Avon (Seine-et-Marne)

Avon est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2018, elle compte 13 662 habitants.

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Avon

L'hôtel de ville.

Blason

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Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Maire
Mandat
Marie-Charlotte Nouhaud (LR)
2020-2026
Code postal 77210
Code commune 77014
Démographie
Gentilé Avonnais
Population
municipale
13 662 hab. (2018 )
Densité 3 567 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 35″ nord, 2° 42′ 58″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 100 m
Superficie 3,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Fontainebleau
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontainebleau
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Avon
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Avon
Géolocalisation sur la carte : France
Avon
Géolocalisation sur la carte : France
Avon
Liens
Site web avon77.com

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Avon dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune d'Avon se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1].

    Elle se situe à 17,53 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et à 2,38 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Fontainebleau[1].

    Avon forme avec sa voisine Fontainebleau une seule agglomération[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes d'Avon.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Fontainebleau (1,7 km), Samoreau (2,8 km), Vulaines-sur-Seine (3,9 km), Thomery (4,5 km), Héricy (5,0 km), Samois-sur-Seine (5,2 km), Champagne-sur-Seine (5,8 km), Veneux-les-Sablons (6,1 km).

    Communes limitrophes d’Avon
    Samois-sur-Seine
    Fontainebleau Samoreau
    Thomery

    Géologie et relief

    Carte géologique vectorisée et harmonisée d'Avon.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[5],[6].

    Géologie de la commune d'Avon selon l'échelle des temps géologiques[5],[6].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Pléistocène
    Néogène Pliocène non présent.
    Miocène non présent.
    Paléogène Oligocène
    g1AR :Argile verte, Glaises à Cyrènes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées.
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
    Éocène
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, Marnes de Nemours.
    e7MS :Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil.
    e6-7CH-SO :Calcaire de Champigny et Calcaire de Saint-Ouen indifférenciés.
    Paléocène non présent.

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Avon.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la Seine, fleuve long de 774,76 km[7]. Sa longueur totale sur la commune est de 1,69 km[8].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[11].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 710 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14], à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16].

    La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », zone centrale et zone de transition, est un espace protégé créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[17],[18],[19].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[21]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal d'Avon comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4],[23], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[24] , et un ZNIEFF de type 2[Note 5],[23], la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Avon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fontainebleau, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[29] et 36 406 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32],[33].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,48 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (61,97 %), forêts (31,56 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,17 %), eaux continentales[Note 8] (2,96 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,33 %)[34].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[34].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    247,31 ha 64,82 % 249,80 ha 65,48 % 2,50 ha 
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
    0,00 ha 0,00 % 0,00 ha 0,00 % 0 ha 
    Forêts et milieux semi-naturels
    (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
    122,91 ha 32,22 % 120,41 ha 31,56 % −2,50 ha 
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    11,30 ha 2,96 % 11,30 ha 2,96 % 0 ha 

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[35],[36],[37]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa région, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa région[38].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[39]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Carte du cadastre de la commune d'Avon.

    La commune compte 15 lieux-dits administratifs répertoriés[40] dont les plus importants sont La Butte Montceau, Valvins (partagé avec Samois-sur-Seine).

    Avon est divisé en plusieurs quartiers et résidences : Bellefontaine, Changis, La Butte Montceau, la Cave Coinard, les Basses Loges, le Prieuré, les Fougères, les Terrasses et Valvins.

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 7 697 dont 25,4 % de maisons et 73,2 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 54,8 % contre 42,9 % de locataires[41] -[Note 9], dont 11,8 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 10] et, 2,3 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    La ligne de chemin de fer de Paris à Marseille traverse le territoire de la commune en son centre, du nord-est au sud-est.

    Plusieurs routes départementales relient Avon aux communes voisines :

    • la D 137, à Samois-sur-Seine, au nord ; à Fontainebleau, au sud-est ;
    • la D 137e, à Fontainebleau, à l'ouest et au sud ;
    • la D 138, à Samois-sur-Seine, au nord ; à Fontainebleau et à Thomery au sud-est ;
    • la D 210, à Samois-sur-Seine, au nord-est ; à Fontainebleau, à l'ouest.

    Transports

    La gare de Fontainebleau - Avon.

    La commune dispose d'une gare desservie par les trains de la ligne R du Transilien effectuant les liaisons : Paris - Montereau et Paris - Montargis.

    Avon est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau Transdev Île-de-France[42],[43] :

    • onze lignes du réseau d'autocars Transdev Vulaines[44] :
      • la ligne no 1, qui relie Avon à Fontainebleau ;
      • la ligne no 2, qui dessert uniquement Avon ;
      • la ligne no 3, qui relie Fontainebleau à Avon ;
      • la ligne no 4, qui relie Avon à Fontainebleau ;
      • la ligne no 5, qui relie Vulaines-sur-Seine à Avon ;
      • la ligne no 6, qui relie Samoreau à Avon ;
      • la ligne no 8, qui relie Fontainebleau à Avon ;
      • la ligne no 9, qui relie Samoreau à Avon ;
      • la ligne no 43, qui relie Sivry-Courtry à Fontainebleau ;
      • la ligne no 45, qui relie Chartrettes à Fontainebleau ;
      • la ligne no 209, qui relie Vernou-la-Celle-sur-Seine à Avon ;
    • trois lignes du réseau de bus Transdev Saint-Fargeau-Ponthierry[45] :
    • deux lignes lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[46] :
      • la ligne no 7b, qui relie Nemours à Avon ;
      • la ligne no 202, qui relie Villemer à Moret Loing et Orvanne ;
    • une ligne du réseau d'autocars Transdev Interval[47] :
      • la ligne no 210, qui relie Vernou-la-Celle-sur-Seine à Fontainebleau.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Abonis Villa en 836[48],[49], Avonh en 1177[49].

    Histoire

    Avon est mentionnée en tant que paroisse dès 839[50] dans une charte de Louis le Pieux.

    Formant avec Fontainebleau une agglomération entourée par la forêt, l'histoire des deux villes fut souvent liée, mais les historiens considéraient Avon comme antérieur à sa voisine, jusqu'en 2012 ou furent mis au jour sous une des places du château un village gaulois datant d'entre trente et deux-cent-cinquante ans avant J.-C.[51].

    La gare d'Avon-Fontainebleau ouvrit en 1846, le viaduc fut inauguré par le futur Napoléon III en septembre 1849[52].

    De 1885 à 1890, un train routier à vapeur de marque américaine "Scotte"[53] circulait entre la gare et le château, sans réellement donner satisfaction. Il fut remplacé de 1896 à 1953 par un tramway[54].

    En 1943 et 1944, Rémy Dumoncel, maire de la ville, ainsi que plusieurs habitants[55] furent arrêtés par l'occupant pour des faits de résistance active, et moururent en déportation.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1792 10 ventose an II Claude Bellier    
    10 ventose an II 11 prairial an VIII Pierre Fiacre Huge    
    11 prairial an VIII décembre 1806 Pierre Louis Giot    
    décembre 1806 septembre 1815 Nicolas Goga    
    septembre 1815 mai 1819 Guyon    
    mai 1819 octobre 1824 Barbarin    
    octobre 1824 juin 1826 Jean Séraphin Desvesgnes    
    juin 1826 décembre 1831 Claude Mathurin Jourdain    
    décembre 1831 septembre 1833 Etienne Hutte    
    septembre 1833 mai 1837 Jean Barbarin    
    mai 1837 juin 1840 Claude Mathurin Jourdain    
    juin 1840 1850 Charles Morlet    
    janvier 1852 mai 1871 Jean Fontenelle    
    mai 1871 janvier 1878 Gustave Morlet    
    janvier 1878 mai 1888 Charles Lefebvre    
    mai 1888 mai 1896 Charles Meunier    
    mai 1896 mai 1912 Adolphe Julien Porgeron    
    mai 1912 décembre 1919 Georges Penelle    
    décembre 1919 octobre 1925 Léopold Merrienne    
    octobre 1925 mars 1933 Baron Christian
    d'Aleyrac Contaud de Coulange
      Propriétaire à Fontainebleau
    mars 1933 mai 1935 Xavier Leconte    
    mai 1935 mai 1944 Rémy Dumoncel    
    mai 1944 mai 1945 Charles Yaher[56]   Entrepreneur de travaux publics à Paris
    mai 1945 mars 1959 Georges Lucquin    
    mars 1959 mars 1971 Léon Béra
    (1911-1982)
      Médecin
    mars 1971 mars 1995 Pierre Pic[57] DVD Expert-comptable
    mars 1995 mars 2014 Jean-Pierre Le Poulain DVD puis UMP  
    avril 2014 En cours Marie-Charlotte Nouhaud[58] DVD puis LR[59] Administratrice hors-classe de la ville de Paris
    2e vice-présidente de la CA du Pays de Fontainebleau (2017 →)
    Réélue en 2020

    Jumelages

    Villes jumelées avec Avon
    VillePays
    MelkshamRoyaume-Uni

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[60].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [61],[62].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Avon est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [63],[64],[65].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[66]. La communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[63],[67],[68].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [63],[69].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière[70].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[71],[Note 11]

    En 2018, la commune comptait 13 662 habitants[Note 12], en diminution de 0,72 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0199519071 0021 1271 1171 2161 3651 331
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1971 3511 5231 6561 9262 1412 4752 5472 680
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7832 8693 1413 4033 7174 1134 4804 4905 408
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 47513 55215 37714 77813 87314 03014 26114 08414 001
    2018 - - - - - - - -
    13 662--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee à partir de 2006[73].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Chaque dernier dimanche d'août[74], il est de coutume de fêter la Saint-Fiacre en hommage au patron des jardiniers. Un cortège décoré de fruits, de légumes et de fleurs défile habituellement dans les rues, jusqu'à la statue rue de la République.

    Économie

    • Industrie du verre.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 6 430 (dont 62 % imposés), représentant 13 360 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 980 euros[75].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 3 906, occupant 5 738 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 65,7 % contre un taux de chômage de 9,7 %. Les 24,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 6,8 % pour les autres inactifs[76].

    Entreprises et commerces

    En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 313 dont 11 dans l’industrie, 38 dans la construction, 218 dans le commerce-transports-services divers et 46 étaient relatifs au secteur administratif[77].

    Ces établissements ont pourvu 3 204 postes salariés.

    En 2019, 178 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 143 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune disposait de 72 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[78].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle constitue l'un des plus anciens édifices religieux de la région.
    C'est l'ancien hôpital du château de Fontainebleau fondé par Anne d'Autriche. Il devient, après la Révolution, un petit séminaire puis la maison des rédemptoristes[réf. souhaitée]. Depuis 1920, les carmes déchaux y vivent. Le bâtiment a été agrandi en 1934 pour accueillir un petit collège dirigé par le P. Jacques de Jésus. Ce nouveau bâtiment est devenu depuis les années 1970 un centre spirituel qui accueille chaque année des milliers de personnes.

    Personnalités liées à la commune

    Rue Père-Jacques, localisée à Avon.
    Pierre tombale d'Étienne Bézout dans l'église Saint-Pierre à Avon.
    • Père Jacques, père Jacques de Jésus (Lucien Bunel), né en 1900 à Barentin, près de Rouen. Ordonné prêtre en 1925, devenu carme en 1931, il est nommé directeur du Petit Collège d’Avon en 1934. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre en résistance et le Petit Collège sert à cacher des réfractaires et des enfants juifs. Il est arrêté en 1944, puis déporté pour aboutir finalement au camp de Mauthausen. Celui-ci est libéré le 5 mai 1945 mais épuisé, il meurt le 2 juin 1945. L’épisode de l’arrestation au Petit Collège est le sujet du film de Louis Malle Au revoir les enfants. La médaille des Justes lui est décernée par l’État d’Israël le 9 juin 1985. Un procès informatif diocésain pour la canonisation du père Jacques de Jésus a été ouvert le 29 avril 1997.
    • Le Bienheureux P. Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou) fut novice au couvent des Carmes de 1922 à 1924 et y revint plusieurs fois.
    • Rémy Dumoncel, né le à Romorantin. Éditeur, il devint maire d'Avon en 1935. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la résistance. Il est arrêté par la Gestapo à la gare de Fontainebleau - Avon le et déporté à Neuengamme, où il meurt le . Il est honoré à Yad Vashem comme un Juste parmi les nations.
    • Alphonse XIII, roi d'Espagne a résidé à l'Hôtel Savoy à Avon lors de son exil en France.
    • Katherine Mansfield écrivain d'origine néo-zélandaise, atteinte de tuberculose, est décédée le à l’institut Gurdjieff situé au prieuré d'Avon. Elle est enterrée dans le cimetière de la ville.
    • René Dommange (1888-1977), éditeur de musique, compositeur, député conservateur sous la Troisième République, mort le 27 mai 1977 à Avon.
    • Georges Gurdjieff une figure célèbre de l'ésotérisme, s'installa de 1922 à 1933 au prieuré d'Avon pour y fonder l'institut pour le développement harmonique de l'homme. Il est enterré dans le cimetière de la ville.
    • Lilian Thuram, joueur de football, champion du Monde en 1998 et d'Europe en 2000, a vécu au quartier des Fougères.
    • Carlos Schwabe artiste-peintre symboliste, est décédé à Avon en 1926.
    • Étienne Bézout, mathématicien, né à Nemours en 1730 et mort à Avon le 27 septembre 1783.
    • Le marquis Gian Rinaldo Monaldeschi, écuyer et amant de Christine de Suède fut assassiné sur son ordre le 10 novembre 1657 et enterré à Fontainebleau.
    • Auguste Durand (1830-1909), organiste et éditeur de musique, propriétaire du manoir de Bel-Ébat, est enterré à Avon.
    • Jacques Durand (1865-1928), éditeur de musique, propriétaire du manoir de Bel-Ébat, est décédé et enterré à Avon.
    • Jules Massenet (1842-1912), compositeur français y a possédé une maison où il a séjourné jusqu'en 1882[84].
    • Bernard Palissy (vers 1510-1589 ou 1590), céramiste, écrivain et savant français, y entretenait une fabrique non loin du château de Fontainebleau[85].
    • Antoine Cléricy, céramiste, y entretenait une fabrique dans le hameau du Montceau

    Héraldique, devise et logotype

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    De gueules aux deux clefs d'argent passées en sautoir, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    10. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    11. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
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