Pibrac
Pibrac est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pibrac | |||||
Vue aérienne de Pibrac (2010) | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Camille Pouponneau 2020-2026 |
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Code postal | 31820 | ||||
Code commune | 31417 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pibracaises, Pibracais | ||||
Population municipale |
8 517 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 329 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 03″ nord, 1° 17′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 145 m Max. 237 m |
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Superficie | 25,86 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Toulouse-7 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Pibracaises, Pibracais.
Géographie
Localisation
La commune de Pibrac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Brax (3,7 km), Colomiers (4,1 km), Léguevin (4,6 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,7 km), Cornebarrieu (4,9 km), Plaisance-du-Touch (5,8 km), Tournefeuille (6,0 km), Mondonville (6,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Pibrac fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Pibrac est limitrophe de dix autres communes dont plusieurs communes par un quinquepoint.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 586 hectares ; son altitude varie de 145 à 237 mètres[6].
Hydrographie
La commune est traversée par l'Aussonnelle et ses deux affluents le Ruisseau du Gajea et le Courbet qui conflue sur la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[12] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du département[18] et la « forêt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[20].
Urbanisme
Typologie
Pibrac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[24] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forêts (28,9 %), zones urbanisées (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), prairies (2,3 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication
Accès par la route nationale 124.
Transports
La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Pibrac, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, L'Isle-Jourdain et Auch.
Pibrac est desservie par la ligne 32 du réseau Tisséo, permettant de rejoindre la gare de Colomiers et la gare des Ramassiers, pour ensuite atteindre Toulouse par la ligne C. La commune est également desservie par la ligne 935 du réseau liO, reliant Toulouse à Auch.
Toponymie
Ce nom vient probablement de *Piperacum, du latin piper, "poivre", pebre en occitan, employé pour désigner un lieu où habitait un homme au caractère caustique et pour cette raison surnommé Piper[30].
Histoire
On sait qu'au début du XIIe siècle, il existe un castrum entre les cours d'eau du Courbet et de l'Aussonnelle, sur un promontoire. La motte fortifiée et ses alentours composés de lieux d'habitations dont celle du seigneur constitue le village de Pibrac. Le premier seigneur connu se nomme Pierre de Pibrac. Le territoire est sous l'influence des seigneurs de L'Isle-Jourdain et des chevaliers de l'ordre des Hospitaliers.
Pibrac est notamment la ville d'origine de Guy Du Faur de Pibrac au XVIe siècle, et de Germaine Cousin, une bergère, devenue, après sa canonisation, sainte Germaine. Son corps a été retrouvé en 1664, presque intact. Au départ, c'est un culte populaire qui se développe mais en 1854, elle est béatifiée par l'Église. Elle y est enterrée et une basilique, de style romano-byzantin, qui lui est dédiée, a été édifiée dans les années 1900.
Politique et administration
La Mairie - Monument aux morts
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du Canton de Toulouse-7 (avant le redécoupage départemental de 2014, Pibrac faisait partie de l'ex-canton de Léguevin).
Liste des maires
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[36],[37].
Le maire est entouré de 8 adjoints et de 20 conseillers municipaux.
Depuis les élections municipales de 2020, sa composition est la suivante :
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39]. En 2018, la commune comptait 8 517 habitants[Note 8], en augmentation de 3,21 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 44 | 36 | 23 | 19 | 19 | 22 | 23 | 25 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Classée au titre des monuments historiques[46], les restes de Sainte-Germaine y sont conservés dans une châsse.
- Le retable, les 6 statues, et les bas-relief (lambris) en bois : peint, et doré, du XVIIIe siècle, sont classés depuis 1968[47]
- L'autel, le tabernacle, le crucifix, et les deux statue en marbre sont classés depuis 1968[48]
- L'orgue de tribune est doublement classé au titre des monuments historiques [49]
- Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac
- Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac le Clocher-mur
- Orgue de tribune
- Sainte-Marie-Madeleine de Pibrac - Intérieur
- Retable, statues et bas relief, classés
- Autel, tabernacle, croix et deux statues classés
- La chaire
- La châsse de Sainte-Germaine
- "La Mort de Sainte-Germaine" Raoul de Pibrac
- Basilique Sainte Germaine de Pibrac, construite en 1896 par l'architecte Pierre Esquié.
- Prieuré Saint Dominique de Pibrac
- Château de Pibrac.
- Porte Henri IV.
- Façade
Personnalités liées à la commune
- Lieu de naissance de Guy Du Faur de Pibrac, comte de Pibrac, homme d’État et écrivain (né à Pibrac en 1529 et mort à Paris en 1584). Auteur des "Quatrains" et de "Les plaisirs de la vie rustique". Accompagne le duc d'Anjou en Pologne. Il est le 1er ministre du roi de Pologne. Organise le retour du duc d’Anjou qui va devenir le roi Henri III, à la mort de Charles IX. Retourne en France et conseille au roi Henri III de terminer les guerres de religion Henri III le nomme président du Parlement de Paris. À la suite de la demande du roi de Béarn et de Navarre (futur Henri IV) à Henri III, il est nommé chancelier de Marguerite de Navarre. Puis, peu de temps avant sa mort est nommé chancelier d’Henri III.
- Sainte Germaine, paysanne canonisée. Le pèlerinage à Pibrac est un rendez-vous très fréquenté encore de nos jours.
- Daniel Prix Germain Du Faur de Pibrac, né à Auxerre le , mousquetaire noir (il ne l'est plus en 1781) capitaine d'infanterie. Il est institué légataire général et universel d'Anne du Faur (décédée le ), dernière représentante de la branche des Du Faur de Pibrac, à charge pour lui de relever le nom de Pibrac. Député de la noblesse aux États généraux de Versailles en 1789, chevalier de Saint-Louis et dernier possesseur du fief de Cormont dans la commune de Boismorand (Loiret), commune dont il possédait la quasi-totalité des terres avant et après la Révolution. Marié en 1784, à Angélique Anne d'Hallot, il meurt à Orléans, où il était adjoint au maire, le [50]
- Jean Garaud, seigneur de Pibrac
- Ville de résidence de Guy Novès, ancien sélectionneur du XV de France. Il fut professeur de sport pendant plus de vingt ans au collège du Bois de Labarthe à Pibrac, remportant six titres de champion de France scolaires avec l'équipe de l'établissement. Il a d'ailleurs eu comme élèves David Skrela et Grégory Morales, qui ont joué sous ses ordres au Stade toulousain. Il quitte son poste d'enseignant en 2001 pour se consacrer entièrement au Stade toulousain.
- Léon Taverdet
- Tibo InShape, de son vrain nom Tibaud Delapart, est un vidéaste youtubeur spécialisé dans le domaine de la musculation ayant presque 8 millions d'abonnés. Il a passé toute son enfance à Pibrac, de 3 à 23 ans. Il a sorti une vidéo le spécialement pour parler de la ville et des lieux qu'il y a fréquenté.
Vie pratique
Enseignement
À Pibrac, se trouvent deux écoles maternelles, deux écoles élémentaires, un collège ainsi qu'un lycée d'enseignement général et technologique. Il existe également un groupe scolaire et un collège privés sous contrat.
- Groupes scolaires du Bois de la Barthe et Maurice Fonvieille.
- Groupe scolaire et collège Privé Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
- Collège du Bois de la Barthe.
- Lycée général et technologique Nelson Mandela.
Santé
La ville comprend en 2014, 12 médecins généralistes, 3 pharmacies et 1 cabinet d'infirmerie libérale.
Culture
Théâtre musical de Pibrac
Sports
Patinodrome ou se déroule la première étape du Trophée des 3 Pistes, systématiquement le samedi de Pâques (compétition internationale de patinage à roulettes de vitesse). Trentième édition en 2016[51].
Pibrac accueille différentes associations sportives, telles que la MJC, des clubs d'arts martiaux (judo, karaté et aïkido), hippique (Club hippique de Pibrac (FFE), initialement appelé club hippique de Toulouse), cycliste[52]... La ville compte également son club de football, l'Union Sportive Pibracaise (U.S Pibrac), fondé le . Au cours d'une saison sportive, l'US PIBRAC organise plusieurs tournois. Il s'agit notamment du tournoi de Pâques, du tournoi féminin en septembre, et du tournoi Interpro au mois de juin. Des équipes venant de diverses régions françaises ou de villes européennes sont généralement présentes durant ces tournois.
Événements
- Fin septembre : repas de quartier rue du Cramail organisé par Pibrac + (association de quartier).
- Juin : pèlerinage de sainte Germaine.
- Tournoi international de football Gérard Sedjal.
- 2ème week-end d'octobre: La Mekanik du rire, un festival de rue autour du Rire et du Partage[53].
- Novembre: Pyrénicimes, festival sur la montagne.
- Décembre : marché de Noël organisé par la communauté allemande.
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[54].
Pour approfondir
Bibliographie
- C'est à Pibrac que Villiers de l'Isle-Adam a situé sa nouvelle Les Brigands, publiée dans les Contes cruels en 1883[55].
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Pibrac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Pibrac et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Pibrac », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pibrac et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Pibrac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de l'Aussonnelle et rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Bouconne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « terrasses de Bouconne et du Courbet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- D'après Jacques Astor : Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éd. du Beffroi, 2002, p. 939.
- « Pibrac. Le décès de l'ancien maire Henri Courtines », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- « Pibrac. Robert Bon, maire sortant, a dévoilé sa liste », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- J.-F Lardy-Gaillot, « Pibrac. Robert Bon veut passer la main à David Saint-Mellion », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- « Pour Pibrac 2020, Bruno Costes ».
- « Demain Pibrac 2020, portrait de Camille Pouponneau ».
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031417.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Mérimée PA00094419
- Palissy PM31000476
- Palissy PM31000477
- Palissy PM31001472 et Palissy PM31001478
- Grand dictionnaire historique de Moréri - Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables… de Chaix d'Est-Ange - Armorial général et nobiliaire français, de Hubert Lamant - Paul Gache, historien du Gâtinais et du Giennois - Cercle historique de Boismorand (Loiret)
- « Trophée des 3 Pistes ....20, 21, 22 avril 2019 - Site officiel de la plus célèbre compétition de roller vitesse sur piste. », sur Trophée des 3 Pistes ....20, 21, 22 avril 2019 (consulté le ).
- http://www.pibrac.com/annuaire_accueil.asp?type=1&activite=2
- « Bienvenue ! », sur La Mekanik du Rire I Festival de rue de l'ouest toulousain (consulté le ).
- http://www.toulouse-metropole.fr/missions/dechets-proprete
- [lire en ligne].
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