.

    Liste des syndics et maires

    Durant la période du duché de Savoie, entre le XVe siècle et 1792, la ville est dirigée par le syndic, élu pour un an par ses pairs. La charge disparaît en octobre 1792, après l'occupation puis l'annexion du duché par les troupes révolutionnaires françaises. La nouvelle organisation mise en place prévoit la création d’une assemblée générale de la municipalité avec un maire nommé.

    En 1815, le duché de Savoie retourne au royaume de Sardaigne. Les syndics sont de nouveaux mis en place dans les communes. Ils sont nommés par le roi pour une durée de trois ans.

    En juin 1860, le duché de Savoie est réuni à la France. Les maires sont nommés par l’Empereur, pour une durée de quatre ans. Après la chute du Second Empire, les maires sont, comme dans le reste du pays, élus par le conseil municipal, lui-même élu par les citoyens, sauf pendant la période du Régime de Vichy, entre 1940 et 1944, où ils sont nommés.

    Maires depuis 1977
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 1983 Robert Servoz[29] PS Instituteur puis Directeur d'un établissement de formation
    mars 1983 mars 2001 Michel Meylan UDF puis DLC Agent d'assurances
    Député de la 3e circonscription de la Haute-Savoie (1988 → 2002)
    Conseiller général du canton de Bonneville (1982 → 1994)
    Vice-président du conseil général de la Haute-Savoie (1988 → 1994)
    mars 2001 22 décembre 2015[Note 5] Martial Saddier UDF puis UMP-LR Technicien agricole
    Député de la 3e circonscription de la Haute-Savoie (2002 → )
    Président de la CC Faucigny-Glières (2006 → 2014)
    22 décembre 2015[31] En cours Stéphane Valli LR Enseignant
    Conseiller régional de Rhône-Alpes (2013 → 2015)
    Président de la CC Faucigny-Glières (2014 → )

    Instances judiciaires et administratives

    Politique environnementale

    La ville possède un centre de valorisation des déchets (CCFG) situé rue du Busard-des-Roseaux.

    De nombreuses actions sont menées chaque année dans le cadre de la semaine nationale du développement durable.

    Installation de plusieurs hôtels à insectes sur le territoire de la commune.

    La régie municipale gaz-électricité roule avec des véhicules au gaz naturel.

    La ville s'est engagée avec de nombreux partenaires dans l'action Arve pure 2012 pour réduire l'impact des pollutions industrielles sur le milieu naturel.


    Jumelage et coopération

    La ville de Bonneville est jumelée avec :

    Coopération décentralisée :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 6]

    En 2018, la commune comptait 12 557 habitants[Note 7], en diminution de 0,72 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +6,11 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    8121 0381 0511 3021 6202 1682 1272 0522 284
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    2 1852 2472 2712 3582 2132 1732 1142 1602 155
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    2 0842 0402 1582 3682 4522 9134 1645 5437 702
    1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018 - -
    8 8149 99810 46310 69112 20112 73512 557--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évolution de la pyramide des âges de la ville de Bonneville, comparaison entre l'année 1999 et 1982[35] :

    Pyramide des âges en 1999 en nbre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    192 
    75 à plus
    345 
    455 
    60 à 74
    516 
    1 346 
    40 à 59
    1 313 
    1 688 
    20 à 39
    1 559 
    1 548 
    0 à 19
    1 495 
    Pyramide des âges en 1982 en nbre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    90 
    75 à plus
    211 
    329 
    60 à 74
    369 
    914 
    40 à 59
    859 
    1 578 
    20 à 39
    1 419 
    1 587 
    0 à 19
    1 460 

    Le nombre total de ménages à Bonneville est de 3 751. Ces ménages ne sont pas tous égaux en nombre d'individus. Certains de ces ménages comportent une personne, d'autres deux, trois, quatre, cinq voire plus de six personnes. Voici ci-dessous, les données en pourcentage de la répartition de ces ménages par rapport au nombre total de ménages.

    Les Ménages

    Ménages de : 1 personne 2 pers. 3 pers. 4 pers. 5 pers. 6 pers. ou +
    Bonneville 25,6 % 27,8 % 18,3 % 15,8 % 7,3 % 5,2 %
    Moyenne Nationale 31 % 31,1 % 16,2 % 13,8 % 5,5 % 2,4 %
    Sources des données : INSEE[36]

    Enseignement

    Petite enfance :

    • Maison de l'Enfant,
    • Crèche,
    • Halte-garderie,
    • Micro-crèche

    Maternelles :

    • Le Bouchet, Bois-Jolivet, Angèle et Jules Nicollet, Thuet, les Îles, Pontchy et Dessy

    Primaire :

    • Écoles élémentaires : Dessy, Pontchy, Angèle et Jules Nicollet, le Bois-Jolivet et du Bouchet.
    • Écoles primaires : Thuet, Les Îles.

    Collège :

    Lycée :

    Enseignement professionnel :

    • Lycée professionnel hôtelier François-Bise.

    Enseignement supérieur :

    • Écoles supérieures du professorat et de l'enseignement, antenne de Bonneville.


    Manifestations culturelles et festivités

    • Le Pleins feux festival a lieu chaque année au début de l'été.
    • La foire de Bonneville se déroule le 11 novembre lors de la Saint-Martin.
    • Deux brocantes-braderies se déroulent tous les troisièmes samedis de chaque mois de mars et de septembre dans le centre-ville.
    • Les saltimbanques prennent possession du centre-ville tous les ans en juin.
    • Winterock Fest : manifestation de 2 jours avec une soirée reggea et une soirée métal,
    • Fête du commerce en fin d'année avec des soirées repas sur la place de l'Hôtel-de-Ville.
    • Une saison estivale au château des Sires du Faucigny est en place depuis 2019

    Santé

    Bonneville comptait un centre hospitalier. Aujourd'hui transféré à l'ouest de Contamine-sur-Arve, le Centre hospitalier Alpes Léman (CHAL) regroupe les hôpitaux de Bonneville et d'Ambilly.

    Sur le territoire de Bonneville, on trouve également un centre de soins de suite, un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), une maison médicale et plusieurs laboratoires d'analyses médicales, kinésithérapeutes…

    Sports

    La ville compte plusieurs clubs et associations sportives[37], comme le RC Le Môle, club de rugby où ont été formés des joueurs comme l'international à sept Daniel Ikpefan ou le joueur du Stade toulousain Romain Riguet[38],[39].

    Plusieurs infrastructures sont ainsi présentes sur la commune[40]  :

    • Centre sportif Pierre-Fallion.
    • Piste d'athlétisme,
    • Dojo,
    • Stade de football,
    • Terrain de rugby,
    • Terrains de tennis couverts,
    • Centre sportif Briffod,
    • Boulodrome,
    • Ecostades,
    • Falaise d'escalade,
    • Stand de tir,
    • Skate-Parc,
    • Base nautique sur le lac de Motte-Longue

    • Stand de tir à l'arc,
    • Carrière d'équitation,
    • Pump-track,
    • Piste de modélisme.
    [réf. nécessaire]

    Radios et télévisions

    La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Rhône-Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune. La commune est également couverte par les radios locales : Radio Mont-Blanc, ODS Radio, Perrine FM...

    Presse et magazines

    La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Faucigny, le Courrier savoyard, Le Faucigny.

    Internet

    Bonneville a été plusieurs fois récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet » et a obtenu de 2010 à 2016 @@@[Note 8].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 980 , ce qui plaçait Bonneville au 12 425e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[42].

    Emploi

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 7 833 personnes, parmi lesquelles on comptait 75,4 % d'actifs dont 65,8 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs[I 4].

    On comptait 6 500 emplois dans la zone d'emploi, contre 5 879 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 5 195, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 9] est de 125,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre plus d'un emploi par habitant actif[I 5].

    Entreprises et commerces

    Au 31 décembre 2010, Bonneville comptait 885 établissements : 28 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 60 dans l'industrie, 65 dans la construction, 567 dans le commerce-transports-services divers et 165 étaient relatifs au secteur administratif[I 6].

    Parmi les 885 établissements, on peut citer EMT 74 (découpage, emboutissage), SOMFY (entrepôts de distribution), BOSCH (hydraulique et pneumatique) et la SA Perrotton (décolletage).

    En 2011, 79 entreprises ont été créées à Bonneville[I 7], dont 47 par des autoentrepreneurs[I 8].

    Tourisme

    En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 173 lits touristiques répartis dans 176 structures[Note 10]. Les hébergements marchands se répartissent comme suit : 24 meublés ; 3 hôtels ; une structure d'hôtellerie de plein air et un refuge ou gîte d'étape[43].

    En 2017, la commune est labellisée « Station verte »[44].

    Culture locale et patrimoine

    Période médiévale

    Période contemporaine

    Colonne Charles-Félix de Savoie et pont de l'Europe
    • Le pont de l'Arve devenu pont de l'Europe.
    • La « colonne de Charles-Félix » sur le pont de l'Europe (44 m), en hommage au roi Charles-Félix de Savoie qui fit endiguer la vallée de l'Arve, classée au registre des monuments historiques.
    • Fontaine baroque de Bonneville, sur la place de l'Hôtel-de-Ville, classée au registre des monuments historiques.
    • La Maison des têtes, de style baroque fut construite en 1738 par Chauplannaz, un maçon sculpteur.
    • La tour de la poudrière, située rue de Pressy, fut construite en 1838 pour servir de réserve de poudre.

    Monuments religieux

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[52].

    Bonneville et la peinture

    Vue générale de Bonneville
    Turner, 1803
    Musée d'Art de Dallas

    Le peintre Turner (1775-1851) a réalisé en 1803 un tableau représentant une vue générale du village.

    Personnalités liées à la commune

    • René de Lucinge (v.1553-v. 1610), seigneur et un homme de lettres, né à Bonneville.
    • Pierre Monod (1586-1644), jésuite savoyard, né à Bonneville.
    • André de Passier (1702-1784), jésuite, enseignant, écrivain et intendant du duc de Savoie, né à Bonneville.
    • Famille Bastian, notables (syndics, maires)
    • Florient Moevus ( 1999 - ), fils de dieu (physicien, mannequin, chasseur de chasseurs de requins, champion de ricochets), élevé en plein air.
    • Joseph Jacquier-Châtrier (1811-1876), avocat et homme politique savoyard, né à Bonneville.
    • Nancy Martel (1858-1928), actrice française morte à Bonneville.
    • Émile Favre (1869-1918), homme politique. Né à Bonneville, il en fut élu maire en 1908.
    • Amédée Guy (1882-1957), médecin, un homme politique et un résistant français, né à Bonneville.
    • Émile Delavenay (1905-2003), angliciste et un haut fonctionnaire international ; il fit ses études secondaires à Bonneville.
    • Mikhaïl Mikhaïlovitch Strange dit Strangue, éminent historien soviétique, a accompli ses études secondaires à Bonneville (vivait avec ses parents au château d'Arcine), puis à la Sorbonne ; résistant : reparti en U.R.S.S. en 1947 ; spécialiste de l'histoire française et de l'histoire russe.
    • Paul Guichonnet (1920), géographe et historien, né à Bonneville.
    • Gabriel Cattand (1923-1997), acteur, natif de Bonneville.
    • Annie Ernaux (1940), écrivaine, professeur de lettres ; a enseigné au lycée de Bonneville en 1967.
    • Guy Parayre (1947), général, a commandé la compagnie de gendarmerie de Bonneville (1978-1982).
    • Florent Pagny (1961), chanteur et acteur. A vécu à Bonneville (de 11 à 15 ans). Citoyen d'honneur de la commune le 27 octobre 2017[53].
    • Florence Autret (1970), journaliste, née à Bonneville.
    • Michaël Blanc (1973), emprisonné de 1999 à 2014 en Indonésie pour trafic de drogues, né à Bonneville.
    • Vincent Lecœur (1974), acteur, né à Bonneville.
    • Antoine Dénériaz (1976), skieur alpin, né à Bonneville.
    • Karine Ruby (1978-2009), championne olympique et championne du monde de snowboard, née à Bonneville.
    • Thomas Clarion (1982), multi-médaillé international et paralympique en biathlon et en ski de fond, catégorie non-voyant, travaille à Bonneville au centre de soins de suite Martel de Janville.

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de Bonneville se blasonnent ainsi : Écartelé au premier et au quatrième de gueules à une croix d'argent ; au deuxième et au troisième palé d'or et de gueules de six pièces.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 33-50 « Bonneville », p.59 « La Côte-d'Hyot », p. 73 « Pontchy », p.74 « Saint-Éteinne »..
    • Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance. Collection L'amateur Averti, , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 152-154.
    • Paul Guichonnet, Notre Bonneville d'hier à aujourd'hui, Samoëns, Éditions Le Tour, , 221 p. (ISBN 978-2-9519581-9-7 et 2-9519581-9-6).
    • Lucien Guy, Bonneville et ses environs, Éditions Res Universis, coll. « Monographies des villes » (réimpr. 1992) (1re éd. 1922), 141 p. (ISBN 978-2-87760-752-0 et 2-87760-752-6).
    • Rémi Mogenet, De Bonneville au Mont-Blanc. Itinéraire littéraire (XVIIè –XIXè siècles), Éditions Le Tour, .
    • Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 81-83.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[23],[24].
    5. Martial Saddier est élu conseiller régional le 14 décembre 2015 et en raison de la loi sur le cumul des mandats, il démissionne de son mandat de maire de Bonneville[30].
    6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Bonneville [41] :
      • 2007, 2008 « @@ » ;
      • 2010 à 2016 « @@@ ».
    9. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
    10. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[43].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Autres sources

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Base de données météo et observations temps réelle par Méteociel et Météo France
    3. « Déplacements et stationnement Solution vélo au quotidien : proxivelo », sur le site bonneville.fr.
    4. « Gare de Bonneville », sur le site ter-sncf.com (consulté le 23 janvier 2014).
    5. www.lemanexpress.ch/fr/.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Cluses », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Réalisation d'une piscine intercommunale
    16. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    17. [PDF] André Perret, Les institutions dans l'ancienne Savoie : Du onzième au seizième siècle, Chambéry, Conseil départemental d'animation culturelle, , 87 p. (ASIN B0007AXLD6, lire en ligne), p. 35.
    18. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie - Chablais, Faucigny, Genevois, Cabédita, 1994 (ISBN 9782882951175), p. 37.
    19. Léon Ménabréa, Article « De la marche des études historiques en Savoie et en Piémont, depuis le XIVe siècle jusqu'à nos jours, et des développements dont ces études seraient encore susceptibles », Mémoires (n°1, IX), Académie de Savoie, , p. 354. Voir aussi Article de Ruth Mariotte-Löber « Ville et seigneurie : Les chartes de franchises des comtes de Savoie : fin XIIe siècle-1343 », Mémoires et Documents (Vol. 4), Académie florimontane - Librairie Droz, , xxx.
    20. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 35..
    21. « P.P.R. inondation de l'Arve - Commune de Vetraz-Monthoux » [PDF], sur haute-savoie.gouv.fr.
    22. Jean et Renée Nicolas, La Vie quotidienne en Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècle, Hachette, 1979, p. 168.
    23. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
    24. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
    25. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 33-35.
    26. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 167.
    27. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
    28. Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 96.
    29. « Servoz père et fils : 40 ans de politique », Le Messager, (lire en ligne).
    30. Cécilia Sanchez, « Martial Saddier, élu au conseil régional, quitte son mandat de maire de Bonneville (Haute-Savoie) », france3-regions.francetvinfo.fr, (lire en ligne).
    31. « Stéphane Valli nouveau maire de Bonneville après la démission de Martial Saddier », Le Messager, 23 décembre 2015.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Recensement de l'INSEE en 1999 - Population totale par sexe et âge
    36. Données démographiques cités par le l'JDN
    37. « Clubs Sportifs », sur bonneville.fr (consulté le ), p. 1
    38. « Clubs Sportifs », sur bonneville.fr (consulté le ), p. 2
    39. « Rugby Club du Môle », (consulté le )
    40. « Équipements sportifs », sur bonneville.fr (consulté le )
    41. « Liste des Villes Internet » (consulté le ) (année à sélectionner)
    42. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
    44. « Bonneville », Station, sur site du label Station verte - stationverte.com (consulté en ).
    45. Regat et Aubert 1999, p. 60.
    46. Chapier 2005, p. 47.
    47. Chapier 2005, p. 46.
    48. Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Tours (section) », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 154-156 (lire en ligne).
    49. Raymond Oursel et Pascal Lemaître, Les chemins du sacré : Pélerinage architectural, vol. 2, La Fontaine de Siloé, coll. « « Les Savoisiennes » », , 267 p. (ISBN 978-2-84206-350-4), p. 102.
    50. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte et Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 73.
    51. Faucigny 1980, p. 47-48, « L'église paroissiale ».
    52. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    53. « Florent Pagny devient citoyen d’honneur », sur ledauphine.com (consulté le ).
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