Villiers-en-Bière

Villiers-en-Bière est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2018, elle compte 210 habitants.

Pour les articles homonymes, voir Villiers.

Villiers-en-Bière

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité CA Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Alain Truchon
2020-2026
Code postal 77190
Code commune 77518
Démographie
Gentilé Villiers-en-Bièrois
Population
municipale
210 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 43″ nord, 2° 35′ 55″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 92 m
Superficie 10,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontainebleau
Législatives 1re circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villiers-en-Bière
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Villiers-en-Bière
Géolocalisation sur la carte : France
Villiers-en-Bière
Géolocalisation sur la carte : France
Villiers-en-Bière
Liens
Site web mairievilliersenbiere.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Villiers-en-Bière dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Villiers-en-Bière est située au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1], et au nord-est de la région naturelle le Gâtinais.

    Elle se situe à 8,39 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et à 14,31 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Villiers-en-Bière.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Boissettes (3,0 km), Chailly-en-Bière (3,1 km), Dammarie-les-Lys (3,5 km), Perthes (3,8 km), Boissise-la-Bertrand (3,8 km), Saint-Sauveur-sur-École (3,8 km), Boissise-le-Roi (4,0 km), Pringy (4,4 km).

    Communes limitrophes de Villiers-en-Bière
    Boissise-le-Roi Dammarie-lès-Lys
    Perthes Chailly-en-Bière Fontainebleau

    Géologie et relief

    Carte géologique vectorisée et harmonisée de Villiers-en-Bière.

    Le territoire de la commune se situe dans la partie nord de la plaine de la Bière qui constitue la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[5],[6].

    Géologie de la commune de Villiers-en-Bière selon l'échelle des temps géologiques[5],[6].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    CE :Colluvions polygéniques éboulis.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fv :Alluvions anciennes : sables et graviers (Cailloutis de Sénart).
    Pléistocène
    Néogène Pliocène non présent.
    Miocène non présent.
    Paléogène Oligocène
    g1AR :Argile verte, Glaises à Cyrènes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées.
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
    Éocène non présent.
    Paléocène non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[7].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Villiers-en-Bière.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

    • le ru de la Mare aux Evées, long de 11,26 km[8], affluent de la Seine ;
      • le canal 03 des Pommeraies, 1,69 km[9], et ;
      • le canal 01 du Bois des Pommeraies, 1,82 km[10], et ;
      • le bras 01 des Pommeraies, 0,60 km[11], qui confluent avec le ru de la Mare aux Evées ;
        • le canal 02 des Pommeraies, 1,82 km[12], qui conflue avec le bras 01 des Pommeraies ;
          • le canal 01 des Pommeraies, 1,50 km[13], qui conflue avec le canal 02 des Pommeraies ;
            • le canal 01 de la Pièce de Mémorant, 0,37 km[14], qui conflue avec le canal 01 des Pommeraies.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 12,63 km[15].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[16].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[17]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[18].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 712 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 2,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[20]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[19]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[21]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[22], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[23] à 11,6 °C pour 1991-2020[24].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26].

    Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[27],[28].

    La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un autre espace protégé sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[29],[30],[31],[32].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[33].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[34]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[35].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Villiers-en-Bière comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4],[36],[Carte 1], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[37].

    Urbanisme

    Typologie

    Villiers-en-Bière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[38],[39],[40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[41],[42].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,84 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,43 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,76 % ), forêts (25,06 % ), zones agricoles hétérogènes (3,08 % ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,85 % ), zones urbanisées (0,25 %)[43].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[43].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    37,51 ha 3,51 % 33,11 ha 3,10 % −4,40 ha 
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
    763,18 ha 71,43 % 767,58 ha 71,84 % 4,40 ha 
    Forêts et milieux semi-naturels
    (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
    267,78 ha 25,06 % 267,78 ha 25,06 % 0,00 ha 

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[44],[45],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[46].

    La commune disposait en 2019 d'un plan d'occupation des sols approuvé et un plan local d'urbanisme était en révision[47]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Carte du cadastre de la commune de Villiers-en-Bière.

    La commune compte 28 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés[48] dont Orsonville (ferme), le Bréau (ferme, centre de vacances d'Ivry-sur-Seine), la Glandée.

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 94 dont 89,4 % de maisons et 9,6 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 87,2 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 79,3 % contre 19,5 % de locataires et 1,2 % logés gratuitement[49].

    Voies de communication

    Plusieurs routes routes départementales relient Villiers-en-Bière aux communes voisines :

    • la D 607 (ancienne route nationale 7), à Boissise-le-Roi, au nord-ouest ; et à Chailly-en-Bière, au sud-est ;
    • la D 24, à Boissise-le-Roi, à l'ouest ;
    • la D 142, à Boissise-le-Roi, au nord-ouest ; et à Fontainebleau, au sud-est ;
    • la D 372, à Perthes, au sud-ouest ; et à Dammarie-les-Lys, au nord-est.

    Transports

    La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau Transdev Île-de-France[50],[51] :

    Toponymie

    • Villaribus en 1257, Vilers en 1301, Villares in Biera en 1350 et enfin Villiers-en-Bière dès 1394[54].
    • Du bas-latin Villare, partie agricole du domaine appelé villa, et du celte biera, la plaine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2008 mai 2020 Gilles Gatteau SE ingénieur
    mai 2020[55] En cours
    (au 5 juin 2020)
    Alain Truchon    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [56],[57].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villiers-en-Bière est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [58],[59],[60].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[58],[62].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [58],[63],[64].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[66].

    En 2018, la commune comptait 210 habitants[Note 9], en diminution de 7,08 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    106138777782101939093
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    128125107909698848695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1028912311310398110126121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    84815967158196214218212
    2018 - - - - - - - -
    210--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[67] puis Insee à partir de 2006[68].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 81, représentant 211 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 900 euros[69].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 979, occupant 110 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,7 % contre un taux de chômage de 4,5 %. Les 24,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7 % de retraités ou préretraités et 6,4 % pour les autres inactifs[70].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 135 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 94 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 6 dans les activités immobilières, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 11 étaient relatifs aux autres activités de services[71].

    En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 1 individuelle.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[72].

    Villiers-en-Bière bénéficie de l'implantation sur sa commune d'un hypermarché Carrefour, un des plus grands d'Europe et le plus vaste de France avec 25 000 m2[73], dont les retombées financières (notamment la taxe professionnelle) sont importantes face à la population totale de ce village au demeurant rural par excellence et cerné par les champs, les bois et les pâturages. La commune, en raison de l'importance de ses ressources fiscales, est structurellement contributrice au fonds de solidarité des communes de la région Île-de-France (FSRIF).

    Agriculture

    Villiers-en-Bière est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[74].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 137 ha en 1988 à 147 ha en 2010[74]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villiers-en-Bière, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Villiers-en-Bière entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[74],[Note 11]
    Nombre d’exploitations (u) 5 7 5
    Travail (UTA) 10 9 5
    Surface agricole utilisée (ha) 685 801 734
    Cultures[76]
    Terres labourables (ha) 652 747 731
    Céréales (ha) 570 s 418
    dont blé tendre (ha) 372 331 370
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 197 s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 66 198 252
    Élevage[74]
    Cheptel (UGBTA[Note 12]) 15 0 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Éloi.
    Pavillon du jardinier, domaine du Bréau.

    Lieux et monuments

    Cette modeste église a la particularité rare d'avoir un corps principal plus élevé que son clocher.
    Sa cloche, datant du XVe siècle est protégée ainsi que quelques pièces mobiliaires comme un calvaire et des pierres tumulaires.
    On y trouve la tombe de Philippe Néricault Destouches, auteur dramatique, membre de l'Académie française décédé en 1754 en son château de Fortoiseau.
    • Ancien château du Bréau[77](aujourd'hui disparu) et domaine du Bréau (communs, ferme)[78].
    • Ancien château de Fortoiseau[79](aujourd'hui disparu), et ruines de la ferme[80].
    • Ancienne chapelle du château de Fortoiseau détruite par les Allemands en 1944[réf. nécessaire].

    Patrimoine naturel

    • Parc arboré de cinq hectares autour de la mairie.
    • La forêt de Fontainebleau recouvre une partie importante de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    de gueules à la bande d’argent chargée de trois merlettes de sable accompagnée en chef, d’une étoile d’or et en pointe d’une tour du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Villiers-en-Bière » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Villiers-en-Bière - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Villiers-en-Bière », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre Villiers-en-Bière et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre Barbizon et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Villiers-en-Bière », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    6. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    7. « Plan séisme consulté le 21 mai 2020 ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Ru de la Mare aux Evées (F4475000) » (consulté le ).
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 03 des Pommeraies (F4476202) » (consulté le ).
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 du Bois des Pommeraies (F4476102) » (consulté le ).
    11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras 01 des Pommeraies (F4472001) » (consulté le ).
    12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 02 des Pommeraies (F4476302) » (consulté le ).
    13. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 des Pommeraies (F4476352) » (consulté le ).
    14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 de la Pièce de Mémorant (F4465302) » (consulté le ).
    15. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 27 juin 2019
    16. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    17. « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    18. « le Schéma d'aménagement et de gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur www.sage-beauce.fr (consulté le ).
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    20. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    21. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Villiers-en-Bière et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    26. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Parc naturel régional du Gâtinais français », sur www.parc-gatinais-francais.fr (consulté le ).
    28. « le Parc naturel régional du Gâtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Réserve de biosphère de « Fontainebleau et Gâtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    30. « la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « la zone tampon de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    34. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villiers-en-Bière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « site Natura 2000 FR1100795 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villiers-en-Bière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « ZNIEFF le « Massif de Fontainebleau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    40. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    44. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    45. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    46. « Le SCOT Région melunaise », sur www.seine-port.f (consulté le ).
    47. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    48. Site territoires-fr.fr consulté le 1er juillet 2019 sous le code commune 77518.
    49. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 21 mai 2020
    50. « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 56 : secteur de Melun).
    51. « Plans & horaires - Villiers-en-Bière », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    52. « Réseaux de bus - Transdev Ile-de-France St-Fargeau-Ponthierry », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    53. « Réseau de bus - Transdev Ile-de-France Vaux-le-Pénil », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    54. [PDF]« Histoire du Village », sur http://www.mairievilliersenbiere.fr (consulté en ).
    55. Julien Van Caeyseele, « Municipales. Voici les nouveaux maires de Boissise-la-Bertrand, Boissise-le-Roi et Villiers-en-Bière : Olivier Delmer, Véronique Chagnat et Alain Truchon ont respectivement été élus maires des communes de Boissise-la-Bertrand, Boissise-le-Roi et Villiers-en-Bière. », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Il succède à Gilles Gatteau, qui n’a pas souhaité repartir pour un nouveau mandat. À 65 ans, Alain Truchon a été élu maire de Villiers-en-Bière (...) Il n’est pas un inconnu du village puisqu’il entame son troisième mandat, mais accède à la fonction de maire pour la première fois ».
    56. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    57. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    58. « Commune de Villiers-en-Bière - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    59. « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    60. « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    61. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    62. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    63. « Villiers-en-Bière - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    64. « Villiers-en-Bière - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    65. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    66. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    67. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    68. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    69. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 29 janvier 2021
    70. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 29 janvier 2021
    71. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 29 janvier 2021
    72. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le 29 janvier 2021
    73. Linéaires - Le top 100 des plus gros hypers en 2008
    74. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villiers-en-Bière. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    75. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    76. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villiers-en-Bière. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    77. « Château du Bréau. », notice no AP67L04885, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    78. « Communs et château à l'arrière-plan. », notice no AP67L04886, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    79. « Façade principale sur parc, côté entrée. », notice no AP67L04861, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    80. « Ferme du château : cour, paysans et attelage. », notice no AP67L04855, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    • Portail de Seine-et-Marne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.