Université Panthéon-Sorbonne

L'université Panthéon-Sorbonne, dont le nom officiel est « Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », est un établissement multidisciplinaire de l'enseignement supérieur français, spécialisé dans les domaines des sciences économiques et de la gestion, des arts et des sciences humaines, du droit et des sciences politiques[1].

Pour l'université grecque, voir Université Panteion.

Pour les articles homonymes, voir Panthéon (homonymie) et Sorbonne (homonymie).

Ses centres administratifs et ses principaux locaux d’enseignement sont situés à la Sorbonne et sur la place du Panthéon, au cœur du Quartier latin de Paris, dans l’ouest du cinquième arrondissement. Elle possède également plus d'une vingtaine d'antennes dans quatre autres arrondissements parisiens (quatrième, sixième, treizième et quinzième arrondissements) ainsi qu'en Égypte[2] et en Roumanie[3].

Étant l'une des héritières de l'ancienne université de Paris, l'université Paris-I accueille aujourd'hui environ 40 000 étudiants répartis en dix unités de formation et de recherche (UFR) et quatre instituts. Elle offre des formations de la licence au doctorat et dans la préparation des concours, notamment juridiques et d'enseignement. Elle ne fait partie d'aucune COMUE, mais elle collabore avec l'université Sorbonne-Nouvelle et ESCP Business School au sein de Sorbonne Alliance. Elle est aussi membre fondateur du projet d'université européenne UNA Europa depuis 2019[4].

Histoire

Création de l'université

Ancien logo de l'université Panthéon-Sorbonne

À la suite des événements de mai 1968, l'université de Paris a été divisée en 7 universités nouvelles, à l'initiative des universitaires eux-mêmes. À l'instigation notamment des professeurs François Luchaire (droit public), Henri Bartoli (économie) et Hélène Ahrweiler (sciences humaines), l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne est née en 1971 du regroupement d'une partie de la faculté de droit et sciences économiques (Panthéon) et d'une partie de la faculté des lettres et sciences humaines (Sorbonne). Si la plus grande partie des économistes de la faculté de droit (35 sur 41) ont choisi Paris-I, la plupart des juristes (88 sur 108)[5], dont la plupart des privatistes et des historiens du droit et une partie importante des publicistes avaient choisi de perpétuer une université spécialisée - Paris-II - alors que leurs collègues faisaient le pari d’une université pluridisciplinaire en ralliant l’université Paris-I[6].

Dans les négociations sur le partage des locaux historiques avec les autres universités proches, l'université Paris I peut utiliser des salles dans la partie sud de la Sorbonne, précédemment utilisée par la faculté des sciences[7]. De même, les universités Paris I et Paris II s'entendent pour installer toutes les deux leur présidence dans les locaux historiques de la faculté de droit place du Panthéon et se partager le site. Les nouveaux locaux de la rue d'Assas sont également partagés pendant les deux premières années en attendant l'ouverture du futur centre Pierre-Mendès-France, effective en 1973[7].

Développement

Depuis sa création, Paris-I a vu ses effectifs d'étudiants augmenter de 50 % et la proportion d'étudiants de troisième cycle s'accroître constamment. Cette croissance, accompagnée de l'apparition de nouvelles disciplines (administration économique et sociale, mathématiques appliquées et sciences sociales), a nécessité l'attribution de nouveaux locaux qui ont augmenté la capacité d'accueil et la dispersion de l'université : centre Saint-Charles pour les arts plastiques (1973), centre Tolbiac[7] (aujourd'hui centre Pierre-Mendès-France) (1973), centre de recherches historiques et juridiques de la rue Malher (1972), centre Port-Royal René-Cassin pour le premier cycle de droit (1990), Maison des sciences économiques (1998) pour la recherche dans ces disciplines et centre Broca où s'installe l'Institut d'administration des entreprises en 2001, centre Port-Royal Lourcine (2019).

Rapprochements institutionnels des années 2000

Bâtiment Recherche Sud du Campus Condorcet, siège de l'Institut des hautes études de l'Amérique latine (IHEAL), 2019.

À la suite de la mise en place en France de Pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) en 2006, l'université s'est successivement impliquée dans plusieurs projets d'association d'établissements d'enseignement supérieur, ainsi que dans un projet élaboré dans le cadre du Plan campus à partir de janvier 2008.

L'université commence à travailler autour du projet du PRES Paris Centre Universités à partir de janvier 2006 qui inclut d'autres universités parisiennes dont Paris V et Paris VII[8]. Le projet n'aboutit pas, ces deux dernières universités se rapprochant finalement du projet Sorbonne Paris Cité et l'université commence au début de l'année 2010 à se rapprocher d'autres établissements autour du projet Hautes Études-Sorbonne-Arts et Métiers[9]. L'établissement quitte cependant ce groupement le [10].

L'université travaille au même moment avec d'autres partenaires autour du projet du campus Condorcet dans le but d'ouvrir un nouveau campus au nord de Paris. Le projet est retenu en 2008 dans le cadre du plan campus[11].

Présidence de l'université

Ancienne présidente du Comité d'éthique du CNRS (1993-1997) et du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou (1989-1991), Hélène Ahrweiler fut présidente de l'université Panthéon-Sorbonne entre 1976 et 1981.
Présidents Dates de mandat
François Luchaire 19701976, président de l'assemblée constitutive de 1970-1971
Hélène Ahrweiler 19761981
Pierre Bauchet 19811982
Jacques Soppelsa 19821989
Georges Haddad 19891994
Yves Jégouzo 19941999
Michel Kaplan 19992004
Pierre-Yves Hénin 20042009
Jean-Claude Colliard 20092012
Philippe Boutry 20122016
Georges Haddad (2e mandat) 20162020
Christine Neau-Leduc depuis 2021

Composantes

Départements

Il y a dix départements, formés en unités de formation et de recherche (UFR), à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne répartis en trois domaines d'études :

  1. Sciences économiques et de gestion
    1. École d'économie de la Sorbonne (UFR 02)
    2. École de management de la Sorbonne (EM Sorbonne) (UFR 06) - Gestion et économie d’entreprise
    3. UFR de Mathématiques et informatique (UFR 27)
  2. Sciences humaines
    1. École de l'Histoire de l’art et archéologie (UFR 03)
    2. École des arts de la Sorbonne (UFR 04)
    3. UFR de Géographie (UFR 08 : Institut de géographie)
    4. École d'Histoire de la Sorbonne (UFR 09)
    5. UFR de Philosophie (UFR 10)
  3. Sciences juridiques et politiques
    1. École de droit de la Sorbonne (EDS)
    2. UFR de Science Politique de la Sorbonne (UFR 11)

Instituts et établissement associé

Il y a également 10 instituts d'études et de recherches :

  1. Institut de démographie de l'université Paris I (IDUP)
  2. Institut d'Administration Économique et Sociale (IAES)
  3. Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
  4. Institut des sciences sociales du travail (ISST)
  5. Institut de recherche et d'études supérieures du tourisme
  6. Institut d'études judiciaires Jean-Domat (IEJ)
  7. Institut des assurances de Paris (IAP)
  8. Institut français de la communication
  9. Institut de Recherche et d'Études Supérieures du Tourisme (IREST)
  10. Institut des Études sur la Guerre et la Paix

Enfin, il y a également un établissement public associé :

  1. Institut d'administration des entreprises de Paris (IAE Paris)

Maison des sciences économiques

La Maison des sciences économiques (MSE) abrite les équipes de recherche de Paris 1 travaillant dans le domaine de l'économie et des mathématiques appliquées. L'ensemble de ces quelque 300 chercheurs, des neuf unités de recherche et d'une unité de services, la plupart affiliées au CNRS, la diversité des thèmes abordés et des méthodes utilisées, donnent à cette Maison un caractère unique en France. S'y déroulent également les enseignements de masters, destinés à environ 300 étudiants.

Localisation

Centre Panthéon : Siège de l'université et de l'École de droit de la Sorbonne.

Le siège social et la présidence de l'université sont situés au 12, place du Panthéon, 75005 Paris[12]. Il s'agit du site principal de l'université :

Les autres sites sont appelés annexes dans les statuts[12] :

Grand amphithéâtre de la Sorbonne
Institut de géographie.

Centre Pierre-Mendès-France

Vue du centre Pierre-Mendès-France depuis la rue de Tolbiac.

Le centre Pierre-Mendès-France (parfois appelé « Tolbiac », à ne pas confondre avec les locaux officiellement appelés « centre Tolbiac ») est une annexe située au no 90 de la rue de Tolbiac dans le 13e arrondissement. Il accueille environ 6 000 étudiants de première et de deuxième année de licence en sciences humaines, en sciences économiques, en gestion et dans quelques disciplines juridiques, notamment la première année de capacité en droit.

Il s'agit d'un ensemble de trois tours d’inégales hauteurs constituées autour d'un noyau central en béton armé : la tour A est haute de neuf étages, la tour B de seize, et la tour C de vingt-deux. L'ensemble a été construit par les architectes Andrault et Parat dans le cadre de l'opération d'urbanisme Italie 13.

Les architectes avaient à faire face à de nombreuses contraintes de superficie. En outre, ceux-ci devaient créer un centre pouvant contenir près de 13 000 étudiants sur un terrain triangulaire de 4 500 m2.

Enseignement et recherche

Formation

L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne propose 22 licences[13], 211 masters 2[14] (dont 93 M2 recherche, 113 M2 professionnels, et 5 M2 indifférenciés[15]), et 10 doctorats[16], ainsi que 17 doubles licences, parfois suivies de doubles masters 1.

Il existe en outre 3 licences professionnelles[17], 71 diplômes universitaires[18], 5 magistères[19] et 84 masters 1[20].

Plus récemment, un collège de droit a été ouvert, à la rentrée 2017[21].

Relations internationales

L'université Paris-I dispose de plus de 700[22] conventions d'échanges d'étudiants avec des établissements européens et internationaux, des doubles cursus et en particulier pour le droit, cinq doubles licences et doubles maîtrises en droit français-droit étranger :

Activités de recherche

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2017). 
Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Recherche

Depuis sa constitution en 1971, Paris 1 a exprimé son attachement à un modèle combinant ouverture et recherche de l'excellence. S'articulant en faveur de l'insertion dans le cadre d'un dispositif global constitué en direction « Partenariats Entreprises et Insertion Professionnelle », l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne se positionne comme l'une des premières institutions de recherche dans ses domaines.

Les orientations stratégiques propres à Paris visent à conforter le rôle d'acteur majeur de Paris 1 dans la recherche et l'enseignement en sciences humaines et sociales. Pour cela cette université entend structurer et dynamiser sa recherche, renforcer l'attractivité de ses diplômes et la réussite de ses étudiants et s'affirmer comme acteur international de la recherche.

Collège des écoles doctorales

Le Collège des écoles doctorales a été créé par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour rassembler les dix écoles Doctorales de l'université dans un but d'élaboration et de mise en œuvre de la politique de l'université en matière de formation doctorale. Il a également pour vocation de coordonner les compétences et les pratiques de ces Écoles doctorales et de leurs directeurs, dans le respect des spécificités interdisciplinaires. Il assure dans le respect des spécificités interdisciplinaires, la coordination des compétences des Écoles doctorales et de leurs directeurs, et en mettant en commun certains de leurs moyens.[réf. nécessaire]

Les dix écoles doctorales

Le Collège des écoles doctorales a été créé par l'université pour rassembler ses dix écoles doctorales :

  • École doctorale d'économie (ED 465)
  • École doctorale de management (ED 559)
  • École doctorale de droit de la Sorbonne (ED 565)
  • École doctorale de science politique (ED119)
  • École doctorale de philosophie (ED 280)
  • École doctorale de géographie (ED 434)
  • École doctorale d'archéologie (ED 112)
  • École doctorale d'arts plastiques, esthétique & sciences de l'art (ED 279)
  • École doctorale d'histoire (ED 113)
  • École doctorale de d'histoire de l'art (ED 441)

Les écoles doctorales sont composées de plusieurs laboratoires de recherche comme : Centre d'économie de la Sorbonne (UMR 8174), Pôle de recherches interdisciplinaires en sciences du management (EA 4101), Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne (EA 4536), etc.

Certains laboratoires de recherches sont articulés en unité mixte de recherche (UMR) :

Une unité mixte de recherche est une entité administrative créée par la signature d'un contrat d'association d'un ou de plusieurs laboratoires de recherche d'un établissement d'enseignement supérieur ou d'un organisme de recherche avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Une unité mixte de recherche est généralement créée au début du contrat de l'établissement d'enseignement supérieur associé avec le ministère chargé de la Recherche[réf. nécessaire].

Direction de la recherche et de la valorisation

La direction de la recherche et de la valorisation développe son activité autour de cinq axes principaux :

  • La commission recherche du Conseil académique : organisation des réunions des différentes formations et suivi des décisions ;
  • La préparation de la négociation et la mise en place du volet recherche du contrat quadriennal, en relation avec le ministère et le CNRS ;
  • L'appui à la gestion financière des centres de recherches, des écoles doctorales et des programmes pluriformation en collaboration avec les services de l'agence comptable : suivi des crédits, des conventions de recherche, etc.
  • La diffusion d'information concernant d'une part les appels d'offre relatifs à des programmes de recherche français et internationaux adressés à l'université et d'autre part l'aide financière destinée aux doctorants (allocations de recherche, conventions CIFRE…) ;
  • Le suivi des subventions allouées le conseil scientifique, notamment pour la publication de thèses.

Classements

QS World University Ranking

En 2020, par discipline et matière :

  • Arts et Sciences Humaines : 32e (1er en France)
    • Archéologie : 16e (1er en France)
    • Histoire : 34e (1er en France)
    • Histoire Classique et Ancienne: 13e (2e en France)
    • Geographie : 33e (1er en France)
    • Philosophie : 28e (2e en France)
    • Art & Design : 101e-150e (4e en France)
    • Architecture : 151e-200e (1er en France)
    • Langues Modernes : 51e-100e (3e en France)
  • Sciences Sociales & Management : 54e (3e en France)
    • Droit : 20e (1er en France)
    • Études de Développement : 28e (1er en France)
    • Économie & Économétrie : 51e-100e (4e en France)
    • Anthropologie : 51e-100e (2e en France)
    • Sciences Politiques : 51e-100e (2e en France)
    • Comptabilité & Finance : 101e-150e (6e en France)
    • Business & Management :  : 101e-150e (8e en France)

[28]

Times Higher Éducation

Dans le palmarès de mai 2016 du Times Higher Education, l’université est parvenue à se maintenir dans ce classement international, en occupant le 91e-100e rang, à égalité avec l’Insead et l’École polytechnique. Devancée par l’École normale supérieure (ENS) et l’université Pierre et Marie Curie (UPMC), Paris 1 Panthéon-Sorbonne se hisse au troisième rang français[29].

Le Times Higher Education, classait l'établissement dans le top 100 mondial en 2011[30], puis parmi les 60 universités les plus réputées du monde en 2014[31].

Classement Le Point - Le Figaro

L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est classée à différents rangs dans des classements effectués par la presse française. Selon Le Point, elle arrive, dans les universités de « droit, économie, et gestion », avec plus de 94 % de taux d'insertion à l'obtention du diplôme[32]. D'après Le Figaro, elle arrive au 10e rang national concernant ses taux d'insertion professionnelles et de salaire[33]. Selon les filières, certaines formations (Masters 2 Conseil, Masters 2 Transports internationaux et logistique, Masters 2 Comptabilité Contrôle Audit, etc.) ont des statistiques d'insertion à 100 % avant l'obtention du diplôme avec une moyenne salariale de 40 000  bruts annuel.

Vie étudiante

Vie associative

Plus d'une centaine d'associations sont affiliées à l'université[34], certaines sont thématiques (Association des Droits de l'Homme de la Sorbonne (ADHS), Débattre en Sorbonne, Révolte-toi-Sorbonne, Junior Entreprise, organisations sur le modèle des Nations unies, Une couverture pour l'hiver, sorb'Out, Sorbinouze), d'autres sont dédiées à l'animation des filières ou sont des associations de diplômés (ADEH, ADES, les Politistes, AGP1, AsEED,ASH). La quasi-totalité des cursus sélectifs (doubles cursus, magistères, masters 2) ont également leur association de filière ou leurs associations de diplômés (ADHE, MRIAE, ADDH) qui accompagnent la coordination et l'organisation des formations et des démarches des étudiants (retours d'expériences, mentoring, cooptations, événements inter-promotions, support à l'insertion professionnelle, conférences thématiques ou networking).

L'engagement étudiant est encouragé par l'université via l'octroi d'un bonus sur la moyenne des étudiants. En revanche, les subventions aux organisations étudiantes sont limitées (montant fixe annuel au pro-rata du nombre d'élus aux conseils centraux), le FSDIE ne finançant pas les événements de ces organisations.[réf. nécessaire]

En 2015, le FSDIE s'élevait à près de 670 000 euros, attribués en 5 occasions, à des étudiants connaissant des difficultés financières, ainsi que pour l'organisation de projets non lucratifs, à caractère social, culturel ou sportif, organisés par des étudiants de l'université.[réf. nécessaire]

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

1988 1989 1990 1991 1992 2000 2001 2002
29 909[35]30 708[35]31 750[35]32 410[35]33 037[35]35 950[36]36 222[37]37 452[38]
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
38 473[39]39 552[40]38 310[41]37 057[42]36 031[43]36 807[44]36 522[45]37 908[46]
2011 2012 2013 2014 2015 2016 - -
39 224[47]38 83339 00040 00041 00042 000--

Personnalités liées

Enseignants en droit et en science politique

Enseignants en économie et gestion

Enseignants en sciences humaines et sociales

Docteur honoris causa

Depuis sa création, l'université Panthéon-Sorbonne décerne le titre de docteur honoris causa à des personnalités en reconnaissance de leur rôle et de leur engagement dans la promotion des valeurs et des principes inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Médaille Richelieu

En mémoire du Cardinal de Richelieu, qui étudia à la Sorbonne et œuvra de manière remarquable à son développement, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a créé la médaille Richelieu, une décoration décernée depuis 2010 à des personnalités « qui par leur position, leurs déclarations et/ou leurs actes, contribuent activement au respect et à la défense des valeurs de l'Université, tout en favorisant la diffusion d'un savoir universitaire d'excellence »[51]

Hommes et femmes d'affaires et chefs d'entreprise

Médias

Personnalités politiques françaises

Personnalités politiques étrangères

Artistes, écrivains, autres

Domaine académique et relations internationales

Notes et références

  1. L'université en chiffres, Université Paris 1 (lire en ligne [PDF])
  2. « Institut de Droit des Affaires Internationales »
  3. « Collège juridique franco-roumain d’études européennes »
  4. « UNA Europa », sur www.una-europa.eu (consulté le )
  5. « Les programmes de I à VII », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
  6. Gérard Conac, « La fondation de l'université Paris-I : François Luchaire, pilote d'une transition institutionnelle » dans Jeannette Bougrab et Didier Maus (dir), François Luchaire, un républicain au service de la République, Publications de la Sorbonne, 2005, p. 178.
  7. Gérard Conac, « 1968 : la Faculté de droit de Paris dans la tourmente » dans Pascal Gonot, Anne Rousselet-Pimont et Loïc Cadiet (dir.), L’École de droit de la Sorbonne dans la Cité, Paris, IRJS éditions, 2012 (ISBN 978-2-919211-11-1), p. 79-85.
  8. « Paris Centre Universités », Journal de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, juin 2006, p. 5, sur univ-paris1.fr le consulté 10 juillet 2010
  9. Émilie Naourie, « Le PRES Hésam élargi à douze membres », Le fil de Par1s, juin 2010, p. 8, sur univ-paris1.fr consulté le 10 juillet 2010
  10. Camille Stromboni, « L’université Panthéon-Sorbonne claque la porte de son regroupement », dans Le Monde, le 21 novembre 2016, consulté sur www.lemonde.fr le 21 novembre 2016
  11. Luc Cédelle, « Le plan Campus privilégie dix pôles universitaires », Le Monde, (lire en ligne)
  12. Statuts de l'université Panthéon-Sorbonne, art. 7.
  13. Liste des licences proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  14. Liste des masters 2 proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  15. L'université Paris 1 en chiffres - novembre 2015
  16. Liste des mentions de doctorats proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  17. Liste des licences professionnelles proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  18. Liste des diplômes d'université proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  19. Liste des magistères proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  20. Liste des masters 1 proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
  21. Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - Marc-Olivier Lagadic, « EDS: Collège de Droit de la Sorbonne », sur www.univ-paris1.fr (consulté le )
  22. Plaquette de présentation sur le site de l'université, chiffres de 2011.
  23. fiche du diplôme droit français-droit allemand
  24. fiche du diplôme droit français-droit américain
  25. fiche du diplôme droit français-droit anglais
  26. fiche du diplôme droit français-droit espagnol
  27. fiche du diplôme droit français-droit italien
  28. « QS World Rankings », (consulté le )
  29. « World Reputation Rankings », (consulté le )
  30. (en) « World Reputation Rankings 2011 »
  31. (en) Top Universities by Reputation 2014, sur le site timeshighereducation.co.uk
  32. Cyriel Martin, « EXCLUSIF. Nos meilleures universités », (consulté le )
  33. « Les meilleures universités françaises en terme d’emploi et de salaires à la sortie » (consulté le )
  34. « Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne: Les Associations », sur www.univ-paris1.fr (consulté le )
  35. Comité national d'évaluation 1995, p. 15
  36. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  37. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  38. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  39. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  40. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  41. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  42. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  43. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  44. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), sur education.gouv.fr consulté le 10 août 2010
  45. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), sur education.gouv.fr consulté le 17 septembre 2010
  46. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), sur education.gouv.fr consulté le 2 septembre 2011
  47. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur http://www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  48. « Les Docteurs Honoris Causa de l’Université | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.panthéonsorbonne.fr (consulté le )
  49. « Top 10 des présidents honorés par l’université », sur www.panthéonsorbonne.fr
  50. « Le Président colombien Juan Manuel Santos fait Docteur Honoris Causa en Sorbonne - La Chancellerie des Universités de Paris | La Chancellerie des Universités de Paris », sur www.sorbonne.fr (consulté le )
  51. « Médaille Richelieu », sur www.panthéonsorbonne.fr

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de Paris
  • Portail des universités françaises
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.